Est-ce qu’il manque des profs en UPE2A ?

Bonjour,
J’ai obtenu la CCFLS, je souhaiterai l’an prochain prendre en charge une UPE2A mais je me demande si un établissement voudra bien de moi. D’où ma question, est-ce qu’il y a plus de postes que de professeurs en UPE2A ?

C'est beau, c'est magnifique ! Et ce n'est pas ironique.

Mais on est en train de détruire les UPE2A.

Ha@_x a écrit:C'est beau, c'est magnifique ! Et ce n'est pas ironique.

Mais on est en train de détruire les UPE2A.

C'est-à-dire ?

-Perte d'heures.
-Suppression de moyens.
-Suppressions de postes.
-Inclusions en classes banales....d'élèves qui relèveraient d'une classe i .....

Il faut que je continue ? En Seine Saint Denis c'est un carnage, je sais pas ailleurs, mais bon...

Ha@_x a écrit:-Perte d'heures.
-Suppression de moyens.
-Suppressions de postes.
-Inclusions en classes banales....d'élèves qui relèveraient d'une classe i .....

Il faut que je continue ? En Seine Saint Denis c'est un carnage, je sais pas ailleurs, mais bon...

Tu enseignes en UPE2A au collège ?

4 ans, mais j'ai arrêté il y a quelques années.

UP2A primaire et secondaire ce sont les mêmes certifications ou diplômes ? Ici aussi c'est sinistré. Ma collègue a un territoire à couvrir démentiel et ne peut donc que faire du soupoudrage.

Ha@_x a écrit:-Perte d'heures.
-Suppression de moyens.
-Suppressions de postes.
-Inclusions en classes banales....d'élèves qui relèveraient d'une classe i .....

Il faut que je continue ? En Seine Saint Denis c'est un carnage, je sais pas ailleurs, mais bon...

Pareil ailleurs.
En 2013, les dotations passaient de 18 à 15h par semaine, il y deux (ou trois ?) ans, de 15 à 12h. Une collègue avait interpelé l'inspecteur en charge des UPE2A, sa réponse a été : "C'est pour favoriser l'inclusion et l'intégration !" Voilà, voilà.
J'ajoute que dans mon département, à peu près la moitié des postes sont occupés par des contractuels. Quelques uns ont déjà été supprimés. J'imagine que ce n'est pas spécifique à notre région, mais la crise sanitaire a entrainé une baisse des migrations, et donc des effectifs, d'où un certain nombre de craintes pour l'avenir.