- PseudoDemi-dieu
Je fais le point sur ma reconversion, parce que j'ai ouïe dire que les profs étaient de plus en plus nombreux à vouloir faire autre chose, mais que les possibilités ne semblaient pas pléthoriques à priori. En tout cas, le chemin n'est pas semé que de pétales de rose.
J'ai 48 ans (idée reçue numéro 1 : à partir d'un certain age, c'est trop tard) et à vrai dire, pour suivre la voie que je me suis tracée c'est plus un atout qu'un handicap. Pour accompagner les autres, mieux vaut avoir une certaine expérience de la vie, même si cela ne suffit pas.
Je suis prof-doc (moi je dis documentaliste, par esprit de contradiction) depuis plus de vingt ans.
Il y a plus de dix ans que je sais qu'il faut que je fasse autre chose, mais le chemin fût long pour trouver ce que je voulais faire. L'EN n'aide en rien, mais c'est avant tout un travail perso que j'ai fait en grande partie en thérapie. Et encore, les choses se sont dégagées petit à petit, au fur et à mesure de mon évolution et des changements que j'ai mis en place dans tous les secteurs de ma vie, pas seulement professionnels. Je peux même dire que les choses se sont vraiment décantées sans que je m'en rende totalement compte, bien des années après le début de ma thérapie.
Idée reçue numéro 2 : pour se reconvertir, il faut se renseigner sur les possibilités au CIo ou équivalent, passer des concours, s'inscrire à une formation, faire un bilan de compétences. Je n'ai rien fait de tout ça (enfin, je l'ai fait avant, mais sans succès au final)
Leçon fondatrice : Se connaître vraiment ! Affronter ses angles mort, travailler avant tout sur soi !
Et donc, où tout cela m'a-t-il mené ?
J'ai commencé par écrire "vraiment". Je fréquentais depuis très longtemps des ateliers d'écriture mais je n'écrivais pas beaucoup de façon autonome et continue. J'ai écrit finalement plusieurs romans, dont deux publiés à ce jour. Or, ce n'est certainement pas ce qui me permettra de vivre (enfin, on peut rêver, mais je préfère compter sur autre chose), mais ce fût le point de départ. Si je m'étais arrêtée à l'idée reçu numéro 2 (plus quelques autres autour de l'écriture), je n'aurais bien sûr jamais écrit. Il y a presque trois ans, j'ai lancé un premier atelier d'écriture, de façon totalement bénévole, juste parce que j'avais envie de partager ce qui me faisait tant de bien. J'ai proposé à un groupe d'aller au bout d'un manuscrit.
Parallèlement, je me confrontais régulièrement dans ma vie et en thérapie à une évidence qui me posait problème : j'aidais les gens sur le plan psychologique, j'aimais les aider, au point de souffrir du syndrome du sauveteur, ou de l'infirmière. Mais je refusais d'entendre les gens qui me conseillaient cette voie pro. Non, aider m'avait posé trop de problèmes. Jusqu'au jour où, en un éclair, à la terrasse d'un restaurant, je me suis dis "pourquoi pas ?" J'avais fait le chemin nécessaire pour envisager cela de façon un peu froide. Cela m'avait pris plusieurs années. J'ai alors cherché une formation, parce qu'on ne s'improvise pas thérapeute. En revanche, je n'ai aucune formation à l'animation d'ateliers d'écriture. Idée reçue numéro 3 : en dehors de la formation adéquate, point de salut.
Leçon énormissime : Notre job, on le fait déjà. C'est dans nos domaines de prédilections, nos goûts, nos compétences "naturelles" qu'il faut chercher. Mais il y a une étape complexe : monétiser ce qu'on fait déjà gratuitement, transformer en métier ce qui semble être un aimable hobby, voire une névrose à traiter :lol:
Aujourd'hui. J'ai développé mon offre d'ateliers d'écriture (et ce n'est qu'un début) et je me fais payer. Parfois ce n'est pas beaucoup, mais j'augmente mes tarifs petit à petit et je suis de plus en plus à l'aise avec ça. Ca m'a demandé de travailler sur moi, mais je progresse !
Depuis ce mois-ci je peux proposer des séances de coaching/counselling, grace à la formation en psychosynthèse dans laquelle je suis engagée depuis trois ans. Ce n'est qu'une étape, je continue la formation. Mais c'est une étape passionnante, très valorisante, formatrice et riche humainement. Recevoir son premier client pour une séance d'écoute et de coaching, c'est franchement le kif intégral, un rite de passage.
Rien ne me prédisposait à priori à devenir indépendante. La peur de manquer d'argent, les à priori sur le monde de l'entrepreneuriat, mes croyances quant à mes capacités, tout cela me retenait du coté du salariat et, mieux, de la fonction publique. Nous sommes nombreux à nous réfugier dans la fonction publique par peur de... peur de tout. Ce n'est pas honteux, c'est souvent lié à des blessures, une éducation. Ce n'est pas honteux, mais on n'est pas obligé de subir toute sa vie les ratés de son enfance comme une malédiction ou comme une destinée.
Or, si j'avais cherché une boite susceptible de m'employer en tant qu'animatrice d'atelier d'écriture ou psy, hé bien... Je ne serais pas sortie le cul des ronces.
Leçon 3 : ce qu'on veut faire, il faut le faire sans attendre de correspondre à un quelconque profil de poste, ni même sans attendre de s'être cassé de l'EN ou de son job.
L'aspect moins drôle, c'est que quitter l'en est moins gratifiant que le reste. Bien entendu, il faut vivre en attendant que mes activités deviennent assez rémunératrices. IDV (indemnité de départ volontaire) refusée deux fois, mais temps partiel à la rentrée qui va me permettre de développer tout ça, avoir le temps de recevoir mes clients, de proposer d'autres ateliers.
Alors, direz-vous, je ne suis pas au bout du chemin. Non, c'est vrai. Mais justement, le chemin est important, surement plus que l'objectif. Et ce que j'ai mis en place, ce que je fais aujourd'hui, cela m’apporte déjà tant que je ne peux pas regretter, quelque soit la suite. Tout ce que j'ai appris sur moi, le monde, les autres, n'est pas vain et me sera toujours utile, quoique je fasse par la suite. Même le CAPES de lettres que j'ai passé deux fois et loupé deux fois à l'oral il y a quelques années, lors d'une première tentative de reconversion, me sert : dans mes ateliers d'écriture (cela m’apporte une culture, des réflexes, des capacités techniques, une certaine légitimité à mes yeux), dans ma connaissance de "l'échec" (qui est donc toujours relatif) pour mener ma vie et accompagner les autres, et des souvenirs merveilleux d'étude de textes. Sans cet "échec" j'aurais eu plus de mal à me lancer pour les ateliers, ou à comprendre certains clients.
Leçon 4 : toujours oser ! Même quand on a très peur.
Et pour finir, vous pouvez allez voir mon site (clic).
J'ai 48 ans (idée reçue numéro 1 : à partir d'un certain age, c'est trop tard) et à vrai dire, pour suivre la voie que je me suis tracée c'est plus un atout qu'un handicap. Pour accompagner les autres, mieux vaut avoir une certaine expérience de la vie, même si cela ne suffit pas.
Je suis prof-doc (moi je dis documentaliste, par esprit de contradiction) depuis plus de vingt ans.
Il y a plus de dix ans que je sais qu'il faut que je fasse autre chose, mais le chemin fût long pour trouver ce que je voulais faire. L'EN n'aide en rien, mais c'est avant tout un travail perso que j'ai fait en grande partie en thérapie. Et encore, les choses se sont dégagées petit à petit, au fur et à mesure de mon évolution et des changements que j'ai mis en place dans tous les secteurs de ma vie, pas seulement professionnels. Je peux même dire que les choses se sont vraiment décantées sans que je m'en rende totalement compte, bien des années après le début de ma thérapie.
Idée reçue numéro 2 : pour se reconvertir, il faut se renseigner sur les possibilités au CIo ou équivalent, passer des concours, s'inscrire à une formation, faire un bilan de compétences. Je n'ai rien fait de tout ça (enfin, je l'ai fait avant, mais sans succès au final)
Leçon fondatrice : Se connaître vraiment ! Affronter ses angles mort, travailler avant tout sur soi !
Et donc, où tout cela m'a-t-il mené ?
J'ai commencé par écrire "vraiment". Je fréquentais depuis très longtemps des ateliers d'écriture mais je n'écrivais pas beaucoup de façon autonome et continue. J'ai écrit finalement plusieurs romans, dont deux publiés à ce jour. Or, ce n'est certainement pas ce qui me permettra de vivre (enfin, on peut rêver, mais je préfère compter sur autre chose), mais ce fût le point de départ. Si je m'étais arrêtée à l'idée reçu numéro 2 (plus quelques autres autour de l'écriture), je n'aurais bien sûr jamais écrit. Il y a presque trois ans, j'ai lancé un premier atelier d'écriture, de façon totalement bénévole, juste parce que j'avais envie de partager ce qui me faisait tant de bien. J'ai proposé à un groupe d'aller au bout d'un manuscrit.
Parallèlement, je me confrontais régulièrement dans ma vie et en thérapie à une évidence qui me posait problème : j'aidais les gens sur le plan psychologique, j'aimais les aider, au point de souffrir du syndrome du sauveteur, ou de l'infirmière. Mais je refusais d'entendre les gens qui me conseillaient cette voie pro. Non, aider m'avait posé trop de problèmes. Jusqu'au jour où, en un éclair, à la terrasse d'un restaurant, je me suis dis "pourquoi pas ?" J'avais fait le chemin nécessaire pour envisager cela de façon un peu froide. Cela m'avait pris plusieurs années. J'ai alors cherché une formation, parce qu'on ne s'improvise pas thérapeute. En revanche, je n'ai aucune formation à l'animation d'ateliers d'écriture. Idée reçue numéro 3 : en dehors de la formation adéquate, point de salut.
Leçon énormissime : Notre job, on le fait déjà. C'est dans nos domaines de prédilections, nos goûts, nos compétences "naturelles" qu'il faut chercher. Mais il y a une étape complexe : monétiser ce qu'on fait déjà gratuitement, transformer en métier ce qui semble être un aimable hobby, voire une névrose à traiter :lol:
Aujourd'hui. J'ai développé mon offre d'ateliers d'écriture (et ce n'est qu'un début) et je me fais payer. Parfois ce n'est pas beaucoup, mais j'augmente mes tarifs petit à petit et je suis de plus en plus à l'aise avec ça. Ca m'a demandé de travailler sur moi, mais je progresse !
Depuis ce mois-ci je peux proposer des séances de coaching/counselling, grace à la formation en psychosynthèse dans laquelle je suis engagée depuis trois ans. Ce n'est qu'une étape, je continue la formation. Mais c'est une étape passionnante, très valorisante, formatrice et riche humainement. Recevoir son premier client pour une séance d'écoute et de coaching, c'est franchement le kif intégral, un rite de passage.
Rien ne me prédisposait à priori à devenir indépendante. La peur de manquer d'argent, les à priori sur le monde de l'entrepreneuriat, mes croyances quant à mes capacités, tout cela me retenait du coté du salariat et, mieux, de la fonction publique. Nous sommes nombreux à nous réfugier dans la fonction publique par peur de... peur de tout. Ce n'est pas honteux, c'est souvent lié à des blessures, une éducation. Ce n'est pas honteux, mais on n'est pas obligé de subir toute sa vie les ratés de son enfance comme une malédiction ou comme une destinée.
Or, si j'avais cherché une boite susceptible de m'employer en tant qu'animatrice d'atelier d'écriture ou psy, hé bien... Je ne serais pas sortie le cul des ronces.
Leçon 3 : ce qu'on veut faire, il faut le faire sans attendre de correspondre à un quelconque profil de poste, ni même sans attendre de s'être cassé de l'EN ou de son job.
L'aspect moins drôle, c'est que quitter l'en est moins gratifiant que le reste. Bien entendu, il faut vivre en attendant que mes activités deviennent assez rémunératrices. IDV (indemnité de départ volontaire) refusée deux fois, mais temps partiel à la rentrée qui va me permettre de développer tout ça, avoir le temps de recevoir mes clients, de proposer d'autres ateliers.
Alors, direz-vous, je ne suis pas au bout du chemin. Non, c'est vrai. Mais justement, le chemin est important, surement plus que l'objectif. Et ce que j'ai mis en place, ce que je fais aujourd'hui, cela m’apporte déjà tant que je ne peux pas regretter, quelque soit la suite. Tout ce que j'ai appris sur moi, le monde, les autres, n'est pas vain et me sera toujours utile, quoique je fasse par la suite. Même le CAPES de lettres que j'ai passé deux fois et loupé deux fois à l'oral il y a quelques années, lors d'une première tentative de reconversion, me sert : dans mes ateliers d'écriture (cela m’apporte une culture, des réflexes, des capacités techniques, une certaine légitimité à mes yeux), dans ma connaissance de "l'échec" (qui est donc toujours relatif) pour mener ma vie et accompagner les autres, et des souvenirs merveilleux d'étude de textes. Sans cet "échec" j'aurais eu plus de mal à me lancer pour les ateliers, ou à comprendre certains clients.
Leçon 4 : toujours oser ! Même quand on a très peur.
Et pour finir, vous pouvez allez voir mon site (clic).
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- zeprofGrand sage
je n'ai qu'un mot : BRAVO (et bonne et longue route vers ta reconversion complète mais qui est déjà drôlement bien avancée malgré les bâtons dans les roues)
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- PseudoDemi-dieu
zeprof a écrit:je n'ai qu'un mot : BRAVO (et bonne et longue route vers ta reconversion complète mais qui est déjà drôlement bien avancée malgré les bâtons dans les roues)
Merci de tes encouragements ! C'est toujours agréable et utile !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- ipomeeGuide spirituel
Félicitations pour avoir osé franchir le pas. Je te souhaite une bonne réussite, et je vais aller voir ton site.
- OlympiasProphète
Bravo aussi. L'important est d'être en harmonie avec soi-même et de trouver sa voie.
As-tu l'assurance d'avoir cette IDV au cours de l'année qui vient ?
As-tu l'assurance d'avoir cette IDV au cours de l'année qui vient ?
- PseudoDemi-dieu
ipomee a écrit:Félicitations pour avoir osé franchir le pas. Je te souhaite une bonne réussite, et je vais aller voir ton site.
Merci !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
Olympias a écrit:Bravo aussi. L'important est d'être en harmonie avec soi-même et de trouver sa voie.
As-tu l'assurance d'avoir cette IDV au cours de l'année qui vient ?
Non, aucune assurance de rien du tout concernant l'IDV. J'ai reçu la deuxième lettre de refus hier. Je ne peux que passer à la phase contentieuse (TA) mais je réfléchis pour savoir si le jeu en vaut la chandelle. J'ai tellement plus envie de me consacrer à mon activité qu'à ces tracas administratifs !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- OlympiasProphète
Il faudrait se renseigner pour savoir le temps que cette procédure peut prendre. Je comprends que tu préfères de loin t'occuper de ton site et de tes stages d'écriture que des paperasses. Bon courage en tous cas.Pseudo a écrit:Olympias a écrit:Bravo aussi. L'important est d'être en harmonie avec soi-même et de trouver sa voie.
As-tu l'assurance d'avoir cette IDV au cours de l'année qui vient ?
Non, aucune assurance de rien du tout concernant l'IDV. J'ai reçu la deuxième lettre de refus hier. Je ne peux que passer à la phase contentieuse (TA) mais je réfléchis pour savoir si le jeu en vaut la chandelle. J'ai tellement plus envie de me consacrer à mon activité qu'à ces tracas administratifs !
- jujuEsprit éclairé
Bravo, tu es une sacrée femme.
Bonne continuation
Bonne continuation
- Madame_ProfEsprit sacré
Et je pense que cette nouvelle voie, celle de l'accompagnement et du coaching, te va à ravir ! Rien qu'ici, tes mots font beaucoup de bien à beaucoup de gens
Bravo !
Bravo !
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- Dadoo33Grand sage
+1. J'adore te lire Pseudo. J'apprécie ton réalisme, tes bons conseils et ta gentillesse. Merci.
Je te souhaite vraiment de réussir.
Je te souhaite vraiment de réussir.
- DaphnéDemi-dieu
Dadoo33 a écrit:+1. J'adore te lire Pseudo. J'apprécie ton réalisme, tes bons conseils et ta gentillesse. Merci.
Je te souhaite vraiment de réussir.
Même chose !
Good luck to you
- laMissSage
Merci beaucoup pour ce témoignage.
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- roxanneOracle
Voilà une belle nouvelle....nouvelle à tous points de vue.
- WonderWomanBon génie
Bravo Pseudo, tu es vraiment inspirante et à plusieurs points de vue !
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
Vide dressing sur néo : https://www.neoprofs.org/t128716-vd-fille-wonderwoman-du-3-mois-au-4-ans-sergent-major-jacadi-zara-dpam-kiabi-verbaudet#4954294
- Blan6ineÉrudit
Madame_Prof a écrit:Et je pense que cette nouvelle voie, celle de l'accompagnement et du coaching, te va à ravir ! Rien qu'ici, tes mots font beaucoup de bien à beaucoup de gens
Bravo !
+10 !
- BalzacetponsNiveau 1
Bravo !!!! Bonne continuation!
Quel joli témoignage...
Quel joli témoignage...
- inzilbethNiveau 6
Chouette projet, chouette reconversion, chouette site "la dame qui dit chut!", ça m'a tellement fait rire !
Bonne chance
Bonne chance
- CatLeaBon génie
Super projet Pseudo. Ravie de lire ces belles nouvelles malgré le côté paperasserie prise de tête.
Tu me donnes des idées moi qui pense de plus en plus à me reconvertir mais qui est peu soutenue par mon entourage.....sauf par mon chéri. Ca donne des idées et ça donne envie. Plein de bonnes choses et de réussite.
Tu me donnes des idées moi qui pense de plus en plus à me reconvertir mais qui est peu soutenue par mon entourage.....sauf par mon chéri. Ca donne des idées et ça donne envie. Plein de bonnes choses et de réussite.
- patteNiveau 5
Chapeau bas Pseudo pour ce parcours très personnel
Bonne continuation !
Bonne continuation !
- PseudoDemi-dieu
Merci à tous !
Je n'avais pas vu les dernière réponses
Catlea, si on attend d'être soutenu, on ne fait rien. Et tu as déjà ton chéri, c'est plus que je n'ai eu ! Cela dit, je crois qu'il y a des chemins qu'on ne peut faire que seul, du moins sans les proches. Les proches aiment rarement le changement. J'ai eu mes psy et mon groupe de formation, ce ne sont pas des proches, mais ça compte triple au moins !
Je n'avais pas vu les dernière réponses
Catlea, si on attend d'être soutenu, on ne fait rien. Et tu as déjà ton chéri, c'est plus que je n'ai eu ! Cela dit, je crois qu'il y a des chemins qu'on ne peut faire que seul, du moins sans les proches. Les proches aiment rarement le changement. J'ai eu mes psy et mon groupe de formation, ce ne sont pas des proches, mais ça compte triple au moins !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- JaneBNeoprof expérimenté
Bravo, Pseudo!
Je ne suis pas étonnée de la nouvelle voie que tu prends: je trouve qu'elle te correspond parfaitement au vu des conseils francs et avisés que tu donnes ici!
Et tu as bien raison de ne pas laisser les tracasseries administratives t'entamer le moral ...
Je ne suis pas étonnée de la nouvelle voie que tu prends: je trouve qu'elle te correspond parfaitement au vu des conseils francs et avisés que tu donnes ici!
Et tu as bien raison de ne pas laisser les tracasseries administratives t'entamer le moral ...
- Tem-toGrand sage
Bravo Pseudo, continue de garder l'initiative de ton avenir !
J'aime ton expression des "angles morts" de nos personnalités.
FIAT LUX !
J'aime ton expression des "angles morts" de nos personnalités.
FIAT LUX !
- Reine MargotDemi-dieu
Bonne chance, c'est une reconversion où tu as au moins pris le temps de faire ce qui te plaît vraiment.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- User4312Niveau 10
Bravo, oui, il faut faire ce qu'on a envie dans la vie pour être heureux !
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