- LeclochardEmpereur
C'est la deuxième année que dans le 92, les équipes sont dispersées dans le département. J'enseigne dans le nord du département et certains se retrouvent dans le sud. Il faudra qu'ils fassent plus d'une heure de transport. Dans quel but ? Pour quel intérêt ?
Par ailleurs, on a eu droit à un papier signé par les recteurs de l'IDF nous rappelant qu'on devait participer aux corrections. Or, les collègues n'ont pas été payés. Est-ce normal d'exiger quelque chose quand on n'a pas payé ce qu'on doit ?
Enfin, il y a cette phrase en bas de la convocation : "Si l'ensemble des copies n'est pas corrigé le chef de centre de correction est susceptible de vous demander de corriger de nouvelles copies." Une personne lente aurait donc plus de copies à corriger ? :shock: Pour la motiver ?
Par ailleurs, on a eu droit à un papier signé par les recteurs de l'IDF nous rappelant qu'on devait participer aux corrections. Or, les collègues n'ont pas été payés. Est-ce normal d'exiger quelque chose quand on n'a pas payé ce qu'on doit ?
Enfin, il y a cette phrase en bas de la convocation : "Si l'ensemble des copies n'est pas corrigé le chef de centre de correction est susceptible de vous demander de corriger de nouvelles copies." Une personne lente aurait donc plus de copies à corriger ? :shock: Pour la motiver ?
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- MandolineNiveau 6
Nous n'avons pas encore nos convocations de surveillance...
Sinon, je pense que c'est pour corriger les copies des collègues qui se sont subitement sentis mal le matin du jour des corrections et n'ont pas pu venir. Ce fléau méconnu et dévastateur frappe chaque année un certain nombre de collègues, particulièrement vulnérables. C'est un virus saisonnier à retardement qui frappe rudement ses malheureuses victimes. Cette affection sournoise a une durée d'incubation variable, laquelle est cependant toujours située entre le moment de la réception de la convocation et le jour-dit.
Ce satané virus a de plus l'inconvénient de décrédibiliser toute la profession et les pauvres collègues victimes d'une autre affection, à durée plus courte.
Ceux qui font leur travail seront encore punis...
Sinon, je pense que c'est pour corriger les copies des collègues qui se sont subitement sentis mal le matin du jour des corrections et n'ont pas pu venir. Ce fléau méconnu et dévastateur frappe chaque année un certain nombre de collègues, particulièrement vulnérables. C'est un virus saisonnier à retardement qui frappe rudement ses malheureuses victimes. Cette affection sournoise a une durée d'incubation variable, laquelle est cependant toujours située entre le moment de la réception de la convocation et le jour-dit.
Ce satané virus a de plus l'inconvénient de décrédibiliser toute la profession et les pauvres collègues victimes d'une autre affection, à durée plus courte.
Ceux qui font leur travail seront encore punis...
- LilypimsGrand sage
Je le comprends autrement : les plus rapides corrigeront les copies des collègues plus lents afin que tout soit terminé dans les temps. Non ?
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- MandolineNiveau 6
+1
C'est ce que je disais plus haut. Mais je ne pense pas que ce soit les copies des collègues plus lents ; mais bien celles des absents.
D'autant plus que les copies sont attribuées nominativement, et qu'il vaut mieux ne pas les confier à n'importe qui...
C'est ce que je disais plus haut. Mais je ne pense pas que ce soit les copies des collègues plus lents ; mais bien celles des absents.
D'autant plus que les copies sont attribuées nominativement, et qu'il vaut mieux ne pas les confier à n'importe qui...
- Thalia de GMédiateur
Cela me ferait rire si, vaillante au poste, je n'avais pas à récupérer systématiquement des copies en rab.Mandoline a écrit:Nous n'avons pas encore nos convocations de surveillance...
Sinon, je pense que c'est pour corriger les copies des collègues qui se sont subitement sentis mal le matin du jour des corrections et n'ont pas pu venir. Ce fléau méconnu et dévastateur frappe chaque année un certain nombre de collègues, particulièrement vulnérables. C'est un virus saisonnier à retardement qui frappe rudement ses malheureuses victimes. Cette affection sournoise a une durée d'incubation variable, laquelle est cependant toujours située entre le moment de la réception de la convocation et le jour-dit.
Ce satané virus a de plus l'inconvénient de décrédibiliser toute la profession et les pauvres collègues victimes d'une autre affection, à durée plus courte.
Ceux qui font leur travail seront encore punis...
Y a quand même des jours où je me dis que je suis bien çon d'accepter d'être la bonne poire.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- SphinxProphète
Mon CDE m'a dit que cette année, le rectorat a prévenu qu'une absence injustifiée aux corrections serait considérée comme un abandon de poste, et donc sanctionnée. (Je ne sais plus s'il a employé le terme d'abandon de poste, mais je crois bien que oui.)
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Comment s'organise votre collège durant le brevet et les deux semaines précédentes ?
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