- ArtysiaVénérable
Rapport écrit et rappelle à la loi. Si prochaine fois il y a ça tombera vraiment sous le coup de la loi et en ce moment, ce genre de propos est encore plus pris au sérieux. C'est très choquant quand même.
- Isis39Enchanteur
Ragnetrude a écrit:Artysia a écrit:Moi je ferais un rapport, je ferais remonter l'info au principal, c'est grave quand même.
Pour Nuit et Brouillard, ça ne traîte pas de la Shoah donc je ne le passe pas.
J'ai déjà informé le principal. Il m'a dit qu'il fallait que "j'éveille les consciences" Il est assez bisounours...
Rappelle à ton principal que ces propos tombent sous le coup de la loi.
Je serai à Auschwitz ce week end. J'en ramènerai des photos, si ça vous intéresse...
AU niveau documentaire, évite Nuit et Brouillard. COmme le dit Artysia, ilne traite pas de l'extermination.
Il y a Shoah : le témoignage du coiffeur, ou du "chef" de Treblinka expliquant le processus, sont assez "parlants".
- RendashBon génie
D'un autre côté, une gamine de 3e n'a pas inventé ça toute seule.
En plus du reste, je propose deux heures de colle durant lesquelles elle regardera des extraits de Nuit et Brouillard , de Shoah, et de De Nuremberg à Nuremberg.
En plus du reste, je propose deux heures de colle durant lesquelles elle regardera des extraits de Nuit et Brouillard , de Shoah, et de De Nuremberg à Nuremberg.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Isis39Enchanteur
Rendash a écrit:D'un autre côté, une gamine de 3e n'a pas inventé ça toute seule.
En plus du reste, je propose deux heures de colle durant lesquelles elle regardera des extraits de Nuit et Brouillard , de Shoah, et de De Nuremberg à Nuremberg.
Nuit et Brouillard ne traite pas du génocide.
- RendashBon génie
OK. Au temps pour moi. Tu as quand même saisi l'idée.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Isis39Enchanteur
Rendash a écrit:OK. Au temps pour moi. Tu as quand même saisi l'idée.
oh oui. Mais Shoah suffit : 6h....
- RendashBon génie
De toute façon, je proposais deux heures, donc il faut forcément faire des Shoah.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RagnetrudeExpert spécialisé
C'est à quel moment du film de témoignage du chef de Treblinka ?
Vous mettriez une sanction ? J'ai vraiment eu l'impression de lui apprendre qu'elle n'avait pas le droit de dire cela, elle n'a plus rien dit ensuite.
Vous mettriez une sanction ? J'ai vraiment eu l'impression de lui apprendre qu'elle n'avait pas le droit de dire cela, elle n'a plus rien dit ensuite.
- RendashBon génie
C'est un bon début, mais si tu pouvais aussi réussir à lui faire prendre conscience de la monstruosité de ces propos...
Ces pauvres mômes me font de la peine, comme ceux que j'entends brailler des propos racistes, parce qu'ils entendent les même sà longueur d'année à la maison =/
Ces pauvres mômes me font de la peine, comme ceux que j'entends brailler des propos racistes, parce qu'ils entendent les même sà longueur d'année à la maison =/
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Isis39Enchanteur
Ragnetrude a écrit:C'est à quel moment du film de témoignage du chef de Treblinka ?
Vous mettriez une sanction ? J'ai vraiment eu l'impression de lui apprendre qu'elle n'avait pas le droit de dire cela, elle n'a plus rien dit ensuite.
https://www.dailymotion.com/video/x4p5wx_shoah-pt-9_news
- FoulquartNiveau 6
Ça, ça arrive.
Bon, j'ai été en formation à Auschwitz l'an dernier avec le Mémorial, et on nous avait parlé de ce risque de réactions. Quelques éléments qui me reviennent en mémoire.
1/l'assassinat des Juifs d'Europe est l'événement le mieux documenté de toute l'histoire.
2/s'il n'y a pas eu meurtre, où sont passés les Juifs persécutés ?
3/les documents ont été produits par les nazis eux-mêmes ! Un formateur nous avait dit de bosser aussi à partir de liste de convois. L'assassinat des Juifs d'Europe ayant été une politique publique, d’État, elle a produit elle-même ses archives, que nous avons aujourd'hui.
4/sur le savon, il s'agit d'une légende urbaine née dans les années 1920, quand un scientifique nordique (peut-être même pas allemand) a proposé d'en faire avec de la graisse humaine, mais sans aboutir. Cette légende perdure, jusqu'à un film comme Fight Club.
5/expliquer qu'une vérité n'est pas une opinion, il y a des faits incontestables, prouvés, reconnus par les acteurs.
Après, il faut expliquer aussi que ceux qui sont morts, par définition, ne commettent plus de violences... que les générations ne sont pas les mêmes. Peut-être aussi qu'il faut expliquer pourquoi on parle de ça, pourquoi la mémoire de ces crimes est importante. Et qu'il n'y a pas de lien entre les crimes d'hier et ceux qu'elle dénonce.
Mais bon, c'est facile à dire, hein, quand on est pas les mains dans le cambouis... Et puis son positionnement relève de la croyance, de l'idéologie, donc on est assez limités face à ça. Le grand souci étant que si on "censure", on braque l'élève et on le confirme dans sa mythologie conspirationniste. Mais en même temps, faut fixer les limites du tolérable. (ça me rappelle une réflexion vive dans l'espace public depuis le 7 janvier...)
Après, je me souviens d'un des historiens qui disait que de toute façon il n'y avait pas à discuter le fait, ça a eu lieu, point.
Ca me fait penser à un bouquin, La démocratie des crédules, qui éclaire bien ces phénomènes de croyances (en plus de travaux de Taguieff sur le conspirationnisme).
Bon, j'ai été en formation à Auschwitz l'an dernier avec le Mémorial, et on nous avait parlé de ce risque de réactions. Quelques éléments qui me reviennent en mémoire.
1/l'assassinat des Juifs d'Europe est l'événement le mieux documenté de toute l'histoire.
2/s'il n'y a pas eu meurtre, où sont passés les Juifs persécutés ?
3/les documents ont été produits par les nazis eux-mêmes ! Un formateur nous avait dit de bosser aussi à partir de liste de convois. L'assassinat des Juifs d'Europe ayant été une politique publique, d’État, elle a produit elle-même ses archives, que nous avons aujourd'hui.
4/sur le savon, il s'agit d'une légende urbaine née dans les années 1920, quand un scientifique nordique (peut-être même pas allemand) a proposé d'en faire avec de la graisse humaine, mais sans aboutir. Cette légende perdure, jusqu'à un film comme Fight Club.
5/expliquer qu'une vérité n'est pas une opinion, il y a des faits incontestables, prouvés, reconnus par les acteurs.
Après, il faut expliquer aussi que ceux qui sont morts, par définition, ne commettent plus de violences... que les générations ne sont pas les mêmes. Peut-être aussi qu'il faut expliquer pourquoi on parle de ça, pourquoi la mémoire de ces crimes est importante. Et qu'il n'y a pas de lien entre les crimes d'hier et ceux qu'elle dénonce.
Mais bon, c'est facile à dire, hein, quand on est pas les mains dans le cambouis... Et puis son positionnement relève de la croyance, de l'idéologie, donc on est assez limités face à ça. Le grand souci étant que si on "censure", on braque l'élève et on le confirme dans sa mythologie conspirationniste. Mais en même temps, faut fixer les limites du tolérable. (ça me rappelle une réflexion vive dans l'espace public depuis le 7 janvier...)
Après, je me souviens d'un des historiens qui disait que de toute façon il n'y avait pas à discuter le fait, ça a eu lieu, point.
Ca me fait penser à un bouquin, La démocratie des crédules, qui éclaire bien ces phénomènes de croyances (en plus de travaux de Taguieff sur le conspirationnisme).
- RagnetrudeExpert spécialisé
Merci pour les éclairages. Effectivement je me suis demandée (demandé ?) si j'avais bien fait de la faire taire. Mais je pense l'avoir laissée parler assez longtemps. Surtout que dès le début j'ai senti que ça allait mal tourner (comment une gamine de 14 ans peut-elle penser qu'il y a "beaucoup de Juifs" ?).
- boris vassilievGrand sage
Il y a quelques temps, une élève d'origine turque est venue me voir en fin de cours pour me dire qu'elle n'était "pas d'accord" avec ce que j'avais dit, quelques temps auparavant (le temps sans doute que le sujet soit abordé à la maison), sur le génocide arménien ; qu'en fait les Arméniens avaient bien été "déplacés" mais qu'en fait, il s'agissait de les mettre à l'écart pour les protéger. Vu qu'il s'agit d'une élève brillante et tout à fait exemplaire, je l'ai laissée expliquer, avant de lui répondre qu'en classe on n'avait pas eu le temps d'aborder la question suffisamment en détail dans le cadre de la 1GM à traiter au galop, mais que si elle allait lire quelques articles d'historiens, elle se rendrait compte que sa version ressemblait plutôt à celle des autorités turques... N'ayant pas révisé la question, je me suis bien gardé d'insister, et elle non plus d'ailleurs, elle ne l'a pas fait dans une intention provocatrice.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Marie LaetitiaBon génie
Juste pour le plaisir, deux parmi les nombreux récits sur Bouvines, vraiment réussis par mes 5e...
- Marie LaetitiaBon génie
édité
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Isis39Enchanteur
C'est vraiment bien.
Recit de Marathon par mes 6e
Recit de Marathon par mes 6e
- Marie LaetitiaBon génie
Elles sont mignones ces petites voix... Et ils ont bien travaillé! Ce sont eux qui ont fait les diaporamas, aussi?
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Isis39Enchanteur
Marie Laetitia a écrit:Elles sont mignones ces petites voix... Et ils ont bien travaillé! Ce sont eux qui ont fait les diaporamas, aussi?
Les récits et les vidéos sont d'eux-mêmes. Ils les ont faites sur leurs iPads à la maison.
- FoulquartNiveau 6
Pour qu'ils arrivent à cette créativité, tu les guides ou bien ils ont une imagination débordante ?
- Isis39Enchanteur
Foulquart a écrit:Pour qu'ils arrivent à cette créativité, tu les guides ou bien ils ont une imagination débordante ?
Imagination ? Non. C'est le récit de la bataille de Marathon qu'ils ont écrit à partir de l'étude de quelques documents.
- RendashBon génie
Ce sont de belles choses.
Je vais d'ailleurs corriger le devoir de mes 5e, dans lequel ils devaient, entre autres, me raconter la bataille de Bouvines.
Je vais d'ailleurs corriger le devoir de mes 5e, dans lequel ils devaient, entre autres, me raconter la bataille de Bouvines.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Fesseur ProGuide spirituel
Trop fort Isis !
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Pourvu que ça dure...
- FoulquartNiveau 6
Isis39 a écrit:Foulquart a écrit:Pour qu'ils arrivent à cette créativité, tu les guides ou bien ils ont une imagination débordante ?
Imagination ? Non. C'est le récit de la bataille de Marathon qu'ils ont écrit à partir de l'étude de quelques documents.
Nan je parlais de la créativité formelle, notamment sur Bouvines.
- MalagaModérateur
Ils sont très chouettes, vos récits !
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- Marie LaetitiaBon génie
Foulquart a écrit:Isis39 a écrit:Foulquart a écrit:Pour qu'ils arrivent à cette créativité, tu les guides ou bien ils ont une imagination débordante ?
Imagination ? Non. C'est le récit de la bataille de Marathon qu'ils ont écrit à partir de l'étude de quelques documents.
Nan je parlais de la créativité formelle, notamment sur Bouvines.
Je crois que le collègue d'arts plastiques leur a déjà faire faire de faux parchemins, je n'ai même pas eu besoin de leur expliquer. POur les lettrines, je leur ai montré vite fait quelques exemples sur internet et après, ils étaient à fond.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
Foulquart a écrit:
4/sur le savon, il s'agit d'une légende urbaine née dans les années 1920, quand un scientifique nordique (peut-être même pas allemand) a proposé d'en faire avec de la graisse humaine, mais sans aboutir. Cette légende perdure, jusqu'à un film comme Fight Club.
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Concernant le savon, dans l'ouvrage de Denise Holstein, que j'utilise avec mes élèves, lorsqu'elle arrive à Auschwitz, un des membres du sonderkommando lui dit : « Tu vois, ça [les enfants] va faire du savon ».
Légende urbaine ?
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