- AsarteLilithBon génie
Pris totalement au hasard. Je suis juste au début, mais très sympa. Pas dans le style, plutôt dans l'humour, dans ce personnage étrange qui aime lire des pages échappées de la broyeuse à livres. Pour l'instant, ça reste léger. Le personnage du veilleur de l'usine, qui adore les alexandrins, est à voir.
- hugo64Niveau 6
Moi, je suis en train de lire Nous sommes éternels, de Pierrette Fleutiaux. Il est pour l'instant plutôt "intéressant". Je suis encore très intriguée par l'énonciation: je n'ai pas encore vraiment compris qui "parle" en italiques. Pour le reste, certains secrets sont désormais dévoilés, mais pas suffisamment encore. Faut dire que je n'en suis qu'à la 367ème page sur 968, alors...
Certaines pages sont d'une pure poésie, d'autres me sont bien longues...
Certaines pages sont d'une pure poésie, d'autres me sont bien longues...
- AemiliaExpert
Reçu et dévoré aujourd'hui : Pauline à Paris, de Benoît Vidal. Un roman-photo-OLNI !! (catégorie "livre écrit à la première personne").
https://fortyfiveweeks.wordpress.com/2016/01/23/pauline-a-paris-reading-challenge-2/
https://fortyfiveweeks.wordpress.com/2016/01/23/pauline-a-paris-reading-challenge-2/
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Professeur de lettres classiques déclassée
Mon blog "culture et humeurs, humour et coups de coeur" : https://fortyfiveweeks.wordpress.com/
- NasopiBon génie
Je viens de terminer La Théorie des six de Jacques Expert : un thriller avec un personnage principal complètement fou, d'un cynisme tellement hallucinant qu'il en est drôle... Très très chouette. Comme ledit personnage principal est infirme (boiteux), j'ai mis le livre dans la catégorie "avec un personnage handicapé".
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- IlianaGrand sage
C'est chouette de lire vos retours !
Dites, les Nouveaux Contes de fée de la Comtesse de Ségur, est-ce que ça rentre dans le chef d'oeuvre de la littérature jeunesse, selon vous ?
J'ai retrouvé mon vieux livre chez mon père, avec les gravures de G. Doré
Dites, les Nouveaux Contes de fée de la Comtesse de Ségur, est-ce que ça rentre dans le chef d'oeuvre de la littérature jeunesse, selon vous ?
J'ai retrouvé mon vieux livre chez mon père, avec les gravures de G. Doré
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Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- OudemiaBon génie
Ce n'est pas le plus connu des livres de la comtesse, ce qui est dommage car ce sont d'excellents contes, donc je valide.
- histoire de ma vie:
- j'étais terrifiée par les malheurs de la pauvre Rosalie, quand ma grand-tante, qui nous faisait la lecture, est arrivée au passage où elle allait agrandir le trou fait par la méchante souris grise, j'ai éclaté en sanglots, je ne voulais pas entendre la suite
- MalagaModérateur
J'ai mis la liste des participants à jour, en espérant n'avoir oublié personne.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- LaverdureEmpereur
Je viens de commencer Replay de Ken Grimwood. Je suis tombé dessus, par hasard, en cherchant le roman que je compte lire pour valider le défi "lire une uchronie" (Le maître du haut-château de Ph. Dick). Pour le moment, le livre tient en haleine et j'ai du mal à le lâcher : l'histoire peut être prévisible (le personnage principal se sent mourir et se réveille dans sa chambre d'étudiant, à l'âge de 18 ans ; sa vie recommence) et j'ai envie de voir comment l'auteur parvient à dépasser ça.
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- IlianaGrand sage
Oui, Oudemia, je les adorais quand j'étais petite, et ils m'impressionnaient beaucoup également ! Et la langue est tellement agréable à lire...
Laverdure, je pensais aussi lire Le Maître du haut-château pour l'uchronie. En fait c'est un genre que je connais peu.
Laverdure, je pensais aussi lire Le Maître du haut-château pour l'uchronie. En fait c'est un genre que je connais peu.
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Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- SeiGrand Maître
J'aimais aussi beaucoup aussi les contes de la comtesse de Ségur, mais je les ai peu relus, car j'empruntais le volume à la bibliothèque.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- KakHabitué du forum
Je les ai trouvés gratuitement (légalement) et installés sur la liseuse et ce fut une de nos lectures à haute voix avec ma fille.Sei a écrit:J'aimais aussi beaucoup aussi les contes de la comtesse de Ségur, mais je les ai peu relus, car j'empruntais le volume à la bibliothèque.
- IlianaGrand sage
Ah, je l'ai dans cette édition, il était à ma mère, je l'aime d'amour :
(sans les taches !)
Kak, j'ai hâte de pouvoir le lire avec mes enfants un jour, comme ma mère l'a fait avec moi
(sans les taches !)
Kak, j'ai hâte de pouvoir le lire avec mes enfants un jour, comme ma mère l'a fait avec moi
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Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- AmaliahEmpereur
10 défis relevés!
- Un livre choisi par un proche : Mr Gwyn d'Alessandro Baricco. Un écrivain décide du jour au lendemain d'arrêter d'écrire. Il écrit donc un article détaillant les 52 choses qu'il ne fera plus jamais, la dernière étant de ne plus écrire. Pourtant, l'envie est toujours là et il en vient à devenir copiste : à la manière d'un peintre, il va demander à des gens de poser pendant un mois, nus, dans un immense atelier éclairé par des ampoules qui s'éteignent au fur et à mesure. Lui, observera les gens et écrira leur portrait à travers une histoire qui leur ressemblera. Une galerie de personnages fantaisistes : l'artisan qui fabrique ces ampoules, la vieille dame morte qui le conseille, l'assistante de son ami et agent, Rebecca, qui prend la parole dans la deuxième moitié du livre; une bonne idée; une fin mystérieuse qui fait basculer le récit dans une enquête; mais malgré tout, je n'ai pas été vraiment séduite par ce récit et par sa langue.
- Un livre "à part" dans l’œuvre d'un écrivain connu (sous un autre nom, dans un autre style...) : La Fortune des Rougon d'Emile Zola. Une œuvre à part puisque la première de la série, dans laquelle on découvre l'origine de la famille des Rougon-Macquart avec la tante Dide et l'esquisse des principaux personnages que l'on retrouvera dans les récits ultérieurs. Une impression de disparate à la lecture, l'impression d'avoir lu plusieurs romans en un : la tante Dide, le récit des origines; l'idylle tragique de Miette et de Silvère; l'histoire de l'ascension des Rougon; l'histoire de la répression des insurgés au lendemain du coup d'Etat; mais toujours cet art parfaitement maîtrisé de la scène, du détail qui fait sens, de la composition et qui me subjugue à chaque Zola : la tante Dide devant la porte entrouverte, sa crise de folie à la fin du livre, la mort de Miette, la mort de Silvère et le contrepoint du banquet donné par les Rougon...
HS : Iliana, les vers de ta citation sont extraits du livre cité au-dessus?
- Un livre choisi par un proche : Mr Gwyn d'Alessandro Baricco. Un écrivain décide du jour au lendemain d'arrêter d'écrire. Il écrit donc un article détaillant les 52 choses qu'il ne fera plus jamais, la dernière étant de ne plus écrire. Pourtant, l'envie est toujours là et il en vient à devenir copiste : à la manière d'un peintre, il va demander à des gens de poser pendant un mois, nus, dans un immense atelier éclairé par des ampoules qui s'éteignent au fur et à mesure. Lui, observera les gens et écrira leur portrait à travers une histoire qui leur ressemblera. Une galerie de personnages fantaisistes : l'artisan qui fabrique ces ampoules, la vieille dame morte qui le conseille, l'assistante de son ami et agent, Rebecca, qui prend la parole dans la deuxième moitié du livre; une bonne idée; une fin mystérieuse qui fait basculer le récit dans une enquête; mais malgré tout, je n'ai pas été vraiment séduite par ce récit et par sa langue.
- Un livre "à part" dans l’œuvre d'un écrivain connu (sous un autre nom, dans un autre style...) : La Fortune des Rougon d'Emile Zola. Une œuvre à part puisque la première de la série, dans laquelle on découvre l'origine de la famille des Rougon-Macquart avec la tante Dide et l'esquisse des principaux personnages que l'on retrouvera dans les récits ultérieurs. Une impression de disparate à la lecture, l'impression d'avoir lu plusieurs romans en un : la tante Dide, le récit des origines; l'idylle tragique de Miette et de Silvère; l'histoire de l'ascension des Rougon; l'histoire de la répression des insurgés au lendemain du coup d'Etat; mais toujours cet art parfaitement maîtrisé de la scène, du détail qui fait sens, de la composition et qui me subjugue à chaque Zola : la tante Dide devant la porte entrouverte, sa crise de folie à la fin du livre, la mort de Miette, la mort de Silvère et le contrepoint du banquet donné par les Rougon...
HS : Iliana, les vers de ta citation sont extraits du livre cité au-dessus?
- SeiGrand Maître
Je ne résiste pas à vous livrer quelques phrases de ma très aimée Sei Shônagon dont j'ai relu Les notes de chevet.
- Spoiler:
- 38. Choses que l’on ne peut comparer
On n’aime plus une personne, c'est toujours la même, et il vous semble cependant que c'est une autre.
(…)
Pour les rendez-vous secrets, l’été est charmant. Les nuits sont extrêmement courtes et fugitives. Déjà, il fait jour, et l’on n’a pas dormi un seul instant. Comme les stores sont partout restés levés, la fraîcheur pénètre dans les habitations, et on peut voir au loin, de tous les côtés. À l’aube, les amants ont encore quelque chose à se dire ; ils sont occupés à causer, quand, juste devant leur chambre, un corbeau s’envole avec un cri sonore. Ils ne doutent pas d’avoir été découverts, et c'est bien amusant !
En hiver, au moment des grands froids, alors qu’on est couchée à côté de son ami, et que l’on écoute, enfouie sous les couvertures, il est délicieux aussi d’entendre le son d’une cloche qui vous paraît être au fond d’une fosse. De même, le premier cri des coqs semble venir d’un puits très profond et très éloigné, parce qu’ils chantent le bec enfoncé dans les plumes. Mais à mesure qu’ils se répondent, il est charmant d’entendre leur chant qui se rapproche.
49. Choses pénibles
Sei compose les trois premiers vers du poème (elle réplique, comme cela était d'usage, aux deux derniers vers du poème qu'on lui a envoyés par lettre) :
Quand dans le ciel glacé
La neige s’éparpille,
Imitant les fleurs.
Il me semble que je ressens
Un peu le charme du printemps.
62. Choses embarrassantes
Un jour du neuvième mois, la pluie qui avait tombée toute la nuit cessa quand vint l’aurore. Quel ravissant tableau ! Sous les rayons éclatants du soleil matinal, les chrysanthèmes du jardin, devant la maison, laissaient couler goutte à goutte la rosée dont ils étaient mouillés.
Sur les clôtures à claire-voie, sur les rameaux entrelacés, sur les tiges d’érianthe, je voyais, en lambeaux, des toiles d’araignée ; ça et là, aux fils rompus, étaient suspendues des gouttes de pluie qui semblaient des perles blanches enfilées. Je me sentais, en admirant tout cela, délicieusement triste.
Quand le soleil fut un peu haut dans le ciel, comme la rosée qui avait fait paraître les lespédèzes si lourdes était tombée, les rameaux se mirent à remuer, puis se redressèrent tout à coup, sans qu’aucune main les eût touchés. Plus tard, je dis à d’autres personnes combien j’avais été charmée. Mais le curieux, c'est que certaines gens puissent penser que la rosée n’est pas jolie !
84. Choses qui sont éloignées, bien que proches
Les relations entre des frères et sœurs, ou des parents, qui ne s’aiment pas.
(…)
L’intervalle entre le dernier jour du douzième mois et le premier jour de l’an.
85. Choses qui sont proches, bien qu’éloignées
Le Paradis.
La route d’un bateau.
Les relations entre un homme et une femme.
132. Choses qui ne font que passer
Un bateau dont la voile est hissée.
L’âge des gens.
Le printemps, l’été, l’automne et l’hiver.
113. Choses que les gens ignorent le plus fréquemment
La vieillesse de leur mère.
_________________
"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- miss sophieExpert spécialisé
Amaliah a écrit:10 défis relevés!
Déjà ! :shock: Chapeau !
- AsarteLilithBon génie
Malaga a écrit:J'ai mis la liste des participants à jour, en espérant n'avoir oublié personne.
Si....moi !
_________________
Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- LaverdureEmpereur
Amaliah a écrit:10 défis relevés!
:shock: et aussi ! J'en serai à 6 au mieux à la fin de la semaine...
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- MalagaModérateur
AsarteLilith a écrit:Malaga a écrit:J'ai mis la liste des participants à jour, en espérant n'avoir oublié personne.
Si....moi !
Désolée ! :Oups:
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- IlianaGrand sage
Sei
Amaliah, bravo pour les 10 défis !
Pour le texte en signature, c'est un extrait d'un poème de Supervielle, dans Gravitations.
Amaliah, bravo pour les 10 défis !
Pour le texte en signature, c'est un extrait d'un poème de Supervielle, dans Gravitations.
- Spoiler:
Le portrait
Mère, je sais très mal comme l'on cherche les morts,
Je m'égare dans mon âme, ses visages escarpés,
Les ronces et ses regards.
Aide-moi à revenir
De mes horizons qu'aspirent des lèvres vertigineuses,
Aide-moi à être immobile,
Tant de gestes nous séparent, tant de lévriers cruels !
Que je penche sur la source où se forme ton silence
Dans un reflet de feuillage que ton âme fait trembler.
Ah ! sur ta photographie
Je ne puis même pas voir de quel côté souffle ton regard.
Nous nous en allons pourtant, ton portrait avec moi-même,
Si condamnés l'un à l'autre
Que notre pas est semblable
Dans ce pays clandestin
Où nul ne passe que nous.
Nous montons bizarrement les côtes et les montagnes
Et jouons dans les descentes comme des blessés sans mains.
Un cierge coule chaque nuit, gicle à la face de l'aurore,
L'aurore qui tous les jours sort des draps lourds de la mort,
A demi asphyxiée,
Tardant à se reconnaître.
Je te parle durement, ma mère ;
Je parle durement aux morts parce qu'il faut leur parler dur,
Debout sur des toits glissants,
Les deux mains en porte-voix et sur un ton courroucé,
Pour dominer le silence assourdissant
Qui voudrait nous séparer, nous les morts et les vivants.
J'ai de toi quelques bijoux comme des fragments de l'hiver
Qui descendent les rivières,
Ce bracelet fut de toi qui brille en la nuit d'un coffre
En cette nuit écrasée où le croissant de lune
Tente en vain de se lever
Et recommence toujours, prisonnier de l'impossible.
J'ai été toi si fortement, moi qui le suis si faiblement,
Et si rivés tous les deux que nous eussions dû mourir ensemble
Comme deux matelots mi-noyés, s'empêchant l'un l'autre de nager,
Se donnant des coups de pied dans les profondeurs de l'Atlantique
Où commencent les poissons aveugles
Et les horizons verticaux.
Parce que tu as été moi
Je puis regarder un jardin sans penser à autre chose,
Choisir parmi mes regards,
M'en aller à ma rencontre.
Peut-être reste-t-il encore
Un ongle de tes mains parmi les ongles de mes mains,
Un de tes cils mêlés aux miens ;
Un de tes battements s'égare-t-il parmi les battements de mon cœur,
Je le reconnais entre tous
Et je sais le retenir.
Mais ton cœur bat-il encore ? Tu n'as plus besoin de cœur,
Tu vis séparée de toi comme si tu étais ta propre sœur,
Ma morte de vingt-huit ans,
Me regardant de trois-quarts,
Avec l'âme en équilibre et pleine de retenue.
Tu portes la même robe que rien n'usera plus,
Elle est entrée dans l'éternité avec beaucoup de douceur
Et change parfois de couleur, mais je suis seul à savoir.
Cigales de cuivre, lions de bronze, vipères d'argile,
C'est ici que rien ne respire !
Le souffle de mon mensonge
Est seul à vivre alentour.
Et voici à mon poignet
Le pouls minéral des morts,
Celui-là que l'on entend si l'on approche le corps
Des strates du cimetière.
_________________
Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- User5899Demi-dieu
Oui, bel exercice d'analyse politique et du cynisme nécessaire si l'on veut devenir quelqu'unAmaliah a écrit:- Un livre "à part" dans l’œuvre d'un écrivain connu (sous un autre nom, dans un autre style...) : La Fortune des Rougon d'Emile Zola. Une œuvre à part puisque la première de la série, dans laquelle on découvre l'origine de la famille des Rougon-Macquart avec la tante Dide et l'esquisse des principaux personnages que l'on retrouvera dans les récits ultérieurs. Une impression de disparate à la lecture, l'impression d'avoir lu plusieurs romans en un : la tante Dide, le récit des origines; l'idylle tragique de Miette et de Silvère; l'histoire de l'ascension des Rougon; l'histoire de la répression des insurgés au lendemain du coup d'Etat; mais toujours cet art parfaitement maîtrisé de la scène, du détail qui fait sens, de la composition et qui me subjugue à chaque Zola : la tante Dide devant la porte entrouverte, sa crise de folie à la fin du livre, la mort de Miette, la mort de Silvère et le contrepoint du banquet donné par les Rougon...
Je suis dans des copies de seconde sur le contrepoint entre le banquet et le sang sur la pierre, ça les a inspirés moyen
Et dire que Macquart fils et tante Dide doivent encore patienter jusqu'au Docteur Pascal pour disparaître... Même chez Zola, la retraite, c'est pas gagné.
NB Et pour le défi, qu'est-ce que c'est dur de lire au milieu de tombereaux de copies...
- liskayaNeoprof expérimenté
Amaliah a écrit:10 défis relevés!
Pfff... même en choisissant des livres courts, j'en 8 1/2 de retard
- OudemiaBon génie
Amaliah, je trouve que La Fortune des Rougon est une oeuvre différente des autres dans la série des Rougon, mais pas vraiment dans Zola en général.
Mais comme on l'avait dit l'an dernier, on ne va pas être pointilleux...
Mais comme on l'avait dit l'an dernier, on ne va pas être pointilleux...
- AmaliahEmpereur
10 défis relevés mais des faciles avec des romans plutôt courts, la BD sans mots, les poèmes, à part le Zola! J'ai mes douze prochaines idées mais ensuite je vais sécher pour pas mal de catégories. Je viendrai vous demander de l'inspiration!
Et à propos d'inspiration, Sei, merci de m'avoir fait découvrir cet auteur que je ne connaissais pas! Tes extraits m'ont donné envie d'en lire plus.
Iliana, merci également pour le poème que j'ai enregistré. Je le trouve vraiment bouleversant, très fort et j'imagine à quel point il résonne en toi. Je me rends compte que je n'ai jamais rien lu de Supervielle... Ah, que la vie est courte!
Cripure, vous aviez d'ailleurs ouvert un topic sur La Fortune des Rougon en évoquant la particularité de la narration, si je me souviens bien.
Dis donc, Oudemia, il faut bien que j'arrive à le caser quelque part, mon Zola! Relever un défi de 50 livres sans pouvoir lire un Zola, ce serait quand même dommage... Il ne me reste d'ailleurs plus que six Rougon-Macquart que je n'ai jamais lus!
Sinon, je peux le mettre dans la catégorie Personnage qui meurt à la fin. Qu'en dites-vous? J'avais pensé à La Dame aux camélias que je viens de commencer mais ce sera pour la fleur dans le titre.
Et j'ai commencé aussi L'Aveuglement de José Saramago, prix Nobel de littérature en 1998 et que je ne connaissais même pas de nom... Une épidémie de cécité fulgurante frappe les hommes, j'en suis au tout début.
Et à propos d'inspiration, Sei, merci de m'avoir fait découvrir cet auteur que je ne connaissais pas! Tes extraits m'ont donné envie d'en lire plus.
Iliana, merci également pour le poème que j'ai enregistré. Je le trouve vraiment bouleversant, très fort et j'imagine à quel point il résonne en toi. Je me rends compte que je n'ai jamais rien lu de Supervielle... Ah, que la vie est courte!
Cripure, vous aviez d'ailleurs ouvert un topic sur La Fortune des Rougon en évoquant la particularité de la narration, si je me souviens bien.
Dis donc, Oudemia, il faut bien que j'arrive à le caser quelque part, mon Zola! Relever un défi de 50 livres sans pouvoir lire un Zola, ce serait quand même dommage... Il ne me reste d'ailleurs plus que six Rougon-Macquart que je n'ai jamais lus!
Sinon, je peux le mettre dans la catégorie Personnage qui meurt à la fin. Qu'en dites-vous? J'avais pensé à La Dame aux camélias que je viens de commencer mais ce sera pour la fleur dans le titre.
Et j'ai commencé aussi L'Aveuglement de José Saramago, prix Nobel de littérature en 1998 et que je ne connaissais même pas de nom... Une épidémie de cécité fulgurante frappe les hommes, j'en suis au tout début.
- AsarteLilithBon génie
Malaga a écrit:AsarteLilith a écrit:Malaga a écrit:J'ai mis la liste des participants à jour, en espérant n'avoir oublié personne.
Si....moi !
Désolée ! :Oups:
Merci.. mais y'a une faute à mon pseudo...
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- AsarteLilithBon génie
critère n° 19 : livre possédé depuis plus d'un an et pas encore lu : Le Ravissement de Lol. V. Stein, Marguerite Duras
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- User5899Demi-dieu
Tiens je viens de finir le Rambaud sur Hollande. Ca s'achève sur les attentats de Charlie-Hebdo et de l'hypercasher, avec une sorte de postface sur le crétinisme. On sent qu'il est de gauche et qu'il est plus consterné que méchant avec ces socialos-qu'en-ont-que-le-nom, c'est bien différent de la méchanceté jubilatoire à l'endroit de Sarkozy.
Avec les entrées multiples, ça en fait 17.
Avec les entrées multiples, ça en fait 17.
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