Nos dernières lectures (tome 4)

et

Guillaume le Grand a écrit:

lumeeka a écrit:Synthétique avec une excellente bibliographie.

Ce livre me fait grandement envie. Est-il difficile?

J'avais lu cet ouvrage à 16ans et je pense que c'est celui qui m'a le plus marqué dans ma réflexion, je le conseille vraiment.

par Hans-Jürgen Döpp.

http://www.parkstone-international.com/detail.php?bookid=2810

Je viens de finir ceci et vais me procurer le tome 2. C'est simplifié mais cela reste une bonne base.

T'embête pas, à la fin le héros meurt. De rien.

Après avoir vécu 950 ans quand même ! C'est pas donné à tout le monde !

Je suis en traine de lire La Femme qui tua Stephen King, d'Azel Bury.

Choisi à cause du titre, bien sûr.
Pour l'instant, mal écrit et ennuyeux...

Je lis ce roman actuellement, j'apprécie le style même si tout cela est un peu déprimant...
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Avec Peine perdue, Olivier Adam signe un livre d'une densité romanesque inédite, aux allures de roman noir, et dresse le portrait d'une communauté désemparée, reflet d'un pays en crise.

Il ne s'agit pas d'une adaptation mais bien du texte d'auteur, simplifié par lui-même pour les plus jeunes. Illustré superbement par John Tenniel. Adapté aux CE.

Je ne connaissais pas , Coin de paradis . Je sens que je vais me le procurer pour le lire avec ma fille ( Alice au pays des merveilles me semble un peu trop compliqué pour elle ).

Et il est très bon marché ce qui ne gâche rien !

Pour une école primaire du numérique - Sceren

Economisez votre temps et votre argent et passez votre chemin.

La partie introductive est intéressante, la partie appliquée (travail de langage sur les tableaux) un peu moins...

Je lis La Septième fonction du langage, de Laurent Binet.

J'aime assez, c'est amusant de croiser Barthes, Foucault, Eco etc. comme des personnages de romans.
Ça a un petit côté David Lodge.

J'ai une excuse : un mesclun de virus automnaux qui me donnent fièvre, courbatures et envie de rester au chaud. Finalement cela a du bon d'être malade... , je peux découvrir ce 44ème roman d'Agatha Christie...

Cath a écrit:Je lis La Septième fonction du langage, de Laurent Binet.

J'aime assez, c'est amusant de croiser Barthes, Foucault, Eco etc. comme des personnages de romans.
Ça a un petit côté David Lodge.

Bingo ! Je ne croyais pas si bien dire !

Arrive, lors d'un congrès à Ithaque, Etats-Unis, le fameux Morris Zapp lui-même, en Lotus !

Fantasy

Recueil de nouvelles. J'apprécie toujours autant l'écriture de l'auteur mais, rien à faire, je n'accroche pas à ses histoires.



Science-Fiction

Case, hacker de génie complètement drogué, se voit confier une bien étrange mission.
J'ai dû me forcer à finir ce livre. Narration décousue, rien n'est approfondi.

Incontournable...

coindeparadis a écrit:Incontournable...

Et j'enchaîne sur Le Château de ma Mère. Le Temps des Secrets et Le Temps des Amours sont déjà sur la table ! Les couvertures de Sempé sont magnifiques.

Le Temps des Amours m'avait un peu déçu... C'est dans celui-là qu'il y a un récit de peste ?

coindeparadis a écrit:Le Temps des Amours m'avait un peu déçu... C'est dans celui-là qu'il y a un récit de peste ?

Oui, Le Temps des Amours se compose de dix chapitres, retrouvés dans les dossiers de l'auteur après sa mort, et réunis en l'état. Un bon nombre de ces textes avaient toutefois acquis leur forme définitive. Le chapitre Les Pestiférés y figure bien, mais il semble que cela aurait été le projet d'un ouvrage séparé.
Il est sûr que Pagnol aurait donné une plus grande unité à cet ouvrage hétéroclite.

Dans cet essai, l'auteur analyse la récurrence du jeu de la sélection, hérité (de manière cynique) de la sélection sur la place d'appel dans les camps nazis, dans les fictions contemporaines, de la littérature (notamment à destination du jeune public) au cinéma. Elle élargit la question de la valeur de la vie humaine à d'autres domaines où se posent de tels dilemmes moraux (dans celui de la santé publique, attente d'un greffon ou situations sanitaires d'urgence, ou de l'éthique médicale, dans des situations plus extrêmes comme celle du médecin devant choisir qui soigner en priorité parmi des centaines de blessés sur un champ de bataille). Je ne suis pas certaine que le thème de la sélection soit si récurrent aujourd'hui dans les productions à succès mais force est de reconnaître que l'argumentation donne à penser.



Essai d'un géographe-écrivain (je vous conseille vivement Kaddish pour un orphelin célèbre et un matelot inconnu) une déambulation littéraire à travers les textes d'écrivains hantés par l'espace (entre autres Gracq, Sebald, Pouchkine, Stendhal) en compagnie de toiles de Vermeer figurant à plusieurs reprises de grandes cartes fixées aux murs (l'analyse de Ruben est très inspirée de l'art du détail cher à Daniel Arasse). De très belles pages aussi sur Proust, sur le nom propre comme quête d'un espace perdu, toujours imaginaire, d'une saveur, d'une couleur et d'une odeur à rappeler, comme si la Recherche était sortie de quelques noms, comme le disait Barthes. L'idée que la littérature est tout entière liée à l'Histoire est devenue une sorte de lieu commun de la critique littéraire. On oublie un peu trop vite à quel point la cartographie, les rêveries enfantines sur les grandes cartes topographiques, l'imaginaire associé à un simple nom de lieu ont aussi fasciné nombre d'écrivains.

Pour mon projet théâtre, nous montons cette pièce.


Et pour le plaisir