- Anne-BlanchettNiveau 5
Bonsoir tout le monde,
Je poste sur la protection des Maîtres Aux (vocabulaire du privée) car récemment j'ai fait les frais de bidouillages de ma hiérarchie (je n'en parlerai pas davantage sur le forum) et j'ai dû démissionner d'heures, et non de mon poste. Les conditions étaient juste inhumaines pour une personne n'ayant pas fait le Master Enseignement et l'année dernière j'étais jetée brutalement dans la jungle sur un poste à temps complet. C'était une année très difficile et ça va mieux cette année mais il s'avère que l'EN ne soit pas un terreau facile, c'est plutôt semé d'embûches qui nous surprennent. Très en colère et ayant des connaissances dans le monde obscur des maîtres aux, j'ai décidé de me syndiquer car ce statut précaire n'est pas sécurisant financièrement et psychologiquement (les CDE font parfois de l'abus de pouvoir puisque les suppléants ne connaissent pas bien les règles du jeu et encore moins leurs droits).
En gros, quelles sont les premières choses à faire pour se protéger au maximum ? Car pour ce que j'en voie, les parents et les élèves ont de plus en plus de pouvoir pour faire pression sur la hiérarchie et déstabiliser un suppléant. Hors on a un statut précaire et difficile à vivre (même pas le temps de préparer le CAPES, pour les personnes qui souhaitaient me répondre qu'il faut que je passe le CAPES, je demande que ça et surtout de l'avoir).
Suis-je également éligible aux formations proposées par la DDEC ou le Rectorat ? Car je n'ai pas le même son de cloche de la part de la DDEC et de mon syndicat.
Si des collègues dans la même galère peuvent m'éclairer et me donner des conseils, je suis toute ouïe car le milieu est un peu flippant vu tout ce que j'entends.
Je poste sur la protection des Maîtres Aux (vocabulaire du privée) car récemment j'ai fait les frais de bidouillages de ma hiérarchie (je n'en parlerai pas davantage sur le forum) et j'ai dû démissionner d'heures, et non de mon poste. Les conditions étaient juste inhumaines pour une personne n'ayant pas fait le Master Enseignement et l'année dernière j'étais jetée brutalement dans la jungle sur un poste à temps complet. C'était une année très difficile et ça va mieux cette année mais il s'avère que l'EN ne soit pas un terreau facile, c'est plutôt semé d'embûches qui nous surprennent. Très en colère et ayant des connaissances dans le monde obscur des maîtres aux, j'ai décidé de me syndiquer car ce statut précaire n'est pas sécurisant financièrement et psychologiquement (les CDE font parfois de l'abus de pouvoir puisque les suppléants ne connaissent pas bien les règles du jeu et encore moins leurs droits).
En gros, quelles sont les premières choses à faire pour se protéger au maximum ? Car pour ce que j'en voie, les parents et les élèves ont de plus en plus de pouvoir pour faire pression sur la hiérarchie et déstabiliser un suppléant. Hors on a un statut précaire et difficile à vivre (même pas le temps de préparer le CAPES, pour les personnes qui souhaitaient me répondre qu'il faut que je passe le CAPES, je demande que ça et surtout de l'avoir).
Suis-je également éligible aux formations proposées par la DDEC ou le Rectorat ? Car je n'ai pas le même son de cloche de la part de la DDEC et de mon syndicat.
Si des collègues dans la même galère peuvent m'éclairer et me donner des conseils, je suis toute ouïe car le milieu est un peu flippant vu tout ce que j'entends.
- Blan6ineÉrudit
Avoir choisi de te syndiquer est un excellent moyen d'obtenir des informations et un soutien!
En ce qui concerne la pression exercée par les parents et les élèves... tu peux compter sur toi et, je te le souhaite, des collègues dont le personnel de la vie scolaire.
Je comprends tout à fait ton désarroi, voire ta douleur. Attention à des phrases comme " il s'avère que l'EN aime me causer du tort" qui peuvent te desservir.
En ce qui concerne la pression exercée par les parents et les élèves... tu peux compter sur toi et, je te le souhaite, des collègues dont le personnel de la vie scolaire.
Je comprends tout à fait ton désarroi, voire ta douleur. Attention à des phrases comme " il s'avère que l'EN aime me causer du tort" qui peuvent te desservir.
- MéréthideHabitué du forum
Tu as tout à fait le droit de faire des formations (surtout celles de Formiris pour préparer le concours ça serait bête de ne pas profiter de cette bulle d'air dans l'année !).
Les formations du rectorat que j'ai pu faire m'ont été imposée et j'ignore qui m'y a inscrite, mais c'était à faire (au moins une fois ^^).
Par contre, même si cela arrive trop tard dans ton cas peut être, ne jamais mais jamais dire que tu n'as pas le concours au cours d'une conversation avec des élèves/parents à proximité.
Les années de MA peuvent être dures voir très douloureuses, mais c'est une force pour l'oral du concours !
Les formations du rectorat que j'ai pu faire m'ont été imposée et j'ignore qui m'y a inscrite, mais c'était à faire (au moins une fois ^^).
Par contre, même si cela arrive trop tard dans ton cas peut être, ne jamais mais jamais dire que tu n'as pas le concours au cours d'une conversation avec des élèves/parents à proximité.
Les années de MA peuvent être dures voir très douloureuses, mais c'est une force pour l'oral du concours !
- Anne-BlanchettNiveau 5
Années douloureuses, complètement, l'année dernière j'étais en arrêt et je ne me sentais pas soutenue dans ma prépa de cours au lycée (un peu plus au collège) et cette année dans le collège où je suis (je suis arrivée en janvier), c'est "démerde-toi" (collège où j'ai toute la bourgeoisie du coin)
Tu penses que je peux contacter directement Formiris ? Je suis syndiquée, apparemment le DIF ou CIF a été transformé, et mon syndicat me dit que je bénéficie au même titre que les certifiés du droit à la formation, alors que le directeur de la DDEC m'a soutenu le contraire. Qui croire ?
Tu penses que je peux contacter directement Formiris ? Je suis syndiquée, apparemment le DIF ou CIF a été transformé, et mon syndicat me dit que je bénéficie au même titre que les certifiés du droit à la formation, alors que le directeur de la DDEC m'a soutenu le contraire. Qui croire ?
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