- cidNiveau 9
J'aurais besoin de faire le point sur ce que vous avez compris.
Pour ma part, j'ai compris que :
- l'EPI LCA pouvait être suivi pendant 3 ans par les mêmes élèves
- l'enseignement complémentaire s'élève à une heure par semaine
Ce qui m'interroge :
- le programme
- l'inscription : pour 3 ans ? une session (il me semble que c'est possible. Cela veut-il dire qu'on peut proposer deux EPI ? Un pour ceux qui le gardent 3ans et un pour ceux qui s'inscrivent à la session?)
- l'EPI LCA est-il lui aussi interdisciplinaire ? Dans ce cas avec qui ? Les collègues d'histoire nous ont déjà qu'il n'y avait pas de lien avec leurs programmes.
Merci d'avance.
Pour ma part, j'ai compris que :
- l'EPI LCA pouvait être suivi pendant 3 ans par les mêmes élèves
- l'enseignement complémentaire s'élève à une heure par semaine
Ce qui m'interroge :
- le programme
- l'inscription : pour 3 ans ? une session (il me semble que c'est possible. Cela veut-il dire qu'on peut proposer deux EPI ? Un pour ceux qui le gardent 3ans et un pour ceux qui s'inscrivent à la session?)
- l'EPI LCA est-il lui aussi interdisciplinaire ? Dans ce cas avec qui ? Les collègues d'histoire nous ont déjà qu'il n'y avait pas de lien avec leurs programmes.
Merci d'avance.
- NomeraNiveau 5
L'EPI LCA pouvant être suivi sur trois ans n'est qu'un effet d'annonce : cela a été dit oralement et n'a été précisé nulle part, ni dans le décret, ni dans l'arrêté. D'ailleurs, la direction nationale du SNES-FSU appelle tous les jours les services ministériels pour savoir comment cette dérogation est compatible avec le fait que les élèves doivent suivre au moins deux EPI par an, donc six différents à la fin de leurs scolarité au collège. Cela fait bientôt un mois et le Ministère est toujours incapable de répondre à cette incohérence qu'il a créée sans le vouloir.
Pas de programme pour le moment. NVB dit qu'elle a créé une commission pour cela et que celle-ci rendra ses avis mi-octobre. Encore une fois, effet d'annonce. Il faudra voir ce qu'il en est vraiment dans 4 mois car ni le latin, ni le grec n'apparaissent à ce jour dans les nouveaux programmes du CSP. D'autre part, dans la mesure où il s'agirait d'un EPI, aucune raison (dans l'esprit du Ministère) d'écrire des programmes.
Tous les EPI sont interdisciplinaires : j'ai hâte de voir quel collègue, autre que ceux d'HG qui ne peuvent pas y participer, accepterait de rendre des heures disciplinaires pour faire de la civilisation gréco-latine...
Pour l'enseignement complémentaire, il sera d'une heure en 5e et deux en 4e/3e, ne peut être mis en place que si l'EPI LCA existe et est à prendre sur la marge professeur qui sera déjà bien amputée par les groupes en AP, en sciences, la co-intervention en EPI, ...
Bref, autant dire qu'il sera quasiment impossible d'enseigner les LCA.
Pas de programme pour le moment. NVB dit qu'elle a créé une commission pour cela et que celle-ci rendra ses avis mi-octobre. Encore une fois, effet d'annonce. Il faudra voir ce qu'il en est vraiment dans 4 mois car ni le latin, ni le grec n'apparaissent à ce jour dans les nouveaux programmes du CSP. D'autre part, dans la mesure où il s'agirait d'un EPI, aucune raison (dans l'esprit du Ministère) d'écrire des programmes.
Tous les EPI sont interdisciplinaires : j'ai hâte de voir quel collègue, autre que ceux d'HG qui ne peuvent pas y participer, accepterait de rendre des heures disciplinaires pour faire de la civilisation gréco-latine...
Pour l'enseignement complémentaire, il sera d'une heure en 5e et deux en 4e/3e, ne peut être mis en place que si l'EPI LCA existe et est à prendre sur la marge professeur qui sera déjà bien amputée par les groupes en AP, en sciences, la co-intervention en EPI, ...
Bref, autant dire qu'il sera quasiment impossible d'enseigner les LCA.
- cidNiveau 9
Merci pour les éclaircissements. Rien de réjouissant en perspective.
- LoraNeoprof expérimenté
Et pour l'horaire de l'enseignement complémentaire, c'est un plafond, donc l'horaire peut être plus bas.
Pour l'EPI, mon inspectrice a dit qu'il ne fallait pas penser en semestre (elle ne parle même pas d'année ) mais envisager n'importe quelle durée, y compris, pourquoi pas, une semaine, puisque certains collègues organisent déjà une " semaine de l'antiquité ".
Pour l'EPI, mon inspectrice a dit qu'il ne fallait pas penser en semestre (elle ne parle même pas d'année ) mais envisager n'importe quelle durée, y compris, pourquoi pas, une semaine, puisque certains collègues organisent déjà une " semaine de l'antiquité ".
- glucheNiveau 10
Question naïve, ne serait-ce pas possible d'envisager un EPI LCA avec le professeur-documentaliste?cid a écrit:
- l'EPI LCA est-il lui aussi interdisciplinaire ? Dans ce cas avec qui ? Les collègues d'histoire nous ont déjà qu'il n'y avait pas de lien avec leurs programmes.
- NLM76Grand Maître
Non. Ce n'est pas possible. On n'envisage pas. On fait grève. On fait sauter tous ces délires. On fait des cours de latin. Point barre. Non mais eh ho ! Déjà en train de vous précipiter, de devancer l'appel ?gluche a écrit:Question naïve, ne serait-ce pas possible d'envisager un EPI LCA avec le professeur-documentaliste?cid a écrit:
- l'EPI LCA est-il lui aussi interdisciplinaire ? Dans ce cas avec qui ? Les collègues d'histoire nous ont déjà qu'il n'y avait pas de lien avec leurs programmes.
L' EPI, c'est non. Epicétou.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- OudemiaBon génie
Tu peux m'expliquer ça ?Nomera a écrit:Tous les EPI sont interdisciplinaires : j'ai hâte de voir quel collègue, autre que ceux d'HG qui ne peuvent pas y participer, accepterait de rendre des heures disciplinaires pour faire de la civilisation gréco-latine...
Une semaine à plein temps :shock: ? ou à 2h :shock: ?Lora a écrit:Et pour l'horaire de l'enseignement complémentaire, c'est un plafond, donc l'horaire peut être plus bas.
Pour l'EPI, mon inspectrice a dit qu'il ne fallait pas penser en semestre (elle ne parle même pas d'année ) mais envisager n'importe quelle durée, y compris, pourquoi pas, une semaine, puisque certains collègues organisent déjà une " semaine de l'antiquité ".
- HypermnestreÉrudit
Oudemia : les EPI permettent de traiter le programme autrement. L'Antiquité est au programme d'histoire en 6e, seul niveau où il n'y a pas d'EPI.
- OudemiaBon génie
Oui, je sais , mais dit comme ça :shock: :preuve de l'enfumage ministérielhypermnestre a écrit:Oudemia : les EPI permettent de traiter le programme autrement. L'Antiquité est au programme d'histoire en 6e, seul niveau où il n'y a pas d'EPI.
- NomeraNiveau 5
nlm76 a écrit:Non. Ce n'est pas possible. On n'envisage pas. On fait grève. On fait sauter tous ces délires. On fait des cours de latin. Point barre. Non mais eh ho ! Déjà en train de vous précipiter, de devancer l'appel ?gluche a écrit:Question naïve, ne serait-ce pas possible d'envisager un EPI LCA avec le professeur-documentaliste?cid a écrit:
- l'EPI LCA est-il lui aussi interdisciplinaire ? Dans ce cas avec qui ? Les collègues d'histoire nous ont déjà qu'il n'y avait pas de lien avec leurs programmes.
L' EPI, c'est non. Epicétou.
Bien d'accord avec toi nlm.
Mais je constate que les enseignants de Lettres Classiques sont assez difficiles à mobiliser et se résignent facilement.
Nous sommes de la même académie mais tu es en lycée je crois.
Il y avait mardi une réunion de tous les professeurs de Lettres Classiques en collège, organisée par l'IPR. Il y a eu un long débat sur la réforme dans lequel je suis intervenue deux fois dont une pour inviter à un rassemblement symbolique devant le panorama XXL jeudi en fin d'après-midi : une collègue (du même syndicat que moi qui plus est) est venue, c'est tout (il y avait quand même 200 personnes présentes !).
D'autre part, la plupart des collègues présents à cette réunion ne s'était pas vraiment renseigné sur la réforme et n'en comprenait pas les enjeux, notamment pour leur discipline.
Je suis très inquiète de la mobilisation de mes collègues jeudi prochain...
- cidNiveau 9
Oh non, je ne capitule pas ! Loin de là. Nous sommes deux collègues dans mon établissement. Le CDE ne m'a pas approchée mais mon collègue si. Il lui a mis l'air de rien la pression en nous menaçant de ne pas proposer l'EPI LCA si nous ne proposions des projets solides. Mon collègue était dans tous ses états. De plus, cette semaine nous avons un conseil pédagogique pour dégrossir le terrain. Notre CDE nous également prévenu qu'une réunion de travail en fin d'année serait consacrée à ce sujet. Bref, nous sommes acculés même si nous nous battrons jusqu'au bout pour ne pas être complices de cette vaste mascarade. Quant à la mobilisation de jeudi, chez nous, 30% de grévistes la dernière fois. Du jamais vu. Les collègues sont écoeurés : il n'y avant personne à la manif et notre ministre s'est bien moquée de nous. Il n'y aura quasiment aucun gréviste.
- NLM76Grand Maître
Mais, même s'ils gagnaient, ce serait pour 2016 ! Pour l'instant, on ne s'en occupe pas !
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Presse-puréeGrand sage
Nomera a écrit:L'EPI LCA pouvant être suivi sur trois ans n'est qu'un effet d'annonce : cela a été dit oralement et n'a été précisé nulle part, ni dans le décret, ni dans l'arrêté. D'ailleurs, la direction nationale du SNES-FSU appelle tous les jours les services ministériels pour savoir comment cette dérogation est compatible avec le fait que les élèves doivent suivre au moins deux EPI par an, donc six différents à la fin de leurs scolarité au collège. Cela fait bientôt un mois et le Ministère est toujours incapable de répondre à cette incohérence qu'il a créée sans le vouloir.
Pas de programme pour le moment. NVB dit qu'elle a créé une commission pour cela et que celle-ci rendra ses avis mi-octobre. Encore une fois, effet d'annonce. Il faudra voir ce qu'il en est vraiment dans 4 mois car ni le latin, ni le grec n'apparaissent à ce jour dans les nouveaux programmes du CSP. D'autre part, dans la mesure où il s'agirait d'un EPI, aucune raison (dans l'esprit du Ministère) d'écrire des programmes.
Tous les EPI sont interdisciplinaires : j'ai hâte de voir quel collègue, autre que ceux d'HG qui ne peuvent pas y participer, accepterait de rendre des heures disciplinaires pour faire de la civilisation gréco-latine...
Pour l'enseignement complémentaire, il sera d'une heure en 5e et deux en 4e/3e, ne peut être mis en place que si l'EPI LCA existe et est à prendre sur la marge professeur qui sera déjà bien amputée par les groupes en AP, en sciences, la co-intervention en EPI, ...
Bref, autant dire qu'il sera quasiment impossible d'enseigner les LCA.
Voilà. Tout est dit. Il faut lire les décrets et arrêtés. Rappelons aussi que toute mention des langues anciennes en tant que disciplines autonomes a été méticuleusement retirée. Plus de mention dans le nouveau socle, code de l'éducation modifié pour ne faire que le socle et surtout pas plus.
On s'est fait ratiboisés par les tenants de l'école fondamentale, qui doit être sans latin.
_________________
Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- marjoDoyen
cid a écrit:Oh non, je ne capitule pas ! Loin de là. Nous sommes deux collègues dans mon établissement. Le CDE ne m'a pas approchée mais mon collègue si. Il lui a mis l'air de rien la pression en nous menaçant de ne pas proposer l'EPI LCA si nous ne proposions des projets solides. Mon collègue était dans tous ses états. De plus, cette semaine nous avons un conseil pédagogique pour dégrossir le terrain. Notre CDE nous également prévenu qu'une réunion de travail en fin d'année serait consacrée à ce sujet. Bref, nous sommes acculés même si nous nous battrons jusqu'au bout pour ne pas être complices de cette vaste mascarade. Quant à la mobilisation de jeudi, chez nous, 30% de grévistes la dernière fois. Du jamais vu. Les collègues sont écoeurés : il n'y avant personne à la manif et notre ministre s'est bien moquée de nous. Il n'y aura quasiment aucun gréviste.
Quand j'ai dit à mes collègues, en heure d'info syndicale jeudi, que je ne comptais pas proposer d'EPI LCA, ils m'ont regardée avec de grands yeux étonnés. Mon argument : hors de question de faire des langues anciennes si la condition c'est de rogner sur les horaires de français.
- henrietteMédiateur
Pour le statut dérogatoire, elle en a parlé à nouveau au Sénat. Sinon, c'est mentionné dans la FAQ du ministère, et avait été aussi annoncé à la presse par F. Robine.
(les liens sont là : http://www.reformeducollege.fr/latin-et-grec#TOC-3.-Un-EPI-d-rogatoire-)
Mais n'oublions pas que NVB elle-même a reconnu lors de son audition au Sénat que le latin et le grec au collège, ce ne serait plus que du saupoudrage :
(les liens sont là : http://www.reformeducollege.fr/latin-et-grec#TOC-3.-Un-EPI-d-rogatoire-)
Mais n'oublions pas que NVB elle-même a reconnu lors de son audition au Sénat que le latin et le grec au collège, ce ne serait plus que du saupoudrage :
Ite, missa est.NVB au Sénat a écrit:C'est à nous de donner aux enfants le goût du travail et celui du mérite, en les initiant par exemple au latin et au grec. Et quand bien même ce ne serait que saupoudrage, il sera toujours temps d'approfondir et d'aller plus loin au lycée ou à l'université.
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Presse-puréeGrand sage
henriette a écrit:Pour le statut dérogatoire, elle en a parlé à nouveau au Sénat. Sinon, c'est mentionné dans la FAQ du ministère, et avait été aussi annoncé à la presse par F. Robine.
(les liens sont là : http://www.reformeducollege.fr/latin-et-grec#TOC-3.-Un-EPI-d-rogatoire-)
Mais n'oublions pas que NVB elle-même a reconnu lors de son audition au Sénat que le latin et le grec au collège, ce ne serait plus que du saupoudrage :Ite, missa est.NVB au Sénat a écrit:C'est à nous de donner aux enfants le goût du travail et celui du mérite, en les initiant par exemple au latin et au grec. Et quand bien même ce ne serait que saupoudrage, il sera toujours temps d'approfondir et d'aller plus loin au lycée ou à l'université.
Osef de ce que disent ministre et DGESCO, l'important ce sont les textes. Or le statut dérogatoire, si je ne me trompe pas, n'est pas dans le décret ni dans l'arrêté. Point.
Edit: j'ai relu. Pas de mention d'un quelconque statut dérogatoire de l'EPI LCA. En revanche, les textes de 1996 sont bien abrogés. Voilà voilà...
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- Presse-puréeGrand sage
Et bon, la fin de sa phrase, vu la situation au lycée et à la fac, c'est juste à mourir de rire. Quel talent comique, quel aplomb dans le mensonge.
J'espère que son cabinet ne lui avait pas fait de topo avant...
J'espère que son cabinet ne lui avait pas fait de topo avant...
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- AsarteLilithBon génie
J'ai hurlé intérieurement quand j'ai vu cette phrase. Au moins, son lapsus linguae aura été révélateur : tarte au sucre.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
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