Re: [Sondage] Où en êtes-vous dans la préparation des EPI ?

http://blog.educpros.fr/jean-charles-cailliez/a-propos/

Y en a d'autres des vidéos de smurtz ??? Trop bien la tartine et le toast !!!! On est carrément dans les EPI Bovary et diététique !!!

Fesseur Pro a écrit:J'attends.
Et je ferai professionnellement ce qu'on m'imposera.

Tout pareil !

Une collègue a voulu qu'on se réunisse après le boulot pour parler des EPI (comme il n'y avait pas eu de mutualisation entre le groupe EPI et le groupe AP lors de la formation), j'ai répondu que je n'en serai pas ! Je perds assez de temps comme ça avec ce machin de réforme.

Je suis fonctionnaire, je fonctionnerai (ou plus précisément je ferai semblant de fonctionner) et je ferai mes cours comme avant.

Mes collègues ont tous proposé un ou deux EPI par niveau, en demandant aux chefs si ça suffisait... affraid

Ils ont peut-être cru que les Lettres devaient tout prendre en charge... :lol:
Je n'ai rien proposé, rien dit. J'attends qu'on m'impose éventuellement un truc, que je ferai sans conviction ni bonne volonté, et surtout sans y passer trop de temps.
:aaf:

Je copie-colle ce que j'ai écrit sur un autre fil.

Chez nous, il y aura toujours du latin en enseignement de complément, j'aurai donc neuf heures à assurer (ou dix heures s'il y a deux groupes en 5e). Les chefs ont décidé par ailleurs de mettre en place un EPI LCA en 5e, mais pour l'instant, la plupart de mes collègues et moi-même avons refusé de proposer quoi que ce soit. Lors de la demi-journée de formation consacrée aux EPI (juste avant les vacances de février), nous avons préféré nous réunir par matière et avons discuté des programmes.

Pas concerné.
Si j'apprends que l'on me force à en faire un, alors si l'EPI commence un mardi par exemple je le préparerai le lundi soir. La veille.
Toute pression de qui que ce soit pour que je le prépare avant sera inopérante.
Je posterai l'EPI en question sur ce forum pour qu'un maximum de personnes en profitent.

Mictlantecuhtli a écrit:

Amaliah a écrit:Pas concernée. Des collègues ont mis par écrit un EPI latin reprenant pas mal de choses qu'ils faisaient déjà, niveau 5e. Je n'ai pas de 5e.
J'ai vaguement entendu parler de musique afro-américaine et d'un projet sur le son. En voilà trois. Si le stage de 3e compte pour un EPI, ça en fera déjà 4...
Mais nous comptons bien ne pas flécher les heures, faire ce que l'on veut au rythme que l'on veut.
Et personnellement, je ne compte rien faire. Si on m'y oblige, j'estampillerai EPI quelque chose que je fais déjà, le travail sur Persépolis ou en HiDA.

Le stage de 3e comptant pour un EPI ? :lol: :lol:

oui mais pas en soi. Des collègues cherchent à l'intégrer dans un EPI plus large (pas beaucoup plus large certe :lol: )

Les quoi ?

Il manque l'option "je refuse d'y penser tant que je n'y suis pas contraint et forcé".... Hors de question d'y penser à l'avance !
J'ai expliqué à mon cde que j'étais contre le principe même, que mon métier est d'enseigner les maths, point barre ;si un EPI apporte réellement quelque chose à mon enseignement des maths, ok, sinon, qu'il trouve quelqu'un d'autre (et franchement, le seul truc en maths pour lequel les EPI peuvent être vraiment un plus, c'est l'algorithmique... donc j'en ferai peut-être un tout petit ! On verra ça dans quelques mois...)

Les 4 collègues qui ont répondu "Ils sont prêts" ne voudraient-ils pas partager leurs EPI ?

Frisouille a écrit:Réponse 2.
[...] Et maintenant on attend la foire d'empoigne pour savoir quels EPIs seront retenus.

Et c'est ça qui me dérange.

Je suis plutôt opposée à cette réforme, mais j'ai proposé un EPI, où je reprends un thème qui me tient à cœur sur l'esclavage et les libertés, qui sert déjà de fil rouge à mon programme de 4ème cette année. L'idée est que cela soit assez vaste pour que le temps consacré ( équivalent d'1h semaine sur un trimestre ?) ne fasse en réalité pas perdre trop de temps sur le programme, dans le sens ou plusieurs chapitres d'histoire et un thème d'EMC seraient ainsi traités. Des collègues de français sont interessées, elles travaillent déjà sur le thème depuis quelques années. Une collègue d'anglais aussi. Des collègues d'art pla, pourquoi pas s'ils sont intéressés par une réalisation plastique ou l'étude d'oeuvres sur le sujet,à voir, on a 2 TZR chaque année.

Ce qui me débecte déjà, c'est que le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

"La meute" s'amuse déjà à lire et commenter avec dédain la liste des propositions en salle des profs. Et bien sûr, eux n'y participeront que s'ils choisissent le collègue partenaire (membre de "la meute", cela va sans dire). Hors de question qu'ils aient à bosser avec un TZR, un stagiaire, un collègue nouvellement arrivé ou déjà installé mais qui ne trouve pas grâce à leurs yeux. Déjà qu'ils doivent les tolérer 3 fois par an en conseil de classe... Rolling Eyes

Pandorafa a écrit:

Frisouille a écrit:Réponse 2.
[...] Et maintenant on attend la foire d'empoigne pour savoir quels EPIs seront retenus.

Et c'est ça qui me dérange.

Je suis plutôt opposée à cette réforme, mais j'ai proposé un EPI, où je reprends un thème qui me tient à cœur sur l'esclavage et les libertés, qui sert déjà de fil rouge à mon programme de 4ème cette année. L'idée est que cela soit assez vaste pour que le temps consacré ( équivalent d'1h semaine sur un trimestre ?) ne fasse en réalité pas perdre trop de temps sur le programme, dans le sens ou plusieurs chapitres d'histoire et un thème d'EMC seraient ainsi traités. Des collègues de français sont interessées, elles travaillent déjà sur le thème depuis quelques années. Une collègue d'anglais aussi. Des collègues d'art pla, pourquoi pas s'ils sont intéressés par une réalisation plastique ou l'étude d'oeuvres sur le sujet,à voir, on a 2 TZR chaque année.

Ce qui me débecte déjà, c'est que le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

"La meute" s'amuse déjà à lire et commenter avec dédain la liste des propositions en salle des profs. Et bien sûr, eux n'y participeront que s'ils choisissent le collègue partenaire (membre de "la meute", cela va sans dire). Hors de question qu'ils aient à bosser avec un TZR, un stagiaire, un collègue nouvellement arrivé ou déjà installé mais qui ne trouve pas grâce à leurs yeux. Déjà qu'ils doivent les tolérer 3 fois par an en conseil de classe...

Eh oui la concurrence entre EPI, entre matières, entre collègues est une conséquence inévitable de la réforme...
Apparemment chez toi ça a déjà bien commencé, puisque tu désignes certains de tes collègues (ceux qui ne sont pas d'accord avec toi) comme la "meute"...

"Diviser pour mieux régner".

On a déjà vu ce que ça a donné quand il a fallu répartir la fameuse "marge". On va remettre ça quand il faudra s'occuper des EPI (soit qu'il y en ait trop ou, au contraire, pas assez).

Comme quoi ceux qui ont mis à l'agonie le latin dans cette réforme en ont quand même gardé des souvenirs... Evil or Very Mad

Pandorafa a écrit:

Frisouille a écrit:Réponse 2.
[...] Et maintenant on attend la foire d'empoigne pour savoir quels EPIs seront retenus.

Et c'est ça qui me dérange.

Je suis plutôt opposée à cette réforme, mais j'ai proposé un EPI, où je reprends un thème qui me tient à cœur sur l'esclavage et les libertés, qui sert déjà de fil rouge à mon programme de 4ème cette année. L'idée est que cela soit assez vaste pour que le temps consacré ( équivalent d'1h semaine sur un trimestre ?) ne fasse en réalité pas perdre trop de temps sur le programme, dans le sens ou plusieurs chapitres d'histoire et un thème d'EMC seraient ainsi traités. Des collègues de français sont interessées, elles travaillent déjà sur le thème depuis quelques années. Une collègue d'anglais aussi. Des collègues d'art pla, pourquoi pas s'ils sont intéressés par une réalisation plastique ou l'étude d'oeuvres sur le sujet,à voir, on a 2 TZR chaque année.

Ce qui me débecte déjà, c'est que le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

"La meute" s'amuse déjà à lire et commenter avec dédain la liste des propositions en salle des profs. Et bien sûr, eux n'y participeront que s'ils choisissent le collègue partenaire (membre de "la meute", cela va sans dire). Hors de question qu'ils aient à bosser avec un TZR, un stagiaire, un collègue nouvellement arrivé ou déjà installé mais qui ne trouve pas grâce à leurs yeux. Déjà qu'ils doivent les tolérer 3 fois par an en conseil de classe...

Depuyis quand le CDE a-t-il une compétence pédagogique pour choisir les EPI ? Smile

C'est amusant, ça tiens ! Razz

:mdr3:

Je ne me sens pas concernée... Mes deux collègues pro-réforme veulent absolument co-enseigner en 3è, en dehors des EPI et se sont donc réservé les 3è. Dans ma grande mansuétude, je leur ai laissé les 3è sous réserve que nous n'ayons pas, ma collège anti et moi, à participer à quelque EPI que ce soit ! Je ne ferai donc pas d'EPI cette année !

monseigneur a écrit:

Pandorafa a écrit:

Frisouille a écrit:Réponse 2.
[...] Et maintenant on attend la foire d'empoigne pour savoir quels EPIs seront retenus.

Et c'est ça qui me dérange.

Je suis plutôt opposée à cette réforme, mais j'ai proposé un EPI, où je reprends un thème qui me tient à cœur sur l'esclavage et les libertés, qui sert déjà de fil rouge à mon programme de 4ème cette année. L'idée est que cela soit assez vaste pour que le temps consacré ( équivalent d'1h semaine sur un trimestre ?) ne fasse en réalité pas perdre trop de temps sur le programme, dans le sens ou plusieurs chapitres d'histoire et un thème d'EMC seraient ainsi traités. Des collègues de français sont interessées, elles travaillent déjà sur le thème depuis quelques années. Une collègue d'anglais aussi. Des collègues d'art pla, pourquoi pas s'ils sont intéressés par une réalisation plastique ou l'étude d'oeuvres sur le sujet,à voir, on a 2 TZR chaque année.

Ce qui me débecte déjà, c'est que le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

"La meute" s'amuse déjà à lire et commenter avec dédain la liste des propositions en salle des profs. Et bien sûr, eux n'y participeront que s'ils choisissent le collègue partenaire (membre de "la meute", cela va sans dire). Hors de question qu'ils aient à bosser avec un TZR, un stagiaire, un collègue nouvellement arrivé ou déjà installé mais qui ne trouve pas grâce à leurs yeux. Déjà qu'ils doivent les tolérer 3 fois par an en conseil de classe...

Eh oui la concurrence entre EPI, entre matières, entre collègues est une conséquence inévitable de la réforme...
Apparemment chez toi ça a déjà bien commencé, puisque tu désignes certains de tes collègues (ceux qui ne sont pas d'accord avec toi) comme la "meute"...

J'ai déjà parlé de "la meute" de mon collège dans un autre topic, c'est gratiné...

C'est un groupe très particulier de 5 ou 6 collègues, installés depuis des années et qui cumulent toutes les fonctions "nobles" de l'établissement, ignorant ceux qui sont de passages ou nouveaux, et raillant ceux qui sont en difficulté ou qui ne cèdent pas à leurs exigences et à leur autorité. Ils ne sont pas anti-réforme pour autant : ils se félicitent de la disparition de nos 2 bi-langues et de la réduction des heures de latin, ces matières aussi méprisables que les collègues qui les enseignent à leurs yeux... D'ailleurs, ils se sont rués sur l'occasion d'obtenir des dédoublements pour les niveaux où ils enseignent et des IMP. Des gens super sympas quoi ! Razz

J'ai tellement hâte de me voir imposer des EPI qu'ils auront conçus afin qu'ils me disent comment je dois travailler avec les classes que l'on aura en commun ! Twisted Evil

Cripure a écrit:

Pandorafa a écrit:Le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

"La meute" s'amuse déjà à lire et commenter avec dédain la liste des propositions en salle des profs. Et bien sûr, eux n'y participeront que s'ils choisissent le collègue partenaire (membre de "la meute", cela va sans dire). Hors de question qu'ils aient à bosser avec un TZR, un stagiaire, un collègue nouvellement arrivé ou déjà installé mais qui ne trouve pas grâce à leurs yeux. Déjà qu'ils doivent les tolérer 3 fois par an en conseil de classe...

Depuis quand le CDE a-t-il une compétence pédagogique pour choisir les EPI ?
C'est amusant, ça tiens !

:mdr3:

La question est sérieuse : la réforme confère-t-elle ce droit aux chefs ? Ce serait une (petite) révolution...

Cripure a écrit:
La question est sérieuse : la réforme confère-t-elle ce droit aux chefs ? Ce serait une (petite) révolution...

La composition des emplois du temps offre des pouvoirs considérables aux chefs d'établissement dans ce domaine.

monseigneur a écrit:

Pandorafa a écrit:

Frisouille a écrit:Réponse 2.
[...] Et maintenant on attend la foire d'empoigne pour savoir quels EPIs seront retenus.

Ce qui me débecte déjà, c'est que le chef nous a adressé une liste d'une trentaine de propositions, qui entrent déjà en concurrence puisque bien sûr, elles ne pourront pas toutes être retenues. Il parle déjà de retenir certaines "cases" pour chaque niveau, sans préciser lesquelles.
Donc si notre proposition ne rentre pas dans les 2 ou 3 cases retenues par niveau, ben on remballe notre EPI, et on applique celui pensé par d'autres, auquel on ne souscrit pas forcément ? Très peu pour moi, dans ce cas, je n'en fais pas. Et je montrerai à mon IPR que celui que j'avais proposé tenait bien la route par rapport à mon programme, mais que le chef n'en a pas voulu. Aucune envie de rentrer dans la concurrence avec les collègues sur ça.

Eh oui la concurrence entre EPI, entre matières, entre collègues est une conséquence inévitable de la réforme...
Apparemment chez toi ça a déjà bien commencé, puisque tu désignes certains de tes collègues (ceux qui ne sont pas d'accord avec toi) comme la "meute"...

C'est EXACTEMENT ce qui est déjà arrivé dans mon bahut : les EPI proposés en HG ont TOUS été non-validés. Et maintenant, l'équipe est inclus dans des EPI qui ne nous intéresse pas et qui n'entrent pas vraiment dans nos programmes. Et il va falloir les faire !!!!
De toute façon, "tout est Hist" m'a t-on rétorqué. Grosso modo, ça voulait dire "ferme ta g......le"
Cool !!!

Rien dans la circulaire ne dit que le CDE valide les EPI !
Il faut se battre en conseil d'enseignement et en CA.

Qui validera les EPI au fait ? Chez nous, il est question de les soumettre aux collègues, qui décideront de valider ceux-ci au détriment de ceux-là. Bonjour l'ambiance.

Osmie a écrit:Qui validera les EPI au fait ? Chez nous, il est question de les soumettre aux collègues, qui décideront de valider ceux-ci au détriment de ceux-là. Bonjour l'ambiance.

Il faut vraiment se mettre d'accord entre matière pour éviter ces problèmes.

Pierre-Henri a écrit:

Cripure a écrit:
La question est sérieuse : la réforme confère-t-elle ce droit aux chefs ? Ce serait une (petite) révolution...

La composition des emplois du temps offre des pouvoirs considérables aux chefs d'établissement dans ce domaine.

De nombreux collègues perdent "la foi" avec cette réforme du collège qui symbolise tout le mépris que l'institution a pour notre travail (4 programmes en une année, des programmes peu exigeants, dépourvus de sens en français, des thématiques d'EPI dans l'air du temps, des formations bâclées, infantilisantes et humiliantes, etc.). Beaucoup décident de faire leurs heures, et rien de plus. Un CDE qui veut vraiment avoir des conflits dans son collège s'amusera à bloquer les collègues de lundi au vendredi, de 8h à 17h ; là encore, bonjour l'ambiance.
S'ils ne sont pas idiots, ils ne le feront pas.

Cripure a écrit:
Depuis quand le CDE a-t-il une compétence pédagogique pour choisir les EPI ?
C'est amusant, ça tiens !
:mdr3:

C'est le Conseil Pédagogique qui doit choisir les EPI qui seront ensuite présentés au CA. Or, rien ne dit (d'après ma CDE) qu'il doit y avoir un vote pour se déterminer. On peut donc imaginer qu'en cas de désaccord entre collègues du CP Rolling Eyes

, ce soit les CDE qui tranchent. Ce n'est peut-être pas très légal, mais il semblerait qu'il y ait un vide juridique à ce propos. A vérifier cependant ...

fanette a écrit:

Cripure a écrit:
Depuis quand le CDE a-t-il une compétence pédagogique pour choisir les EPI ?
C'est amusant, ça tiens !
:mdr3:

C'est le Conseil Pédagogique qui doit choisir les EPI qui seront ensuite présentés au CA. Or, rien ne dit (d'après ma CDE) qu'il doit y avoir un vote pour se déterminer. On peut donc imaginer qu'en cas de désaccord entre collègues du CP , ce soit les CDE qui tranchent. Ce n'est peut-être pas très légal, mais il semblerait qu'il y ait un vide juridique à ce propos. A vérifier cependant ...

Le conseil pédagogique ne peut pas gêner la liberté pédagogique des enseignants et, de plus, il n'est pas une instance décisionnelle.