- CathEnchanteur
Et j’ajoute que les PLP sont bivalents.
Et qu'en Allemagne, il y a une grosse sélection pour aller au lycée général.
Bref, cher "je viens de m'inscrire", tu as perdu une belle occasion de te taire.
Et qu'en Allemagne, il y a une grosse sélection pour aller au lycée général.
Bref, cher "je viens de m'inscrire", tu as perdu une belle occasion de te taire.
- bas-médiévisteNiveau 9
Maximilien_ a écrit:
Ajoutons que l'état d'esprit des fonctionnaires allemands est beaucoup plus positif, beaucoup moins politisé. Quand je lis le niveau de certains commentaires dans ce forum, je ne peux m'empêcher de penser qu'on ne trouverait pas une telle médiocrité outre-Rhin !
Vous en êtes... de la macronie ?
Ne perdez pas votre temps. Passez votre chemin. C'est un fonctionnaire français négatif, médiocre et politisé qui vous le conseille.
_________________
"Les instructions émanant des socio-pédagogues infestant les cabinets ministériels depuis plusieurs années sont un charabia dont le pathos infernal mériterait d'être traduit en français afin d'en saisir tout le sel lorsque l'on sait qu'il vise un enseignement destiné, je vous le rappelle, à des enfants." (Goubert, 1984)
- LefterisEsprit sacré
On dirait Dupond et Dupont "je dirais même plus... " . Je l'ai dit plus haut. Je crois que le débat est de toute manière stérile, je ne vois pas ce néo-membre parvenir à convaincre par la force du verbe la jeunesse de revenir vers les concours menant au Titanic.Cath a écrit:Et j’ajoute que les PLP sont bivalents.
Et qu'en Allemagne, il y a une grosse sélection pour aller au lycée général.
Bref, cher "je viens de m'inscrire", tu as perdu une belle occasion de te taire.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- KimberliteExpert
Mouais, faut arrêter, là... en Allemagne, les heures sont moins longues qu'en France, les conditions d'enseignement sont généralement meilleures, les journées sont plus courtes (se terminent toujours plus tôt... terminer à 15h les cours tous les jours, c'est pas comme terminer à 17H). Les cours sont aussi bien plus courts (45 minutes: dans les comparaisons, on nie toujours ce fait et compte ça comme une heure).Maximilien_ a écrit:Cher "demi-dieu"
encore une fois, on compare les rémunérations sans aucune référence au travail fourni et à la qualification. C'est courant pour toute la fonction publique française, mais les comparaisons perdent toute signification !
Pour l'Allemagne, si on tient compte des 26 heures hebdomadaires devant les élèves, du fait que les enseignants sont loins d'avoir quatre mois de vacances, en faisant, donc, une petite règle de trois, on se rend compte que l'écart se réduit singulièrement. Il reste, sans doute, plus de 30%, mais l'Allemagne est un pays riche.
Noter aussi les effectifs inférieurs (lire cet article instructif: https://www.piefrance.com/trois-quatorze/reportages/systeme-scolaire-allemagne/ ).
Sur le plan qualitatif, un enseignant allemand doit obligatoirement enseigner deux matières,
Comme quasiment 3 enseignants sur 4 en France: géologie et biologie sont deux matières, en Allemagne, chimie et physique aussi, géographie et histoire aussi, latin et français aussi! Il faut arrêter de se raconter des conneries, bon sang!
Gnéééé? Tu peux expliquer ce que tu veux dire, là?certains pensent que le niveau des universités allemandes est largement supérieur à celui de l'université française, à cause du système très élitiste des grandes écoles qui existe chez nous.
N'importe quoi... quand je regarde mes collègues, je vois plutôt des moutons. Les allemands sont bien plus impliqués dans la vie politique. Ils sont aussi bien plus syndiqués.Ajoutons que l'état d'esprit des fonctionnaires allemands est beaucoup plus positif, beaucoup moins politisé.
Mais bien sûr... comme me disait mon ami allemand directeur de Gymnasium; après les résultats catastrophiques de PISA, l'Allemagne a tout fait pour faire remonter les statistiques. Mais, de son avis, le niveau réel n'avait pas monté, les élèves étaient juste plus optimisés pour passer les tests correctement... (maintenant à la retraite, il était prof de maths et physique... mais pas de chimie, hein!).Quand je lis le niveau de certains commentaires dans ce forum, je ne peux m'empêcher de penser qu'on ne trouverait pas une telle médiocrité outre-Rhin !
Le corps enseignant allemand, il y a une quinzaine d'années, s'est attaqué au classement médiocre des enquêtes PISA et l'a superbement amélioré - là où la France s'enfonce et continue de s'enfoncer.
Alors, cher demi-dieu, essaie de te renseigner, la prochaine fois.
Bref, si ça te plaît d'être sous-payé, sous considéré, de te faire arnaquer un peu plus à chaque réforme, tant mieux pour toi... personnellement, j'ai habité en Allemagne et en Suisse, et je peux te dire qu'on nous prend vraiment pour des cons. Vraiment.
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- Spoiler:
- CeladonDemi-dieu
Euh... le demi-dieu c'est moi ???
Et je dois me renseigner avant de poster un article qui me paraît éclairant ?
Tu fais une entrée remarquée, Je viens de m'inscrire. Tente autre chose la prochaine fois pour éviter la volée de bois vert.
Et je dois me renseigner avant de poster un article qui me paraît éclairant ?
Tu fais une entrée remarquée, Je viens de m'inscrire. Tente autre chose la prochaine fois pour éviter la volée de bois vert.
- Archie LeachNiveau 2
Maximilien_ a écrit:Celadon a écrit:https://www.marianne.net/economie/salaires-quelles-professions-augmenter-en-priorite
Le rapport des Français avec le monde enseignant est pour le moins ambigu. Ils reconnaissent un rôle majeur aux profs mais se montrent sévères avec eux. Pour ne pas dire injustes : selon un sondage OpinionWay, 56 % des personnes interrogées estiment que les profs sont « suffisamment payés ». A regarder les comparaisons internationales de plus près, ce jugement mérite un examen plus approfondi : les enseignants français sont particulièrement mal lotis en termes de rémunération, par rapport à leurs confrères européens. Après quinze ans de métier, les professeurs français dans le primaire gagnent moitié moins que leurs homologues allemands (32 500 € bruts en moyenne, contre 66 000 € outre-Rhin). Dans le secondaire, les écarts sont similaires. Les profs français sont également largement moins bien payés qu’en Espagne, en Italie ou même au Portugal. Ajoutez à cela le stress et les problèmes psychologiques liés aux zones géographiques les plus difficiles du territoire et la coupe est pleine. On peut désormais douter de l’attractivité du « plus beau métier du monde », comme le définissait l’ancien ministre de l’Education Luc Chatel.
Cher "demi-dieu"
encore une fois, on compare les rémunérations sans aucune référence au travail fourni et à la qualification. C'est courant pour toute la fonction publique française, mais les comparaisons perdent toute signification !
Pour l'Allemagne, si on tient compte des 26 heures hebdomadaires devant les élèves, du fait que les enseignants sont loins d'avoir quatre mois de vacances, en faisant, donc, une petite règle de trois, on se rend compte que l'écart se réduit singulièrement. Il reste, sans doute, plus de 30%, mais l'Allemagne est un pays riche.
Sur le plan qualitatif, un enseignant allemand doit obligatoirement enseigner deux matières, certains pensent que le niveau des universités allemandes est largement supérieur à celui de l'université française, à cause du système très élitiste des grandes écoles qui existe chez nous.
Ajoutons que l'état d'esprit des fonctionnaires allemands est beaucoup plus positif, beaucoup moins politisé. Quand je lis le niveau de certains commentaires dans ce forum, je ne peux m'empêcher de penser qu'on ne trouverait pas une telle médiocrité outre-Rhin !
Le corps enseignant allemand, il y a une quinzaine d'années, s'est attaqué au classement médiocre des enquêtes PISA et l'a superbement amélioré - là où la France s'enfonce et continue de s'enfoncer.
Alors, cher demi-dieu, essaie de te renseigner, la prochaine fois.
Vous n'allez pas me faire croire que cet énorme troll est enseignant ? Ce type aligne les pires clichés sur la profession.
- henrietteMédiateur
@Maximilien_ : Merci de te présenter, comme le veut l'usage sur ce forum, dans la section ad hoc : https://www.neoprofs.org/f26-votre-presentation
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- wilfried12Habitué du forum
Archie Leach a écrit:Maximilien_ a écrit:Celadon a écrit:https://www.marianne.net/economie/salaires-quelles-professions-augmenter-en-priorite
Le rapport des Français avec le monde enseignant est pour le moins ambigu. Ils reconnaissent un rôle majeur aux profs mais se montrent sévères avec eux. Pour ne pas dire injustes : selon un sondage OpinionWay, 56 % des personnes interrogées estiment que les profs sont « suffisamment payés ». A regarder les comparaisons internationales de plus près, ce jugement mérite un examen plus approfondi : les enseignants français sont particulièrement mal lotis en termes de rémunération, par rapport à leurs confrères européens. Après quinze ans de métier, les professeurs français dans le primaire gagnent moitié moins que leurs homologues allemands (32 500 € bruts en moyenne, contre 66 000 € outre-Rhin). Dans le secondaire, les écarts sont similaires. Les profs français sont également largement moins bien payés qu’en Espagne, en Italie ou même au Portugal. Ajoutez à cela le stress et les problèmes psychologiques liés aux zones géographiques les plus difficiles du territoire et la coupe est pleine. On peut désormais douter de l’attractivité du « plus beau métier du monde », comme le définissait l’ancien ministre de l’Education Luc Chatel.
Cher "demi-dieu"
encore une fois, on compare les rémunérations sans aucune référence au travail fourni et à la qualification. C'est courant pour toute la fonction publique française, mais les comparaisons perdent toute signification !
Pour l'Allemagne, si on tient compte des 26 heures hebdomadaires devant les élèves, du fait que les enseignants sont loins d'avoir quatre mois de vacances, en faisant, donc, une petite règle de trois, on se rend compte que l'écart se réduit singulièrement. Il reste, sans doute, plus de 30%, mais l'Allemagne est un pays riche.
Sur le plan qualitatif, un enseignant allemand doit obligatoirement enseigner deux matières, certains pensent que le niveau des universités allemandes est largement supérieur à celui de l'université française, à cause du système très élitiste des grandes écoles qui existe chez nous.
Ajoutons que l'état d'esprit des fonctionnaires allemands est beaucoup plus positif, beaucoup moins politisé. Quand je lis le niveau de certains commentaires dans ce forum, je ne peux m'empêcher de penser qu'on ne trouverait pas une telle médiocrité outre-Rhin !
Le corps enseignant allemand, il y a une quinzaine d'années, s'est attaqué au classement médiocre des enquêtes PISA et l'a superbement amélioré - là où la France s'enfonce et continue de s'enfoncer.
Alors, cher demi-dieu, essaie de te renseigner, la prochaine fois.
Vous n'allez pas me faire croire que cet énorme troll est enseignant ? Ce type aligne les pires clichés sur la profession.
Exactement, ce n'est certainement pas un prof, ca ne sert à rien de lui répondre, il existe une fonction signaler pour se débarrasser des trolls.
- RendashBon génie
Bwarf, on a un crétin de troll qui sévit par intermittence depuis un petit moment, qui rabâche toujours les mêmes conneries sans jamais lire les réponses qui démontent patiemment lesdites conneries. C'est faire un bien grand honneur à cet imbécile que de lui répondre.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- XIIINeoprof expérimenté
Maximilien a disparu? Il ne s'est même pas présenté? Pourtant on l'a bien reçu.
- Thalia de GMédiateur
Meuh non. Il s'est sagement incliné devant de sages arguments.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- henrietteMédiateur
Et devant la grande sagesse des paroles du renne.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- KimberliteExpert
Le truc qu'est bien avec les arguments bidons, c'est qu'on a tellement l'habitude de les contrer que ça prend pas longtemps à faire. Pour gagner du temps, on peut aussi pratiquer le copier-coller (de toute façon, les trolls sont des copier-coller d'eux-même, le plus souvent).
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- Spoiler:
- marjoDoyen
Laotzi a écrit:Excellent article (consultable sur europresse). Je mets en exergue les deux derniers paragraphes :
Au-delà des congés, mardi, lors d'un « briefing » réservé à des journalistes choisis, le ministre de l'Éducation a lâché quelques « pistes » : pas de revalorisation globale, donc, mais des primes, conditionnées à des missions. Comme la prime pour l'éducation prioritaire, qui serait à l'avenir attribuée au mérite. Ou la fonction de directeur en primaire, qui serait revalorisée en échange d'un statut hiérarchique que les enseignants refusent.
Si ce type de mesures pourrait aboutir à un niveau de pension correct, en apparence et en moyenne, il entraînerait en réalité une explosion des inégalités, basée sur une gestion des carrières « à la tête du client » (et de sa docilité). C'est donc à un véritable chantage que se livre le gouvernement : soit les enseignants acceptent une redéfinition complète de leur métier et de leurs carrières, ou une dégradation profonde de leurs retraites. Gageons qu'ils seront très nombreux dans la rue le 5 décembre pour refuser ce choix mortel.
Pas de revalorisation globale donc. On s'y attendait bien. C'est confirmé. Les collègues qui ne descendront pas dans la rue jeudi prendront la responsabilité d'une dégradation finale et totale de nos conditions.
Non mais il est pas culotté le Blanquer ! Je suis quand même assez pessimiste : on s'en est pris plein la figure ces dernières années, je ne vois pas pourquoi ça s'arrêterait maintenant.
- Maximilien_Niveau 1
On me reproche de ne pas répondre.
Répondre à quoi ? Au discours corporatiste qu'on resasse à longueur d'année pour essayer de se rassurer ? Je comprends qu'on n'aie ni l'envie ni le courage de lire autre chose, mais c'est très regrettable.
Nous sommes pourtant devant une évidence : les conditions de rémunérations ne seront améliorées qu'en contrepartie d'une révision sérieuse des obligations de travail des enseignant et, naturellement, du contrôle de leur respect. C'est comme cela, répéter indéfiniment des incantations misérabilistes, s'appitoyer à longueur de temps sur son propre sort, n'écouter que le discours convenu de syndicats qui ont une lourde responsabilité dans le niveau de vie calamiteux des jeunes enseignants, rien de toue cela ne sauvera la condition enseignante.
Et ce serait dommage. Nous sommes, déjà, dans une situation extrêmement précaire, où l'enseignement public n'arrive plus à recruter. Et je ne parle pas là du niveau des candidats au CAPES. Le renouvellement du corps enseignant n'est - dores et déjà - plus assuré et le niveau des élèves continuera de s'effondrer jusqu'à ce que des mesures radicales s'imposent, qui aboutiront très probablement à la privatisation du secondaire, sur le modèle de l'enseignement privé sous contrat, le seul qui fonctionne dans ce pays.
Continuez à bêler, continuez à insulter ceux qui ne sont pas de votre avis. Vous en verrez le résultat. Et croyez que cela ne me fera pas rire.
Triste.
Répondre à quoi ? Au discours corporatiste qu'on resasse à longueur d'année pour essayer de se rassurer ? Je comprends qu'on n'aie ni l'envie ni le courage de lire autre chose, mais c'est très regrettable.
Nous sommes pourtant devant une évidence : les conditions de rémunérations ne seront améliorées qu'en contrepartie d'une révision sérieuse des obligations de travail des enseignant et, naturellement, du contrôle de leur respect. C'est comme cela, répéter indéfiniment des incantations misérabilistes, s'appitoyer à longueur de temps sur son propre sort, n'écouter que le discours convenu de syndicats qui ont une lourde responsabilité dans le niveau de vie calamiteux des jeunes enseignants, rien de toue cela ne sauvera la condition enseignante.
Et ce serait dommage. Nous sommes, déjà, dans une situation extrêmement précaire, où l'enseignement public n'arrive plus à recruter. Et je ne parle pas là du niveau des candidats au CAPES. Le renouvellement du corps enseignant n'est - dores et déjà - plus assuré et le niveau des élèves continuera de s'effondrer jusqu'à ce que des mesures radicales s'imposent, qui aboutiront très probablement à la privatisation du secondaire, sur le modèle de l'enseignement privé sous contrat, le seul qui fonctionne dans ce pays.
Continuez à bêler, continuez à insulter ceux qui ne sont pas de votre avis. Vous en verrez le résultat. Et croyez que cela ne me fera pas rire.
Triste.
- Dame TartineNeoprof expérimenté
Grâce aux enseignants payés par l'Etat et aux subventions et financements octroyés par ledit EtatMaximilien_ a écrit:On me reproche de ne pas répondre.
Répondre à quoi ? Au discours corporatiste qu'on resasse à longueur d'année pour essayer de se rassurer ? Je comprends qu'on n'aie ni l'envie ni le courage de lire autre chose, mais c'est très regrettable.
Nous sommes pourtant devant une évidence : les conditions de rémunérations ne seront améliorées qu'en contrepartie d'une révision sérieuse des obligations de travail des enseignant et, naturellement, du contrôle de leur respect. C'est comme cela, répéter indéfiniment des incantations misérabilistes, s'appitoyer à longueur de temps sur son propre sort, n'écouter que le discours convenu de syndicats qui ont une lourde responsabilité dans le niveau de vie calamiteux des jeunes enseignants, rien de toue cela ne sauvera la condition enseignante.
Et ce serait dommage. Nous sommes, déjà, dans une situation extrêmement précaire, où l'enseignement public n'arrive plus à recruter. Et je ne parle pas là du niveau des candidats au CAPES. Le renouvellement du corps enseignant n'est - dores et déjà - plus assuré et le niveau des élèves continuera de s'effondrer jusqu'à ce que des mesures radicales s'imposent, qui aboutiront très probablement à la privatisation du secondaire, sur le modèle de l'enseignement privé sous contrat, le seul qui fonctionne dans ce pays.
Continuez à bêler, continuez à insulter ceux qui ne sont pas de votre avis. Vous en verrez le résultat. Et croyez que cela ne me fera pas rire.
Triste.
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J'peux pas, j'ai piscine !
- CeladonDemi-dieu
Lettres modernes ? Vraiment ?
- Pat BÉrudit
@Maximilien :
Tu oublies juste que :
- dans toutes les professions salariées sauf la nôtre, le temps de travail a été diminué (sans réduction de salaire, donc hausse de salaire horaire) ; chez nous il a plutôt augmenté, et le salaire à euros constant a baissé... donc on a de bonnes raisons d'être révoltés par cette situation
- Travailler plus, alors qu'on est dans une situation où on bosse déjà entre 40 et 45h par semaine, c'est juste pas possible ! (on est dans la position du salarié qui fait plein d'heures supp et a plein de jours de RTT... et on devrait encore faire plus d'heures ?)
- Quand tu donnes des chiffres faux (concernant l'Allemagne, dont on a maintes fois expliqué la différence), ne t'étonne pas qu'on te rentre dedans...
- Si l'état a décidé de ne pas payer ses fonctionnaires, c'est un choix purement idéologique : un autre choix est possible... et était fait au siècle dernier. Bizarrement, l'économie ne s'en portait pas plus mal, au contraire...
Edit : je suis dans le privé sous contrat, et non, ça ne fonctionne pas mieux !
Tu oublies juste que :
- dans toutes les professions salariées sauf la nôtre, le temps de travail a été diminué (sans réduction de salaire, donc hausse de salaire horaire) ; chez nous il a plutôt augmenté, et le salaire à euros constant a baissé... donc on a de bonnes raisons d'être révoltés par cette situation
- Travailler plus, alors qu'on est dans une situation où on bosse déjà entre 40 et 45h par semaine, c'est juste pas possible ! (on est dans la position du salarié qui fait plein d'heures supp et a plein de jours de RTT... et on devrait encore faire plus d'heures ?)
- Quand tu donnes des chiffres faux (concernant l'Allemagne, dont on a maintes fois expliqué la différence), ne t'étonne pas qu'on te rentre dedans...
- Si l'état a décidé de ne pas payer ses fonctionnaires, c'est un choix purement idéologique : un autre choix est possible... et était fait au siècle dernier. Bizarrement, l'économie ne s'en portait pas plus mal, au contraire...
Edit : je suis dans le privé sous contrat, et non, ça ne fonctionne pas mieux !
- Dame TartineNeoprof expérimenté
Tu perds ton temps Pat B : notre ami de LAREM est persuadé d'avoir raison :lol:
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J'peux pas, j'ai piscine !
- bas-médiévisteNiveau 9
J'espère au moins que notre gentil troll est stipendié convenablement.
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"Les instructions émanant des socio-pédagogues infestant les cabinets ministériels depuis plusieurs années sont un charabia dont le pathos infernal mériterait d'être traduit en français afin d'en saisir tout le sel lorsque l'on sait qu'il vise un enseignement destiné, je vous le rappelle, à des enfants." (Goubert, 1984)
- KimberliteExpert
Euh... tu sors d'où?Maximilien_ a écrit:On me reproche de ne pas répondre.
Répondre à quoi ? Au discours corporatiste qu'on resasse à longueur d'année pour essayer de se rassurer ? Je comprends qu'on n'aie ni l'envie ni le courage de lire autre chose, mais c'est très regrettable.
Nous sommes pourtant devant une évidence : les conditions de rémunérations ne seront améliorées qu'en contrepartie d'une révision sérieuse des obligations de travail des enseignant et, naturellement, du contrôle de leur respect. C'est comme cela,
Non, parce que, franchement, ce genre de discours, c'est hallucinant.
Je viens du privé, je sais ce que c'est que bosser. Et je peux te dire que souhaiter que notre métier se dégrade encore plus, c'est simplement souhaiter qu'on achève l'éducation nationale.
Je sens que je vais devenir grossière si tu continues à venir nous casser les pieds avec tes vœux de destruction d'un métier déjà bien sinistré, et tes comparaisons foireuses avec l'Allemagne.
Tu ne peux pas être enseignant de français. Ce n'est juste pas possible. Arrête de te payer notre tête et va répandre tes inepties ailleurs.répéter indéfiniment des incantations misérabilistes, s'appitoyer à longueur de temps sur son propre sort, n'écouter que le discours convenu de syndicats qui ont une lourde responsabilité dans le niveau de vie calamiteux des jeunes enseignants, rien de toue cela ne sauvera la condition enseignante.
Donc dégradons encore les conditions d'exercices, tout en donnant une misérable aumône de salaire, c'est ça, hein, ta formule magique?Et ce serait dommage. Nous sommes, déjà, dans une situation extrêmement précaire, où l'enseignement public n'arrive plus à recruter.
Effectivement. Ou alors c'est que le niveau est déjà trop bas, vu ce qu'on recrute comme enseignants de français...Et je ne parle pas là du niveau des candidats au CAPES. Le renouvellement du corps enseignant n'est - dores et déjà - plus assuré
C'est sûr qu'en fliquant plus les profs, et en les surchargeant encore plus de travail, on va remonter le niveau...et le niveau des élèves continuera de s'effondrer jusqu'à ce que des mesures radicales s'imposent, qui aboutiront très probablement à la privatisation du secondaire, sur le modèle de l'enseignement privé sous contrat, le seul qui fonctionne dans ce pays.
Non, tu te poiles déjà à répandre tes propos de troll ici. Ou alors, c'est encore plus grave que ce qu'on imagine...Continuez à bêler, continuez à insulter ceux qui ne sont pas de votre avis. Vous en verrez le résultat. Et croyez que cela ne me fera pas rire.
Triste, effectivement, que l'on recrute actuellement des personnes incapables d'écrire correctement, mais encore plus triste que l'on recrute des personnes capables de souhaiter encore plus de chaînes, plus de dégradation... si tant est qu'il y ait effectivement eu recrutement (ce dont on peut légitimement douter).Triste.
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- Spoiler:
- FilnydarNiveau 9
Mes étudiants qui entrent sur le marché du travail avec leur diplôme d'ingénieur, et pas celui d'une école prestigieuse, commencent avec un salaire annuel brut supérieur à 35000 euros.
Les carrières d'enseignants ne sont simplement pas compétitives, et l'intérêt des jeunes est de faire autre chose.
Les carrières d'enseignants ne sont simplement pas compétitives, et l'intérêt des jeunes est de faire autre chose.
- ElipherNiveau 5
Maximilien_ a écrit:On me reproche de ne pas répondre.
Répondre à quoi ? Au discours corporatiste qu'on resasse à longueur d'année pour essayer de se rassurer ? Je comprends qu'on n'aie ni l'envie ni le courage de lire autre chose, mais c'est très regrettable.
Nous sommes pourtant devant une évidence : les conditions de rémunérations ne seront améliorées qu'en contrepartie d'une révision sérieuse des obligations de travail des enseignant et, naturellement, du contrôle de leur respect. C'est comme cela, répéter indéfiniment des incantations misérabilistes, s'appitoyer à longueur de temps sur son propre sort, n'écouter que le discours convenu de syndicats qui ont une lourde responsabilité dans le niveau de vie calamiteux des jeunes enseignants, rien de toue cela ne sauvera la condition enseignante.
Et ce serait dommage. Nous sommes, déjà, dans une situation extrêmement précaire, où l'enseignement public n'arrive plus à recruter. Et je ne parle pas là du niveau des candidats au CAPES. Le renouvellement du corps enseignant n'est - dores et déjà - plus assuré et le niveau des élèves continuera de s'effondrer jusqu'à ce que des mesures radicales s'imposent, qui aboutiront très probablement à la privatisation du secondaire, sur le modèle de l'enseignement privé sous contrat, le seul qui fonctionne dans ce pays.
Continuez à bêler, continuez à insulter ceux qui ne sont pas de votre avis. Vous en verrez le résultat. Et croyez que cela ne me fera pas rire.
Triste.
L'enseignement public peine à recruter ? Le problème n'est pas à chercher au niveau des enseignants, ni des élèves. Il faut regarder plus haut - je ne vous l'apprends pas, l'Education Nationale est un microcosme du système dans lequel on vit : tout n'est que question de hiérarchie.
Dire que le modèle de l'enseignement privé est "le seul qui fonctionne dans ce pays", est tout à fait discutable. Il "fonctionne" à quel niveau ? Les élèves dans le privé apprennent leurs leçons sans broncher et ont de bons résultats au DNB et au Bac ? Les enseignants ne rencontrent pas de "problèmes" de discipline ? Les enfants qui y sont inscrits sont mieux éduqués ? Ils proviennent de familles bourgeoises, pour la majorité, qui refusent que leurs enfants soient dans une classe où quelques "élèves difficiles empêchent que la chair de leur chair puisse apprendre de manière efficace et rentable ? Pour moi, tout cela n'est pas de l'éducation...
Oui, les enseignants sont corporatistes, et beaucoup regardent leur propre sort, certains regrettent un âge d'or qu'ils ont connu. C'est le système tout entier qui dysfonctionne. Les ras-de-bol sont plus présents et se font de plus en plus entendre. Le combat des Gilets Jaunes est le même que celui des enseignants. Luttons collectivement.
Le système macroniste développe la compétition et cultive l'art d'être meilleur que son voisin. En classe, je me fiche des résultats chiffrés ; seuls les enfants m'importent.
Il n'en demeure pas moins que l'Education nationale est un symbole car c'est l'un des derniers bastions du service public. Et les signes d'érosion sont déjà bien présents.
- LefterisEsprit sacré
C'est aussi simple que ça. Pas besoin d'aller chercher loin, on le voit autour de soi , familles, amis, enfant d'amis : personne ne veut plus être enseignant. Soit ils n'ont pas le niveau et ne seront pas enseignants de toute manière, soit ils l'ont, et ils feront autre chose. Pire, des facs ne menant pratiquement qu'à l'enseignement sont désertées pour éviter ce métier. Les lettres par exemple.Filnydar a écrit:
Les carrières d'enseignants ne sont simplement pas compétitives, et l'intérêt des jeunes est de faire autre chose.
Tout ce qui pourrait compenser (liberté d'organisation, horaires, intérêt disciplinaire ...) est systématiquement attaqué. C'est pour ça que le "raisonnement" qui consiste à admettre qu'on ne peut plus recruter tout en affirmant qu'il faut durcir encore plus les conditions s'écroule tout seul. Le seul avenir prévu par nos dirigeants, c'est de mettre des contractuels de passage, n'ayant pas forcément le niveau requis, pour faire de la présence dans les classes.
Elipher a écrit:
Dire que le modèle de l'enseignement privé est "le seul qui fonctionne dans ce pays", est tout à fait discutable. Il "fonctionne" à quel niveau ? Les élèves dans le privé apprennent leurs leçons sans broncher et ont de bons résultats au DNB et au Bac ? Les enseignants ne rencontrent pas de "problèmes" de discipline ? Les enfants qui y sont inscrits sont mieux éduqués ? Ils proviennent de familles bourgeoises, pour la majorité, qui refusent que leurs enfants soient dans une classe où quelques "élèves difficiles empêchent que la chair de leur chair puisse apprendre de manière efficace et rentable ? Pour moi, tout cela n'est pas de l'éducation...
L'enseignement privé n'est bon que lorsqu'il a de son côté le rapport de force, à savoir la loi de l'offre et la demande. Ce qui est le cas dans mon secteur (pas forcément des familles très bourgeoises, plutôt des milieux où l'on s'inquiète, énormément d’enseignants d'ailleurs). Il y a une place pour dix demandes, donc on sélectionne (dossier exigé), on vire les pénibles , les refus de travail, et les directions et enseignants savent très bien ce que les parents viennent y chercher. Du calme, des cours musclés, pas d'"activités" de "projets". Si tout le monde allait dans ces établissements, le problème du public s'y installerait également, et c'est d'ailleurs apparemment le cas dans les régions où le privé, nombreux , n'a pas "la main". Des collègues se plaignent des mêmes maux que dans le public.
Ce n'est d'ailleurs pas un gros mot. Tous les salariés s'intéressent à leurs conditions de travail et de rémunération, veulent les améliorer (ou plutôt en ce moment ne pas les voir se dégrader encore plus) et c'est parfaitement normal.Oui, les enseignants sont corporatistes
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- BalthazaardVénérable
Lefteris a écrit:
Ce n'est d'ailleurs pas un gros mot. Tous les salariés s'intéressent à leurs conditions de travail et de rémunération, veulent les améliorer (ou plutôt en ce moment ne pas les voir se dégrader encore plus) et c'est parfaitement normal.Oui, les enseignants sont corporatistes
Il faut totalement sortir de cette phraséologie, même en la citant, propre à une certaine droite et à une vison complétement individualiste des choses.
Pour eux, soit un syndicat porte des intérêts généraux qui dépassent le cadre d'une profession.....> le syndicat fait de la politique donc outrepasse son rôle...
Soit le syndicat défend les intérêts d'une profession .....> il est corporatiste....
Ces mots n'ont pour but que d'enfermer l'action syndicale dans une contradiction et la réduire à néant. "Vous êtes corporatistes"...pas de réponse pour moi, ou plutôt "va discuter avec tes copains du café du commerce!!!! et poster dans les réactions des lecteurs du figaro.."
- gp20Niveau 9
Quand les députés s'octroient 300€ de plus pour se loger en RP, en plus d'être un scandale, c'est pas aussi du corporatisme ?
Pas un journaleux pour les reprendre quand ils sortent leurs âneries sur le corporatisme alors que ce sont probablement les pires à ce niveau là
Pas un journaleux pour les reprendre quand ils sortent leurs âneries sur le corporatisme alors que ce sont probablement les pires à ce niveau là
- Blanquer : il faut augmenter les salaires des enseignants
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