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- DerborenceModérateur
Après Glacé, et Le Cercle, j'ai lu ce roman que j'ai adoré.
Sur le thème du harcèlement, l'intrigue rebondit à de multiples reprises.
Je conseille vivement la lecture de ce roman et des deux précédents.
- AnacycliqueÉrudit
Sublime.
Pas le temps d'un résumé perso. Copié-collé d'Amaz**.
1939. Dans la prison madrilène de Ventas sont incarcérées des femmes pour délit politique. Hortensia, enceinte, accusée d'avoir participé à un acte de guérilla, condamnée à mort et qui sait qu'elle sera tuée après la naissance de son enfant. Elvira, 16 ans, qui a essayé de quitter l'Espagne avec sa mère mais a été arrêtée par les phalangistes alors qu'elles attendaient le bateau. Tomasa, dont les quatre fils, la belle-fille et le mari ont été jetés d'un pont et qui ne peut raconter son histoire à personne. Ou encore Pepita, la sœur d'Hortensia, qui, à l'extérieur de la prison, sert de messager entre celle-ci et son mari, jusqu'au jour où elle rencontre Paulino, le frère d'Elvira, dont elle tombe amoureuse. De poignants dialogues s'échangent entre celles qui, prises dans la tourmente de l'Histoire, évoquent avec émotion leurs souvenirs, leurs amours, leur solidarité. Inspirée de témoignages authentiques, cette admirable fresque romanesque rend un hommage bouleversant à celles qui ont combattu pour la liberté au prix de leur vie.
Pas le temps d'un résumé perso. Copié-collé d'Amaz**.
1939. Dans la prison madrilène de Ventas sont incarcérées des femmes pour délit politique. Hortensia, enceinte, accusée d'avoir participé à un acte de guérilla, condamnée à mort et qui sait qu'elle sera tuée après la naissance de son enfant. Elvira, 16 ans, qui a essayé de quitter l'Espagne avec sa mère mais a été arrêtée par les phalangistes alors qu'elles attendaient le bateau. Tomasa, dont les quatre fils, la belle-fille et le mari ont été jetés d'un pont et qui ne peut raconter son histoire à personne. Ou encore Pepita, la sœur d'Hortensia, qui, à l'extérieur de la prison, sert de messager entre celle-ci et son mari, jusqu'au jour où elle rencontre Paulino, le frère d'Elvira, dont elle tombe amoureuse. De poignants dialogues s'échangent entre celles qui, prises dans la tourmente de l'Histoire, évoquent avec émotion leurs souvenirs, leurs amours, leur solidarité. Inspirée de témoignages authentiques, cette admirable fresque romanesque rend un hommage bouleversant à celles qui ont combattu pour la liberté au prix de leur vie.
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- AnacycliqueÉrudit
L'émotion brute. Un récit plus ou moins autobiographique qui rappelle ce qu'est la découverte de l'amour, ce qu'est aimer à 17 ans. Une belle écriture, une image peut-être trop furtive de la Russie, de Saint-Pétersbourg.
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- MrBrightsideEmpereur
Chronique des années 1990 en Chine ou les jeunes s'occidentalisent à coup de sex, drugs & rock'n'roll. Dur à suivre, la narration est disjointe, les passages d'une période à l'autre dans la vie de la narratrice sont assez abrupts, mais l'ensemble reste compréhensible.
La traduction par contre m'a peu convaincu... devant certaines phrases, je me suis demandé si c'était la phrase elle-même qui ne faisait aucun sens ou si c'était un problème de traduction. Quelques fautes d'accord en français m'ont fait opter pour la deuxième solution.
- Presse-puréeGrand sage
JPhMM a écrit:
(*) L’école ne peut exiger ce qu’elle n’a pas enseigné.
ça ne me paraît monstrueux de préciser cela. tout le problème étant qu'on nous demande aujourd'hui d'enseigner des attitudes et des comportements. C'est cette pente-là qui est problématique, philosophiquement et éthiquement.
Sinon, j'ai lu:
Et
Le premier est intéressant, mais moins que le livre d'entretiens de Florence Dupont. Je recommande tout de même la lecture du dernier chapitre (je vous laisse lire pourquoi).
Le second est une relecture, mais c'est un ouvrage bien mené, dans lequel on apprend plein de trucs.
- JPhMMDemi-dieu
Absolument.Presse-purée a écrit:JPhMM a écrit:
(*) L’école ne peut exiger ce qu’elle n’a pas enseigné.
ça ne me paraît monstrueux de préciser cela. tout le problème étant qu'on nous demande aujourd'hui d'enseigner des attitudes et des comportements. C'est cette pente-là qui est problématique, philosophiquement et éthiquement.
Merci.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- BugaHabitué du forum
Derborence a écrit:
Après Glacé, et Le Cercle, j'ai lu ce roman que j'ai adoré.
Sur le thème du harcèlement, l'intrigue rebondit à de multiples reprises.
Je conseille vivement la lecture de ce roman et des deux précédents.
J'ai bien aimé aussi. Un peu le même genre que Franck Thilliez je trouve. D'ailleurs, je suis en train de lire son dernier livre : "Angor".
- AnacycliqueÉrudit
Je viens de finir celui-ci (tjs très à la bourre. Vous avez dû en parler il y a belle lurette :lol: ). Un très grand coup de cœur.
Une fresque du féminin sur trois générations qui questionne les rapports mère/fille et homme/femme. Dépaysant, en plus. Je trouve l'écriture d'Ovalde savoureuse : aussi crue que poétique. Superbe !
Une fresque du féminin sur trois générations qui questionne les rapports mère/fille et homme/femme. Dépaysant, en plus. Je trouve l'écriture d'Ovalde savoureuse : aussi crue que poétique. Superbe !
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- AnacycliqueÉrudit
liskaya a écrit:
Je viens de le finir et j'ai vraiment bien aimé. Je me suis attachée à ce personnage et j'adore les vilaines mères...
J'ai quand même été un peu déçue par la fin.
Mais j'en lirais bien un autre malgré tout !
Je vais l'acheter, du coup, pour continuer sur ma lancée.
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- DimkaVénérable
Bonsoir,
J’ai lu Rant: the oral history of Buster Casey de Chuck Palahniuk, j’ai trouvé ce livre troublant (et j’ai beaucoup aimé), tant par la forme que par le contenu. Je ne connaissais pas cet auteur (je suis tombé dessus en cherchant des informations sur le concept de patient zéro…).
Sur la forme, le livre parle d’un individu à travers divers témoignages qui se répondent, se font écho, se contredisent… organisés par chapitres (qui suivent la chronologie du personnage, ou parfois suivant un thème).
Sur le fond, il s’agit d’un roman d’anticipation, dans une société américaine où la ville est divisée en deux communautés ghettoïsées par la division de la journée : une sorte de prolétariat/lumpenproletariat devant vivre la nuit, et les gens respectables qui vivent la journée.
Il y a aussi une épidémie, ça colle très bien avec le climat actuel de pré-psychose ébolienne. :diable:
Du coup, je lirais bien autre chose de cet auteur…
J’ai lu Rant: the oral history of Buster Casey de Chuck Palahniuk, j’ai trouvé ce livre troublant (et j’ai beaucoup aimé), tant par la forme que par le contenu. Je ne connaissais pas cet auteur (je suis tombé dessus en cherchant des informations sur le concept de patient zéro…).
Sur la forme, le livre parle d’un individu à travers divers témoignages qui se répondent, se font écho, se contredisent… organisés par chapitres (qui suivent la chronologie du personnage, ou parfois suivant un thème).
Sur le fond, il s’agit d’un roman d’anticipation, dans une société américaine où la ville est divisée en deux communautés ghettoïsées par la division de la journée : une sorte de prolétariat/lumpenproletariat devant vivre la nuit, et les gens respectables qui vivent la journée.
Il y a aussi une épidémie, ça colle très bien avec le climat actuel de pré-psychose ébolienne. :diable:
Du coup, je lirais bien autre chose de cet auteur…
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- Spoiler:
- guerguelNiveau 5
la bonne lecture du moment : 2 journalistes de newyork prenant à la lettre jules vernes dans son "tour du monde en 80 jours" et voulant voir si cela est possible .. et je précise ceci à l'époque de jules vernes, 2 femmes journalistes ...
"80 jours autour du monde" de Matthew Goodman
"80 jours autour du monde" de Matthew Goodman
- JPhMMDemi-dieu
Gorgias, Platon, traduction Moreau et Robin, in Œuvres complètes tome 1, éditions La Pléiade.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Reine MargotDemi-dieu
Je conseille vivement "le royaume" d'Emmanuel Carrère, intéressante enquête d'un non-spécialiste sur les mystérieux débuts du christianisme et amusant récit d'une "crise de foi" vécue par l'auteur il y a une vingtaine d'années. Exclu du Goncourt on ne sait pourquoi, il fait un carton mérité.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- miss teriousDoyen
Je viens de lire une nouvelle de S. KING : « 1922 ». C'est dans le recueil Nuit noire, étoiles mortes. Y a pas à dire, il écrit vraiment de très bonnes nouvelles. Hâte de lire les quatre autres.
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- LeilEsprit éclairé
J'ai enfin pris mon courage à deux mains pour lire ce roman, et j'ai bien fait.
http://www.bricabook.fr/2014/10/oscar-et-la-dame-rose-eric-emmanuel-schmitt/
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http://www.bricabook.fr/
- Matthew76Grand sage
J'ai commencé à dévorer le tome 21 de WD et c'est toujours aussi prenant... Ah, ce Negan, quel poète
- ysabelDevin
Un extrait avait été proposé au bac cette année, je ne connaissais pas ce roman. C'est complètement déjanté !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- YoKonokéFidèle du forum
Je viens de terminer la BD Mauvais genre de Chloé Cruchaudet d'après l'essai La garçonne et l'assassin des historiens Fabrice Virgili et Danièle Voldman...
L'histoire se déroule pendant la première guerre mondiale. Un couple s'aime et se marie puis est séparé quand la guerre éclate. Le mari est envoyé au front puis déserte et retrouve sa femme. Pour ne pas vivre dans la clandestinité imposée par son statut de déserteur, l'homme choisit de se travestir en femme et vivre sous cette fausse identité pendant 10 ans ( à la libération les déserteurs restent des parias ). Et c'est la dégringolade !
Je ne vous en dis pas plus sinon que cette histoire incroyable est inspirée de faits réels dans le PAris des années folles.
C'est passionnant mais sombre, très sombre ...
L'histoire se déroule pendant la première guerre mondiale. Un couple s'aime et se marie puis est séparé quand la guerre éclate. Le mari est envoyé au front puis déserte et retrouve sa femme. Pour ne pas vivre dans la clandestinité imposée par son statut de déserteur, l'homme choisit de se travestir en femme et vivre sous cette fausse identité pendant 10 ans ( à la libération les déserteurs restent des parias ). Et c'est la dégringolade !
Je ne vous en dis pas plus sinon que cette histoire incroyable est inspirée de faits réels dans le PAris des années folles.
C'est passionnant mais sombre, très sombre ...
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«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- CarabasVénérable
Beaucoup aimé cette BD.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- Isis39Enchanteur
Reine Margot a écrit:Je conseille vivement "le royaume" d'Emmanuel Carrère, intéressante enquête d'un non-spécialiste sur les mystérieux débuts du christianisme et amusant récit d'une "crise de foi" vécue par l'auteur il y a une vingtaine d'années. Exclu du Goncourt on ne sait pourquoi, il fait un carton mérité.
Merci. Le sujet m'intéresse.
- YoKonokéFidèle du forum
Et là je vais relire un peu de poésie : Accord perdu de Tizou Perez
Je vous en fais découvrir un, court. Il s'appelle Tout près.
Chacun chez soi, pour soi, en soi...
Hésitation, fébrilité
Tout s'agite, s'apaise et se complète
Pourquoi ne se regardent-ils pas ?
Elle passe si proche
Se toucher ?
Non
Une main glisse puis l'autre
En retenue
A la limite.
Je vous en fais découvrir un, court. Il s'appelle Tout près.
Chacun chez soi, pour soi, en soi...
Hésitation, fébrilité
Tout s'agite, s'apaise et se complète
Pourquoi ne se regardent-ils pas ?
Elle passe si proche
Se toucher ?
Non
Une main glisse puis l'autre
En retenue
A la limite.
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«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Hamilton n'est pas le meilleur auteur de SF qui soit.
Ce roman n'est pas son meilleur.
Mais que voulez-vous... il me fait délirer, j'adore !
Ca reste quand même un peu inférieur à la tétralogie Étoile de Pandore, même si l'histoire parallèle SF et fantasy est rudement bien menée.
- leyadeEsprit sacré
Leil a écrit:
J'ai enfin pris mon courage à deux mains pour lire ce roman, et j'ai bien fait.
http://www.bricabook.fr/2014/10/oscar-et-la-dame-rose-eric-emmanuel-schmitt/
" c’est un grand petit bonhomme plein de vie qui nous est donné de suivre à travers de belles lettres. Désillusion, philosophie, amour, amitié, humour, de nombreux ingrédients qui ferrent le lecteur"
Oui, bien dit.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- leyadeEsprit sacré
http://www.babelio.com/livres/Didierlaurent-Le-liseur-du-06h27/594132
"Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d'une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6h27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine ..."
Vite lu, plaisant mais cousu de fil blanc.
Améliepoulinesque.
"Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d'une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6h27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine ..."
Vite lu, plaisant mais cousu de fil blanc.
Améliepoulinesque.
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