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- UlrichNiveau 6
"L'enseignement de la musique et la subversion de l'école"
Par Dania Tchalik
Présentation de Catherine Kintzler :
Par Dania Tchalik
Présentation de Catherine Kintzler :
A travers le prisme révélateur de l'enseignement de la musique, particulièrement en conservatoire, Dania Tchalik établit un diagnostic qui concerne l'ensemble de l'édifice scolaire et culturel. Dans l'article L'enseignement de la musique et la subversion de l'école, il examine quelques fleurons de la subversion scolaire qui dure depuis une quarantaine d'années et que déploie la novlangue dont les rapports sont farcis : « autonomie des établissements », « projets tranversaux », « compétences », « territorialisation », « pratiques culturelles », « nouveaux publics », « personnes-ressources » aidant des « usagers» à établir leurs « parcours personnalisés »...., j'en passe. Le tout enveloppé dans la férocité des bons sentiments : ne s'agit-il pas de « lutter contre les inégalités » et de favoriser la « créativité » de sorte qu'élever la moindre critique c'est être sinon « élitiste » du moins en décalage avec la « modernité » et « s'arc-bouter sur ses certitudes » ?
A terme et bien au-delà de l'école, c'est une très ample analyse politique que Dania Tchalik propose avec une implacable lucidité et une remarquable hauteur de vue servies par une plume acérée : il faut bien, pour que les « réformes indispensables » aboutissent, faire son deuil de la culture comme universalité et s'en remettre à l'expertise des décideurs qui savent comme personne interpréter au moins-disant la « demande des publics ».
Lorsqu'on lit les énormités glanées par l'auteur dans sa lecture assidue de textes bienpensants et rapports officiels, on se demande vraiment qui, parmi les décideurs et autres chefs de « concertations » où seule se fait entendre l'harmonie préétablie, peut encore croire qu'il faudrait, par exemple et entre autres, enseigner vraiment le solfège pour faire de la musique.
Sommaire de l'article :
Le tropisme réformiste : un détournement des finalités
L'enseignement artistique, laboratoire d'une politique culturelle gestionnaire
L'évacuation de toute transmission par « la culture pour chacun »
L'anéantissement de l'enseignement... et des professeurs
La version développée de ce texte en format pdf est proposée par Mezetulle au téléchargement : http://serveur1.archive-host.com/membres/up/1919747526/blogmezetulle/Telechargements_permanents/TchalikAutonomieEtablissMusiqueSept2012.pdf
Il faut lire ce gigantesque coup de gueule, cette gifle globale, où le souffle de l'indignation s'appuie sur des arguments nombreux et précis, et soulève ironiquement la novlangue technico-pédagogiste pour la faire fonctionner jusqu'à son point d'absurdité - sa vérité.
- UlrichNiveau 6
Les collectivités territoriales prennent une place essentielle dans la vie du système, élargissant le champ de l’éducation pour tendre vers une conception moins scolaro centrée, plus globale et vers une réelle prise en compte du territoire.
Elles pousseront l’école à s’ouvrir et s’inscrire dans des projets territoriaux sans pour autant remettre en cause l’unité nationale et les fonctions régaliennes de l’Etat. Nous avons atteint le stade délicat où les élus, compte tenu de l’importance croissante de leur investissement demanderont des comptes, discuteront des projets éducatifs et voudront assumer leur responsabilité. L’école sera contrainte de changer. Mieux vaut qu’elle anticipe, même s’il est déjà un peu tard.
Ces propos récents de Pierre Frackowiak ("Changement d'ère") rappellent ceux tenus par Éric Sprogis, abondamment cité et commenté dans l'article de Mezetulle :
« L’action de l’enseignant-artiste est donc souvent liée à la structure dans laquelle il exerce. C’est elle qui détermine une grande part de son identité, de sa « culture ». Il est donc indispensable que cette structure évolue en permanence pour s’adapter aux mouvements du monde et, si possible, qu’elle les anticipe dans une démarche de projet. » É. Sprogis, Enseignement de la musique et action culturelle,2005.
Dans les conservatoires il n'y pas d'"unité nationale", faute de programmes nationaux... Par contre, les projets décloisonnés-transdisciplinaires se multiplient, aboutissant le plus souvent à des concerts publics (au niveau artistique... discutable !) pour le plus grand plaisir des élus locaux !
(Petite précision. Dans les conservatoires, c'est la mairie qui recrute, titularise, évalue, paie et éventuellement, vire...)
- AuroreEsprit éclairé
Je trouve également ce parallèle très pertinent : Sprogis et Fracko, même combat, qui plus est sous le haut patronage de la Madone poitevine !Ulrich a écrit:Les collectivités territoriales prennent une place essentielle dans la vie du système, élargissant le champ de l’éducation pour tendre vers une conception moins scolaro centrée, plus globale et vers une réelle prise en compte du territoire.
Elles pousseront l’école à s’ouvrir et s’inscrire dans des projets territoriaux sans pour autant remettre en cause l’unité nationale et les fonctions régaliennes de l’Etat. Nous avons atteint le stade délicat où les élus, compte tenu de l’importance croissante de leur investissement demanderont des comptes, discuteront des projets éducatifs et voudront assumer leur responsabilité. L’école sera contrainte de changer. Mieux vaut qu’elle anticipe, même s’il est déjà un peu tard.
Ces propos récents de Pierre Frackowiak ("Changement d'ère") rappellent ceux tenus par Éric Sprogis, abondamment cité et commenté dans l'article de Mezetulle :
« L’action de l’enseignant-artiste est donc souvent liée à la structure dans laquelle il exerce. C’est elle qui détermine une grande part de son identité, de sa « culture ». Il est donc indispensable que cette structure évolue en permanence pour s’adapter aux mouvements du monde et, si possible, qu’elle les anticipe dans une démarche de projet. » É. Sprogis, Enseignement de la musique et action culturelle,2005.
Dans les conservatoires il n'y pas d'"unité nationale", faute de programmes nationaux... Par contre, les projets décloisonnés-transdisciplinaires se multiplient, aboutissant le plus souvent à des concerts publics (au niveau artistique... discutable !) pour le plus grand plaisir des élus locaux !
(Petite précision. Dans les conservatoires, c'est la mairie qui recrute, titularise, évalue, paie et éventuellement, vire...)
Quand on constate le mal fait par le premier cité à l'enseignement musical français, on peut craindre le pire pour l'évolution prochaine de l'EN, les mêmes causes produisant les mêmes effets...
- Spinoza1670Esprit éclairé
Trop drôle page 10 du pdf : « Le véritable obstacle à une politique de démocratisation culturelle, c’est la culture elle-même » (Rapport Lacloche)
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- Spinoza1670Esprit éclairé
C'est le rapport Shadok.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- AuroreEsprit éclairé
Non, ce n'était pas de l'humour... :Lool:Spinoza1670 a écrit:Trop drôle page 10 du pdf : « Le véritable obstacle à une politique de démocratisation culturelle, c’est la culture elle-même » (Rapport Lacloche)
- CeladonDemi-dieu
C'est bien Mitterrand (neveu) qui avait sorti cette énormité, non ?
- AuroreEsprit éclairé
Oui, ce rapport avait bien été commandé par lui. Mais son contenu reprend mot pour mot les formules éculées des socialistes et de Jack Lang, comme si ces derniers avaient vocation à exercer un monopole sur la politique culturelle en France.Celadon a écrit:C'est bien Mitterrand (neveu) qui avait sorti cette énormité, non ?
- MarcassinHabitué du forum
Aurore a écrit:Non, ce n'était pas de l'humour... :Lool:Spinoza1670 a écrit:Trop drôle page 10 du pdf : « Le véritable obstacle à une politique de démocratisation culturelle, c’est la culture elle-même » (Rapport Lacloche)
Cette phrase est magnifique.
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"Je regarde la grammaire comme la première partie de l'art de penser." (Condillac)
- Spinoza1670Esprit éclairé
p. 7 :
Adapter ses exigences à la pluralité des motivations (en termes plus crus, baisser le niveau de l’enseignement dispensé) devient un impératif afin de s’adapter à la demande des publics et aux mutations de la société : « si on est assez ouvert au départ, il n’y a pas à adapter ses exigences aux motivations, puisqu’il n’y a pas d’exigences ».
L’horizon ultime consiste alors à « dépasser la notion de pratique artistique pour arriver à celle de pratique culturelle ». Il s’agit de « faire son deuil de la culture comme porteuse de valeurs universelles » et de « traiter des exigences personnalisées des citoyens et des territoires », afin que se mette en œuvre non plus une démocratisation culturelle fallacieuse, privilégiant une culture supposée légitime, mais une véritable démocratie culturelle, sans « craindre immédiatement l’abaissement, la vulgarisation démagogique.»
Adapter ses exigences à la pluralité des motivations (en termes plus crus, baisser le niveau de l’enseignement dispensé) devient un impératif afin de s’adapter à la demande des publics et aux mutations de la société : « si on est assez ouvert au départ, il n’y a pas à adapter ses exigences aux motivations, puisqu’il n’y a pas d’exigences ».
L’horizon ultime consiste alors à « dépasser la notion de pratique artistique pour arriver à celle de pratique culturelle ». Il s’agit de « faire son deuil de la culture comme porteuse de valeurs universelles » et de « traiter des exigences personnalisées des citoyens et des territoires », afin que se mette en œuvre non plus une démocratisation culturelle fallacieuse, privilégiant une culture supposée légitime, mais une véritable démocratie culturelle, sans « craindre immédiatement l’abaissement, la vulgarisation démagogique.»
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- AuroreEsprit éclairé
Je constate que vous appréciez ces quelques perles du relativisme culturel à leur juste valeur. Bon appétit ! :diable:
- Spinoza1670Esprit éclairé
C'est un excellent article. La musique est en effet une excellente entrée pour parler des apprentissages scolaires en général, mais là en plus c'est tout le système d'éducation musicale qui entre dans l'analyse.
Ce que prévoyait MD http://ecolereferences.blogspot.com/2011/09/reformes-de-la-fonction-publique.html
et ce que dénonce Ravitch aux States http://www.monde-diplomatique.fr/2010/10/RAVITCH/19750
est en train de se produire à une vitesse de plus en plus grande en France.
Ce que prévoyait MD http://ecolereferences.blogspot.com/2011/09/reformes-de-la-fonction-publique.html
et ce que dénonce Ravitch aux States http://www.monde-diplomatique.fr/2010/10/RAVITCH/19750
est en train de se produire à une vitesse de plus en plus grande en France.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- MareuilNeoprof expérimenté
L'article de Dania Tchalik est en ligne sur instruire.frUlrich a écrit: "L'enseignement de la musique et la subversion de l'école"
Par Dania Tchalik
Présentation de Catherine Kintzler :
A travers le prisme révélateur de l'enseignement de la musique, particulièrement en conservatoire, Dania Tchalik établit un diagnostic qui concerne l'ensemble de l'édifice scolaire et culturel. Dans l'article L'enseignement de la musique et la subversion de l'école, il examine quelques fleurons de la subversion scolaire qui dure depuis une quarantaine d'années et que déploie la novlangue dont les rapports sont farcis : « autonomie des établissements », « projets tranversaux », « compétences », « territorialisation », « pratiques culturelles », « nouveaux publics », « personnes-ressources » aidant des « usagers» à établir leurs « parcours personnalisés »...., j'en passe. Le tout enveloppé dans la férocité des bons sentiments : ne s'agit-il pas de « lutter contre les inégalités » et de favoriser la « créativité » de sorte qu'élever la moindre critique c'est être sinon « élitiste » du moins en décalage avec la « modernité » et « s'arc-bouter sur ses certitudes » ?
A terme et bien au-delà de l'école, c'est une très ample analyse politique que Dania Tchalik propose avec une implacable lucidité et une remarquable hauteur de vue servies par une plume acérée : il faut bien, pour que les « réformes indispensables » aboutissent, faire son deuil de la culture comme universalité et s'en remettre à l'expertise des décideurs qui savent comme personne interpréter au moins-disant la « demande des publics ».
Lorsqu'on lit les énormités glanées par l'auteur dans sa lecture assidue de textes bienpensants et rapports officiels, on se demande vraiment qui, parmi les décideurs et autres chefs de « concertations » où seule se fait entendre l'harmonie préétablie, peut encore croire qu'il faudrait, par exemple et entre autres, enseigner vraiment le solfège pour faire de la musique.
Sommaire de l'article :
Le tropisme réformiste : un détournement des finalités
L'enseignement artistique, laboratoire d'une politique culturelle gestionnaire
L'évacuation de toute transmission par « la culture pour chacun »
L'anéantissement de l'enseignement... et des professeurs
La version développée de ce texte en format pdf est proposée par Mezetulle au téléchargement : http://serveur1.archive-host.com/membres/up/1919747526/blogmezetulle/Telechargements_permanents/TchalikAutonomieEtablissMusiqueSept2012.pdf
Il faut lire ce gigantesque coup de gueule, cette gifle globale, où le souffle de l'indignation s'appuie sur des arguments nombreux et précis, et soulève ironiquement la novlangue technico-pédagogiste pour la faire fonctionner jusqu'à son point d'absurdité - sa vérité.
- AuroreEsprit éclairé
Merci à Spinoza1670 pour ces liens passionnants qui démontrent si besoin la transversalité de ce processus de dégradation ainsi que la persévérance des politiques.
Et merci à Mareuil pour la mise en ligne.
Et merci à Mareuil pour la mise en ligne.
- AuroreEsprit éclairé
L'article de Dania Tchalik n'est manifestement pas passé inaperçu en haut lieu : voici la réponse d'une experte.
http://www.mezetulle.net/article-musique-et-enseignement-ne-nous-trompons-pas-d-engagement-par-s-pebrier-114540855-comments.html#anchorComment
http://www.mezetulle.net/article-musique-et-enseignement-ne-nous-trompons-pas-d-engagement-par-s-pebrier-114540855-comments.html#anchorComment
- AnaxagoreGuide spirituel
J'en profite pour exprimer mon soutien total à Dania Tchalik.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- Luigi_BGrand Maître
Vous reprendrez bien un peu de Bourdieu ?Sylvie Pébrier a écrit:L'opposition encore prévalente entre excellence et démocratie se nourrit du glissement entre excellence et élitisme, glissement du terrain technique au terrain socio-politique. Glissement, voire renversement, où la justification politique de la domination prend appui non plus sur la valeur apportée à la communauté mais sur l'a priori qu'une classe serait la meilleure. Le préjugé aristocratique comme le privilège bourgeois ont ainsi détourné l'élitisme de sa dimension utile au bien commun pour en faire l'apanage automatique d'une classe dominante.
Toujours la même confusion, volontairement comminatoire, entre le champ politique et le champ artistique. Comme si l'égalité devait prévaloir dans les deux champs.Sylvie Pébrier a écrit:... une mélancolie qui se fige dans l’alliance dangereuse entre la critique du capitalisme et le rejet de la démocratie.
Quant à l'expression "dangereuse" :
- Spoiler:
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- MareuilNeoprof expérimenté
Et le mien itou.Anaxagore a écrit:J'en profite pour exprimer mon soutien total à Dania Tchalik.
Amitiés à Dania.
- MareuilNeoprof expérimenté
C'est le plus beau vers - libre - de notre poésie.Marcassin a écrit:Aurore a écrit:Non, ce n'était pas de l'humour... :Lool:Spinoza1670 a écrit:Trop drôle page 10 du pdf : « Le véritable obstacle à une politique de démocratisation culturelle, c’est la culture elle-même » (Rapport Lacloche)
Cette phrase est magnifique.
- gauvain31Empereur
Spinoza1670 a écrit:Trop drôle page 10 du pdf : « Le véritable obstacle à une politique de démocratisation culturelle, c’est la culture elle-même » (Rapport Lacloche)
Rapport "Lacloche" ? je n'aurais pas dit mieux !
- CeladonDemi-dieu
C'est Lacloche ou c'est Mitterrand Frédéric, l'auteur primal de cette aberration ?
- UlrichNiveau 6
Rien qu'au niveau "technique", le texte de Sylvie Pébrier accumule les erreurs. De plus, elle se contredit par rapport à des textes antérieurs (l'effet Meirieu sans doute...) écrits lorsqu'elle était inspectrice au ministère de la culture.
- AuroreEsprit éclairé
Le débat prend de l'ampleur...
Article de Jean-Michel Muglioni : http://www.mezetulle.net/article-enseignement-de-la-musique-egalitarisme-et-elitisme-par-j-m-muglioni-114978019-comments.html#anchorComment
Dans les commentaires : http://www.mezetulle.net/article-l-enseignement-de-la-musique-et-la-subversion-de-l-ecole-par-d-tchalik-110568577-comments.html#anchorComment
Article de Jean-Michel Muglioni : http://www.mezetulle.net/article-enseignement-de-la-musique-egalitarisme-et-elitisme-par-j-m-muglioni-114978019-comments.html#anchorComment
Dans les commentaires : http://www.mezetulle.net/article-l-enseignement-de-la-musique-et-la-subversion-de-l-ecole-par-d-tchalik-110568577-comments.html#anchorComment
- UlrichNiveau 6
Deux réponses de Dania Tchalik sur Mezetulle :
http://www.mezetulle.net/article-dossier-musique-et-enseignement-deux-reponses-de-d-tchalik-115936190.html
http://www.mezetulle.net/article-dossier-musique-et-enseignement-deux-reponses-de-d-tchalik-115936190.html
- Luigi_BGrand Maître
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
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