- GrypheMédiateur
Où en est la réforme du statut des enseignants ?
08.01.2014 - 15:00
Le 18 novembre 2013, Vincent Peillon lançait les discussions avec les syndicats de l'éducation sur la réforme du métier d'enseignant afin de moderniser l’ordonnance de 1950 qui encadre ce statut… Ce ne sera pas la première fois qu'un ministre y touche, le statut a été modifié plusieurs fois depuis les années 60 (en 1961, 1964, 1972, 1976, 1980, 1999, 2002 et en 2007) mais le fait que ce travail soit global et touche toutes les catégories d’enseignants est un fait inédit. Treize groupes de travail ont été mis en place et nous avons eu un bilan d’étape avant les vacances de Noël :
sur les enseignants de primaires, les directeurs, les RASED… Il semble que les discussions concernant les enseignants du second degré (collège et lycée) vont se poursuivrent en 2014 et la réforme de leur statut ne pourra pas être mise en oeuvre avant la rentrée 2015.
Mais peut-on refonder l'école sans transformer vraiment le métier d'enseignant ?
Invité(s) :
François Jarraud, rédacteur en Chef du Café Pédagogique
Frédérique Rolet, co-secrétaire générale et porte-parole du SNES-FSU, le syndicat national des enseignements de 2d degré
http://www.franceculture.fr/emission-rue-des-ecoles-ou-en-est-la-reforme-du-statut-des-enseignants-2014-01-08
- GrypheMédiateur
F. Jarraud explique qu'il faut des heures de "travail en commun" (temps de concertation ?) pour les professeurs à leur EDT, pour s'adapter au fait que "les élèves ont changé".
- Luigi_BGrand Maître
Combien d'heures faut-il assigner pour rencontrer les parents ? Et sur un horaire hebdomadaire fixe ?
Je serais curieux d'avoir la réponse à ces questions.
Je serais curieux d'avoir la réponse à ces questions.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- User17706Bon génie
À titre tout à fait personnel, je préfère encore une heure de cours en plus à une heure hebdomadaire d'emploi fictif de mon temps.
- Luigi_BGrand Maître
Je suis d'accord avec François Jarraud : pour des classes plus nombreuses dans les établissements favorisés et moins nombreuses dans les établissements défavorisés. Mais, outre que c'est déjà le cas, comment fait-on sans changer les locaux ?
Avec ma classe de première de 37 élèves je pousse déjà les murs...
Avec ma classe de première de 37 élèves je pousse déjà les murs...
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- OlympiasProphète
F. Jarraud ferait mieux de réfléchir avant de parler ! Je n'ai pas besoin d'heures dans mon EDT pour discuter avec mes collègues ! Si on commence comme ça, on va finir aspirés dans la réunionite à gogo.Gryphe a écrit:F. Jarraud explique qu'il faut des heures de "travail en commun" (temps de concertation ?) pour les professeurs à leur EDT, pour s'adapter au fait que "les élèves ont changé".
- marjoDoyen
Olympias a écrit:F. Jarraud ferait mieux de réfléchir avant de parler ! Je n'ai pas besoin d'heures dans mon EDT pour discuter avec mes collègues ! Si on commence comme ça, on va finir aspirés dans la réunionite à gogo.Gryphe a écrit:F. Jarraud explique qu'il faut des heures de "travail en commun" (temps de concertation ?) pour les professeurs à leur EDT, pour s'adapter au fait que "les élèves ont changé".
Même si je comprends ce point de vue, je ne suis pas forcément d'accord. Dans mon collège, je trouve qu'on manque réellement de temps pour se parler entre collègues. Nous avons d'ailleurs souvent mentionné le souhait d'avoir des heures de travail en commun inscrites à notre EDT pour pouvoir travailler ensemble sur des progressions communes, le fonctionnement commun etc. ce qui n'est une mince affaire à mettre en place car notre collège est un collège très, très difficile.
- FinrodExpert
C'est bien pour cela que ceci doit rester à l'initiative des enseignants dans le cadre de leur liberté pédagogique. Le rôle du chef d'établissement devant être de faciliter ce traitement, par exemple en faisant tout pour répondre à la demande légitime des enseignants dans le cas de marjolie.
A l'opposé tout système qui vise à imposer un carcan, obligation de concertation ou impossibilité de les réaliser, en laissant au CDE l'unique rôle de contraindre, par un rapport de force si nécessaire, est absurde et voué à l'échec.
Mais le système ne peut pas dans l'état actuel répondre à cette demande des enseignants puisque, par essence, il se méfie de nous... nos avis en conseils de classe sont rarement respectés, nous peinons même à faire sanctionner un élève qui nous insulte si on n'est pas suffisamment grande gueule...
A l'opposé tout système qui vise à imposer un carcan, obligation de concertation ou impossibilité de les réaliser, en laissant au CDE l'unique rôle de contraindre, par un rapport de force si nécessaire, est absurde et voué à l'échec.
Mais le système ne peut pas dans l'état actuel répondre à cette demande des enseignants puisque, par essence, il se méfie de nous... nos avis en conseils de classe sont rarement respectés, nous peinons même à faire sanctionner un élève qui nous insulte si on n'est pas suffisamment grande gueule...
- the educatorFidèle du forum
Faut aussi dire sans balancer la brique à qui que ce soit qu'une partie de la profession n'est pas capable d'exercer correctement cette liberté, pour des raisons d'ailleurs assez variées. Combien de fois j'entends "on a pas eu de consignes", "on a pas eu de notes de service", "telle circulaire ne cadre pas tel usage", "comment va t on faire" etc...
Du coup avec cette liberté pédagogique, c'est un peu le grand écart, et l'inégalité des uns et des autres devant la responsabilité et l'autonomie ont tendance à pousser la hierarchie à resserrer sans cesse le cadre.
Je ne cherche pas l'affrontement, je suis sur le fond assez d'accord avec Finrod, mais dans la pratique, une fois de plus, c'est assez difficile de tracer une belle ligne droite.
Du coup avec cette liberté pédagogique, c'est un peu le grand écart, et l'inégalité des uns et des autres devant la responsabilité et l'autonomie ont tendance à pousser la hierarchie à resserrer sans cesse le cadre.
Je ne cherche pas l'affrontement, je suis sur le fond assez d'accord avec Finrod, mais dans la pratique, une fois de plus, c'est assez difficile de tracer une belle ligne droite.
- MarieLNeoprof expérimenté
the educator a écrit:Faut aussi dire sans balancer la brique à qui que ce soit qu'une partie de la profession n'est pas capable d'exercer correctement cette liberté, pour des raisons d'ailleurs assez variées. Combien de fois j'entends "on a pas eu de consignes", "on a pas eu de notes de service", "telle circulaire ne cadre pas tel usage", "comment va t on faire" etc...
Du coup avec cette liberté pédagogique, c'est un peu le grand écart, et l'inégalité des uns et des autres devant la responsabilité et l'autonomie ont tendance à pousser la hierarchie à resserrer sans cesse le cadre.
Je ne cherche pas l'affrontement, je suis sur le fond assez d'accord avec Finrod, mais dans la pratique, une fois de plus, c'est assez difficile de tracer une belle ligne droite.
De mon point de vue, c'est exactement le contraire qui se produit. Quand l'administration traite les enseignants comme des adultes, l'établissement tourne. Quand un petit chef se met à soupçonner tout le monde, à surveiller, à diriger avec pointillisme, certains refusent volontairement de prendre la moindre initiative ou la moindre responsabilité.
C'est ce que m'ont expliqué voilà bien vingt ans des collègues expérimentés lorsque j'ai découvert - avec surprise, c'était la première fois - un CDE aussi tatillon que soupçonneux. Et depuis, j'ai eu bien des occasions d'abonder dans leur sens.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- the educatorFidèle du forum
Je n'ai pas la même expérience, mais je peux te garantir que devoir faire des notes précises à la minute et à la virgule est exaspérant.
Je tiens pourtant le même discours que toi: traiter les enseignants comme des cadres, ça me parait vraiment faire partie d'un fonctionnement normal, ça participe à la reconnaissance des uns et des autres, et ça permet de construire une vraie identité professionnelle. Mais dans ma pratique, je n'y parviens pas, la liberté devient un chaos, et pour moi ça veut dire courir derrière pour faire rentrer cette spontanéité (pour ne pas être péjoratif) dans les clous de l'institution, ou du fonctionnement d'un établissement de 650 élèves. Du coup, à la minute, et à la virgule. C'est regrettable: on bride, voire on oppresse ceux qui sont responsables, et on n'encadre de toute manière jamais assez ceux qui ne le sont pas.
Je tiens pourtant le même discours que toi: traiter les enseignants comme des cadres, ça me parait vraiment faire partie d'un fonctionnement normal, ça participe à la reconnaissance des uns et des autres, et ça permet de construire une vraie identité professionnelle. Mais dans ma pratique, je n'y parviens pas, la liberté devient un chaos, et pour moi ça veut dire courir derrière pour faire rentrer cette spontanéité (pour ne pas être péjoratif) dans les clous de l'institution, ou du fonctionnement d'un établissement de 650 élèves. Du coup, à la minute, et à la virgule. C'est regrettable: on bride, voire on oppresse ceux qui sont responsables, et on n'encadre de toute manière jamais assez ceux qui ne le sont pas.
- Jim ThompsonExpert
the educator a écrit:Faut aussi dire sans balancer la brique à qui que ce soit qu'une partie de la profession n'est pas capable d'exercer correctement cette liberté, pour des raisons d'ailleurs assez variées. Combien de fois j'entends "on a pas eu de consignes", "on a pas eu de notes de service", "telle circulaire ne cadre pas tel usage", "comment va t on faire" etc... Y'a des nuls c'est ça?
Du coup avec cette liberté pédagogique, c'est un peu le grand écart, et l'inégalité des uns et des autres devant la responsabilité et l'autonomie ont tendance à pousser la hierarchie à resserrer sans cesse le cadre.je rêve où tu justifies l'attitude de petit caporal?
Je ne cherche pas l'affrontement, je suis sur le fond assez d'accord avec Finrod, mais dans la pratique, une fois de plus, c'est assez difficile de tracer une belle ligne droite.
troll?????????
Parce que ce genre de discours
Heureusement qu'on a encore la liberté pédagogique.....
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- the educatorFidèle du forum
Je ne trolle pas, oui je pense très fort qu'il y a dans nos rangs, CPE y compris, des gens incapables d'exercer cette liberté (et la responsabilité incombe au système qui les recrute, ne les forme pas, et les laisse exercer, pas aux individus) et qui peuvent transformer un espace de liberté en souk, donc OUI, parfois, je justifie l'attitude de petit caporal (même si je trouve l'expression fâcheuse, puisqu'il s'agit simplement de s'assurer que le fonctionnement est correct) par cette hétérogénéité du rang.
Je le regrette (parce que je n'aime pas non plus l'ingérence dans mon travail), mais d'un point de vue systémique, c'est parfois un moindre mal (compte tenu des responsabilités engagées, et parfois du coût du service après vente). Pour avoir bosser dans le privé (le vrai privé, pas l'école catho) avant, je n'ai jamais eu l'impression que nous fonctionnions comme des cadres, ici, dans l'éducation nationale, ni qu'il y ait de réelle revendication (mais la je limite à mon experience personnelle et mes trois établissement) dans ce sens.
Et pour aller plus loin dans la contradiction, j'en parle chaque fois que l'on évoque la liberté pédagogique, mais en tant que parent libéral, je regrette de ne pas avoir le choix de la manière dont on enseigne à mes enfants (puisque ça induit forcément une inégalité de traitement (ou alors toutes les "méthodes" (c'est raccourci, mais tu vois l'idée) se valent et cette liberté ne sert à rien). C'est un terrible grand écart, de revendiquer la liberté pédagogique en tant que professionnel, et de la craindre en tant que parent.
Je le regrette (parce que je n'aime pas non plus l'ingérence dans mon travail), mais d'un point de vue systémique, c'est parfois un moindre mal (compte tenu des responsabilités engagées, et parfois du coût du service après vente). Pour avoir bosser dans le privé (le vrai privé, pas l'école catho) avant, je n'ai jamais eu l'impression que nous fonctionnions comme des cadres, ici, dans l'éducation nationale, ni qu'il y ait de réelle revendication (mais la je limite à mon experience personnelle et mes trois établissement) dans ce sens.
Et pour aller plus loin dans la contradiction, j'en parle chaque fois que l'on évoque la liberté pédagogique, mais en tant que parent libéral, je regrette de ne pas avoir le choix de la manière dont on enseigne à mes enfants (puisque ça induit forcément une inégalité de traitement (ou alors toutes les "méthodes" (c'est raccourci, mais tu vois l'idée) se valent et cette liberté ne sert à rien). C'est un terrible grand écart, de revendiquer la liberté pédagogique en tant que professionnel, et de la craindre en tant que parent.
- RoninMonarque
Je vois très bien ce que tu veux dire. Même si je le regrette ça ne m'étonne pas tellement même si ça me désole. Effectivement, certains collègues sont désespérants. Que les philosophes m'éclairent, mais la liberté n'implique t'elle pas logiquement la responsabilité ? car j'ia quand même le sentiment que certains n'en veulent pas de cette responsabilité et appellent de leurs vœux la caporalisation, ça leur évitent de se prendre en main. Plutôt vivre enchaînés que mourir libre...
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- ErgoDevin
+1 !Olympias a écrit:F. Jarraud ferait mieux de réfléchir avant de parler ! Je n'ai pas besoin d'heures dans mon EDT pour discuter avec mes collègues ! Si on commence comme ça, on va finir aspirés dans la réunionite à gogo.Gryphe a écrit:F. Jarraud explique qu'il faut des heures de "travail en commun" (temps de concertation ?) pour les professeurs à leur EDT, pour s'adapter au fait que "les élèves ont changé".
C'est une des (nombreuses) raisons qui m'ont fait quitter les groupes de compétences: l'heure de concertation hebdomadaire pour voir où on était, ajuster selon les groupes etc. On était relativement libre (l'heure étant payée vaguement en fin d'année s'il restait des HSE, et vous imaginez bien que toutes les heures ne l'étaient pas) mais c'était quand même inscrit dans l'emploi du temps et relativement inutile (on n'avait pas besoin d'1h).
Quand on a besoin de se voir, on se voit. On s'envoie des mails et, en cas d'envie de monter un projet, on demande des heures. Mais ça reste souple.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- MarieLNeoprof expérimenté
Ergo a écrit:+1 !Olympias a écrit:F. Jarraud ferait mieux de réfléchir avant de parler ! Je n'ai pas besoin d'heures dans mon EDT pour discuter avec mes collègues ! Si on commence comme ça, on va finir aspirés dans la réunionite à gogo.Gryphe a écrit:F. Jarraud explique qu'il faut des heures de "travail en commun" (temps de concertation ?) pour les professeurs à leur EDT, pour s'adapter au fait que "les élèves ont changé".
C'est une des (nombreuses) raisons qui m'ont fait quitter les groupes de compétences: l'heure de concertation hebdomadaire pour voir où on était, ajuster selon les groupes etc. On était relativement libre (l'heure étant payée vaguement en fin d'année s'il restait des HSE, et vous imaginez bien que toutes les heures ne l'étaient pas) mais c'était quand même inscrit dans l'emploi du temps et relativement inutile (on n'avait pas besoin d'1h).
Quand on a besoin de se voir, on se voit. On s'envoie des mails et, en cas d'envie de monter un projet, on demande des heures. Mais ça reste souple.
D'autant que quand l'heure devient institutionnelle, elle dure effectivement une heure et sous supervision. C'est ce qui nous arrive cette année (établissement Eclair, Préfet des études...) - fort heureusement une fois toutes les six semaines seulement.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- OlympiasProphète
Et je pense que nous sommes suffisamment adultes pour nous rencontrer et discuter. On a déjà suffisamment de réunions inutiles comme ça, merci !
- the educatorFidèle du forum
c'est qui "nous"? si tu recoupes l'ensemble de la profession, la réponse est non.Et je pense que nous sommes suffisamment adultes pour nous rencontrer et discuter.
- PseudoDemi-dieu
the educator a écrit:Faut aussi dire sans balancer la brique à qui que ce soit qu'une partie de la profession n'est pas capable d'exercer correctement cette liberté, pour des raisons d'ailleurs assez variées. Combien de fois j'entends "on a pas eu de consignes", "on a pas eu de notes de service", "telle circulaire ne cadre pas tel usage", "comment va t on faire" etc...
Du coup avec cette liberté pédagogique, c'est un peu le grand écart, et l'inégalité des uns et des autres devant la responsabilité et l'autonomie ont tendance à pousser la hierarchie à resserrer sans cesse le cadre.
Je ne cherche pas l'affrontement, je suis sur le fond assez d'accord avec Finrod, mais dans la pratique, une fois de plus, c'est assez difficile de tracer une belle ligne droite.
Ah mais le système est parfaitement au point. Quand on cherche à imposer quelque chose qui enquiquine, et qu'on a peu d'argument pour se justifier, on brandit la liberté pédagogique. Et quand on prétend suivre la règle, parce qu'il devient difficile de s'y opposer avec la liberté pédagogique, on trouve toujours un texte, ou une circulaire, qui contredit la première, ou empêche son application d'une manière ou d'une autre (et on y arrive parce que tout le bouzin est construit comme ça). C'est d'ailleurs effrayant de constater à quel point on fonctionne sur un double discours : les textes d'un coté, la réalité de l'autre. Il est aisé (et même farce) de trouver les points d'achoppements.
Je ne jette d'ailleurs la pierre à personne. Les contraintes structurelles (bâtit, emploi du temps, infantilisation des troupes, etc...) sont suffisamment pesantes pour que chacun dans son coin s'aménage son coin de liberté comme il peut. Les élèves font pareil d'ailleurs. Mais là, ça nous agace, et ne trouve pas ça normal.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
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