- JohnMédiateur
Bavilliers : Opération « lycée mort » à Bavilliers.
Communiqué intersyndical Fo, FSU, CGT, SUD (Retrait du plan lycées) :
http://www.estrepublicain.fr/territoire-de-belfort/2014/05/23/diderot-ne-veut-pas-mourirLe lycée professionnel Denis-Diderot, à Bavilliers, était en grève hier : les membres du personnel se mobilisent pour que leur établissement ne fasse pas les frais du Plan lycées de la Région.
Communiqué intersyndical Fo, FSU, CGT, SUD (Retrait du plan lycées) :
http://www.franche-comte.cgt.fr/CR/photos/CP22maiintersyndicaleFOCGTFSUSUD.pdfDans les établissements menacés, l’exaspération et l’inquiétude sont fortes à cause de la désinformation et des rumeurs de fermeture qui circulent depuis plusieurs semaines.
L’intersyndicale Fo, FSU, CGT, SUD et les personnels de l’Education Nationale et de la Territoriale, syndiqués ou non, ont, à nouveau, interpellé la Région en faisant grève et en intervenant lors de la tenue du dernier comité de pilotage du Plan Lycées. Ils demandaient des réponses fermes. Le conseil régional et les représentants de l’état ont refusé de répondre, ont suspendu la séance et ont quitté la salle. La région a même reporté sur trois organisations syndicales la responsabilité de l’absence de négociations lors du CTP, ce que nous ne pouvons accepter. Le recteur ne s’est d’ailleurs pas exprimé préférant quitter rapidement la réunion.
Nous appelons les personnels de tous les établissements (LP, LGT, collèges....) à animer des réunions d’information syndicale, à s’organiser et se mobiliser, pour établir lors de la journée du 27 juin un rapport de force décisif. Nous, Organisations syndicales appelons tous les personnels à faire grève, sous couvert d’un préavis, le 27 juin, jour où l’exécutif régional votera le Plan Lycées.
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- User5899Demi-dieu
Eh oui, nous n'avions pas tous bien compris que maintenant, c'est le conseil régional qui fait fermer ou ouvrir des filières professionnelles.
Dans l'académie, nous avons aussi le serpent de mer du lycée Beauregard de Luxeuil. Lycée retapé par la région. Puis inscrit dans le plan de fusion avec le lycée polyvalent de la ville. La fusions se fait au plan administratif. Puis la région se décide à calculer le coût de la fusion physique. Qui se révèle 74 fois plus coûteuse que la mise au norme de certains des ateliers. Et donc, la région est en train de se dire que finalement, ce ne serait pas plus mal de ne pas fusionner physiquement.
Dans l'académie, nous avons aussi le serpent de mer du lycée Beauregard de Luxeuil. Lycée retapé par la région. Puis inscrit dans le plan de fusion avec le lycée polyvalent de la ville. La fusions se fait au plan administratif. Puis la région se décide à calculer le coût de la fusion physique. Qui se révèle 74 fois plus coûteuse que la mise au norme de certains des ateliers. Et donc, la région est en train de se dire que finalement, ce ne serait pas plus mal de ne pas fusionner physiquement.
- GrypheMédiateur
Le 27 juin, c'est une date où il se passe quoi dans le calendrier des lycées généraux et lycées pro ?
(Pour le collège, je sais, c'est le jour du DNB...)
(Pour le collège, je sais, c'est le jour du DNB...)
- User5899Demi-dieu
Bah, rien. Des épreuves orales, je pense...
- ZenxyaGrand sage
Je n'ai pas bien compris le coup des fusions.
Dans le cas de deux établissements bien distincts :
- pas les mêmes filières ou alors que quelques sections ou niveaux communs, par exemple un technique et un polyvalent ;
- pas les mêmes locaux, (là, c'est clair).
Fusion administrative : 1 seul gestionnaire (agence comptable ?) et 1 seule direction ou il y a maintien de deux directions ? En clair, qu'est-ce qui devient commun ?
Fusion physique : toutes les filières sont regroupés dans le même établissement, le second établissement étant fermé à terme ? Cela suppose qu'on puisse pousser les murs dans le premier.
Dans le cas de deux établissements bien distincts :
- pas les mêmes filières ou alors que quelques sections ou niveaux communs, par exemple un technique et un polyvalent ;
- pas les mêmes locaux, (là, c'est clair).
Fusion administrative : 1 seul gestionnaire (agence comptable ?) et 1 seule direction ou il y a maintien de deux directions ? En clair, qu'est-ce qui devient commun ?
Fusion physique : toutes les filières sont regroupés dans le même établissement, le second établissement étant fermé à terme ? Cela suppose qu'on puisse pousser les murs dans le premier.
- CathEnchanteur
C'est ainsi que la région nous refuse depuis des années l'ouverture d'une section pour laquelle nous avons les locaux/le personnel/le matériel/une très forte demande des familles/le besoin/ sous la pression des professionnels de la branche qui préfèrent leur propre formation, privée.
- GrypheMédiateur
La réponse était dans le communiqué :Gryphe a écrit:Le 27 juin, c'est une date où il se passe quoi dans le calendrier des lycées généraux et lycées pro ?
"préavis, le 27 juin, jour où l’exécutif régional votera le Plan Lycées."
Ça c'est dommage en effet.Cath a écrit:C'est ainsi que la région nous refuse depuis des années l'ouverture d'une section pour laquelle nous avons les locaux/le personnel/le matériel/une très forte demande des familles/le besoin/ sous la pression des professionnels de la branche qui préfèrent leur propre formation, privée.
- ZenxyaGrand sage
Cath a écrit:C'est ainsi que la région nous refuse depuis des années l'ouverture d'une section pour laquelle nous avons les locaux/le personnel/le matériel/une très forte demande des familles/le besoin/ sous la pression des professionnels de la branche qui préfèrent leur propre formation, privée.
Oui, ça je le vois aussi dans mon lycée. Nous ne pouvons fonctionner qu'à moyens constants. Nous avons une section qui est passée de 12 à 24 et nous avons été obligé d'en passer une autre de 24 à 12, alors que rien ne le justifiait. Les besoins du bassin étant là, du coup, c'est le Gréta qui organise des formations (dans nos locaux avec nos enseignants) et pôle emploi qui la finance. Je pense que derrière ces décisions il y a aussi l'UIMM et les CCI. La formation professionnelle représente des milliards et aiguise bien des appétits.
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- InvitéInvité
Zenxya a écrit:Je n'ai pas bien compris le coup des fusions.
Dans le cas de deux établissements bien distincts :
- pas les mêmes filières ou alors que quelques sections ou niveaux communs, par exemple un technique et un polyvalent ;
- pas les mêmes locaux, (là, c'est clair).
Fusion administrative : 1 seul gestionnaire (agence comptable ?) et 1 seule direction ou il y a maintien de deux directions ? En clair, qu'est-ce qui devient commun ?
Fusion physique : toutes les filières sont regroupés dans le même établissement, le second établissement étant fermé à terme ? Cela suppose qu'on puisse pousser les murs dans le premier.
Ça commence souvent par une fusion administrative.
Un seul n° RNE, un proviseur qui jongle entre entre les 2 lycées (donc que tu n'arrives pas à voir car il est toujours dans l'autre établissement...)
Un adjoint dans chaque.
Un gestionnaire.
Un CA
Ensuite, il peut y avoir mutualisation de certaines ressources (cantine, internat...)
Après la région construit des nouveaux locaux sur le site d'un des deux lycée et tu arrives à une fusion complète.
- User5899Demi-dieu
Actuellement, notre lycée englobe deux sites, celui du LEP fusionné et le nôtre "historique". Il n'y a qu'un proviseur pour les deux, un seul CA, un seul gestionnaire. En tout, il y a 4 proviseurs-adjoints, 5 CPE (pour à peu près 1200 élèves, donc on cherche les économies). L'internat et la demi-pension uniques obligent à des trajets en car permanents (économies + pollution : youpi : ), il y a presque 3km entre les deux sites. Et le LEP abrite des sections industrielles ou bois, donc des ateliers aux dimensions considérables. Conserver les deux sites coûterait à peu près 600 000€, construire des ateliers chez nous, plus de 35 M€... Bref, c'est n'importe quoi.
- JohnMédiateur
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/05/23/touche-pas-a-mon-lyceeLe plan lycées continue d’agiter les esprits. Hier, une centaine d’enseignants et d’agents s’est invitée à la réunion du comité de pilotage. Rencontre tendue. Ils sont là, au pied du bâtiment où se trouve la direction de la formation tout au long de la vie du conseil régional : une centaine de personnes, des enseignants et des agents de plusieurs lycées de Besançon, Bavilliers, Champagnole, Lons-le-Saunier et Baume-les-Dames. Ils veulent entrer : derrière la porte, à l’étage, Éric Martin, le recteur, et Sylvie Laroche, vice-présidente de la région, animent la dernière réunion du comité de pilotage du plan lycées.
Ledit plan ne sera dévoilé que le 27 juin prochain, lors de l’assemblée plénière du conseil régional. Mais les manifestants, eux, ne veulent plus attendre. Ils craignent que la restructuration annoncée – dans le cadre d’un vaste plan d’investissement pluriannuel de plus d’un milliard d’euros – ne se traduise par des fermetures d’établissements. Des lycées professionnels, surtout. [...] C’est pour cela que les personnels des lycées « menacés » sont là. À tambouriner et à réclamer qu’on leur ouvre. La porte fermée ne le reste pas longtemps. Quelqu’un a trouvé la parade, une autre porte, et a ouvert la voie. [...]
Ambiance tendue. « On veut de vraies réponses pour une fois, tonne René Michoulier, délégué de l’union départementale FO. Des réponses claires et nettes ! Est-ce que Montjoux va fermer ? Est-ce que Bavilliers va fermer ? Est-ce que Baume-les-Dames va fermer ? Est-ce que Delle va fermer ? Nous exigeons des réponses et arrêtez de nous dire que les choses vont se décider dans les jours qui viennent ! »
Sylvie Laroche prend alors la parole : « Soit vous êtes sourds, soit on s’exprime très mal, alors je vais redire les choses : premièrement, l’engagement a été pris, l’ensemble des formations sera maintenu sur les territoires. Deuxièmement, la garantie a été exprimée et réaffirmée : aucun agent technique ne sera renvoyé au centre de gestion. » L’élue ne peut guère poursuivre plus avant. La tension, palpable, monte d’un cran. « La langue de bois, y en a marre », lâche un manifestant. La colère de certains explose : « Vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de faire ? »
L’intervention de Patrick Bontemps, vice-président de la Région, met le feu aux poudres. « Si vous étiez restés au comité technique paritaire (le 16 mai, N.D.L.R.), lance l’élu, vous auriez eu des réponses claires. » Les huées fusent. « Retrait, retrait du plan lycées », clament les manifestants.[...]
« Ce plan lycée est inacceptable, résume Patrick Kubler, le secrétaire de FO. Les gens ne l’acceptent pas ». Il annonce une mobilisation « sans précédent » pour le 27 juin prochain [...]
Céline MAZEAU
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- JacqGuide spirituel
Deux pétitions à ce sujet :
https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/marie-guite-dufay-nous-demandons-%C3%A0-mme-marie-guite-dufay-de-renoncer-%C3%A0-son-projet-de-fermeture-du-lyc%C3%A9e-montjoux
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Conseil_Regional_de_Franche_Comte_Non_a_la_fermeture_du_site_du_LP_Le_Corbusier_a_Lons_le_Saunier/?tPtMFhb
https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/marie-guite-dufay-nous-demandons-%C3%A0-mme-marie-guite-dufay-de-renoncer-%C3%A0-son-projet-de-fermeture-du-lyc%C3%A9e-montjoux
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Conseil_Regional_de_Franche_Comte_Non_a_la_fermeture_du_site_du_LP_Le_Corbusier_a_Lons_le_Saunier/?tPtMFhb
- JohnMédiateur
http://www.humanite.fr/ce-nest-pas-possible-que-notre-bahut-ferme-546132À l’heure où le ministère prône la revalorisation de la voie professionnelle, la région Franche-Comté s’apprête à fermer cinq lycées professionnels… Une décision qui provoque la colère de la communauté éducative.
La présentation, vendredi dernier, du «plan lycée» par la présidente de Franche-Comté s’est faite sous très haute surveillance policière. Pas moins de sept cars de CRS ont été convoqués devant le siège du conseil régional afin de tenir bien éloignés les 800 enseignants, agents d’entretien, parents d’élève et lycéens venus dénoncer la fermeture prévue de trois lycées professionnels et la fusion de deux autres… Des décisions avant tout économiques, qui ont soulevé un vent de colère dans la région.
L’établissement de Florian, le LP Montjoux à Besançon, fait partie des sacrifiés. Scrutant le dispositif policier, le lycéen s’insurge : « Quand on voit cela, on se demande qui sont les méchants ! Les casseurs sont à la région. Ce sont eux qui veulent fermer notre lycée où 280 élèves apprennent, dans le respect, la photo, le marketing, le design, l’électronique, la communication… On ne peut pas imaginer que notre bahut ferme. »
L’établissement recrute ses élèves dans les quartiers de Besançon mais aussi dans son agglomération, car il offre un large éventail d’options assurant un recrutement social très varié. « La région n’a jamais pris en compte le bénéfice social apporté par nos lycées ! peste Catherine Salvadori, déléguée CGT à la région. Son seul critère : les économies et ce ratio absurde d’élèves par m2. Quand dans un atelier une seule machine couvre 6 m2 avec un seul élève devant, c’est la fermeture assurée, et c’est le cas à Montjoux. »
Des personnels du lycée Le Corbusier à Lons-le-Saunier, spécialisé dans le bâtiment, suivent la diffusion par Internet des débats du conseil régional. La consternation est à son comble. « Comment des élus de gauche peuvent-ils dire qu’il n’y a rien de grave dans la fermeture d’un lycée car les compétences des enseignants pourront s’exprimer dans un autre lycée ? s’agace Geoffrey Fernandez, professeur en génie thermique. Et les élèves, les jeunes, comment les considèrent-ils ? Une marchandise qui coûte trop cher, qu’il faut parquer dans des usines à savoir ? Nous, avec 250 élèves, on forme plusieurs meilleurs apprentis de France chaque année et des salariés à 90 %. »[...]
Alors que la loi Peillon a confié aux régions la responsabilité des cartes des formation des lycée professionnels, l’exemple de la Franche-Comté résonne comme un avertissement. « De fait, les lycées professionnels sont aujourd’hui devenus une variable d’ajustement budgétaire pour les régions », constate Pascal Vivier, secrétaire national du Snetaa, premier syndicat de l’enseignement professionnel. Il ne cache pas son inquiétude : « Dans l’éducation, les économies, on les fait contre les pauvres. Si l’on continue ces politiques d’exclusion, nous allons vers de graves difficultés sociales… »
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JEMSGrand Maître
J'étais justement en train de lire la réponse savoureuse de la FSU... no comment là encore devant leur timidité !
http://www.macommune.info/article/plan-lycees-une-reflexion-plus-batimentaire-que-formante-selon-la-fsu-103844
http://www.macommune.info/article/plan-lycees-une-reflexion-plus-batimentaire-que-formante-selon-la-fsu-103844
- Ben93Neoprof expérimenté
Il se passe la même chose avec la région Auvergne. Mais bon, il faut bien que cette région rembourse les 87 M€ qu'a coûté le nouvel hôtel de région -qui va sans doute, avoir dans l'avenir peu d'utilité au vu de la fusion des régions-.
De toute façon on fait croire que les LP coûtent des fortunes pour des jeunes qui s'en foutent, alors vous pensez bien que l'opinion publique ne va pas prôner pour le maintient de certains LP.
En parlant, des coûts exorbitant des rénovations dans les LP, il y a quelque chose que je n'ai jamais compris : il nous est strictement interdit d'intervenir pour des travaux au sein même du bahut. Même changer une ampoule, mes élèves ne peuvent le faire, pourtant à l'atelier on le fait régulièrement.
De toute façon on fait croire que les LP coûtent des fortunes pour des jeunes qui s'en foutent, alors vous pensez bien que l'opinion publique ne va pas prôner pour le maintient de certains LP.
En parlant, des coûts exorbitant des rénovations dans les LP, il y a quelque chose que je n'ai jamais compris : il nous est strictement interdit d'intervenir pour des travaux au sein même du bahut. Même changer une ampoule, mes élèves ne peuvent le faire, pourtant à l'atelier on le fait régulièrement.
- JacqGuide spirituel
Citation :
« De fait, les lycées professionnels sont aujourd’hui devenus une variable d’ajustement budgétaire pour les régions », constate Pascal Vivier, secrétaire national du Snetaa, premier syndicat de l’enseignement professionnel"
Les LP ont toujours été une variable d'ajustement, pour l'Etat. Les postes supprimés en LP ont été bien plus importants en pourcentage sous Sarko que les postes au collège et au lycée général et techno.
Deuxième remarque : fort heureusement le Snetaa n'est pas le premier syndicat de l'enseignement professionnel, par contre ils ont signé le bac pro trois ans, et sont en grande partie responsables de la saignée à laquelle nous avons eu droit trois ces dernières années.
Merci le Snetaa (mon ancien syndicat que j'ai quitté, comme beaucoup, en raison de ses querelles internes infinies et stériles, avant même leur signature pour le bac pro 3 ans, j'avais donc bien fait).
« De fait, les lycées professionnels sont aujourd’hui devenus une variable d’ajustement budgétaire pour les régions », constate Pascal Vivier, secrétaire national du Snetaa, premier syndicat de l’enseignement professionnel"
Les LP ont toujours été une variable d'ajustement, pour l'Etat. Les postes supprimés en LP ont été bien plus importants en pourcentage sous Sarko que les postes au collège et au lycée général et techno.
Deuxième remarque : fort heureusement le Snetaa n'est pas le premier syndicat de l'enseignement professionnel, par contre ils ont signé le bac pro trois ans, et sont en grande partie responsables de la saignée à laquelle nous avons eu droit trois ces dernières années.
Merci le Snetaa (mon ancien syndicat que j'ai quitté, comme beaucoup, en raison de ses querelles internes infinies et stériles, avant même leur signature pour le bac pro 3 ans, j'avais donc bien fait).
- User5899Demi-dieu
Travail non déclaré, abus de bien social.Ben93 a écrit:En parlant, des coûts exorbitant des rénovations dans les LP, il y a quelque chose que je n'ai jamais compris : il nous est strictement interdit d'intervenir pour des travaux au sein même du bahut. Même changer une ampoule, mes élèves ne peuvent le faire, pourtant à l'atelier on le fait régulièrement.
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