- InvitéInvité
lire la suite.Le monde a écrit:L'édition 2014 réaffirme la suprématie des Etats-Unis, qui occupent seize des vingt premières places, avec en tête l'indétrônable quatuor Harvard – Stanford – Massachusetts Institute of Technology – Berkeley. Dans le top 20, les seules universités non américaines sont britanniques (Cambridge, 5e ; Oxford, 10e ; University College of London, 20e) et suisse(Institut fédéral de technologie de Zurich, 19eplace, une de mieux par rapport à 2013). La Suisse se distingue d'ailleurs par la présence de cinq de ses universités dans le top 100, contre quatre l'an passé.
LA PREMIÈRE UNIVERSITÉ FRANÇAISE AU 35E RANG
La France, elle, compte 21 établissements dans ce classement des 500 premières universités mondiales, une de plus qu'en 2013. La première université française, Pierre-et-Marie-Curie (UPMC), a grappillé deux places en un an. Mais elle n'arrive qu'au 35e rang, creusant l'écart avec sa rivale, Orsay-Paris-Sud, légèrement rétrogradée, elle, de la 39e à la 42e place. L'Ecole normale supérieure de Paris, qui a formé pratiquement tous nos médaillés Fields à l'exception de celui de cette année, le franco-brésilien Artur Avila, arrive à la 67eplace, quatre de mieux qu'en 2013
- AscagneGrand sage
Un essai intéressant qui permet d'aller au-delà des réactions usuelles à la parution annuelle du classement :
Jean-Charles Billaut, Denis Bouyssou et Philippe Vincke, « Faut-il croire le classement de Shangaï ? », Revue de la régulation, 8 | 2e semestre / Autumn 2010, mis en ligne le 15 octobre 2010.
Jean-Charles Billaut, Denis Bouyssou et Philippe Vincke, « Faut-il croire le classement de Shangaï ? », Revue de la régulation, 8 | 2e semestre / Autumn 2010, mis en ligne le 15 octobre 2010.
Jean-Charles Billaut, Denis Bouyssou et Philippe Vincke a écrit:Notre analyse se fonde sur les outils et concepts de l’« aide multicritère à la décision ». Nos conclusions principales sont que les critères utilisés ne sont pas pertinents, que la méthode d’agrégation présente des problèmes majeurs et que l’exercice souffre d’une réflexion insuffisante sur les questions liées à la structuration du problème. Le classement de Shangaï, malgré la grande couverture médiatique qu’il reçoit chaque année, n’est donc pas un outil pertinent pour juger de la « qualité » des institutions académiques, guider le choix des étudiants ou des familles, ou promouvoir des réformes du système d’enseignement supérieur.
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