Un enfant de 7 ans ligoté et passé à tabac dans la cour de son école (Express)

Le petit garçon aurait en effet été agressé par trois ou quatre élèves âgés de 7 à 10 ans, révèle La Dépêche du Midi. L'enfant aurait été ligoté avec une corde à sauter, les mains tenues en arrière et roué de coups, sous les yeux d'autres écoliers restés passifs. Les faits se sont déroulés hors des regards des enseignants chargés de surveiller les enfants, dans un coin de la cour, a précisé un proche de la famille au journal.

Le Directeur académique des services de l'Education Nationale François-Xavier Pestel a qualifié les faits "d'inadmissibles" et précisé que l'inspecteur de circonscription de cette école s'y rendrait aujourd'hui lundi.

Normandyx a écrit:ça craint pour les collègues de service...

Il faudra un jour que les architectes prennent le temps de consulter des enseignants pour éviter les cours biscornues et les massifs et autres garages à vélos....

Normandyx a écrit:ça craint pour les collègues de service...

Il faudra un jour que les architectes prennent le temps de consulter des enseignants pour éviter les cours biscornues et les massifs et autres garages à vélos....

Normandyx a écrit:ça craint pour les collègues de service...

Il faudra un jour que les architectes prennent le temps de consulter des enseignants pour éviter les cours biscornues et les massifs et autres garages à vélos....

auléric a écrit:

Normandyx a écrit:ça craint pour les collègues de service...

Il faudra un jour que les architectes prennent le temps de consulter des enseignants pour éviter les cours biscornues et les massifs et autres garages à vélos....

tout à fait

littlemary a écrit:

Dans mon établissement (collège), les coins et recoins fort nombreux ont été interdits d'accès aux élèves...Ils ont un espace délimité pendant les pauses.

[...]l'inspecteur de la circonscription, Marc Molinié s'est rendu sur place, ce début de semaine, pour faire un point avec l'équipe pédagogique.

«La première de nos décisions a été de mettre en application un plan de surveillance des récréations qui était à l'étude dans cet établissement» certifie l'inspecteur qui insistait pour rappeler la brièveté de l'incident.

Les 155 élèves de cette école primaire située dans un quartier sensible de la ville sous-préfecture, ne se retrouveront plus durant leurs récréations qui seront désormais décalées dans le temps. «Les petits du CP et de moyenne section ensemble, les plus grands après.»

Une décision qui a également été assortie de mesures spécifiques pour les trois écoliers auteurs de ses actes de violences qualifiés «d'inadmissible» par François-Xavier Pestel, l'inspecteur d'académie de Tarn-et-Garonne que nous avions interrogé la semaine dernière. «Ces trois élèves font l'objet d'une surveillance particulière dans l'école, et durant la récréation, ils sont privés de certains jeux et sont invités à la place à méditer sur leurs gestes.» [...]

Une plainte ayant été déposée mardi dernier par la famille de la victime. Jointe, le procureur de la République Alix Cabot-Chaumeton confirmait ces informations : «Ce n'est pas courant, même s'il faut relativiser les faits qui ne sont pas de nature criminelle, nous ferons auditionner, et ce n'est pas fréquent, des enfants de 8 à 10 ans au commissariat.»

Normandyx a écrit:

littlemary a écrit:

Dans mon établissement (collège), les coins et recoins fort nombreux ont été interdits d'accès aux élèves...Ils ont un espace délimité pendant les pauses.

Et ils se conforment à l'interdiction et en fréquentent ni les coins ni les recoins?

Bravo aux surveillants.

Nous avons des élèves de la grande section au CM2, et pour ce qui est des interdictions, ce ne sont pas les CM2 les plus en infraction, il faut croire que les vieux instits arrivent à leur faire entrer quelque chose dans le crâne...