- CatLeaBon génie
Serait-il possible de trouver une explication claire sur ces deux sortes d'évaluation? Le principe, les avantages, les inconvénients, les points communs, les différences?
Merci par avance.
Merci par avance.
- User5899Demi-dieu
La sommative est fatigante, alors après, on dort. C'est la vraie.
La formative est rigolote, alors elle excite et après, on est en forme. C'est la fausse.
La formative est rigolote, alors elle excite et après, on est en forme. C'est la fausse.
- CatLeaBon génie
Merci sieur Cripure. Mais je doute que je puisse expliquer cela ainsi aux membres du jury de l'agreg si je vais aux oraux.
- User5899Demi-dieu
Bah, vous adaptez
Je vous le fais.
Dans une perspective d'appropriation par le sujet apprenant des tenants et des aboutissants des facteurs de ses apprentissages, il est primordial que l'évaluation lui permette de s'évaluer, c'est-à-dire de mesurer zacquis zet faiblesses, en permanence, tout au long du processus de formation.
Le professeur, bienveillant mais à qui rien n'échappe, conçoit donc, en même temps que des parcours diversifiés de mise en rencontre avec le point en étude, des moments où l'apprenant peut confronter l'état actuel de son savoir et de son apprentissage avec le déroulé des différentes séances conséquemment réunies. Ces évaluations sont sans enjeu et se présentent sous les formes diverses qu'aura jugées bonnes l'enseignant, soucieux de mettre principalement l'appprenant en confiance : elles sont partielles, accessibles, de nature analytico-déductives, et consistent en des travaux de dimensions restreintes destinées à stimuler ("mettre en forme" ----> "formative") les apprentissages, mais aussi à permettre des virages et des remises en question au cas très exceptionnel où elle seraient ratées.
L'évaluation sommative, en revanche, située à la fin de la séquence, permet une mise en perspective bilannée chez l'apprenant et permet à ce dernier de vérifier ses acquis en fin de parcours, avant qu'il ne se confronte, par exemple, à un examen.
Je vous le fais.
Dans une perspective d'appropriation par le sujet apprenant des tenants et des aboutissants des facteurs de ses apprentissages, il est primordial que l'évaluation lui permette de s'évaluer, c'est-à-dire de mesurer zacquis zet faiblesses, en permanence, tout au long du processus de formation.
Le professeur, bienveillant mais à qui rien n'échappe, conçoit donc, en même temps que des parcours diversifiés de mise en rencontre avec le point en étude, des moments où l'apprenant peut confronter l'état actuel de son savoir et de son apprentissage avec le déroulé des différentes séances conséquemment réunies. Ces évaluations sont sans enjeu et se présentent sous les formes diverses qu'aura jugées bonnes l'enseignant, soucieux de mettre principalement l'appprenant en confiance : elles sont partielles, accessibles, de nature analytico-déductives, et consistent en des travaux de dimensions restreintes destinées à stimuler ("mettre en forme" ----> "formative") les apprentissages, mais aussi à permettre des virages et des remises en question au cas très exceptionnel où elle seraient ratées.
L'évaluation sommative, en revanche, située à la fin de la séquence, permet une mise en perspective bilannée chez l'apprenant et permet à ce dernier de vérifier ses acquis en fin de parcours, avant qu'il ne se confronte, par exemple, à un examen.
- CatLeaBon génie
Merci bien pour cette adaptation dont je vais certainement me servir.
- eleonore69Érudit
Cripure a écrit:Bah, vous adaptez
Je vous le fais.
Dans une perspective d'appropriation par le sujet apprenant des tenants et des aboutissants des facteurs de ses apprentissages, il est primordial que l'évaluation lui permette de s'évaluer, c'est-à-dire de mesurer zacquis zet faiblesses, en permanence, tout au long du processus de formation.
Le professeur, bienveillant mais à qui rien n'échappe, conçoit donc, en même temps que des parcours diversifiés de mise en rencontre avec le point en étude, des moments où l'apprenant peut confronter l'état actuel de son savoir et de son apprentissage avec le déroulé des différentes séances conséquemment réunies. Ces évaluations sont sans enjeu et se présentent sous les formes diverses qu'aura jugées bonnes l'enseignant, soucieux de mettre principalement l'appprenant en confiance : elles sont partielles, accessibles, de nature analytico-déductives, et consistent en des travaux de dimensions restreintes destinées à stimuler ("mettre en forme" ----> "formative") les apprentissages, mais aussi à permettre des virages et des remises en question au cas très exceptionnel où elle seraient ratées.
L'évaluation sommative, en revanche, située à la fin de la séquence, permet une mise en perspective bilannée chez l'apprenant et permet à ce dernier de vérifier ses acquis en fin de parcours, avant qu'il ne se confronte, par exemple, à un examen.
lol!
- qui ne tente rien...Niveau 9
Il y a plusieurs articles publiés par Pascal Duplessis sur son blog Les 3 Couronnes à ce sujet. Ils m'ont été utiles pour l'oral du CAPES.
- CatLeaBon génie
Merci qui ne tente rien. Je vais aller voir ça.
- qui ne tente rien...Niveau 9
C'est très orienté information-documentation et prof doc, donc ça ne te sera peut être pas très utile, mais on retrouve les grandes lignes de l'évaluation et l'auteur est fiable.
http://lestroiscouronnes.esmeree.fr/didactique-information/evaluation-des-competences-info-documentaires
http://lestroiscouronnes.esmeree.fr/didactique-information/evaluation-des-competences-info-documentaires
- ycombeMonarque
Comme le montre le retrieval practice effect, elles ont un effet très positif sur la mémorisation aussi bien à court terme qu'à long terme.Cripure a écrit:Bah, vous adaptez
Je vous le fais.
Dans une perspective d'appropriation par le sujet apprenant des tenants et des aboutissants des facteurs de ses apprentissages, il est primordial que l'évaluation lui permette de s'évaluer, c'est-à-dire de mesurer zacquis zet faiblesses, en permanence, tout au long du processus de formation.
Le professeur, bienveillant mais à qui rien n'échappe, conçoit donc, en même temps que des parcours diversifiés de mise en rencontre avec le point en étude, des moments où l'apprenant peut confronter l'état actuel de son savoir et de son apprentissage avec le déroulé des différentes séances conséquemment réunies. Ces évaluations sont sans enjeu et se présentent sous les formes diverses qu'aura jugées bonnes l'enseignant, soucieux de mettre principalement l'appprenant en confiance : elles sont partielles, accessibles, de nature analytico-déductives, et consistent en des travaux de dimensions restreintes destinées à stimuler ("mettre en forme" ----> "formative") les apprentissages, mais aussi à permettre des virages et des remises en question au cas très exceptionnel où elle seraient ratées.
L'évaluation sommative, en revanche, située à la fin de la séquence, permet une mise en perspective bilannée chez l'apprenant et permet à ce dernier de vérifier ses acquis en fin de parcours, avant qu'il ne se confronte, par exemple, à un examen.
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Bah, vous adaptez
Je vous le fais.
Dans une perspective d'appropriation par le sujet apprenant des tenants et des aboutissants des facteurs de ses apprentissages, il est primordial que l'évaluation lui permette de s'évaluer, c'est-à-dire de mesurer zacquis zet faiblesses, en permanence, tout au long du processus de formation.
Le professeur, bienveillant mais à qui rien n'échappe, conçoit donc, en même temps que des parcours diversifiés de mise en rencontre avec le point en étude, des moments où l'apprenant peut confronter l'état actuel de son savoir et de son apprentissage avec le déroulé des différentes séances conséquemment réunies. Ces évaluations sont sans enjeu et se présentent sous les formes diverses qu'aura jugées bonnes l'enseignant, soucieux de mettre principalement l'appprenant en confiance : elles sont partielles, accessibles, de nature analytico-déductives, et consistent en des travaux de dimensions restreintes destinées à stimuler ("mettre en forme" ----> "formative") les apprentissages, mais aussi à permettre des virages et des remises en question au cas très exceptionnel où elle seraient ratées.
L'évaluation sommative, en revanche, située à la fin de la séquence, permet une mise en perspective bilannée chez l'apprenant et permet à ce dernier de vérifier ses acquis en fin de parcours, avant qu'il ne se confronte, par exemple, à un examen.
Cripure, ce n'est pas la direction qu'il faut choisir mais l'inspection ! Ou un poste de MCF à l'ESPE...
- User5899Demi-dieu
Très peu de gens savent ce que je suis en vrai
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Très peu de gens savent ce que je suis en vrai
Philippe ?
- Spoiler:
- Mérieu ? Je m'en doutais !
- CatLeaBon génie
Bon, admettons que je fasse un TD à mes étudiants, que je leur demande d'utiliser l'outil informatique pour découvrir de nouvelles techniques, leur principe et la façon d'exploiter ou de prédire les résulats. Admettons que je ne veuille pas les évaluer en terme de notes mais plutôt sur leur façon de remplir les objectifs donnés ci-dessous et que je corrige l'activité en leur présence, de façon interactive (en les faisant participer quoi), c'est bien de l'évaluation formative, non?
- InvitéInvité
Oui, l'important est surtout que ce soit pendant et que cela ne compte pas pour la moyenne. Qu'ils participent ou pas importe peu à mon avis pour la définition.
- User5899Demi-dieu
Chhhhhuuuuuuuuuuttttttttt...Tamerlan a écrit:Cripure a écrit:Très peu de gens savent ce que je suis en vrai
Philippe ?
- Spoiler:
Mérieu ? Je m'en doutais !
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