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- HélipsProphète
Pour les concours, la réponse est claire : si tu passes les concours externes ou troisième voie, aucun problème. Les membres du jury ne connaissent pas ton parcours, et, si dans le jury que doit t'évaluer se trouve un IPR qui te connait, il quittera le jury et se fera remplacer le temps de ta prestation.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- TriskelNiveau 7
Bonjour leszczynska, et courage.
Une bonne nouvelle pour te soulager : l'administration n'a AUCUN impact sur les concours, puisqu'ils sont anonymes. Il ne manquerait plus que le Léviathan ait voix au chapitre...
Une bonne nouvelle pour te soulager : l'administration n'a AUCUN impact sur les concours, puisqu'ils sont anonymes. Il ne manquerait plus que le Léviathan ait voix au chapitre...
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- MonarqueNiveau 7
Là, je suis effondrée,je trouve cela injuste.
- LefterisEsprit sacré
J'ai aussi démissionné du capes, puis l'ai repassé quelques années plus tard sans aucun problème. L'anonymat des concours est [encore] réel.leszczynska a écrit:Bonjour
Pour rappel, j'ai obtenu le concours caplp, mutée loin j'ai finalement démissionné pour plusieurs raisons. De retour, dans ma région, je prends un poste en voie pro,je m'y sens mal, je ne gère pas ma classe, je suis en souffrance. J'ai eu un entretien avec l'inspectrice, j'honore mon cdd jusqu'au bout et le termine bientôt.
Je préfère enseigner dans le général et lui ai fait part de mon souhait de retourner vers le collège ou lycée général. C'est un choix de carrière.
J'ai enseigné 4 ans auparavant dans tous types d'établissement y compris ZEP avec toujours de bonnes évaluations.
Aujourd'hui, j'appelle le gestionnaire en Lettres, il me dit "je vais être honnête, on ne vous appellera pas, vous n'êtes pas fiable."
Certes, j'ai démissionné, certes je me rends compte que la voie pro n'est pas pour moi, mais on me bloque tous accès, y compris là où j'ai toujours donné satisfaction. J'ai toujours travaillé avec sérieux, accepté des postes loin de chez moi, été prof principal, pas en arrêt.
Je compte bien repasser les concours cette année: mon administration a-t-elle un quelconque impact sur les concours?
Quels sont mes recours en attendant?
Je suis en souffrance déjà par rapport à cette situation, je n'ai pas besoin qu'on me vole dans les plumes, j'en appelle donc aux seuls commentaires bienveillants ou de conseils, pas d'accablement.
Merci.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- MonarqueNiveau 7
Merci à tous, ma meilleure revanche avoir ce concours...
Je vais toutefois demander un entretien à ma dpe.
Je vais toutefois demander un entretien à ma dpe.
- KapellmeisterHabitué du forum
Oui, pas de problème pour les concours. Essaye aussi l'agreg, tant qu'à faire (sachant qu'une prépa agreg en Lettres, ça prépare aussi au Capes).
En tout cas, étonnant de voir un rectorat envoyer paître un contractuel. Jusqu'à cette année, les rectorats de France étaient tous aux abois à tel point qu'ils reconduisaient toujours les contrats, y compris d'incompétents notoires. Je pense notamment à un collègue contractuel qui sévit depuis trois ans chez nous et qui est tellement infoutu de tenir une classe qu'il en était à demander aux délégués de venir à son bureau pour faire de la discipline pendant que lui se planquait dans le couloir . Sans compter le contractuel de musique qui préférait rester chez lui certains jours pour répéter pour ses concerts plutôt que de venir faire cours : le gars avait toujours réussi à se faire attribuer des contrats, malgré une attitude plus que limite. Ton "passif" me semble fort léger, en comparaison, leszczynska.
Je crois que le changement d'attitude de ton rectorat à l'égard des contractuels n'est pas sans lien avec la délicieuse réforme qui se prépare : compte tenu de tous les titulaires de LC et de LM qui vont se retrouver en CSD ou qui vont devenir TZR à cause des MCS, les rectorats savent qu'ils n'auront plus trop de problèmes pour trouver des remplaçants en Lettres pendant un petit moment (j'insiste sur la "petit", parce que vu la crise du recrutement et le fait que les départs en retraite ne vont pas cesser, cette période "faste" ne va pas durer). Les contractuels de Lettres (et pas que) risquent eux aussi de pas mal souffrir de cette réforme si elle se met en place.
En tout cas, étonnant de voir un rectorat envoyer paître un contractuel. Jusqu'à cette année, les rectorats de France étaient tous aux abois à tel point qu'ils reconduisaient toujours les contrats, y compris d'incompétents notoires. Je pense notamment à un collègue contractuel qui sévit depuis trois ans chez nous et qui est tellement infoutu de tenir une classe qu'il en était à demander aux délégués de venir à son bureau pour faire de la discipline pendant que lui se planquait dans le couloir . Sans compter le contractuel de musique qui préférait rester chez lui certains jours pour répéter pour ses concerts plutôt que de venir faire cours : le gars avait toujours réussi à se faire attribuer des contrats, malgré une attitude plus que limite. Ton "passif" me semble fort léger, en comparaison, leszczynska.
Je crois que le changement d'attitude de ton rectorat à l'égard des contractuels n'est pas sans lien avec la délicieuse réforme qui se prépare : compte tenu de tous les titulaires de LC et de LM qui vont se retrouver en CSD ou qui vont devenir TZR à cause des MCS, les rectorats savent qu'ils n'auront plus trop de problèmes pour trouver des remplaçants en Lettres pendant un petit moment (j'insiste sur la "petit", parce que vu la crise du recrutement et le fait que les départs en retraite ne vont pas cesser, cette période "faste" ne va pas durer). Les contractuels de Lettres (et pas que) risquent eux aussi de pas mal souffrir de cette réforme si elle se met en place.
- Reine MargotDemi-dieu
+1 ne pas oublier non plus la dimension d'intimidation et de bluff, la gestionnaire espère sans doute qu'avec cette menace tu accepteras les remplacements en LP...
C'est justement parce que les contractuels sont difficiles à trouver que ce genre de chantage se fait, profitant du contexte des prévisibles MCS en lettres.
C'est justement parce que les contractuels sont difficiles à trouver que ce genre de chantage se fait, profitant du contexte des prévisibles MCS en lettres.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- MonarqueNiveau 7
Reine Margot j'apprécie tes efforts pour me réconforter, mais je ne pense pas..
Je vais vite devoir me trouver du travail...
Je vais vite devoir me trouver du travail...
- jésusFidèle du forum
Normalement, tant qu'on ne reçoit pas de lettres de licenciement qui raye des listes du rectorat, on peut être appelé...( comme ça m'est arrivé) sinon, c'est de l'abus de pouvoir illégal que fait le bureau du remplacement.
- KapellmeisterHabitué du forum
leszczynska a écrit:Reine Margot j'apprécie tes efforts pour me réconforter, mais je ne pense pas..
Je vais vite devoir me trouver du travail...
Reine Margot a raison. Par ailleurs, la réforme n'étant pas encore passée, le vivier de TZR n'a pas encore explosé. Or, on manque beaucoup d'enseignants en Lettres. D'ici quelque temps, ton rectorat va bien se retrouver avec deux, trois (voire plus) collègues à remplacer. Si tous les TZR et tous les contractuels sont pris (chez nous, il n'y a déjà plus un seul contractuel libre à la mi-septembre, généralement), ne t'inquiète pas, ils sauront te recontacter très vite, et le ton ne sera pas le même ...
- livieFidèle du forum
L'année où j'ai passé mon CAPES, je faisais des remplacements en maternelle. J'ai refusé un remplacement pour compléter mon temps de travail et on m'a fait comprendre qu'on ne me rappellerai plus jamais ! Cela a été le cas.
Autre chose, une amie qui a démissionné du CAPES, s'est présentée à un entretien face à un IPR pour faire des vacations en espagnol. Elle a essuyé un refus. L'IPR lui a dit qu'elle n'était pas fiable et que démissionner pour redevenir suppléante c'est qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas vraiment rond. Il y a des académies vraiment déficitaires c'est vrai mais ma gestionnaire à l'époque m'avait dit au sujet d'un IPR qu'il préférait encore avoir un poste non occupé plutôt que caser à tout prix quelqu'un.
Il faut donc se méfier. Par contre, une fois que tu as de nouveau le concours, aucun souci.
Autre chose, une amie qui a démissionné du CAPES, s'est présentée à un entretien face à un IPR pour faire des vacations en espagnol. Elle a essuyé un refus. L'IPR lui a dit qu'elle n'était pas fiable et que démissionner pour redevenir suppléante c'est qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas vraiment rond. Il y a des académies vraiment déficitaires c'est vrai mais ma gestionnaire à l'époque m'avait dit au sujet d'un IPR qu'il préférait encore avoir un poste non occupé plutôt que caser à tout prix quelqu'un.
Il faut donc se méfier. Par contre, une fois que tu as de nouveau le concours, aucun souci.
- jésusFidèle du forum
Après, je dirais qu'il faut éviter l'acharnement thérapeutique et faire le deuil d'un boulot qui n'est pas fait pour soi et ne pas se cacher éventuellement derrière le critère géographique qui n'aide pas, je le concède mais qui n'excuse pas tout...
et se trouver une porte de sortie...
et se trouver une porte de sortie...
- BalthamosDoyen
jésus a écrit:Après, je dirais qu'il faut éviter l'acharnement thérapeutique et faire le deuil d'un boulot qui n'est pas fait pour soi et ne pas se cacher éventuellement derrière le critère géographique qui n'aide pas, je le concède mais qui n'excuse pas tout...
et se trouver une porte de sortie...
On sait tous qu'il y a plusieurs façons d'exercer son métier, totalement différentes (rural/ urbain, ville centre/ banlieue; coin bourge/ défavorisé, collège/lycée, général/ technologique, etc.)
Sans oublier les situations locales (équipe péda, chef, établissement, etc.)
Et on n'est pas tous fait pour toutes ces situations.
Ce n'est pas parce qu'on y arrive pas en technologique que c'est pareil en général. Et ainsi de suite.
- KapellmeisterHabitué du forum
Balthamos a écrit:jésus a écrit:Après, je dirais qu'il faut éviter l'acharnement thérapeutique et faire le deuil d'un boulot qui n'est pas fait pour soi et ne pas se cacher éventuellement derrière le critère géographique qui n'aide pas, je le concède mais qui n'excuse pas tout...
et se trouver une porte de sortie...
On sait tous qu'il y a plusieurs façons d'exercer son métier, totalement différentes (rural/ urbain, ville centre/ banlieue; coin bourge/ défavorisé, collège/lycée, général/ technologique, etc.)
Sans oublier les situations locales (équipe péda, chef, établissement, etc.)
Et on n'est pas tous fait pour toutes ces situations.
Ce n'est pas parce qu'on y arrive pas en technologique que c'est pareil en général. Et ainsi de suite.
+1
Je n'ai jamais rencontré de problèmes majeurs dans le général mais je pense que ce serait assez compliqué pour moi si je passais en lycée pro.
Et ce n'est pas parce que certains sont obnubilés par la démission ou le changement de voie que c'est le cas de tout le monde dans ce boulot, même en ces temps ô combien difficiles pour notre profession. Il faudrait voir à ne pas systématiquement interpréter les messages des autres à l'aune de sa situation personnelle. En l'occurrence, j'étais tombée sur les messages de leszczynska au moment où elle s'apprêtait à démissionner, et elle faisait de fait face à plusieurs grosses tuiles en même temps, si mes souvenirs sont bons.
- JennyMédiateur
Balthamos a écrit:jésus a écrit:Après, je dirais qu'il faut éviter l'acharnement thérapeutique et faire le deuil d'un boulot qui n'est pas fait pour soi et ne pas se cacher éventuellement derrière le critère géographique qui n'aide pas, je le concède mais qui n'excuse pas tout...
et se trouver une porte de sortie...
On sait tous qu'il y a plusieurs façons d'exercer son métier, totalement différentes (rural/ urbain, ville centre/ banlieue; coin bourge/ défavorisé, collège/lycée, général/ technologique, etc.)
Sans oublier les situations locales (équipe péda, chef, établissement, etc.)
Et on n'est pas tous fait pour toutes ces situations.
Ce n'est pas parce qu'on y arrive pas en technologique que c'est pareil en général. Et ainsi de suite.
Je crois que j'aurais beaucoup de mal à enseigner en LP (j'admire les collègues de LP ).
- jésusFidèle du forum
j'ai jamais tout ramené à moi, mais juste dit qu'il était contradictoire de s'acharner à être prof alors que ça ne va pas ( ici une démission et une volonté de ne pas rempiler, un refus de la part de l'inspection de reprendre du service ne sont-ils pas des signes suffisant pour passer à autre chose au-delà du simple ressenti personnel?) Et je ne vois pas le bénéfice qu'il pourrait y avoir à vouloir à tout prix faire perdurer une situation peu confortable voire douloureuse...
C'est juste de la lucidité , du réalisme.
C'est comme si on disait, elle t'a trompé X fois, vous vous prenez la tête mais reviens avec elle, vous allez revenir parce qu'on vous a dit que c'est la femme de votre vie, mais 6 mois plus tard vous voulez vous barrer de nouveau et vous attendez le moment opportun pour le faire, histoire de ne pas trop vexer les proches ou tout le monde
Pendant ce temps-là, vous avez perdu un an et vous n'avez pas avancer dans la vie, surtout à cause du fait que vous n'aviez pas le moral...
C'est juste de la lucidité , du réalisme.
C'est comme si on disait, elle t'a trompé X fois, vous vous prenez la tête mais reviens avec elle, vous allez revenir parce qu'on vous a dit que c'est la femme de votre vie, mais 6 mois plus tard vous voulez vous barrer de nouveau et vous attendez le moment opportun pour le faire, histoire de ne pas trop vexer les proches ou tout le monde
Pendant ce temps-là, vous avez perdu un an et vous n'avez pas avancer dans la vie, surtout à cause du fait que vous n'aviez pas le moral...
- User5899Demi-dieu
Ca, c'est une légende urbaine. Il ne quitte pas la commission (en tout cas, rien ne l'y contraint et j'ai au moins cinq témoignages de sa présence lors d'oraux d'agrégation interne) et il peut choisir de ne pas évaluer, mais c'est une affaire d'éthique personnelle.Hélips a écrit:Pour les concours, la réponse est claire : si tu passes les concours externes ou troisième voie, aucun problème. Les membres du jury ne connaissent pas ton parcours, et, si dans le jury que doit t'évaluer se trouve un IPR qui te connait, il quittera le jury et se fera remplacer le temps de ta prestation.
- MonarqueNiveau 7
Mon Dieu! Jésus... (j'ai pas fait exprès!!! pr la blague ).... J'ai été bienheureuse parmi les bienheureuses pendant 4 ans où j'ai fait 7 établissements du général. Je suis mal depuis que je suis en LP. J'y suis frustrée par plusieurs paramètres qui y sont propres, j'ai été malheureuse de devoir renoncer à mon concours.
Maintenant je sais que ce fût un mal pour un bien..
Ps: j'ai avancé dans ma thèse, dans mon projet pro en me rendant compte que je me sens mieux face à un autre public...donc désolée mais j'ai avancé dans la vie. J'ai de même appris comment fonctionne la grande machine de l'EN..donc oh que si! Ma vie a été riche d'enseignements!
Maintenant je sais que ce fût un mal pour un bien..
Ps: j'ai avancé dans ma thèse, dans mon projet pro en me rendant compte que je me sens mieux face à un autre public...donc désolée mais j'ai avancé dans la vie. J'ai de même appris comment fonctionne la grande machine de l'EN..donc oh que si! Ma vie a été riche d'enseignements!
- User5899Demi-dieu
Et sinon, on cherche d'urgence un contractuel en lettres modernes dans l'académie de Besançon : nous avons une collègue arrêtée depuis un mois qui prolonge de 15 jours en 15 jours et il n'y a personne...
- HélipsProphète
Cripure a écrit:Ca, c'est une légende urbaine. Il ne quitte pas la commission (en tout cas, rien ne l'y contraint et j'ai au moins cinq témoignages de sa présence lors d'oraux d'agrégation interne) et il peut choisir de ne pas évaluer, mais c'est une affaire d'éthique personnelle.Hélips a écrit:Pour les concours, la réponse est claire : si tu passes les concours externes ou troisième voie, aucun problème. Les membres du jury ne connaissent pas ton parcours, et, si dans le jury que doit t'évaluer se trouve un IPR qui te connait, il quittera le jury et se fera remplacer le temps de ta prestation.
Alors je corrige : en math, c'est systématique.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- User5899Demi-dieu
Je répète : c'est un choix personnel, et les matheux connaissent les limites de la récurrence... Par ailleurs, un membre de jury ne peut siéger plus de 4 sessions.Hélips a écrit:Cripure a écrit:Ca, c'est une légende urbaine. Il ne quitte pas la commission (en tout cas, rien ne l'y contraint et j'ai au moins cinq témoignages de sa présence lors d'oraux d'agrégation interne) et il peut choisir de ne pas évaluer, mais c'est une affaire d'éthique personnelle.Hélips a écrit:Pour les concours, la réponse est claire : si tu passes les concours externes ou troisième voie, aucun problème. Les membres du jury ne connaissent pas ton parcours, et, si dans le jury que doit t'évaluer se trouve un IPR qui te connait, il quittera le jury et se fera remplacer le temps de ta prestation.
Alors je corrige : en math, c'est systématique.
Et pas de bol, 2 des 5 exemples que j'ai en tête concernent une IA-IPR de maths
(Qui avait toujours raté l'agreg, but it ize an ozer fing).
- PanturleNiveau 8
Cripure a écrit:Qui avait toujours raté l'agreg
Pardon pour le HS mais... c'est possible ça ? Je veux dire, de participer à un jury d'agreg sans être soi-même agrégé ?
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Multaque res subita et paupertas horrida suasit.
- HélipsProphète
Cripure a écrit:Je répète : c'est un choix personnel, et les matheux connaissent les limites de la récurrence... Par ailleurs, un membre de jury ne peut siéger plus de 4 sessions.Hélips a écrit:Cripure a écrit:Ca, c'est une légende urbaine. Il ne quitte pas la commission (en tout cas, rien ne l'y contraint et j'ai au moins cinq témoignages de sa présence lors d'oraux d'agrégation interne) et il peut choisir de ne pas évaluer, mais c'est une affaire d'éthique personnelle.Hélips a écrit:Pour les concours, la réponse est claire : si tu passes les concours externes ou troisième voie, aucun problème. Les membres du jury ne connaissent pas ton parcours, et, si dans le jury que doit t'évaluer se trouve un IPR qui te connait, il quittera le jury et se fera remplacer le temps de ta prestation.
Alors je corrige : en math, c'est systématique.
Et pas de bol, 2 des 5 exemples que j'ai en tête concernent une IA-IPR de maths
(Qui avait toujours raté l'agreg, but it ize an ozer fing).
Oui alors pour le coup, le plus de quatre sessions, c'est théorique, parce que le président du jury peut demander une prolongation (en argumentant), et parce que pendant longtemps faire une session avec uniquement l'écrit remettait les compteurs à zéro.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- jésusFidèle du forum
Sinon, mes conseils que vous trouvez pas appropriés ont pourtant servi à une amie dans une situation comparable, qui a regretté quelques temps après de ne pas m'avoir écouté plus tôt.
En avouant que c'était la situation d'enseignant et non les conditions extérieures de travail qui la gênait...
Pour les remplacements, ça ne m'étonne pas que ça soit difficile de trouver. Pour mon exemple perso, désormais je refuse les remplacements qui n'offrent pas un minimum d'avantages. J'ai décliné un poste à 12h par semaine à 1H de route de chez moi ( c'est pas les gestionnaires qui se tapent une indemnité de chômage famélique après, à force de se brader, à un moment dans les période de non-emploi on est dans l'indigence. Même avec un salaire de 15h par semaine, c'est dur de vivre dans une grande ville)
Pareil pour les remplacement de 15 jours, ça ne change pas la donne...
En somme, un remplacement de 1 mois à 18h par semaine, c'est le minimum syndical.
Le jour où les gestionnaires se rendront compte qu'il faut rendre attractif ces courts remplacements pour éviter la chaise vide devant les élèves...
En avouant que c'était la situation d'enseignant et non les conditions extérieures de travail qui la gênait...
Pour les remplacements, ça ne m'étonne pas que ça soit difficile de trouver. Pour mon exemple perso, désormais je refuse les remplacements qui n'offrent pas un minimum d'avantages. J'ai décliné un poste à 12h par semaine à 1H de route de chez moi ( c'est pas les gestionnaires qui se tapent une indemnité de chômage famélique après, à force de se brader, à un moment dans les période de non-emploi on est dans l'indigence. Même avec un salaire de 15h par semaine, c'est dur de vivre dans une grande ville)
Pareil pour les remplacement de 15 jours, ça ne change pas la donne...
En somme, un remplacement de 1 mois à 18h par semaine, c'est le minimum syndical.
Le jour où les gestionnaires se rendront compte qu'il faut rendre attractif ces courts remplacements pour éviter la chaise vide devant les élèves...
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