- Roumégueur IerÉrudit
C'est là et ça parle de socle, de programme, de REP, d'évaluation et de codage : http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013428-tout-le-monde-sur-la-meme-ligne-de-depart.html
Qu'avez-vous prévu pour pallier le départ possible des enseignants dans les écoles qui sortent de l'éducation prioritaire ?
La sortie de l'éducation prioritaire se fera progressivement et non du jour au lendemain. Les indemnités des enseignants continueront à être versées pendant trois ans. Par ailleurs, ils seront suivis en termes de ressources humaines de façon particulière. Ils auront des points supplémentaires pour valoriser le temps passé en éducation prioritaire. Mais il ne faut pas caricaturer en considérant que la seule chose qui attire en REP, ce sont les indemnités ou les points de carrière. Ce sont d'abord les projets pédagogiques qui intéressent les professeurs. Notre réforme valorise cela. Nous reconnaissons leur expérience en la prenant en compte dans leur parcours.
Certaines classes devraient voir leur nombre d'élèves augmenter.
Le fait de retirer un poste dans un établissement extrêmement favorisé n'est pas comparable à l'effet produit par un poste de plus dans un établissement très défavorisé. La situation actuelle des élèves face à la réussite scolaire ressemble à un 100 mètres olympiques dont la ligne de départ ne serait pas la même pour tous les élèves. Certains partiraient bien à 100 mètres, mais d'autres à 120 mètres et d'autres à 50. Certains enfants sont davantage en situation de réussir que d'autres. Par exemple, un enfant de trois ans peut maîtriser trois fois plus de vocabulaire que son camarade en fonction du milieu social respectif. La réforme de l'allocation de moyens vise à remettre tout le monde sur la même ligne de départ. Pour cela, il faut introduire, dans le système d'allocation des moyens, une forme de progressivité qui permette de donner plus à ceux qui en ont le plus besoin.
La réforme de la notation vise-t-elle aussi à faire une différence entre les territoires ?
Notre volonté de réformer le système d'évaluation ne procède pas d'une compassion à l'égard d'élèves en difficulté scolaire auxquels on voudrait donner un coup de main en supprimant les notes. Nous n'avons pas l'intention de supprimer les notes. Notre sujet est simple : comment rendre l'évaluation plus rigoureuse et exigeante, c'est-à-dire lui faire dire davantage que ce qu'elle ne dit aujourd'hui ? Une note sèche ne vous dit pas quelles compétences vous avez acquises et quelles autres il vous reste à acquérir.
Quelle autre réforme envisagez-vous pour 2015 ?
Nous réformons aussi les programmes. Nous sommes en train de revoir le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, c'est-à-dire ce que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire à 16 ans. De ce socle, découleront des programmes rénovés. Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre. Si on travaille un peu plus sur la mise en cohérence de l'ensemble du parcours, on pourrait avoir des programmes mieux adaptés et plus progressifs. Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves. Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement. Or cette matière leur sera terriblement utile plus tard, dans le monde connecté dans lequel nous vivons.
Qu'avez-vous prévu pour pallier le départ possible des enseignants dans les écoles qui sortent de l'éducation prioritaire ?
La sortie de l'éducation prioritaire se fera progressivement et non du jour au lendemain. Les indemnités des enseignants continueront à être versées pendant trois ans. Par ailleurs, ils seront suivis en termes de ressources humaines de façon particulière. Ils auront des points supplémentaires pour valoriser le temps passé en éducation prioritaire. Mais il ne faut pas caricaturer en considérant que la seule chose qui attire en REP, ce sont les indemnités ou les points de carrière. Ce sont d'abord les projets pédagogiques qui intéressent les professeurs. Notre réforme valorise cela. Nous reconnaissons leur expérience en la prenant en compte dans leur parcours.
Certaines classes devraient voir leur nombre d'élèves augmenter.
Le fait de retirer un poste dans un établissement extrêmement favorisé n'est pas comparable à l'effet produit par un poste de plus dans un établissement très défavorisé. La situation actuelle des élèves face à la réussite scolaire ressemble à un 100 mètres olympiques dont la ligne de départ ne serait pas la même pour tous les élèves. Certains partiraient bien à 100 mètres, mais d'autres à 120 mètres et d'autres à 50. Certains enfants sont davantage en situation de réussir que d'autres. Par exemple, un enfant de trois ans peut maîtriser trois fois plus de vocabulaire que son camarade en fonction du milieu social respectif. La réforme de l'allocation de moyens vise à remettre tout le monde sur la même ligne de départ. Pour cela, il faut introduire, dans le système d'allocation des moyens, une forme de progressivité qui permette de donner plus à ceux qui en ont le plus besoin.
La réforme de la notation vise-t-elle aussi à faire une différence entre les territoires ?
Notre volonté de réformer le système d'évaluation ne procède pas d'une compassion à l'égard d'élèves en difficulté scolaire auxquels on voudrait donner un coup de main en supprimant les notes. Nous n'avons pas l'intention de supprimer les notes. Notre sujet est simple : comment rendre l'évaluation plus rigoureuse et exigeante, c'est-à-dire lui faire dire davantage que ce qu'elle ne dit aujourd'hui ? Une note sèche ne vous dit pas quelles compétences vous avez acquises et quelles autres il vous reste à acquérir.
Quelle autre réforme envisagez-vous pour 2015 ?
Nous réformons aussi les programmes. Nous sommes en train de revoir le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, c'est-à-dire ce que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire à 16 ans. De ce socle, découleront des programmes rénovés. Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre. Si on travaille un peu plus sur la mise en cohérence de l'ensemble du parcours, on pourrait avoir des programmes mieux adaptés et plus progressifs. Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves. Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement. Or cette matière leur sera terriblement utile plus tard, dans le monde connecté dans lequel nous vivons.
- Luigi_BGrand Maître
Nous allons donc ajouter le codage.Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre.
Il faudra quand même expliquer en quoi enseigner le codage, c'est "s'adapter aux nouveaux besoins des élèves".
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Luigi_BGrand Maître
Je croyais que la compétition n'avait rien à faire à l'école.La situation actuelle des élèves face à la réussite scolaire ressemble à un 100 mètres olympiques dont la ligne de départ ne serait pas la même pour tous les élèves.
Les notes sont rarement "sèches" : il y a des annotations, une appréciation, un corrigé... Toujours le même faux procès, en somme.Une note sèche ne vous dit pas quelles compétences vous avez acquises et quelles autres il vous reste à acquérir.
Et quand elles le sont, c'est pour une bonne raison : trois verbes irréguliers qu'un élève ne connaît pas, c'est trois verbes irréguliers à apprendre...
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- retraitéeDoyen
Oui, les notes sont très rarement sèches ! Même dans un contrôle de grammaire/conjugaison, il y a des exercices multiples le plus souvent, avec chacun son barème ! il est facile de savoir ce qui pèche !
Quand je pense à toutes les annotations détaillées que je mettais sur les copies, de telles âneries/mensonges me font bondir ! sur les devoirs, en seconde et première, j'en mettais parfois 10/15 lignes en tête de copie, et tant d'autres dans la marge !
Quand je pense à toutes les annotations détaillées que je mettais sur les copies, de telles âneries/mensonges me font bondir ! sur les devoirs, en seconde et première, j'en mettais parfois 10/15 lignes en tête de copie, et tant d'autres dans la marge !
- LefterisEsprit sacré
:lol!: encore l'insinuation que l'esprit martyr-à-vocation doit animer les enseignants.Roumégueur Ier a écrit:C'est là et ça parle de socle, de programme, de REP, d'évaluation et de codage : http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/17/2013428-tout-le-monde-sur-la-meme-ligne-de-depart.html
Qu'avez-vous prévu pour pallier le départ possible des enseignants dans les écoles qui sortent de l'éducation prioritaire ?
La sortie de l'éducation prioritaire se fera progressivement et non du jour au lendemain. Les indemnités des enseignants continueront à être versées pendant trois ans. Par ailleurs, ils seront suivis en termes de ressources humaines de façon particulière. Ils auront des points supplémentaires pour valoriser le temps passé en éducation prioritaire. Mais il ne faut pas caricaturer en considérant que la seule chose qui attire en REP, ce sont les indemnités ou les points de carrière. Ce sont d'abord les projets pédagogiques qui intéressent les professeurs. Notre réforme valorise cela. Nous reconnaissons leur expérience en la prenant en compte dans leur parcours.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- retraitéeDoyen
Martyr, c'est pourrir un peu !
- e-WandererGrand sage
Excellent ! :lol:
- retraitéeDoyen
Elle n'est hélas pas de moi !
- User17706Bon génie
De Prévert, non ?
- MoonchildSage
"On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, mais on attrape les profs avec des projets"Ce sont d'abord les projets pédagogiques qui intéressent les professeurs.
NVB fait partie des rares personnes qui connaissent le proverbe complet.
- RabelaisVénérable
Même pas vrai!!
Le projet pédagogique est partout, au sein de tout enseignement.
En revanche s'il s'agit d'aller se promener à droite et à gauche sous le prétexte hyper pédagogique d'un projet, bah là je réalise que je suis un peu réactionnaire ..
Enfin, je laisse ça pour les autres, ce n'est pas mon style de vinaigre.
Mais j'ai peur de devoir m'y mettre si une équipe de réflexion se penche vraiment sur l'épuration des programmes...parce que je vais avoir du temps libre pour faire du ludico-culturel.
Le projet pédagogique est partout, au sein de tout enseignement.
En revanche s'il s'agit d'aller se promener à droite et à gauche sous le prétexte hyper pédagogique d'un projet, bah là je réalise que je suis un peu réactionnaire ..
Enfin, je laisse ça pour les autres, ce n'est pas mon style de vinaigre.
Mais j'ai peur de devoir m'y mettre si une équipe de réflexion se penche vraiment sur l'épuration des programmes...parce que je vais avoir du temps libre pour faire du ludico-culturel.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- ycombeMonarque
Parce que pour pouvoir utiliser un clickodrome, il faut savoir comment c'est codé. C'est évident...Luigi_B a écrit:Nous allons donc ajouter le codage.Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre.
Il faudra quand même expliquer en quoi enseigner le codage, c'est "s'adapter aux nouveaux besoins des élèves".
...car sinon tu risques de cliquer à côté du bouton.
:diable:
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- JPhMMDemi-dieu
Manara ?ycombe a écrit:Parce que pour pouvoir utiliser un clickodrome, il faut savoir comment c'est codé. C'est évident...Luigi_B a écrit:Nous allons donc ajouter le codage.Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre.
Il faudra quand même expliquer en quoi enseigner le codage, c'est "s'adapter aux nouveaux besoins des élèves".
...car sinon tu risques de cliquer à côté du bouton.
:diable:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ycombeMonarque
Non, c'est du language courant pour un vieux geek adepte de la ligne de commande comme moi.JPhMM a écrit:
Manara ?
Parce que pour pouvoir utiliser un clickodrome, il faut savoir comment c'est codé. C'est évident...
...car sinon tu risques de cliquer à côté du bouton.
:diable:
http://fr.wiktionary.org/wiki/clickodrome
C'est amusant ta référence. Le Déclic?
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- JPhMMDemi-dieu
Oui je sais.ycombe a écrit:Non, c'est du language courant pour un vieux geek adepte de la ligne de commande comme moi.JPhMM a écrit:
Manara ?
Parce que pour pouvoir utiliser un clickodrome, il faut savoir comment c'est codé. C'est évident...
...car sinon tu risques de cliquer à côté du bouton.
:diable:
http://fr.wiktionary.org/wiki/clickodrome
ycombe a écrit:C'est amusant ta référence. Le Déclic?
Oui.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- NormandyxNeoprof expérimenté
Les enseignants passionnés par les projets paperasses dans le primaire et désireux de rester en ZEP, il n'y a pas à dire, elle connait vraiment bien son ministère et les personnes qu'il emploie...
Soyons positif, elle aura fait progresser le féminisme selon le critère de Françoise Giroud.
Soyons positif, elle aura fait progresser le féminisme selon le critère de Françoise Giroud.
- User21714Expert spécialisé
Normandyx a écrit:Les enseignants passionnés par les projets paperasses dans le primaire et désireux de rester en ZEP, il n'y a pas à dire, elle connait vraiment bien son ministère et les personnes qu'il emploie...
Soyons positif, elle aura fait progresser le féminisme selon le critère de Françoise Giroud.
:lol:
- BouletbilleNiveau 5
je propose une équerre pour savoir-être acquis, un compas pour savoir-faire acquis. Un équerre et un compas quand les deux sont acquis.
_________________
"La franc-maçonnerie est la religion de la république. Amen. Hosanna au plus haut des cieux". Jules-Vincent Ferry-Peillon
"Faites ce que je dis pas c'que j'fais".
"Merci pour ce moment".
- BouletbilleNiveau 5
et une truelle en fin d'année pour le 1er de la classe
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"La franc-maçonnerie est la religion de la république. Amen. Hosanna au plus haut des cieux". Jules-Vincent Ferry-Peillon
"Faites ce que je dis pas c'que j'fais".
"Merci pour ce moment".
- FinrodExpert
Najat a écrit:Mais il ne faut pas caricaturer en considérant que la seule chose qui attire en REP, ce sont les indemnités ou les points de carrière. Ce sont d'abord les projets pédagogiques qui intéressent les professeurs.
D'ailleurs je propose d'augmenter de 20% le nombre de projets pédagogiques et de diminuer en conséquence de 20% les salaires des enseignants. On sera enfin libéré de cet argent que l'on déteste tant pour nous consacrer à ce que l'on aime vraiment, travailler 24h/24 dans les écoles/collèges et lycées.
Najat a écrit:La réforme de l'allocation de moyens vise à remettre tout le monde sur la même ligne de départ..
Donc ceux qui étaient "en avance" doivent reculer. Comme c'est à nouveau mal formulé ! Mais c'est sans doute un acte manqué... l'idée absurde qui se cache ici est bien qu'il faut ralentir les élèves qui marchent bien (et qui à priori n'ont rien d'une élite !) pour que les autres les rattrapent...
Najat a écrit:Une note sèche ne vous dit pas quelles compétences vous avez acquises et quelles autres il vous reste à acquérir.
C'est pour ça que vous voulez qu'on évalue au doigt mouillé Mme La ministre, ce sera moins sec ?
Donc un élève qui a 4/20 à son contrôle sur les symétries, à votre avis il n'a compris quoi ? Les parents déboussolés par cette mauvaise noté vont lui faire réviser quoi ? Les fleuves de France, la division euclidienne, les mérovingiens ?
Najat a écrit:Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre.
Genre, c'est inutile... Une fois que vous aurez vu une notion, vous ne la réutiliserez plus jamais, ne referez plus jamais ce même chapitre en l'approfondissant... (genre les fractions, on les fera une fois en 5-ème et puis terminé ? on va pas quand même en reparler après ?)
Najat a écrit:Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves. Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement. Or cette matière leur sera terriblement utile plus tard, dans le monde connecté dans lequel nous vivons..
Passons sur le fait que cela est plus un besoin de la société que des élèves. Aucune compétence en informatique n'est nécessaire pour manipuler des smartphones et vivre dans un monde connecté, elles ne le sont que pour trouver du boulot dans l'informatique... mais bon, mélangeons les deux et faisons croire aux parents que l'on va faire de leurs enfants des ingénieurs dans la sillicon valley alors que l'on créé juste de nouvelles tâches occupationnelle à base de clics et d'écrans tactiles pour en faire de bon citoyens veules et dévoués.
- OlympiasProphète
- NormandyxNeoprof expérimenté
Finrod a écrit:Najat a écrit:Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves. Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement. Or cette matière leur sera terriblement utile plus tard, dans le monde connecté dans lequel nous vivons..
Passons sur le fait que cela est plus un besoin de la société que des élèves. Aucune compétence en informatique n'est nécessaire pour manipuler des smartphones et vivre dans un monde connecté, elles ne le sont que pour trouver du boulot dans l'informatique... mais bon, mélangeons les deux et faisons croire aux parents que l'on va faire de leurs enfants des ingénieurs dans la sillicon valley alors que l'on créé juste de nouvelles tâches occupationnelle à base de clics et d'écrans tactiles pour en faire de bon citoyens veules et dévoués.
Je serai curieux de savoir ce qui sera mis dans cet enseignement de la "programmation informatique" si les fiches wikipédia sont à jour, je crois qu'elle avait 8 ans quand le plan informatique pour tous a été mis en place, je pense qu'elle a une nostalgie des heures passées à programmer la tortue Jeulin, :avance 3
: tourne gauche 90
: avance 8
Au passage, quelle entreprise ce plan sera-t-il chargé de sauver et quelle implantation sera ratée..
- retraitéeDoyen
Et la ligne d'arrivée, elle n'en a rien dit ?
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