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Babsie
Niveau 10

sup�rieur - L'enseignement dans le supérieur au quotidien - Page 20 Empty Re: L'enseignement dans le supérieur au quotidien

par Babsie Jeu 16 Juin 2016 - 22:41
Ok, merci pour ta réponse!
celitian
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Sage

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par celitian Jeu 16 Juin 2016 - 22:59
Une question pour les connaisseurs
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Merci.
J'editerai mon spoiler ensuite.


Dernière édition par celitian le Ven 17 Juin 2016 - 14:31, édité 1 fois
Condorcet
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par Condorcet Jeu 16 Juin 2016 - 23:03
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celitian
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Sage

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par celitian Jeu 16 Juin 2016 - 23:08
Merci, désolée de répondre par spoiler
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Dernière édition par celitian le Ven 17 Juin 2016 - 14:32, édité 1 fois
CarmenLR
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Neoprof expérimenté

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par CarmenLR Jeu 16 Juin 2016 - 23:09
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Condorcet
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par Condorcet Jeu 16 Juin 2016 - 23:10
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Pierre-Henri
Habitué du forum

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par Pierre-Henri Ven 17 Juin 2016 - 7:29
Enseigner dans le secondaire peut aussi être un choix de carrière consenti. Mieux vaut être un gros CV dans le secondaire, plutôt que le trente-six millième docteur à se cogner aux portes de l'université comme une mouche contre une vitre.
CarmenLR
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Neoprof expérimenté

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par CarmenLR Ven 17 Juin 2016 - 7:44
En termes de carrière, peut-être... En termes de plaisir, ça dépend où (c'est valable dans le supérieur également !).
celitian
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par celitian Ven 17 Juin 2016 - 8:03
C'est pénible que cela soit en libre accès Very Happy je vais encore écrire avec un spoiler que j'editerai
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Dernière édition par celitian le Ven 17 Juin 2016 - 14:33, édité 1 fois
RogerMartin
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Bon génie

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par RogerMartin Ven 17 Juin 2016 - 8:07
Tout le monde a besoin de manger, et dans certaines matières les vaches universitaires sont bien maigres ces jours-ci. Mais comme la gauche a annulé la LRU et dégagé de vrais budgets pour la fac, tout va changer sunny

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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
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Strange how paranoia can link up with reality now and then.
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Pierre-Henri
Habitué du forum

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par Pierre-Henri Ven 17 Juin 2016 - 8:08
CarmenLR a écrit:En termes de carrière, peut-être... En termes de plaisir, ça dépend où (c'est valable dans le supérieur également !).

Oui, bien sûr. Je peux en parler, parce que j'ai fait ce choix. Avec un CV de haut niveau, une carrière universitaire me tendait les bras. Constatant la ruine financière, intellectuelle et morale de l'université française, je l'ai fuie. J'ai eu des années pénibles au collège, mais je me suis accroché et j'ai appris peu à peu le métier. Je suis passé dans le privé, en partie parce que le système de mutation valorise un CV comme le mien : dans le public, il faut faire des enfants pour avoir des "points" ; dans le privé, un gros CV académique peut vite attirer l'attention d'un établissement ambitieux. C'est ce qui m'est arrivé.

Aujourd'hui, je ne regrette pas. Mieux vaut un poste dans un collège sélectif, strict, bien géré, plutôt que d'écluser des copies de licence à la fac. Je me donne encore quelques années en France, histoire de m'améliorer et d'acquérir plus d'expérience, avant de partir pour un établissement de luxe en Angleterre, en Suisse ou aux USA.

Intellectuellement, c'est aussi très enrichissant. Après avoir passé ses années de thèse dans les hautes sphères de la pensée, publié un livre lu sur trois continents, obtenu un prix académique recherché, se retrouver face à une classe de collège le vendredi en fin d'après midi remet quelques pendules à l'heure. Plus largement, on retrouve le goût des choses simples, des savoirs élémentaires. On se vaccine, j'espère, contre la cuistrerie hors-sol des sciences de l'éducation. On connait la petite joie mesquine de surpasser les pédagogues sur tous les tableaux, avec à la fois une réputation académique qui les anéantit et une expérience de terrain qui les ridiculise.
celitian
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par celitian Ven 17 Juin 2016 - 8:29
Une question certainement idiote, un admis à l'agrégation doit-il forcément enseigner dans le secondaire pour la valider et être titularisé ?
CarmenLR
CarmenLR
Neoprof expérimenté

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par CarmenLR Ven 17 Juin 2016 - 9:14
Pierre-Henri a écrit:
CarmenLR a écrit:En termes de carrière, peut-être... En termes de plaisir, ça dépend où (c'est valable dans le supérieur également !).

Oui, bien sûr. Je peux en parler, parce que j'ai fait ce choix. Avec un CV de haut niveau, une carrière universitaire me tendait les bras. Constatant la ruine financière, intellectuelle et morale de l'université française, je l'ai fuie. J'ai eu des années pénibles au collège, mais je me suis accroché et j'ai appris peu à peu le métier. Je suis passé dans le privé, en partie parce que le système de mutation valorise un CV comme le mien : dans le public, il faut faire des enfants pour avoir des "points" ; dans le privé, un gros CV académique peut vite attirer l'attention d'un établissement ambitieux. C'est ce qui m'est arrivé.

Aujourd'hui, je ne regrette pas. Mieux vaut un poste dans un collège sélectif, strict, bien géré, plutôt que d'écluser des copies de licence à la fac. Je me donne encore quelques années en France, histoire de m'améliorer et d'acquérir plus d'expérience, avant de partir pour un établissement de luxe en Angleterre, en Suisse ou aux USA.

Intellectuellement, c'est aussi très enrichissant. Après avoir passé ses années de thèse dans les hautes sphères de la pensée, publié un livre lu sur trois continents, obtenu un prix académique recherché, se retrouver face à une classe de collège le vendredi en fin d'après midi remet quelques pendules à l'heure. Plus largement, on retrouve le goût des choses simples, des savoirs élémentaires. On se vaccine, j'espère, contre la cuistrerie hors-sol des sciences de l'éducation. On connait la petite joie mesquine de surpasser les pédagogues sur tous les tableaux, avec à la fois une réputation académique qui les anéantit et une expérience de terrain qui les ridiculise.
Merci pour ce témoignage. Je suis d'accord avec de nombreux points.
Faire le choix du privé peut aussi être difficile pour certains sur le plan éthique, toutefois.
Que l'état d'abandon dans lequel se trouve l'unversité française impose ces choix, voilà qui est désespérant...
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Pierre-Henri
Habitué du forum

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par Pierre-Henri Ven 17 Juin 2016 - 10:07
CarmenLR a écrit:
Faire le choix du privé peut aussi être difficile pour certains sur le plan éthique, toutefois.

L'aspect éthique m'a longtemps retenu. J'ai opéré mon virage seulement à l'approche de la quarantaine. Je me suis finalement dit que je n'étais coupable de rien, et que je n'avais pas à me flageller éternellement pour les erreurs des autres.

Comme professeur, l'école publique me préfère les "superlatifmen" en herbe. Elle réprouve mes méthodes d'enseignement de la grammaire, auxquelles elle prétend substituer le "décloisonnement" et les "ateliers de négociation orthographique". Fort bien. C'est son choix. Je l'ai accepté, et j'ai cherché ailleurs un environnement professionnel qui m'était plus favorable.
Sulfolobus
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Érudit

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par Sulfolobus Ven 17 Juin 2016 - 11:15
celitian a écrit:Une question certainement idiote, un admis à l'agrégation doit-il forcément enseigner   dans le secondaire pour la valider et être titularisé ?
Non.
Tu peux la valider si tu as un contrat doctoral et que pendant ce contrat tu réalises au minimum deux années d'enseignement complémentaires (ça fait 128h, ça correspond à ce qu'on appelait avant un allocataire-moniteur). Tu es titularisé à la fin de contrat doctoral du coup.
Ascagne
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Grand sage

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par Ascagne Ven 17 Juin 2016 - 14:42
C'est mon cas. J'ai vu le questionnaire de titularisation que doit remplir le directeur de thèse : ils n'ont rien préparé de spécifique pour les doctorants contractuels, donc c'est vraiment bizarre (c'est un peu une blague)... Je suis en train de me dire qu'en définitive l'équivalence stage/monitorat n'était pas forcément une bonne chose.
retrouver face à une classe de collège le vendredi en fin d'après midi remet quelques pendules à l'heure. Plus largement, on retrouve le goût des choses simples, des savoirs élémentaires
Vu le niveau de certains étudiants en grammaire française, il m'est arrivé de retrouver le goût des choses élémentaires devant des L1 et des L2. :lol: Rolling Eyes
En revanche, ce n'est pas qu'une question de qualité géniale ou plus moyenne de son dossier pour le supérieur. On a tel ou tel profil. Certains ont été de bons enseignants à différents niveaux, puis de bons enseignants-chercheurs. Pour ma part, je me considère peu voire pas compatible avec l'enseignement au collège, tant en matière de compétences qu'en matière de goût.
Niht
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par Niht Jeu 1 Sep 2016 - 15:09
Je vois mon emploi du temps pour le premier semestre se construire peu à peu. Ça promet d'être, encore, du grand n'importe quoi... Aucune régularité, des amplitudes 8h-18h avec des trous, des groupes que je vois 3 fois dans la même journée... L'avantage, c'est que je vais avoir des journées entières sans cours.

Cette année, j'ai demandé le respect des 15h max par semaine. Problème, vu les contraintes spécifiques à l'organisation de mon établissement, il était impossible de placer les TD d'un certain module sans que mes semaines passent à 17 ou 20h pendant 75% du 1er semestre... Je m'étais engagée auprès de l'enseignant responsable du module pour prendre 2 groupes, cela faisait 40h (10h pour boucler mon service + 30h complémentaires).
Je suis allée voir l'administration pour savoir ce qui se passerait en cas de dépassement des 15h par semaine. Réponse : rien. Ces heures ne bénéficient d'aucun traitement spécial. Et notre responsable juridique de me demander de faire un courrier officiel spécifiant que je veux le respect de mon statut (et que c'est à l'administration de se débrouiller pour me faire un emploi du temps compatible), sinon j'aurai droit au dépassement. Rolling Eyes
Bref : soit je faisais sauter le module, soit j'héritais d'un emploi du temps anti-pédagogique au possible pour respecter les 15h et les contraintes imposées (parce que si mathématiquement c'est possible de tout caser en respectant les différentes contraintes, dans la vraie vie, des semaines entières où les étudiants n'auraient eu que moi et un examen placé 3 mois après la fin du cours, je n'ai pas trouvé l'idée extraordinaire). Bon ben j'ai fait sauter le module. Je l'ai annoncé par mail au collègue concerné (visiblement il n'est pas encore rentré), il va apprécier, la rentrée des étudiants c'est lundi. Je suis en sous-service de 10h, pas grave je complèterai par des stages (ou pire, des projets).

C'était ma rentrée. cafe
Ergo
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par Ergo Jeu 1 Sep 2016 - 17:34
Pfiou, c'est toujours aussi merveilleux par chez toi, Niht.

Premier conseil de dép ici, il n'y aurait plus que 2h de cours à pourvoir sur l'autre site et a priori, une solution a pu être trouvée.

Par contre, on fait la rentrée des étudiants à la chaîne sur trois fois moins de temps qu'avant. Et trouver des salles est manifestement un parcours du combattant, ce qui fait qu'on devrait avoir nos edt demain pour reprendre lundi.



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par Ergo Ven 2 Sep 2016 - 17:54
Bien, bien, bien...on a des départements de psycho, socio, géo (et autre chose je crois) dans lesquels plusieurs groupes de TD n'ont pour l'instant pas d'enseignant. Les cours ne reprennent que lundi, après tout.

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par Niht Ven 2 Sep 2016 - 19:14
Et je suppose que la direction ne voit pas de problème ?

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par Ergo Ven 2 Sep 2016 - 20:13
Ah si. Ils voient le problème des effectifs de L1 psycho nettement supérieurs aux capacités d'accueil du plus grand de nos amphis, donc de la sécurité...et le problème du fait que certains étudiants auront certains TD et les autres étudiants ne les auront pas, ce qui fait qu'ils risquent de se plaindre.

En revanche, des solutions humains, y a pas, à part trouver bien sûr tout un tas de vacataires mais cela pose d'autres problèmes.

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Niht
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par Niht Ven 21 Oct 2016 - 18:10
Mon établissement va ouvrir un poste de PU, créé sur mesure pour un collègue...
L'année dernière, c'était un poste de MCF pour l'ATER.
Et on ose appeler ça un "concours". Rolling Eyes
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Bouboule
Doyen

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par Bouboule Ven 21 Oct 2016 - 20:45
Niht a écrit:Mon établissement va ouvrir un poste de PU, créé sur mesure pour un collègue...
L'année dernière, c'était un poste de MCF pour l'ATER.
Et on ose appeler ça un "concours". Rolling Eyes

C'est bien, ça permet de voir que les années passent et que ça ne change pas. Du coup, on relativise les plaintes des Universités face à la maltraitance politique et budgétaire qu'elles subissent.
Zagara
Zagara
Guide spirituel

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par Zagara Sam 22 Oct 2016 - 0:00
En cas de bétonnage du poste, il faut s'assurer d'être du côté des bétonneurs. :sorciere:
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Moses2
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sup�rieur - L'enseignement dans le supérieur au quotidien - Page 20 Empty Re: L'enseignement dans le supérieur au quotidien

par Moses2 Sam 22 Oct 2016 - 10:45
Niht a écrit:Mon établissement va ouvrir un poste de PU, créé sur mesure pour un collègue...
L'année dernière, c'était un poste de MCF pour l'ATER.
Et on ose appeler ça un "concours". Rolling Eyes
Certains l'assument tout en s'en moquant (ou l'inverse) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Chamil
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sup�rieur - L'enseignement dans le supérieur au quotidien - Page 20 Empty Re: L'enseignement dans le supérieur au quotidien

par Chamil Mar 1 Nov 2016 - 14:28
Niht a écrit:Mon établissement va ouvrir un poste de PU, créé sur mesure pour un collègue...
L'année dernière, c'était un poste de MCF pour l'ATER.
Et on ose appeler ça un "concours". Rolling Eyes

On peut comprendre dans un double contexte de recrutement rare et de statut inamovible des EC (qui a sa légitimité mais aussi son revers de la médaille), que l'on puisse préférer recruter quelqu'un que l'on connaît pour éviter l'incertitude de quelqu'un d'inconnu. De plus, avec la parité internes/externes dans les COS et la pression du nombre de candidats par poste de MDC ouvert, ça devient difficile de recruter un local qui n'a vraiment aucune qualité.

Sans excuser le localisme bien entendu qui est un plaie pour le système dans son ensemble.
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