- JPhMMDemi-dieu
Merci, je comprends.
Cependant les fourmis n'ont pas besoin de moralité pour avoir une société qui fonctionne à la perfection depuis des millions d'années, et depuis un nombre considérable de générations (unité de mesure de temps sans doute plus adaptée pour une comparaison ici). Mais « utile à la société » n'est pas synonyme de « utile à la vie sociale ».
Cependant les fourmis n'ont pas besoin de moralité pour avoir une société qui fonctionne à la perfection depuis des millions d'années, et depuis un nombre considérable de générations (unité de mesure de temps sans doute plus adaptée pour une comparaison ici). Mais « utile à la société » n'est pas synonyme de « utile à la vie sociale ».
- Handsome DevilNiveau 9
L'analyse des rapports sociaux dans le règne animal est en effet une bonne piste.
- User17706Bon génie
Ce n'est pas ce qu'on dit habituellement, ni ce qu'on fait ?Levincent a écrit: C'est à peu près le même sophisme qui consiste à dire que si on payait la moitié de la population pour creuser des trous et l'autre moitié à les boucher, on pourrait produire de la croissance.
- ParménideNeoprof expérimenté
J'ai du mal sur ce sujet.
Pourquoi est-ce si pénible?
Pourquoi est-ce si pénible?
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- JPhMMDemi-dieu
Ohh...Parménide a écrit:JPhMM a écrit:Face à quel(s) sujet(s) en as-tu rencontrée de féconde ?
Justement, sur "Qu'est ce qui existe?", ça a été vraiment très naturel et fluide, tout coulait de source. Les difficultés rencontrées n'étaient que des difficultés permettant de bâtir une réflexion et non des obstacles suscitant l'embarras, la confusion, et le fait d'être désemparé face au sujet.
Tout rejoignait sa place naturelle très rapidement. La pensée allait de soi. Mais faut dire que le sujet était facile. Et puis la philosophie de l'existence est une de celles qui me plus parlent le plus. Pour tout dire, la philosophie pour moi, c'est avant tout celle de l'existence.
Je trouve ce sujet terriblement difficile, précisément.
J'ai adoré lire les Ennéades, mais la pensée de Plotin amène siiiiii loin, qu'il est difficile de l'accompagner, puis de redescendre.
Mais... quelle merveille totale et absolue. :etoilecoeur:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- KapellmeisterHabitué du forum
JPhMM a écrit:Attention, au jack in the box
- Spoiler:
J'ai aussi pensé à lui :
- Spoiler:
EDIT : Désolée, Levincent, je n'avais pas vu que tu m'avais devancée.
- LevincentNiveau 9
P.Y.,
Tu avais raison. J'ai attribué à Adam Smith cette citation d'un "peuple de démons" par association d'idées. Je trouve qu'elle résume si bien la doctrine du libéralisme économique que j'ai confondu. Et puis ce n'est pas dans l'oeuvre originale que j'ai lu cela, autrement ma mémoire aurait été plus fidèle. Par transparence, je cite la source dans laquelle j'ai découvert cette correspondance entre la doctrine libérale du droit et l'absence de nécessité de la vertu chez les individus: c'est Jean-Claude Michéa.
Tu avais raison. J'ai attribué à Adam Smith cette citation d'un "peuple de démons" par association d'idées. Je trouve qu'elle résume si bien la doctrine du libéralisme économique que j'ai confondu. Et puis ce n'est pas dans l'oeuvre originale que j'ai lu cela, autrement ma mémoire aurait été plus fidèle. Par transparence, je cite la source dans laquelle j'ai découvert cette correspondance entre la doctrine libérale du droit et l'absence de nécessité de la vertu chez les individus: c'est Jean-Claude Michéa.
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« Un philosophe moderne qui n'a jamais éprouvé le sentiment d'être un charlatan fait preuve d'une telle légèreté intellectuelle que son oeuvre ne vaut guère la peine d'être lue. »
Leszek Kolakowski
- ParménideNeoprof expérimenté
C'est l'horreur, impossible d'aller au delà de 4 pages !
Il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je ne comprends pas à quoi c'est du.
Il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je ne comprends pas à quoi c'est du.
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- LevincentNiveau 9
Parménide a écrit:C'est l'horreur, impossible d'aller au delà de 4 pages !
Il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je ne comprends pas à quoi c'est du.
Que veux-tu qu'on te dise ?
- ParménideNeoprof expérimenté
Je n'en sais rien mais ça m'effraie.
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- LevincentNiveau 9
Tu identifies au moins ce qui t'empêche d'avancer ?
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- ParménideNeoprof expérimenté
Levincent a écrit:Tu identifies au moins ce qui t'empêche d'avancer ?
Non, et c'est justement ça qui m'inquiète.
Je ne sais pas si le sujet est réellement difficile ou si c'est le manque de connaissances qui me rend la tâche ardue. Ou les deux. Je crois me souvenir d'ailleurs que dans le rapport de jury, il était dit que le sujet avait vraiment posé problème aux candidats.
Et puis je suis complètement terrifié à l'idée d'écrire trop peu, surtout en dissertation !...
Parce que là, 4 pages péniblement...
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- LevincentNiveau 9
Est-ce tu as l'habitude de te poser des questions sur la politique, et de t'y intéresser ? C'est peut-être ça, aussi.
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Leszek Kolakowski
- ParménideNeoprof expérimenté
Levincent a écrit:Est-ce tu as l'habitude de te poser des questions sur la politique, et de t'y intéresser ? C'est peut-être ça, aussi.
ça dépend.
Ce n'est pas ce sur quoi je m'interroge en priorité malgré tout. Et puis mon problème est lié aussi à mon manque de contact avec le monde réel et à la conception que je me fais de la philosophie d'une façon générale.
J'ai été gêné par le terme de "moralité", je n'ai pas su vraiment le définir et le circonscrire de façon précise.
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- User17706Bon génie
Tous les sujets sont réellement difficiles.
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Tous les sujets sont réellement difficiles.
A des degrés divers quand même. Celui-ci est nettement plus difficile que "Qu'est ce qui existe?", ou pour rester dans un même registre "la justice est-ce l'égalité?" (que j'ai traité aussi).
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- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Tous les sujets sont réellement difficiles.
A des degrés divers quand même. Celui-ci est nettement plus difficile que "Qu'est ce qui existe?", ou pour rester dans un même registre "la justice est-ce l'égalité?" (que j'ai traité aussi).
Si tu le dis.
- ParménideNeoprof expérimenté
DesolationRow a écrit:Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Tous les sujets sont réellement difficiles.
A des degrés divers quand même. Celui-ci est nettement plus difficile que "Qu'est ce qui existe?", ou pour rester dans un même registre "la justice est-ce l'égalité?" (que j'ai traité aussi).
Si tu le dis.
Je trouve.
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- CroustibaptNiveau 7
On pourrait imaginer une évocation du Prince de Macchiavel ?
La transition traités moraux pour gérer un territoire/traités purement politiques au XVIe siècle ?
Ou alors, ce serait trop historique et manquerait de hauteur ?
La transition traités moraux pour gérer un territoire/traités purement politiques au XVIe siècle ?
Ou alors, ce serait trop historique et manquerait de hauteur ?
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Discipline & Bonté
- User17706Bon génie
Parménide a écrit:DesolationRow a écrit:Parménide a écrit:
A des degrés divers quand même. Celui-ci est nettement plus difficile que "Qu'est ce qui existe?", ou pour rester dans un même registre "la justice est-ce l'égalité?" (que j'ai traité aussi).
Si tu le dis.
Je trouve.
Il ne manquerait plus que tu te désapprouves
- DimkaVénérable
Salut,
Pourtant, passer un concours, c’est souvent être déstabilisé : que feras-tu le jour des épreuves, si tu tombes sur un sujet qui ne te convient pas ? Tu laisses tomber, et tu vas bouder en espérant que ça passera l’année suivante ? Mais ça ne passera jamais : il y a tellement d’épreuves, il y en a toujours une, plusieurs, voire toutes, où ça ne nous convient pas. Et alors ? On y va, sabre au clair, et on donne tout ce que l’on peut.
Les connaissances, la préparation, l’entraînement, tout ça, c’est rien, par rapport à l’état d’esprit. Si tu refuses la difficulté, l’inattendu, si tu recules au lieu de t’enthousiasmer face à tout cela, c’est mort : c’est un concours, pas une récitation de leçon (et tant mieux pour toi comme pour moi, parce que je doute que l’on puisse être dans les cent premiers meilleurs récitants), le jury est vache, cabotin, pervers, et un bon philosophe − il me semble − comme un bon historien, doit être prêt à faire face à tout et n’importe quoi. C’est quand c’est difficile, c’est quand on se prend le sujet dans la gueule que ça commence à devenir intéressant.
On dirait que tu es parti battu d’avance : tu as décidé que le sujet était dur, infaisable, présentait une difficulté particulière, et tu t’es arrêté là. Du coup, tu passes plein de temps à te demander pourquoi ce sujet est si dur, à chercher des raisons rationnelles, soit dans ce qui t’est propre (un éventuel manque de connaissances), soit dans la nature même du sujet, et à ouvrir un sujet sur ce forum pour t’en plaindre, et pendant ce temps, tu ne retrousses pas tes manches pour t’attaquer au sujet.Parménide a écrit:C'est l'horreur, impossible d'aller au delà de 4 pages !
Il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je ne comprends pas à quoi c'est du.
Pourtant, passer un concours, c’est souvent être déstabilisé : que feras-tu le jour des épreuves, si tu tombes sur un sujet qui ne te convient pas ? Tu laisses tomber, et tu vas bouder en espérant que ça passera l’année suivante ? Mais ça ne passera jamais : il y a tellement d’épreuves, il y en a toujours une, plusieurs, voire toutes, où ça ne nous convient pas. Et alors ? On y va, sabre au clair, et on donne tout ce que l’on peut.
Les connaissances, la préparation, l’entraînement, tout ça, c’est rien, par rapport à l’état d’esprit. Si tu refuses la difficulté, l’inattendu, si tu recules au lieu de t’enthousiasmer face à tout cela, c’est mort : c’est un concours, pas une récitation de leçon (et tant mieux pour toi comme pour moi, parce que je doute que l’on puisse être dans les cent premiers meilleurs récitants), le jury est vache, cabotin, pervers, et un bon philosophe − il me semble − comme un bon historien, doit être prêt à faire face à tout et n’importe quoi. C’est quand c’est difficile, c’est quand on se prend le sujet dans la gueule que ça commence à devenir intéressant.
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- Spoiler:
- ParménideNeoprof expérimenté
Dimka a écrit:Salut,On dirait que tu es parti battu d’avance : tu as décidé que le sujet était dur, infaisable, présentait une difficulté particulière, et tu t’es arrêté là. Du coup, tu passes plein de temps à te demander pourquoi ce sujet est si dur, à chercher des raisons rationnelles, soit dans ce qui t’est propre (un éventuel manque de connaissances), soit dans la nature même du sujet, et à ouvrir un sujet sur ce forum pour t’en plaindre, et pendant ce temps, tu ne retrousses pas tes manches pour t’attaquer au sujet.Parménide a écrit:C'est l'horreur, impossible d'aller au delà de 4 pages !
Il y a longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Je ne comprends pas à quoi c'est du.
Pourtant, passer un concours, c’est souvent être déstabilisé : que feras-tu le jour des épreuves, si tu tombes sur un sujet qui ne te convient pas ? Tu laisses tomber, et tu vas bouder en espérant que ça passera l’année suivante ? Mais ça ne passera jamais : il y a tellement d’épreuves, il y en a toujours une, plusieurs, voire toutes, où ça ne nous convient pas. Et alors ? On y va, sabre au clair, et on donne tout ce que l’on peut.
Les connaissances, la préparation, l’entraînement, tout ça, c’est rien, par rapport à l’état d’esprit. Si tu refuses la difficulté, l’inattendu, si tu recules au lieu de t’enthousiasmer face à tout cela, c’est mort : c’est un concours, pas une récitation de leçon (et tant mieux pour toi comme pour moi, parce que je doute que l’on puisse être dans les cent premiers meilleurs récitants), le jury est vache, cabotin, pervers, et un bon philosophe − il me semble − comme un bon historien, doit être prêt à faire face à tout et n’importe quoi. C’est quand c’est difficile, c’est quand on se prend le sujet dans la gueule que ça commence à devenir intéressant.
Non je suis parti avec un très bon état d'esprit mais à mesure que j'avançais je me suis rendu compte de la difficulté. Et à un moment donné je me suis décidé à rédiger bien qu'étant insatisfait de mon brouillon. Et en rédigeant j'ai vraiment peiné, surtout pour la dernière partie, et j'ai abrégé la fin tellement c'était pénible. Mon brouillon ne fait qu'une page, ce n'est pas normal.
Mais si c'est du à un problème de connaissances, ça sert à rien de se forcer je pense, ou alors ça pose vraiment le problème de la longueur du travail. Et c'est pas facile d'assumer le fait de rendre des devoirs extrêmement courts. A la limite, le jours du concours, à partir du moment où j'ai fait vraiment de mon mieux malgré la brièveté, pourquoi pas. Mais pour les entrainements c'est plus embêtant : je paie 20 euros correspondant à une heure théorique de travail de correction. Pour un si faible volume, c'est quand même à mon désavantage.
Les semaines, les mois à venir, vont être pour moi une interrogation perpétuelle sur le volume que je dois remplir pour être tranquille...
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- InvitéPPPNiveau 8
Mmmm... Je crois que tu t'angoisses pour rien, et dans la mauvaise direction. J'irais plutôt dans le sens du post précédent qui est juste : demande-toi ce qu'il faut faire, quels exercices mettre en place pour avoir le réflexe de dégager l'essentiel sur n'importe quel sujet en un petit quart d'heure. C'est ça qui fait qu'on est prêt pour un concours, le reste est secondaire.
Il faut aussi te demander ce que TU te dois d'entendre par l'essentiel dont je viens de parler.
Quand un sujet est difficile, il l'est pour tous les candidats, qui flippent tous, alors seuls ceux qui sont rompus au sabrage clair et net s'en sortent à coup sûr. Ce qui nécessite quelques qualités intellectuelles acérées par des exercices bien pensés et en nombre. C'est du sport. Quand je lis que tu y es depuis trois jours pour pondre quatre pages en te demandant combien il faudrait en faire, je mesure à quel point tu n'est pas dans la course, désolé de te le dire comme ça. Prends tes rapports de jury de concours, prends des centaines de sujets de leçon et entraîne-toi, ça finira par venir.
Il faut arriver à avoir les moyens de t'en sortir pas trop mal sur quasiment n'importe quel sujet, là est la vraie difficulté, il ne s'agit pas d'essayer de traiter à fond et parfaitement bien tel ou tel d'entre eux (des milliers et des milliers).
Il faut aussi te demander ce que TU te dois d'entendre par l'essentiel dont je viens de parler.
Quand un sujet est difficile, il l'est pour tous les candidats, qui flippent tous, alors seuls ceux qui sont rompus au sabrage clair et net s'en sortent à coup sûr. Ce qui nécessite quelques qualités intellectuelles acérées par des exercices bien pensés et en nombre. C'est du sport. Quand je lis que tu y es depuis trois jours pour pondre quatre pages en te demandant combien il faudrait en faire, je mesure à quel point tu n'est pas dans la course, désolé de te le dire comme ça. Prends tes rapports de jury de concours, prends des centaines de sujets de leçon et entraîne-toi, ça finira par venir.
Il faut arriver à avoir les moyens de t'en sortir pas trop mal sur quasiment n'importe quel sujet, là est la vraie difficulté, il ne s'agit pas d'essayer de traiter à fond et parfaitement bien tel ou tel d'entre eux (des milliers et des milliers).
- LevincentNiveau 9
Pour abonder dans le sens de philophilophilo, je dirais qu'on a l'impression que tu voudrais trouver la solution du problème, comme s'il s'agissait d'un exercice de maths où il faudrait trouver la bonne réponse. Ce n'est pas cela qui t'est demandé en philosophie. Si tu n'arrives plus à avancer, c'est soit que tu as trouvé une réponse qui te satisfasse à peu près et que tu n'arrives pas à dépasser, soit c'est que ta réflexion pose problème. Dans le premier cas, tu peux développer davantage le raisonnement qui t'a conduit à ta conclusion, dans le second c'est à toi de mettre en valeur ce qui ne va pas dans ta réflexion et à proposer une autre piste qui serait susceptible de te sortir de l'impasse.
- ysabelDevin
a priori, pas pour les politiques....
ok, je sors
ok, je sors
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- AspasieNiveau 10
Je trouve que serait une bonne idée, et un bon moyen d'ancrer la réflexion dans une réalité, à condition toutefois de ne pas passer sous silence la différence politique/société.Croustibapt a écrit:On pourrait imaginer une évocation du Prince de Macchiavel ?
La transition traités moraux pour gérer un territoire/traités purement politiques au XVIe siècle ?
Ou alors, ce serait trop historique et manquerait de hauteur ?
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