- User17706Bon génie
Comme tu veux, comme tu veux.
- GrypheMédiateur
De toute façon, tant que tu ne lis pas les livres indiqués, ta bibliographie est totalement inutile.
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Comme tu veux, comme tu veux.
Non, ce n'est pas comme je veux...
Ce que je dis ne tombe-t-il pas sous le sens?
N'est ce pas logique qu'il conseille telle édition pour travailler une partie précise d'un livre?
Et tu as dit, je en comprends pas pourquoi que les éditions étaient scolaires et incomplètes.
C'est vrai que les "intégrales de philo" c'est ce qu'on fait acheter en terminale. Mais en quoi est ce que c'est plus mal que de lire dans une autre édition? Parce que dans cette édition là il y a dossier, compléments, etc... Donc c'est une bonne chose, non?
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- GrypheMédiateur
Parménide a écrit:Parce que dans cette édition là il y a dossier, compléments, etc... Donc c'est une bonne chose, non?
Seulement si tu les lis.
Tu prépares la session 2017, en fait ?
- JEMSGrand Maître
Les éditions scolaires sont incomplètes car vous devez avoir la culture la plus large possible et les livres scolaires ne vous apporteront l'équivalent d'une "trousse de secours"... allez-voir du côté de Goethe, de Bourdelle pour les arts, de Rawls pour l'économie, des travaux de Robert Castel sur le travail et l'Homme...
- JEMSGrand Maître
Je rajouterai, même si je ne suis pas spécialiste, que vous allez à la conquête d'une discipline de questionnements permanents, multi-dimensionnelle, dont les composantes sont interconnectées. En "réduisant" votre champ d'investigation, vous posez vos propres oeillères et passez sans doute à côté de l'essentiel, cad l'ouverture d'esprit.
Et tiens un jour, vous pouvez aussi lire point ligne plan de Kandisky... très intéressante approche de la subjectivité.
Et tiens un jour, vous pouvez aussi lire point ligne plan de Kandisky... très intéressante approche de la subjectivité.
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Parménide a écrit:Parce que dans cette édition là il y a dossier, compléments, etc... Donc c'est une bonne chose, non?
Seulement si tu les lis.
Tu prépares la session 2017, en fait ?
Je ne raisonne plus (ou du moins j'essaie !) en terme de quelqu'un qui prépare le concours, mais en terme de quelqu'un qui cherche à acquérir le savoir pour être professeur de philosophie. Il est important que j'abandonne ces approches trop institutionnelles.
JEMS a écrit:Les éditions scolaires sont incomplètes car vous devez avoir la culture la plus large possible et les livres scolaires ne vous apporteront l'équivalent d'une "trousse de secours"... allez-voir du côté de Goethe, de Bourdelle pour les arts, de Rawls pour l'économie, des travaux de Robert Castel sur le travail et l'Homme...
Si c'est trop scolaire de travailler avec des extraits, si c'est trop scolaire de travailler avec des éditions scolaires... bientôt il ne va plus rester grand-chose...
JEMS a écrit:Je rajouterai, même si je ne suis pas spécialiste, que vous allez à la conquête d'une discipline de questionnements permanents, multi-dimensionnelle, dont les composantes sont interconnectées. En "réduisant" votre champ d'investigation, vous posez vos propres oeillères et passez sans doute à côté de l'essentiel, cad l'ouverture d'esprit.
Et tiens un jour, vous pouvez aussi lire point ligne plan de Kandisky... très intéressante approche de la subjectivité.
Le problème n'est pas de réduire le champ d'investigation ou de faire des discriminations dans les champs du savoirs. Le problème c'est que si on veut étendre le plus possible ses connaissances, forcément la précision en pâtira.
C'est le problème auquel je suis confronté depuis 8 ans dans le cadre de cette préparation, et je n'arrive pas vraiment à en sortir.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Parménide a écrit:Si c'est trop scolaire de travailler avec des extraits, si c'est trop scolaire de travailler avec des éditions scolaires... bientôt il ne va plus rester grand-chose...
Je ne connais pas bien le monde de l'édition en philosophie, mais j'imagine quand même que les éditions scolaires ne forment pas la majeure partie de la production...
Bon courage pour le CAPES (je viens de voir que ça fait 8 ans que tu le prépares, chapeau pour ta persévérance).
- User17706Bon génie
Bon alors seulement quelques petites remarques, et je m'en tiendrai là.
Lecture intégrale.Parménide a écrit: *La République (Bordas, "les œuvres philosophiques", M. Dixsaut). Tinland mentionne particulièrement VI et VII. Faudra que je fasse un choix entre la lecture intégrale et juste ces deux livres.
Si tu y tiens.Parménide a écrit: Timée
À la condition expresse d'avoir l'oeuvre intégrale à portée de main.Parménide a écrit: Aristote :*Ethique à Nicomaque . Tinland précise : L. V. (Ellipses, "Philo-textes", J. Cachia)
À la condition expresse d'avoir l'oeuvre intégrale à portée de main.Parménide a écrit: -Kant : *Analytique du beau (GF Flammarion, A. Grandjean)
- JEMSGrand Maître
Pour rebondir sur vos propos, vous parlez de justesse, moi je parle d'ouverture. Nous ne vous demandons pas une thèse sur Bacon ou sur Heidegger, il faut, mais d'autres spécialistes pourront intervenir, lire des textes périphériques qui permettront l'interconnexion des idées et formeront un ensemble cohérent dans l'enrichissement de thèses/d'idées, dans la nuance, ou dans l'opposition.
- ClintNiveau 6
Parménide a écrit:Clodoald a écrit:Parménide, je ne suis guère intervenu dans tes fils.
Je te conseille tout de même de passer le concours.
On ne sait jamais, sur un malentendu...
J'en suis la preuve vivante.
Je n'irai pas cette année, c'est impossible.
Non.
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Quand on tire, on raconte pas sa vie....
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:
Bon alors seulement quelques petites remarques, et je m'en tiendrai là.Lecture intégrale.Parménide a écrit: *La République (Bordas, "les œuvres philosophiques", M. Dixsaut). Tinland mentionne particulièrement VI et VII. Faudra que je fasse un choix entre la lecture intégrale et juste ces deux livres.
Si je lis La République intégralement, cela veut dire que je ne me focaliserai pas de façon précise sur VI et VII. Du coup, le temps passé à lire tout ce qui n'est pas VI et VII sera autant de temps perdu que je pourrais consacrer à des extraits clés d'Aristote ou de Descartes par exemple...
C'est toujours pareil : la pragmatisme de l'extrait contre la vision générale de l'œuvre. Et je ne peux pas vraiment sortir de ce dilemme.
PauvreYorick a écrit:Si tu y tiens.Parménide a écrit: Timée
C'est pour moi une réponse qui en dit très long : tu reconnais de fait la présence d'une hiérarchie au sein même des textes qu'il faut lire lorsqu'on prétend enseigner la philosophie. C'est pourquoi je n'ai jamais compris pourquoi tu m'as toujours dit que la bibliographie du capes de philosophie n'existait pas. Si tu exclus le Timée, ça veut dire que tu inclus d'autres titres, selon toi plus importants, quand on veut devenir professeur de philosophie, non seulement pour Platon, mais pour tous les autres auteurs.
PauvreYorick a écrit:À la condition expresse d'avoir l'oeuvre intégrale à portée de main.Parménide a écrit: Aristote :*Ethique à Nicomaque . Tinland précise : L. V. (Ellipses, "Philo-textes", J. Cachia)À la condition expresse d'avoir l'oeuvre intégrale à portée de main.Parménide a écrit: -Kant : *Analytique du beau (GF Flammarion, A. Grandjean)
Je ferais exactement la même remarque que sur La République.
JEMS a écrit:Pour rebondir sur vos propos, vous parlez de justesse, moi je parle d'ouverture. Nous ne vous demandons pas une thèse sur Bacon ou sur Heidegger, il faut, mais d'autres spécialistes pourront intervenir, lire des textes périphériques qui permettront l'interconnexion des idées et formeront un ensemble cohérent dans l'enrichissement de thèses/d'idées, dans la nuance, ou dans l'opposition.
Je sais.
Ce que je ne sais pas c'est jusqu'à quel degré de précision les choses doivent être connues... Vu qu'on peut avoir 12-13 sans citer personne, j'en suis à me demander si la solution ne consiste pas à abandonner toute idée de mémorisation, de fiche, ainsi que de prise de notes, et juste lire encore et encore sans se préoccuper d'autre chose...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User17706Bon génie
Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
Je n'ai rien à décider. Je n'ai pas les cartes en mains pour décider de façon objective de toute façon. La seule chose que je sais, c'est que dans une dissertation (et même dans un commentaire) on est censé mobiliser des références précises. Et le programme est tel qu'il y a toutes les chances que les sujets tombent sur des domaines dans lesquels je n'aurai pas de connaissances et des références précises.
Quelle stratégie dès lors, le jour du concours? S'autocensurer et ne citer personne de crainte de paraitre beaucoup trop allusif?
Avoir des connaissances précises sur un programme aussi vaste, pour moi n'est pas possible. On ne peut pas à la fois être performant sur la quantité et sur la qualité.
Enfin, si, c'est peut être possible. Mais ça suppose une façon de travailler qui serait d'essence cumulative. Et c'est là qu'on comprend tout le sens que ça peut avoir lorsqu'on dit qu'un concours de philosophie, se prépare en réalité dès la L1. Sauf que, comme je n'ai jamais retenu que très peu de choses de tout ce que j'ai fait depuis ma L1, on voit le résultat aujourd'hui...
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- supersosoSage
Parménide, tu gagnerais beaucoup de temps si tu arrêtais d'interpréter les conseils que l'on te donne, et ceux de PY en particulier. Sans avoir une confiance aveugle (car il y a des choses qui sont de l'ordre de notre rapport aux connaissances, notre manière de les appréhender, et où tu adaptes ce qu'on te dit en fonction de ce que tu es, sans épiloguer), commencer par faire confiance à des personnes qui ont déjà réussi les concours, qui enseignent depuis de nombreuses années, qui préparent régulièrement des étudiants aux concours, te serait d'une grande aide. On peut discuter éventuellement de telle ou telle référence, mais sur la globalité, tu peux quand même te dire qu'il y a de fortes chances pour que les conseils que tu reçois soient judicieux.
Libre à toi de les suivre ou pas. Mais très honnêtement, vouloir sans cesse les discuter et quasiment les remettre en cause, c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité (d'autant plus que tu ne connais même pas vraiment les œuvres dont il est question).
ET plutôt que de les discuter, tu prends les livres en question et tu commences à les lire. Tu as des journées entières pour le faire : profite !
Libre à toi de les suivre ou pas. Mais très honnêtement, vouloir sans cesse les discuter et quasiment les remettre en cause, c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité (d'autant plus que tu ne connais même pas vraiment les œuvres dont il est question).
ET plutôt que de les discuter, tu prends les livres en question et tu commences à les lire. Tu as des journées entières pour le faire : profite !
- ClintNiveau 6
Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
Je n'ai rien à décider. Je n'ai pas les cartes en mains pour décider de façon objective de toute façon. La seule chose que je sais, c'est que dans une dissertation (et même dans un commentaire) on est censé mobiliser des références précises. Et le programme est tel qu'il y a toutes les chances que les sujets tombent sur des domaines dans lesquels je n'aurai pas de connaissances et des références précises.
Quelle stratégie dès lors, le jour du concours? S'autocensurer et ne citer personne de crainte de paraitre beaucoup trop allusif?
Avoir des connaissances précises sur un programme aussi vaste, pour moi n'est pas possible. On ne peut pas à la fois être performant sur la quantité et sur la qualité.
Enfin, si, c'est peut être possible. Mais ça suppose une façon de travailler qui serait d'essence cumulative. Et c'est là qu'on comprend tout le sens que ça peut avoir lorsqu'on dit qu'un concours de philosophie, se prépare en réalité dès la L1. Sauf que, comme je n'ai jamais retenu que très peu de choses de tout ce que j'ai fait depuis ma L1, on voit le résultat aujourd'hui...
1/ Tu te poses beaucoup de questions
2/ Certaines de ces questions pourraient trouver un début d'éclaircissement, à défaut de réponses définitives, en allant se tester à l'écrit du concours (je ne parle pas de le réussir)
3/ Tu refuses de t'y présenter
4/ Y a un moment où il faut être cohérent.
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Quand on tire, on raconte pas sa vie....
- ClintNiveau 6
Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
Je n'ai rien à décider.
Si.
Au contraire.
Tout.
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Quand on tire, on raconte pas sa vie....
- LevincentNiveau 9
Parménide a écrit:
Si je lis La République intégralement, cela veut dire que je ne me focaliserai pas de façon précise sur VI et VII. Du coup, le temps passé à lire tout ce qui n'est pas VI et VII sera autant de temps perdu que je pourrais consacrer à des extraits clés d'Aristote ou de Descartes par exemple...
Ce ne sera PAS du temps perdu. Bien sûr, tu peux toujours voir le verre à moitié vide, et dire que le temps que tu passes à lire La République, tu ne le passes pas à lire autre chose, mais c'est valable pour tout le monde, et tu peux appliquer ce raisonnement à toute œuvre, de manière à annuler l'utilité de toute lecture. Et c'est d'ailleurs ce que tu fais en noyant toute acquisition finie de connaissance dans l'infinité de la non-acquisition que tu fais dans le même temps.
La solution à ton problème est pourtant simple : tu dois travailler énormément. Si tu n'arrives pas à te décider entre l'extension et la profondeur, alors coupe la poire en deux, et sur 8 heures de travail quotidiennes, tu en consacres 4 à la lecture du maximum de classiques que tu pourras, et 4 à approfondir le plus possible deux ou trois auteurs. Allonge cette durée à 10 heures ou 12 heures, voire plus, si tu en as les moyens matériels (attention, je ne te demande même pas si tu en as la capacité, l'envie, ou l'énergie, à partir du moment où tu peux le faire, tu dois le faire, comme chez Kant). Ne pas oublier non plus de s'allouer une plage pour s'entraîner aux exercices de dissertation ou d'explication de texte. Pendant les mois de préparation du concours, toutes les fibres de ton être ne doivent être tendues que vers la philosophie, et ça te transformera forcément dans le bon sens pour passer les concours.
Il n'y a pas d'autre conseil que celui-là, tout le reste, qui concerne le choix des œuvres, des éditions, ou de la méthode, l'argutie sur internet c'est de l'accessoire.
- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
Je n'ai rien à décider. Je n'ai pas les cartes en mains pour décider de façon objective de toute façon. La seule chose que je sais, c'est que dans une dissertation (et même dans un commentaire) on est censé mobiliser des références précises. Et le programme est tel qu'il y a toutes les chances que les sujets tombent sur des domaines dans lesquels je n'aurai pas de connaissances et des références précises.
Quelle stratégie dès lors, le jour du concours? S'autocensurer et ne citer personne de crainte de paraitre beaucoup trop allusif?
Avoir des connaissances précises sur un programme aussi vaste, pour moi n'est pas possible. On ne peut pas à la fois être performant sur la quantité et sur la qualité.
Enfin, si, c'est peut être possible. Mais ça suppose une façon de travailler qui serait d'essence cumulative. Et c'est là qu'on comprend tout le sens que ça peut avoir lorsqu'on dit qu'un concours de philosophie, se prépare en réalité dès la L1. Sauf que, comme je n'ai jamais retenu que très peu de choses de tout ce que j'ai fait depuis ma L1, on voit le résultat aujourd'hui...
Une question : comment penses-tu que font les étudiants qui préparent vraiment, et ont, le concours ?
- lumeekaExpert spécialisé
Ne te prends pas trop la tête, Parménide. Le temps que tu obtiennes ton CAPES, il n'y aura certainement plus de philosophie au lycée. Au rythme où l'on va...
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Animals are my friends... and I don't eat my friends. George Bernard Shaw
https://www.facebook.com/sansvoixpaca/
http://www.nonhumanrightsproject.org/about-us-2/
- philopoussinNiveau 8
DesolationRow a écrit:Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Je t'ai donné mes conseils sur ces quatre items. À toi de décider ce que tu feras de ces conseils.
Je n'ai rien à décider. Je n'ai pas les cartes en mains pour décider de façon objective de toute façon. La seule chose que je sais, c'est que dans une dissertation (et même dans un commentaire) on est censé mobiliser des références précises. Et le programme est tel qu'il y a toutes les chances que les sujets tombent sur des domaines dans lesquels je n'aurai pas de connaissances et des références précises.
Quelle stratégie dès lors, le jour du concours? S'autocensurer et ne citer personne de crainte de paraitre beaucoup trop allusif?
Avoir des connaissances précises sur un programme aussi vaste, pour moi n'est pas possible. On ne peut pas à la fois être performant sur la quantité et sur la qualité.
Enfin, si, c'est peut être possible. Mais ça suppose une façon de travailler qui serait d'essence cumulative. Et c'est là qu'on comprend tout le sens que ça peut avoir lorsqu'on dit qu'un concours de philosophie, se prépare en réalité dès la L1. Sauf que, comme je n'ai jamais retenu que très peu de choses de tout ce que j'ai fait depuis ma L1, on voit le résultat aujourd'hui...
Une question : comment penses-tu que font les étudiants qui préparent vraiment, et ont, le concours ?
Ils ont des pistons
Et après pour les faire taire on les éjecte sur la péninsule indienne, on les transforme en statue, on les promène sur la planète du Petit Prince voire! Attention! On les catapulte en province! Mais rien ne pourra les faire taire, les bougres, ils diront encore et encore : LIS! LIS! BIEN ET SI POSSIBLE BEAUCOUP!
- JézabelNiveau 10
Je ne sais pas si cela a déjà été évoqué (je n'ai pas lu tous tes fils), mais pourquoi ne tenterais-tu pas de faire des suppléances ? Tu pourrais passer le Capes interne au bout de trois ans, et en même temps voir si ce métier te convient ou non.
Ce n'est qu'un avis.
Bon courage en tout cas.
Ce n'est qu'un avis.
Bon courage en tout cas.
- supersosoSage
Non mais ça a été dit plein de fois, ça
- User17706Bon génie
Choisir (vivre) c'est justement accepter qu'on n'agit jamais en pleine connaissance de cause. Tu raisonnes comme qqn qui aurait devant lui l'éternité.
Or tout homme est mortel
Or tout homme est mortel
- User5899Demi-dieu
Mais enfin, depuis quand un étudiant, un professeur travaillent-ils sur une partie de livre sans avoir lu la totalité ? Si je dois bosser sur Le Temps retrouvé, la moindre des choses est quand même de lire l'ensemble de la Recherche !! Ou alors, le mot livre n'a plus de sens !Parménide a écrit:PauvreYorick a écrit:Comme tu veux, comme tu veux.
Non, ce n'est pas comme je veux...
Ce que je dis ne tombe-t-il pas sous le sens?
N'est ce pas logique qu'il conseille telle édition pour travailler une partie précise d'un livre?
Et tu as dit, je en comprends pas pourquoi que les éditions étaient scolaires et incomplètes.
C'est vrai que les "intégrales de philo" c'est ce qu'on fait acheter en terminale. Mais en quoi est ce que c'est plus mal que de lire dans une autre édition? Parce que dans cette édition là il y a dossier, compléments, etc... Donc c'est une bonne chose, non?
- User5899Demi-dieu
Non mais j'aurai tout lu, moi. Tout. 27 ans de métier, et attendre de lire un futur collègue au détour d'un forum pour lire ça...Parménide a écrit:Si je lis La République intégralement, cela veut dire que je ne me focaliserai pas de façon précise sur VI et VII. Du coup, le temps passé à lire tout ce qui n'est pas VI et VII sera autant de temps perdu que je pourrais consacrer à des extraits clés d'Aristote ou de Descartes par exemple...
Ohé, les modos ! Pourquoi n'y a-t-il pas un moyen de choisir des sujets à ignorer, ie qui n'apparaîtraient pas dans la liste, afin qu'on les oublie ? Ces fils me rendent malade, à force.
- Préparationdu capes de philosophie ; inquiétude, méthode et bibliographie.
- Philosophie : Pourquoi mes copies de Capes ne m'ont-elles pas valu une bonne note ? Sénèque (capes 2012) et "L'art est-il un langage ?" (capes 2014)
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