- hugo64Niveau 6
Sur un autre fil, cette idée avait été lancée. Je me permets de créer le fil...
Il s'agit donc de recenser les différentes problématiques que nous proposons pour les différents OE.
Il s'agit donc de recenser les différentes problématiques que nous proposons pour les différents OE.
- hugo64Niveau 6
Pour l'OI Le Mariage de Figaro, j'ai proposé " En quoi cette comédie ambiguë peut se lire comme représentation d'un siècle en pleine mutation?"
Pour les Mémoires d'Hadrien, "Comment se construit le personnage principal au fil du roman?"
Pour un GT sur l'aveu (théâtre / roman): "Quel est l'intérêt "dramatique" des scènes d'aveux?"
Pour les Mémoires d'Hadrien, "Comment se construit le personnage principal au fil du roman?"
Pour un GT sur l'aveu (théâtre / roman): "Quel est l'intérêt "dramatique" des scènes d'aveux?"
- venus13Niveau 9
pour l'OI Les Liaisons dangereuses ou pour Bel-Ami : quelle vision de l'homme et du monde ce roman apporte-t-il ?
pour Matin brun : quelle est la visée argumentative de cette nouvelle? / étudier intégralement une nouvelle à visée argumentative et s'initier au commentaire littéraire
pour les recueils Alcools et Romances sans paroles : en quoi ces deux recueils ont-il contribué à l'évolution poétique moderne ?
pour un GT sur la poésie engagée : comment les poètes dénoncent-ils les horreurs de la guerre quel que soit le siècle ?
pour Matin brun : quelle est la visée argumentative de cette nouvelle? / étudier intégralement une nouvelle à visée argumentative et s'initier au commentaire littéraire
pour les recueils Alcools et Romances sans paroles : en quoi ces deux recueils ont-il contribué à l'évolution poétique moderne ?
pour un GT sur la poésie engagée : comment les poètes dénoncent-ils les horreurs de la guerre quel que soit le siècle ?
- User5899Demi-dieu
Pour certaines, ce qui est rangé sous problématique est simplement une interprétation finale mise sous forme interrogative, ça n'a rien d'un guide en vue de l'étude.
Par exemple, "quelle est la visée argumentative de cette nouvelle ?" présuppose qu'il y en ait une : d'où cela sort-il ?
Autre exemple : "En quoi cette comédie ambiguë peut-elle se lire comme représentation d'un siècle en pleine mutation ?" Je comprends que nous n'étudierons pas la comédie, qui pourtant est une sacrée pièce de théâtre, bien plus intéressante d'ailleurs à mon sens que son message lourdaud du 5e acte. Mais ce message est moins lourdaud si j'articule toute mon étude sur une donnée théâtrale bien connue, l'unité de temps, en d'autres termes "la folle journée", avec la fatigue et la lassitude de Figaro à la fin.
Enfin "comment les poètes dénoncent-ils les horreurs de la guerre quel que soit le siècle ?", pitié ! Non, plus de dénonciation ! Et puis, parmi "les" poètes, certains sont bellicistes...
Bref, je ne suis pas convaincu : pour moi, ces prétendues problématiques sont parfaitement dispensables, elles ne sont, ainsi formulées, que de prétendues obligations administratives.
Par exemple, "quelle est la visée argumentative de cette nouvelle ?" présuppose qu'il y en ait une : d'où cela sort-il ?
Autre exemple : "En quoi cette comédie ambiguë peut-elle se lire comme représentation d'un siècle en pleine mutation ?" Je comprends que nous n'étudierons pas la comédie, qui pourtant est une sacrée pièce de théâtre, bien plus intéressante d'ailleurs à mon sens que son message lourdaud du 5e acte. Mais ce message est moins lourdaud si j'articule toute mon étude sur une donnée théâtrale bien connue, l'unité de temps, en d'autres termes "la folle journée", avec la fatigue et la lassitude de Figaro à la fin.
Enfin "comment les poètes dénoncent-ils les horreurs de la guerre quel que soit le siècle ?", pitié ! Non, plus de dénonciation ! Et puis, parmi "les" poètes, certains sont bellicistes...
Bref, je ne suis pas convaincu : pour moi, ces prétendues problématiques sont parfaitement dispensables, elles ne sont, ainsi formulées, que de prétendues obligations administratives.
- Thalia de GMédiateur
Serait-il possible que tous les titres des œuvres soient écrits en italiques et commencent par une majuscule ?
Merci d'avance.
Merci d'avance.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- doctor whoDoyen
"Les Cahier de Douai d'Arthur Rimbaud sont-ils des œuvres de jeunesse ?"
"L’École des femmes de Molière est-elle une pièce didactique ?"
"L’École des femmes de Molière est-elle une pièce didactique ?"
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- IphigénieProphète
je propose:
"Faut-il une problématique pour apprécier cette œuvre?":
ça a l'avantage d'être interchangeable. Et profond: mise en abyme de l'écriture, l'oeuvre a-t-elle d'autres fins qu'elle-même? qu'est-ce qui finalement fait "œuvre": on peut trouver plein d'ouvertures comme diraient mes élèves ("et pour ouvrir, je dirais que j'aime les pâtes".)
Bon, plaisanterie à part, je suis, étonnamment parfaitement d'accord avec Cripure...tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
"Faut-il une problématique pour apprécier cette œuvre?":
ça a l'avantage d'être interchangeable. Et profond: mise en abyme de l'écriture, l'oeuvre a-t-elle d'autres fins qu'elle-même? qu'est-ce qui finalement fait "œuvre": on peut trouver plein d'ouvertures comme diraient mes élèves ("et pour ouvrir, je dirais que j'aime les pâtes".)
Bon, plaisanterie à part, je suis, étonnamment parfaitement d'accord avec Cripure...tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
- SeiGrand Maître
Pour Bel-Ami, j'avais proposé : Bel-Ami est-il aimable ?
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- Pierre-HenriHabitué du forum
Iphigénie a écrit:tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
tsk, tsk, tsk... la problématique seule n'est rien. Pour chaque cours -- pardon "séance" -- il faut une problématique, certes, mais aussi un thème, un objectif principal, des objectifs secondaires, la liste des compétences travaillées, le script chronométré des activités, assorti des divers processus cognitifs qu'elles mettent en œuvre.
Le professeur au fait de ces prodigieuses découvertes pédagogiques, après avoir passé quatre heures à rédiger sa séance selon le format exigé, commence son cours en disant "bon maintenant, à partir de cet extrait de 12 lignes, nous allons nous demander comment le héros est-ce qu'il peut-il représenter le mal du siècle romantique, inséré dans le thème général de notre séquence, qui est je vous le rappelle l'étude du traitement littéraire de la vaisselle de Chrétien de Troyes à Harry Potter, pour vous faire travailler la compétence CC34 du domaine 12 du pilier 4 du référentiel du cycle, soclé et modifié par la loi de 2013", et passionne ainsi ses élèves, parce qu'il a donné du sens aux apprentissages.
- Invité ElExpert spécialisé
Pierre-Henri a écrit:Iphigénie a écrit:tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
tsk, tsk, tsk... la problématique seule n'est rien. Pour chaque cours -- pardon "séance" -- il faut une problématique, certes, mais aussi un thème, un objectif principal, des objectifs secondaires, la liste des compétences travaillées, le script chronométré des activités, assorti des divers processus cognitifs qu'elles mettent en œuvre.
Le professeur au fait de ces prodigieuses découvertes pédagogiques, après avoir passé quatre heures à rédiger sa séance selon le format exigé, commence son cours en disant "bon maintenant, à partir de cet extrait de 12 lignes, nous allons nous demander comment le héros est-ce qu'il peut-il représenter le mal du siècle romantique, inséré dans le thème général de notre séquence, qui est je vous le rappelle l'étude du traitement littéraire de la vaisselle de Chrétien de Troyes à Harry Potter, pour vous faire travailler la compétence CC34 du domaine 12 du pilier 4 du référentiel du cycle, soclé et modifié par la loi de 2013", et passionne ainsi ses élèves, parce qu'il a donné du sens aux apprentissages.
Excellent
- Invité ElExpert spécialisé
Pour les OE (et non les OI: je plussoie ce que Cripure et Iphigénie ont déjà dit), je mets mon casque, prends trois cachets préventifs, et propose, en vrac et pour l'exemple, si vraiment il faut en faire apparaître une:
- qu'est-ce que la poésie? (what else?...)
- de quoi sommes-nous les esclaves?
- que m'apprend une fiction?
- qu'est-ce qui se joue au théâtre?
- qu'est-ce que la poésie? (what else?...)
- de quoi sommes-nous les esclaves?
- que m'apprend une fiction?
- qu'est-ce qui se joue au théâtre?
- Marguerite VNiveau 6
Quelques problématiques pêle-mêle : L'École des femmes (seconde) : La comédie peut-elle aborder des sujets graves ou sérieux ?
Le Mariage de Figaro (1ère) : Comment Beaumarchais renouvelle-t-il la comédie à l'époque des Lumières ?
GT constitué de monologues (seconde) : que nous apprennent les monologues sur les personnages de tragédie ?
GT sur la figure du monstre au théâtre (première) : La figure du monstre permet-elle de mieux comprendre l'homme ?
GT sur le personnage de roman (première) : le personnage de roman face à la mort nous permet-il de l'apprivoiser et celui donner du sens ?
Le Mariage de Figaro (1ère) : Comment Beaumarchais renouvelle-t-il la comédie à l'époque des Lumières ?
GT constitué de monologues (seconde) : que nous apprennent les monologues sur les personnages de tragédie ?
GT sur la figure du monstre au théâtre (première) : La figure du monstre permet-elle de mieux comprendre l'homme ?
GT sur le personnage de roman (première) : le personnage de roman face à la mort nous permet-il de l'apprivoiser et celui donner du sens ?
- User5899Demi-dieu
Iphigénie, nous n'utilisions pas le terme, mais la chose était là. Sous le nom de fil directeur, de difficulté, de question qui se pose. Le mot est trop utilisé à tort et à travers, mais franchement, faire expliciter à un moment de la formation les exercices qui sont donnés, ce n'est pas un mal.Iphigénie a écrit:je propose:
"Faut-il une problématique pour apprécier cette œuvre?":
ça a l'avantage d'être interchangeable. Et profond: mise en abyme de l'écriture, l'oeuvre a-t-elle d'autres fins qu'elle-même? qu'est-ce qui finalement fait "œuvre": on peut trouver plein d'ouvertures comme diraient mes élèves ("et pour ouvrir, je dirais que j'aime les pâtes".)
Bon, plaisanterie à part, je suis, étonnamment parfaitement d'accord avec Cripure...tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
- User5899Demi-dieu
Pour illustrer la discussion plus haut, quelques propositions alternatives, qui évitent, me semble-t-il, l'a priori.
Marguerite V a écrit:Quelques problématiques pêle-mêle : L'École des femmes (seconde) : La comédie peut-elle aborder des sujets graves ou sérieux ? Le titre correspond-il à la pièce ?
Le Mariage de Figaro (1ère) : Comment Beaumarchais renouvelle-t-il la comédie à l'époque des Lumières ? (présupposé de renouvellement) Tout repose-t-il sur la journée unique ?
GT constitué de monologues (seconde) : que nous apprennent les monologues sur les personnages de tragédie ? Le monologue, est-ce du théâtre ?
GT sur la figure du monstre au théâtre (première) : La figure du monstre permet-elle de mieux comprendre l'homme ? Le théâtre, un genre pour le monstre ?
GT sur le personnage de roman (première) : le personnage de roman face à la mort nous permet-il de l'apprivoiser et celui donner du sens ? La mort, un sujet romanesque ?
- IphigénieProphète
Sans doute. Mais je voulais dire par là que pendant longtemps, face à un texte, le problème était de comprendre le texte. Les problématiques sont apparues avec les corpus et les séquences lorsqu'il s'est agi de mettre en perspective le plus souvent artificielle des textes sans rapports les uns avec les autres. Un des premiers sujets de bac de cette nouvelle ère mettait en problématique et en corpus la misère paysanne chez La Bruyère et " le bruit de l'œuf dur sur le comptoir d'étain" de Prevert: comment ne comprendre ni l'un ni l'autre en remplaçant ça par la pauvreté c'est triste. Plus exactement la plupart des problématiques sont en réalités des thématiques.Cripure a écrit:Iphigénie, nous n'utilisions pas le terme, mais la chose était là. Sous le nom de fil directeur, de difficulté, de question qui se pose. Le mot est trop utilisé à tort et à travers, mais franchement, faire expliciter à un moment de la formation les exercices qui sont donnés, ce n'est pas un mal.Iphigénie a écrit:je propose:
"Faut-il une problématique pour apprécier cette œuvre?":
ça a l'avantage d'être interchangeable. Et profond: mise en abyme de l'écriture, l'oeuvre a-t-elle d'autres fins qu'elle-même? qu'est-ce qui finalement fait "œuvre": on peut trouver plein d'ouvertures comme diraient mes élèves ("et pour ouvrir, je dirais que j'aime les pâtes".)
Bon, plaisanterie à part, je suis, étonnamment parfaitement d'accord avec Cripure...tout en sachant à quel point cette histoire de problématique est en passe d'être au centre même du système éducatif contemporain (mon dieu! dire qu'on a pu vivre sans problématique ni trace écrite et pour tout dire sans aucune compétence :shock: )
- Marguerite VNiveau 6
Le monologue, est-ce du théâtre ? Mais cette problématique est absolument géniale ! Je ne la proposerais cependant pas en seconde, mais je la trouve lumineuse et stimulante, merci Cripure !
- trompettemarineMonarque
En argumentation première :
titre : microcosme et macrocosme
problématique : Comment l'homme pense-t-il sa place dans l'Univers ?
titre : microcosme et macrocosme
problématique : Comment l'homme pense-t-il sa place dans l'Univers ?
- User5899Demi-dieu
Iphigénie, le problème est toujours de comprendre le texte Ça n'a pas changé, et c'est toujours aussi exigeant ! Mais en effet, lorsque les groupements de textes sont nés, justement pour éviter de mettre en perspective de façon artificielle des textes sans rapport (ce qui se pratiquait déjà via les exemples pris dans les dissertations, soit dit au passage), on a demandé aux professeurs (ce qu'ils ne font que très rarement) de problématiser les groupements, voire une œuvre intégrale, au nom de la modestie : comme on ne saurait tout dire (exeunt donc les questions ouvertes, qui poussent au catalogue), choisissons un aspect que nous plaçons en fil directeur. Je ne trouve pas que ce soit stupide, en tout cas, pas plus stupide que prétendre étudier une œuvre via quatre études de texte... Je trouve qu'étudier La Chute en posant dès l'abord, je ne sais pas, moi, une question comme : "Fallait-il sauver la jeune femme ?" met l'accent immédiatement sur le fond même du texte. Idem pour "le monologue est-il du théâtre ?", "Néron est-il un monstre ?" ou "Le Mariage de Figaro se conçoit-il étalé sur six jours ?" Bon, je pousse, mais c'est pour clarifier pour les ceusses qui s'intéressent à la question : qui peut dire que ces problématiques-là ne poussent pas à une compréhension des textes ?Iphigénie a écrit:Pendant longtemps, face à un texte, le problème était de comprendre le texte. Les problématiques sont apparues avec les corpus et les séquences lorsqu'il s'est agi de mettre en perspective le plus souvent artificielle des textes sans rapports les uns avec les autres.
Alors les problématiques dans les GT sont nées en septembre 1981, les corpus de Bac en juin 2002, ce n'est quand même pas tout à fait pareil Mais oui, il y a confusion dans beaucoup de descriptifs entre thématique (ce qui n'a pas grand intérêt) et problématique. Grouper cinq textes autour de "la pauvreté", bof. En revanche, "Critiquer, est-ce nécessairement dire du mal ?" pour articuler un GT sur les Lumières, ça me semble pertinent (et ne pas prétendre à l'exhaustivité : on va étudier des textes qui pourront être présentés dans une dissertation). Là où je suis d'accord avec vous, c'est pour dire que beaucoup de groupements n'ont strictement aucun intérêt, et qu'il vaut mieux les concevoir synchroniquement (voire sur les textes d'un seul auteur, voire d'un seul livre).Iphigénie a écrit: Un des premiers sujets de bac de cette nouvelle ère mettait en problématique et en corpus la misère paysanne chez La Bruyère et " le bruit de l'œuf dur sur le comptoir d'étain" de Prévert: comment ne comprendre ni l'un ni l'autre en remplaçant ça par la pauvreté c'est triste. Plus exactement la plupart des problématiques sont en réalités des thématiques.
De rienMarguerite V a écrit:Le monologue, est-ce du théâtre ? Mais cette problématique est absolument géniale ! Je ne la proposerais cependant pas en seconde, mais je la trouve lumineuse et stimulante, merci Cripure !
Et pourquoi pas, en seconde ? Pour réfléchir à l'artificialité de la notion de genre. La Chute, justement ? La Contrebasse de Süskind ? La tempête sous un crâne ? Les stances du Cid ?
Je pars du principe suivant : une question fermée.
Je la construis toujours de la même façon : ce qu'on attend (théâtre > action) et ce qu'on a (monologue > pas d'action, au moins à proprement parler). D'où problème. Qui pourrait se poser pour Eschyle, d'ailleurs
Bref, de quoi bien s'amuser avec nos grandes œuvres, non pas pour du formalisme, mais pour tenter de les serrer d'un peu près, au fond.
- doctor whoDoyen
Conception intéressante de la pbmatique.
Mais, Cripure, n'y avait-il pas aussi, dans les années 80, l'ambition de donner à l'étude des textes une allure un peu scientifique, qui mimerait le raisonnement hypothético-déductif ?
(Hypothèse, protocole, tests, vérification, validation de l'hypothèse)
Il me semble avoir lu des propos de l'époque allant dans ce sens anti-inductif.
Mais, Cripure, n'y avait-il pas aussi, dans les années 80, l'ambition de donner à l'étude des textes une allure un peu scientifique, qui mimerait le raisonnement hypothético-déductif ?
(Hypothèse, protocole, tests, vérification, validation de l'hypothèse)
Il me semble avoir lu des propos de l'époque allant dans ce sens anti-inductif.
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- Marguerite VNiveau 6
Ce qu'on attend / Ce qu'on a
Imparable...
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