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NLM76Grand Maître
Huīc conjūnx Sȳchæus erat, dītissimus agrī
Phœnīcum, et magnō miseræ dīlēctus amōre,
cuī pater intāctam dederat, prīmīsque jugārat
ōminibus.
Est-ce parce que Didon y est présente comme datif dans la principale, comme génitif dans l'apposition dudit hémistiche, comme accusatif dans la relative qui suit ? Le véritable sujet de la phrase jamais au nominatif ? Est-ce le rapprochement de magnus et de miser, de diligo et d'amor ?
Phœnīcum, et magnō miseræ dīlēctus amōre,
cuī pater intāctam dederat, prīmīsque jugārat
ōminibus.
Est-ce parce que Didon y est présente comme datif dans la principale, comme génitif dans l'apposition dudit hémistiche, comme accusatif dans la relative qui suit ? Le véritable sujet de la phrase jamais au nominatif ? Est-ce le rapprochement de magnus et de miser, de diligo et d'amor ?
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
User5899Demi-dieu
Le problème est que remuer le coeur est bien subjectif 
Pour ma part, celui qui me touche est celui-ci :
Incipit effari mediaque in uoce resistit
Pour ma part, celui qui me touche est celui-ci :
Incipit effari mediaque in uoce resistit
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