- LorelyNiveau 7
Je m'intéresse à cette question: comment débuter une séquence? Utilisez-vous l'image? Commencez-vous directement par un texte? Des notions théoriques?
Je commence la Bible avec mes 6èmes vendredi. Et je n'ai rien trouvé d'autre qu'un document théorique apportant les informations essentielles sur la Bible. Et vous, comment commencez-vous cette séquence?
Je commence la Bible avec mes 6èmes vendredi. Et je n'ai rien trouvé d'autre qu'un document théorique apportant les informations essentielles sur la Bible. Et vous, comment commencez-vous cette séquence?
- bibliominisNiveau 8
Je commence la Bible à la rentrée. Je vais demander à mes élèves ce qu'ils en savent. Ensuite je leur montrerai que la Bible est partout (jours fériés, publicités, oeuvres d'art). Pour expliquer les jours de la semaine (en plus de l'explication des jours romains) et les jours fériés.
- sabNiveau 5
Vaste question! Je me la pose à chaque nouvelle séquence! Je crois que j'ai tout essayé: texte, image, discussion...
Commencer par un texte théorique fonctionne en général assez bien avec les élèves et me permet de me rendre compte de l'état de leurs connaissances.
Avec les 6èmes et les 5èmes, il m'arrive aussi de mettre le titre de ma séquence au tableau et de leur demander de venir chacun leur tour inscrire ce à quoi cela leur fait penser. Ils adorent et demandent même à venir plusieurs fois. Ensuite, je reprends chaque mot ou expression, fais des regroupements, leur demande d'expliquer leur choix...
C'est toujours une séance très agréable. Par contre je regrette encore le jour où j'ai essayé cette activité avec mes 3èmes...
Maintenant pour ce qui est de commencer une séquence sur la Bible: je débute en faisant la différence entre ma séquence et le catéchisme (... et ce n'est pas inutile) et, comme Bibliominis, je leur montre que la connaissance des textes fondateurs est très utile pour décrypter tout ce qui fait notre monde.
Commencer par un texte théorique fonctionne en général assez bien avec les élèves et me permet de me rendre compte de l'état de leurs connaissances.
Avec les 6èmes et les 5èmes, il m'arrive aussi de mettre le titre de ma séquence au tableau et de leur demander de venir chacun leur tour inscrire ce à quoi cela leur fait penser. Ils adorent et demandent même à venir plusieurs fois. Ensuite, je reprends chaque mot ou expression, fais des regroupements, leur demande d'expliquer leur choix...
C'est toujours une séance très agréable. Par contre je regrette encore le jour où j'ai essayé cette activité avec mes 3èmes...
Maintenant pour ce qui est de commencer une séquence sur la Bible: je débute en faisant la différence entre ma séquence et le catéchisme (... et ce n'est pas inutile) et, comme Bibliominis, je leur montre que la connaissance des textes fondateurs est très utile pour décrypter tout ce qui fait notre monde.
- charlottofraiseNiveau 10
Avec des 4e-3e, je commence à prendre l'habitude de faire une séance de contextualisation (histoire littéraire ou histoire tout court, auteur, thème...).
Avec les 6e-5e, je suis plus abrupte : énonciation des objectifs et étude du premier texte (c'est vrai que je soignais mieux l'entrée en matière avant : quizz, image...).
Avec les 6e-5e, je suis plus abrupte : énonciation des objectifs et étude du premier texte (c'est vrai que je soignais mieux l'entrée en matière avant : quizz, image...).
- InvitéInvité
C'est très variable, mes débuts de séquence:
lecture d'images, de textes, vidéos, chansons...
Il n'y a pas de règles, et c'est bien de jouer la variété!
lecture d'images, de textes, vidéos, chansons...
Il n'y a pas de règles, et c'est bien de jouer la variété!
- Reine MargotDemi-dieu
ça dépend. avec la Bible tu peux commencer par des images (peinture, publicité), ou des expressions issues de cela.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- LorelyNiveau 7
Oui c'est sûr, je suis d'accord avec toi. Mais pour la Bible j'ai du mal.Camélionne a écrit:C'est très variable, mes débuts de séquence:
lecture d'images, de textes, vidéos, chansons...
Il n'y a pas de règles, et c'est bien de jouer la variété!
Comme pour commencer l'épistolaire en 4è d'ailleurs.
Des fois, ca bloque...
- GaranceNeoprof expérimenté
POur la Bible, je commence par une image (tableau de Chagall) ou une séance sur les expressions venues de la Bible. L'objectif est que les élèves comprennent que la Bible est bien un texte fondateur et que le connaître permet de mieux comprendre certaines images ou textes qu'ils peuvent lire, voir aujourd'hui.
En cours de séquence, je vois d'autres images (pubs, affiches de cinéma, peintures...) pour qu'ils voient toujours les prolongements du texte biblique.
En cours de séquence, je vois d'autres images (pubs, affiches de cinéma, peintures...) pour qu'ils voient toujours les prolongements du texte biblique.
- SaraswatiNeoprof expérimenté
pour l'épistolaire comme pour beaucoup d'autres séquences je pratique beaucoup le "conceptogramme" (terme iufmesque pour écrire le mot au tableau puis les élèves viennent etc...)Lorely a écrit:Comme pour commencer l'épistolaire en 4è d'ailleurs.
Des fois, ca bloque...
pour la Bible je n'ai pas d'idée, je n'ai quasiment jamais eu de 6e...
- mimi-jolieNiveau 6
Alors moi j'applique un principe : la première séance doit mener au titre de la séquence. Je ne leur donne donc pas le thème/l'oeuvre/le genre abordé, et nous partons de divers supports (groupement d'images, de textes, travail d'écriture...) pour tâtonner et arriver à une notion. Ensuite on écrit le titre.
Pour la séquence sur la Bible, j'avais mis au rétroprojecteur des publicités diverses évoquant la bible, ils avaient au fur et à mesure repéré les liens (avec mon aide parfois, pour recouper deux remarques). Je leur avais fait écrire un bilan (Je pense que ces images ont pour point commun...), puis je leur donne le titre de la séquence.
Autres ex : pour le Roman de Renart, j'avais mis un extrait du début du texte en ancien français et sa traduction , la fable de La Fontaine "Le corbeau et le renard", le conte "Roule Galette". Nous avions du coup amorcé une réflexion sur l'intertextualité.
Pour les oeuvres intégrales, souvent je pars de l'analyse de la couverture, du titre (recherche au dico, par ex pour le mot "misérable"...), enfin ça c'est plutôt classique.
Pour les Misérables, avant de lancer la lecture pendant les vacances, je leur avais passé le début du film d'Hossein, que j'arrêtais au moment où Valjean a fini de se présenter à l'évêque, on a discuté de ce qui allait arriver à leur avis, et je leur ai donné le livre. Du coup ils avaient envie de connaître la suite !
Pour la séquence sur la Bible, j'avais mis au rétroprojecteur des publicités diverses évoquant la bible, ils avaient au fur et à mesure repéré les liens (avec mon aide parfois, pour recouper deux remarques). Je leur avais fait écrire un bilan (Je pense que ces images ont pour point commun...), puis je leur donne le titre de la séquence.
Autres ex : pour le Roman de Renart, j'avais mis un extrait du début du texte en ancien français et sa traduction , la fable de La Fontaine "Le corbeau et le renard", le conte "Roule Galette". Nous avions du coup amorcé une réflexion sur l'intertextualité.
Pour les oeuvres intégrales, souvent je pars de l'analyse de la couverture, du titre (recherche au dico, par ex pour le mot "misérable"...), enfin ça c'est plutôt classique.
Pour les Misérables, avant de lancer la lecture pendant les vacances, je leur avais passé le début du film d'Hossein, que j'arrêtais au moment où Valjean a fini de se présenter à l'évêque, on a discuté de ce qui allait arriver à leur avis, et je leur ai donné le livre. Du coup ils avaient envie de connaître la suite !
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum