Primaire : Carte des créations et suppressions de postes en Rased à la rentrée 2014.

Voilà qui va faciliter le travail des PE

(source : Snuipp)

Tiens , on perd un poste. Les collèges et les lycées, sauf REP+, perdent aussi des heures. C'est vrai que c'est tranquille ici, et qu'on est surdoté.

Je connais des départements avec 3 maîtres spécialisés et 1 psychologue qui ne connaissent pas de création de postes. Engagez-vous et dépatouillez-vous (et faites de l'inclusion).

coindeparadis a écrit:Je connais des départements avec 3 maîtres spécialisés et 1 psychologue qui ne connaissent pas de création de postes. Engagez-vous et dépatouillez-vous (et faites de l'inclusion).

Mais puisqu'on te dit que c'est pour le bien des enfants, voyons ! Tu ne vas quand même pas en douter, non ?

Avec ce mauvais esprit je ne suis pas prête d'être titularisée ! Pour le moment moi c'est faîtes 6 vœux mais on ne vous dit pas dans quelle académie il y a des postes : le colin maillard de l'affectation. L'EN est joueuse !

doublecasquette a écrit:

coindeparadis a écrit:Je connais des départements avec 3 maîtres spécialisés et 1 psychologue qui ne connaissent pas de création de postes. Engagez-vous et dépatouillez-vous (et faites de l'inclusion).

Mais puisqu'on te dit que c'est pour le bien des enfants, voyons ! Tu ne vas quand même pas en douter, non ?

Ben oui; Le spécialisé, c'est de la stigmatisation des enfants.   

C'est même notre dogme   

Ne t'inquiètes pas Ronin, quand je travaillais en ITEP, les instits d'IME nous expliquaient qu'on était pas vraiment instits. Les fous, ce n'est pas de l'enseignement !

Bon, parfois, j'avoue que je me pose la question... ( ça me fait penser à une question en formation spé où l'on devait recenser notre difficulté la plus fréquente avec nos élèves. Pour la plupart, en clis, ça tournait autour de la lecture. Moi j'avais à ce moment là une ado de 17 ans, anorexique, catatonique dont on suspectait une entrée dans la schizophrénie et hospitalisée à temps plein depuis deux ans. J'explique la situation au formateur...qui me répond qu'il ne peut rien pour moi    )

Quand je suis arrivée dans l'établissement, chaque fois que je voulais mettre quelque chose en place, on me disait "ça ne marchera pas" : rallye lecture, enseignement de l'histoire, débats ... C'est effrayant de voir combien d'adultes baissent les bras. Et face à des enfants et ados qui ont particulièrement besoin d'être étayés !

Ronin a écrit:Bon, parfois, j'avoue que je me pose la question... ( ça me fait penser à une question en formation spé où l'on devait recenser notre difficulté la plus fréquente avec nos élèves. Pour la plupart, en clis, ça tournait autour de la lecture. Moi j'avais à ce moment là une ado de 17 ans, anorexique, catatonique dont on suspectait une entrée dans la schizophrénie et hospitalisée à temps plein depuis deux ans. J'explique la situation au formateur...qui me répond qu'il ne peut rien pour moi    )

Un banal problème que n'importe quel enseignant novateur bien formé à la pédagogie différenciée pourrait rapidement régler, de préférence dans une classe à 30. 

Au moyen de 3 outils indispensables : Ribambelle, Cap maths, Main à la pâte. Et bien-sûr une pédagogie de projet !

Ben oui, mais justement, je n'ai pas été bien formé, j'ai fait l'IUFM m'sieur !