- JohnMédiateur
Débat dans quelques minutes sur I-Télé : faut-il supprimer le jour de carence pour les fonctionnaires ?
Selon la présentatrice, qui s'appuie sur une étude, "le jour de carence supprimerait de moitié l'absentéisme des fonctionnaires".
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JohnMédiateur
Franck Riester est pour le maintien du jour de carence car "l'absentéisme est un fléau dans l'administration".
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- Ingeborg B.Esprit éclairé
Cela pousse surtout les gens à retarder l'arrêt maladie et, donc, à s'arrêter plus longtemps... De quelle étude s'agit-il ?
- JohnMédiateur
Pour Emmanuel Maurel (PS, vice-président CR Ile de France), cette étude est fausse. Elle est due à des assureurs qui escomptaient des contrats juteux grâce à l'instauration de ce jour de carence.
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- LeclochardEmpereur
C'est vrai. Les personnes ont-elles été au travail malades ou ont-elles limité leurs absences de confort ? L'étude ne le dit pas.
Cette mesure ne visait pas les professeurs mais les agents de mairie et des hôpitaux qui abusaient des petites absences. Cela désorganisait les services.
Cette mesure ne visait pas les professeurs mais les agents de mairie et des hôpitaux qui abusaient des petites absences. Cela désorganisait les services.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- JohnMédiateur
Pour Sophie de Menthon, l'absenteisme est un fléau en France, dans le public comme dans le privé.
Le public est privilégié, et c'est un signe désastreux car ça veut dire aux gens qu'ils peuvent rester chez eux.
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- LeclochardEmpereur
Ingeborg B. a écrit:Cela pousse surtout les gens à retarder l'arrêt maladie et, donc, à s'arrêter plus longtemps... De quelle étude s'agit-il ?
Non car les gens s'arrêtaient une journée le plus souvent.
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- JohnMédiateur
Sophie de Menthon : "Il est très tentant de prendre un jour quand on est fatigué et qu'on a un long trajet. L'absentéisme est un fléau dans la fonction publique".
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- JohnMédiateur
Ah ben c'est déjà fini...
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- Ingeborg B.Esprit éclairé
Enfin, pour les hôpitaux, il faudrait surtout se poser la question suivante : En quoi l'organisation actuelle du travail pousse-t-elle les gens à s'arrêter ? Pour des raisons familiales, je connais un peu le milieu. Comment ne pas comprendre qu'une infirmière ne soit plus opérationnelle après avoir travaillé 4 fois 12 heures en une semaine ? Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...Leclochard a écrit:C'est vrai. Les personnes ont-elles été au travail malades ou ont-elles limité leurs absences de confort ? L'étude ne le dit pas.
Cette mesure ne visait pas les professeurs mais les agents de mairie et des hôpitaux qui abusaient des petites absences. Cela désorganisait les services.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est vrai qu'on peut subodorer que cette dame ne teste pas le RER A tous les jours... Elle n'y survivrait pasJohn a écrit:Sophie de Menthon : "Il est très tentant de prendre un jour quand on est fatigué et qu'on a un long trajet. L'absentéisme est un fléau dans la fonction publique".
- LeclochardEmpereur
John a écrit:Pour Sophie de Menthon, l'absenteisme est un fléau en France, dans le public comme dans le privé.
Le public est privilégié, et c'est un signe désastreux car ça veut dire aux gens qu'ils peuvent rester chez eux.
Un fléau, faut pas exagérer mais c'est vrai que cela induit plus de travail pour les autres. Voyez ce qui se passait le jour où on corrigeait le brevet et qu'une partie des examinateurs éteint absents : les copies étaient redistribuées aux autres.
Ma mère dirigeait autrefois un service hospitalier : elle m'a raconté des anecdotes éclairantes. Certaines personnes se permettaient d'arriver en retard ou de s'absenter facilement. Si on ne peut les sanctionner, c'est évident qu'elles continuent. C'est de la démagogie de dire que tous les fonctionnaires abusent des arrêts mais ça l'est aussi de dire que les absences sont sans conséquence.
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- User5899Demi-dieu
Oui, mais là, adieu aux faux débats de 12 minutesIngeborg B. a écrit:Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Oui, enfin, c'est une minorité :shock: . Pour avoir dû, à l'insu de mon plein gré, fréquenter assidûment les hôpitaux, j'ai surtout vu des infirmières épuisées par les cadences imposées et les horaires démentiels.Leclochard a écrit:John a écrit:Pour Sophie de Menthon, l'absenteisme est un fléau en France, dans le public comme dans le privé.
Le public est privilégié, et c'est un signe désastreux car ça veut dire aux gens qu'ils peuvent rester chez eux.
Un fléau, faut pas exagérer mais c'est vrai que cela induit plus de travail pour les autres. Voyez ce qui se passait le jour où on corrigeait le brevet et qu'une partie des examinateurs éteint absents : les copies étaient redistribuées aux autres.
Ma mère dirigeait autrefois un service hospitalier : elle m'a raconté des anecdotes éclairantes. Certaines personnes se permettaient d'arriver en retard ou de s'absenter facilement. Si on ne peut les sanctionner, c'est évident qu'elles continuent. C'est de la démagogie de dire que tous les fonctionnaires abusent des arrêts mais ça l'est aussi de dire que les absences sont sans conséquence.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Nous sommes bien d'accord et cela demanderait un minimum de lectures...Cripure a écrit:Oui, mais là, adieu aux faux débats de 12 minutesIngeborg B. a écrit:Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...
- LeclochardEmpereur
Ingeborg B. a écrit:Enfin, pour les hôpitaux, il faudrait surtout se poser la question suivante : En quoi l'organisation actuelle du travail pousse-t-elle les gens à s'arrêter ? Pour des raisons familiales, je connais un peu le milieu. Comment ne pas comprendre qu'une infirmière ne soit plus opérationnelle après avoir travaillé 4 fois 12 heures en une semaine ? Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...Leclochard a écrit:C'est vrai. Les personnes ont-elles été au travail malades ou ont-elles limité leurs absences de confort ? L'étude ne le dit pas.
Cette mesure ne visait pas les professeurs mais les agents de mairie et des hôpitaux qui abusaient des petites absences. Cela désorganisait les services.
Tu as autant de raisons médicales que de raisons "personnelles". Le travail à l'hôpital est éprouvant, à la mairie ou au conseil général, un peu moins, on va dire.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Oui mais l'absentéisme au travail est aussi un marqueur des problèmes d'organisation et ce, dès le XIXe siècle, comme l'avait montré Michelle Perrot dans sont livre, Genèse de la grève. De même, à la fin des années 1960, on observe une progression de l'absentéisme des ouvriers qui coïncide avec l'apogée du taylorisme.Leclochard a écrit:Ingeborg B. a écrit:Enfin, pour les hôpitaux, il faudrait surtout se poser la question suivante : En quoi l'organisation actuelle du travail pousse-t-elle les gens à s'arrêter ? Pour des raisons familiales, je connais un peu le milieu. Comment ne pas comprendre qu'une infirmière ne soit plus opérationnelle après avoir travaillé 4 fois 12 heures en une semaine ? Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...Leclochard a écrit:C'est vrai. Les personnes ont-elles été au travail malades ou ont-elles limité leurs absences de confort ? L'étude ne le dit pas.
Cette mesure ne visait pas les professeurs mais les agents de mairie et des hôpitaux qui abusaient des petites absences. Cela désorganisait les services.
Tu as autant de raisons médicales que de raisons "personnelles". Le travail à l'hôpital est éprouvant, à la mairie ou au conseil général, un peu moins, on va dire.
- neomathÉrudit
L'étude en question est due à des gens dont la bonne foi est proverbiale : des assureurs.
Et parfaitement objectifs : ils ont perdu très gros à la suppression du jour de carence.
Et parfaitement objectifs : ils ont perdu très gros à la suppression du jour de carence.
- LeclochardEmpereur
Une minorité, certes mais ici comme ailleurs, il suffit que 10% des gens ne respectent pas les règles pour qu'un groupe soit déstabilisé, qu'on soit obligé d'imposer des mesures plus dures de contrôle etc.. Deux ou trois chieurs dans une classe de trente peuvent t'empêcher de faire cours, tu le sais.Ingeborg B. a écrit:Leclochard a écrit:John a écrit:Pour Sophie de Menthon, l'absenteisme est un fléau en France, dans le public comme dans le privé.
Le public est privilégié, et c'est un signe désastreux car ça veut dire aux gens qu'ils peuvent rester chez eux.
Un fléau, faut pas exagérer mais c'est vrai que cela induit plus de travail pour les autres. Voyez ce qui se passait le jour où on corrigeait le brevet et qu'une partie des examinateurs éteint absents : les copies étaient redistribuées aux autres.
Ma mère dirigeait autrefois un service hospitalier : elle m'a raconté des anecdotes éclairantes. Certaines personnes se permettaient d'arriver en retard ou de s'absenter facilement. Si on ne peut les sanctionner, c'est évident qu'elles continuent. C'est de la démagogie de dire que tous les fonctionnaires abusent des arrêts mais ça l'est aussi de dire que les absences sont sans conséquence.
Oui, enfin, c'est une minorité :shock: . Pour avoir dû, à l'insu de mon plein gré, fréquenter assidûment les hôpitaux, j'ai surtout vu des infirmières épuisées par les cadences imposées et les horaires démentiels .
Tu n'as pas que les hôpitaux. Je dirai même que ce sont les fonctionnaires des collectivités locales principalement qui étaient visés.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- LeclochardEmpereur
Ingeborg B. a écrit:Oui mais l'absentéisme au travail est aussi un marqueur des problèmes d'organisation et ce, dès le XIXe siècle, comme l'avait montré Michelle Perrot dans sont livre, Genèse de la grève. De même, à la fin des années 1960, on observe une progression de l'absentéisme des ouvriers qui coïncide avec l'apogée du taylorisme.Leclochard a écrit:Ingeborg B. a écrit:
Enfin, pour les hôpitaux, il faudrait surtout se poser la question suivante : En quoi l'organisation actuelle du travail pousse-t-elle les gens à s'arrêter ? Pour des raisons familiales, je connais un peu le milieu. Comment ne pas comprendre qu'une infirmière ne soit plus opérationnelle après avoir travaillé 4 fois 12 heures en une semaine ? Il faudrait donc qu'ils s'interrogent aussi sur les causes de l'absentéisme...
Tu as autant de raisons médicales que de raisons "personnelles". Le travail à l'hôpital est éprouvant, à la mairie ou au conseil général, un peu moins, on va dire.
C'est assez audacieux d'évoquer le taylorisme quand on débat de l'absence des employés de mairie ou du conseil général.
Je conseille çe livre hilarant : http://www.amazon.fr/Absolument-dé-bor-dée-paradoxe-fonctionnaire-Comment/dp/2226206027
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Je parlais en général.... Pour le reste, je ne connais pas le milieu des employés de mairie et un témoignage ne fait pas une généralité.Leclochard a écrit:Ingeborg B. a écrit:Oui mais l'absentéisme au travail est aussi un marqueur des problèmes d'organisation et ce, dès le XIXe siècle, comme l'avait montré Michelle Perrot dans sont livre, Genèse de la grève. De même, à la fin des années 1960, on observe une progression de l'absentéisme des ouvriers qui coïncide avec l'apogée du taylorisme.Leclochard a écrit:
Tu as autant de raisons médicales que de raisons "personnelles". Le travail à l'hôpital est éprouvant, à la mairie ou au conseil général, un peu moins, on va dire.
C'est assez audacieux d'évoquer le taylorisme quand on débat de l'absence des employés de mairie ou du conseil général.
Je conseille çe livre hilarant : http://www.amazon.fr/Absolument-dé-bor-dée-paradoxe-fonctionnaire-Comment/dp/2226206027
- Roumégueur IerÉrudit
A priori, c'est l'info tronquée qui circule en ce moment et qui fait dire des âneries aux acharnés de l'alignement public/privé.
J'ai entendu sur UNE radio (pas deux, une) que l'étude porte sur la FP hospitalière et la FP territoriale.
Les arrêts d'un jour ont baissé de 40% environ, donc, youpi tralala, on a mis au boulot ces feignasses, pourquoi leur refinancer un jour de repos!
Sauf que les arrêts plus longs ont explosé de 35% : les agents, se voyant floués d'une journée de salaire, n'hésitent plus à vraiment s'arrêter le temps qu'il faut pour se requinquer, perdu pour perdu.
C'est donc semble-t-il l'effet pervers de cette mesure, que nous avions déjà évoquée au moment du débat sur ce jour de carence...
A part cette radio, aucun autre journal ne reprend cette partie de l'étude, qui est déjà à prendre avec des pincettes, c'est tout de même bizarre.
Pujadas en a fait une présentation bien salée, manière de bien montrer que les privilèges seront de retour dès janvier.
(Là, j'ai même pas envie de chercher l'étude et de la lire avec précision, écœuré, comme d'hab)
J'ai entendu sur UNE radio (pas deux, une) que l'étude porte sur la FP hospitalière et la FP territoriale.
Les arrêts d'un jour ont baissé de 40% environ, donc, youpi tralala, on a mis au boulot ces feignasses, pourquoi leur refinancer un jour de repos!
Sauf que les arrêts plus longs ont explosé de 35% : les agents, se voyant floués d'une journée de salaire, n'hésitent plus à vraiment s'arrêter le temps qu'il faut pour se requinquer, perdu pour perdu.
C'est donc semble-t-il l'effet pervers de cette mesure, que nous avions déjà évoquée au moment du débat sur ce jour de carence...
A part cette radio, aucun autre journal ne reprend cette partie de l'étude, qui est déjà à prendre avec des pincettes, c'est tout de même bizarre.
Pujadas en a fait une présentation bien salée, manière de bien montrer que les privilèges seront de retour dès janvier.
(Là, j'ai même pas envie de chercher l'étude et de la lire avec précision, écœuré, comme d'hab)
- LeclochardEmpereur
Ingeborg B. a écrit:Je parlais en général.... Pour le reste, je ne connais pas le milieu des employés de mairie et un témoignage ne fait pas une généralité.Leclochard a écrit:Ingeborg B. a écrit:
Oui mais l'absentéisme au travail est aussi un marqueur des problèmes d'organisation et ce, dès le XIXe siècle, comme l'avait montré Michelle Perrot dans sont livre, Genèse de la grève. De même, à la fin des années 1960, on observe une progression de l'absentéisme des ouvriers qui coïncide avec l'apogée du taylorisme.
C'est assez audacieux d'évoquer le taylorisme quand on débat de l'absence des employés de mairie ou du conseil général.
Je conseille çe livre hilarant : http://www.amazon.fr/Absolument-dé-bor-dée-paradoxe-fonctionnaire-Comment/dp/2226206027
Je suis d'accord.
J'ai travaillé à l'usine quelques mois: j'ai éprouvé ce concept (geste répétitif et aliénant, productivité mesurable, objectif de production, absence de réflexion ou d'échange avec les autres..) Je ne l'ai jamais vu à l'œuvre dans une mairie.
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