- C'est pas fauxEsprit éclairé
E. Davidenkoff nous annonce la fin de l'école pour 2045 (mais pas celle du business sur la bête, ce qui ne semble pas beaucoup l'interpeller y compris au niveau du vécu) :
http://www.franceinfo.fr/education-jeunesse/question-d-education/65-des-metiers-de-demain-n-existent-pas-l-ecole-est-elle-prete-1233983-2013-12-0
http://www.franceinfo.fr/education-jeunesse/question-d-education/65-des-metiers-de-demain-n-existent-pas-l-ecole-est-elle-prete-1233983-2013-12-0
Il y a dix jours vous nous annonciez la fin de l'école en 2045, à partir des travaux de prospective d'un think tank américain. On retourne, par étape, en 2045, mais cette fois l'école ne meurt pas...
Elle ne meurt pas mais elle est profondément bouleversée. Je m'appuie cette fois sur un travail de prospective publié sur le site Regards sur le numérique de Microsoft, qui se fait l'écho d'une recherche menée par TFE Research et Michell Zappa sur l'impact des technologies sur l'éducation.
Première étape, elle nous conduit en 2016, c'est la " ludification ".
Néologisme français pour " gamification ", en gros le recours à des mécanismes venus du jeu. Vous savez que tout le monde court après le moteur du plaisir pour favoriser les apprentissages. Or si on joue c'est qu'on y prend plaisir mais aussi qu'il existe des dispositifs destinés à créer l'addiction.
Oui... Dans un jeu vidéo on vous récompense et on vous défie...
Exactement. Et ça peut se transposer facilement dans le système de notation ou d'évaluation par des systèmes de scores, de récompenses et de niveaux de progression. Les outils existent déjà : jeux éducatifs ; systèmes de badges récompensant les acquis ; outils de programmation éducatifs...
Certains de ces outils sont utilisés en dehors de l'école, notamment sur les tablettes...
Oui. Et c'est la deuxième tendance, concomitante, et qui nous conduirait en 2018, celle dque les auteurs appellent " l'ouverture de l'information ". " Les pratiques éducatives ne se limitent plus à l'école, écrivent-ils : les contenus éducatifs se disséminent en dehors du " silo " physique de la classe, offrant aux élèves une évaluation de leurs apprentissages dans différentes dimensions de leur vie. " Exemples : les communautés scolaires en ligne, les leçons en vidéo, les boutiques en ligne d'applications éducatives, les didacticiels libres, les manuels scolaires numérisés.. Tout cela pouvant conduire à la fameuse classe inversée : vous apprenez les leçons en dehors de la classe, vous faites des travaux de groupe, des expériences, vous profitez de séances de tutorat dans l'établissement.
On va vers la classe numérique
Exactement. Les auteurs ne la voient pas comme un système planifié mais comme la somme de toute une série d'innovations : il " tend, disent-ils,à se disperser à travers toutes les facettes de la classe. Le numérique en classe, ce serait - du plus banal au plus exotique :
- Des rétroprojecteurs
- Des tableaux interactifs
- Du papier électronique et autres cahiers numériques
- Des tableaux de bord numériques des performances de la classe
- Des outils de cartographie des connaissances
- Des surfaces tactiles sur les bureaux des élèves ou les murs de la classe
- Des technologies pour capter les mouvements de l'oeil, ou les signes d'attention, afin d'adapter les activités ou le rythme de la leçon au niveau de concentration ? "
A quelle échéance ?
2025. Cela veut dire que cela concernera au niveau du lycée les enfants qui sont actuellement en maternelle.
Et pour leurs petits frères et petites sœurs ?
A l'horizon 2035, ils annoncent la " désintermédiation ", scénario dans lequel une intelligence artificielle se charge de " personnaliser la leçon en fonction du niveau de chaque élève, pendant que le professeur se concentre sur l'enseignement ". Les technologies en jeu :les algorithmes générateurs de leçons, assurant également l'évaluation, distribuant des tâches éducatives et, au besoin, renvoyant l'élève vers le professeur, ou encore les plateformes d'apprentissage mobile, ou en téléprésence.
Au plan technologique, ça existe déjà. Pourquoi attendre si longtemps ?
Une des caractéristiques de ce travail, à mon sens, est qu'il prend en considération la lenteur d'appropriation du changement par l'institution. Raison pour laquelle les auteurs sont beaucoup plus prudents que ceux qui prédisent la fin de l'école en 2045. Cette fois, selon eux, " la rupture entre réel et virtuel, relève d'un futur hypothétique, certainement beaucoup plus lointain, dans lequel l'accès à l'information serait détaché de toute contrainte physique ". Ils évoquent " des lunettes à réalité augmentée ? Des écrans rétiniens ? Une réalité virtuelle immersive ? " Mais disent-ils, à ce stade (les années 2030-2040), tous les scénarios sont possibles.
C'est la deuxième fois en quinze jours que vous vous faites l'écho de ces travaux de prospective. Pourquoi sont-ils aussi importants ?
Parce que l'idée qui domine dans le monde de l'innovation éducative aujourd'hui, c'est qu'il y a urgence. Les auteurs de cet article citent en introduction le Département d'Etat américain du Tarvail selon qui " 65% des écoliers d'aujourd'hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n'ont même pas encore été inventés ". " D'où la nécessité, commentent-ils, d'essayer d'anticiper la manière dont les technologies peuvent évoluer, et comment nous pourrons les intégrer dans nos écoles. "
- henrietteMédiateur
Je ne puis m'empêcher de songer qu'il s'agit donc là d'un travail qui doit vraiment être réalisé en toute objectivité, sans partialité aucune.C'est pas faux a écrit:C'est pas grave : E. Davidenkoff nous annonce la fin de l'école pour 2045 (mais pas celle du business sur la bête, ce qui ne semble pas beaucoup l'interpeller y compris au niveau du vécu) :
http://www.franceinfo.fr/education-jeunesse/question-d-education/65-des-metiers-de-demain-n-existent-pas-l-ecole-est-elle-prete-1233983-2013-12-0
Il y a dix jours vous nous annonciez la fin de l'école en 2045, à partir des travaux de prospective d'un think tank américain. On retourne, par étape, en 2045, mais cette fois l'école ne meurt pas...
Elle ne meurt pas mais elle est profondément bouleversée. Je m'appuie cette fois sur un travail de prospective publié sur le site Regards sur le numérique de Microsoft, qui se fait l'écho d'une recherche menée par TFE Research et Michell Zappa sur l'impact des technologies sur l'éducation.
- User17706Bon génie
Quand je lis Davidenkoff, je pense aussi qu'il y a urgence. C'est drôle quand même ces coïncidences.
- JPhMMDemi-dieu
« La première fois c'est un hasard, la deuxième fois une coïncidence, la troisième fois une provocation », James Bond.PauvreYorick a écrit:Quand je lis Davidenkoff, je pense aussi qu'il y a urgence. C'est drôle quand même ces coïncidences.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
Bon, on pourrait pas plutôt la faire vers 2020, la fin de l'école ?
- LeclochardEmpereur
Ces mecs qui cherchent à prévoir l'avenir et qui donnent des dates pour se donner un air de sérieux sont vraiment des branquignols. Si les Témoins de Jéhovah ont arrêté d'essayer de prévoir la fin du monde, ce n'est pas pour rien. Ils en avaient marre de passer pour des c.. David et ses potes n'ont pas encore retenu la leçon, c'est le cas de le dire.Cripure a écrit:Bon, on pourrait pas plutôt la faire vers 2020, la fin de l'école ?
_________________
Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- User5899Demi-dieu
Vi vi vi, mais 2020, ça m'arrangeraitLeclochard a écrit:Ces mecs qui cherchent à prévoir l'avenir et qui donnent des dates pour se donner un air de sérieux sont vraiment des branquignols. Si les Témoins de Jéhovah ont arrêté d'essayer de prévoir la fin du monde, ce n'est pas pour rien. Ils en avaient marre de passer pour des c.. David et ses potes n'ont pas encore retenu la leçon, c'est le cas de le dire.Cripure a écrit:Bon, on pourrait pas plutôt la faire vers 2020, la fin de l'école ?
- ParatgeNeoprof expérimenté
« 65 % des métiers de demain n'existent pas. »
Extraordinaire !
Extraordinaire !
- User5899Demi-dieu
Et comme demain n'existe pas, je crains pour les 35% restantsParatge a écrit:« 65 % des métiers de demain n'existent pas. »
Extraordinaire !
Relisons Le Fléau, mes Frères !!
- trompettemarineMonarque
Aujourd'hui j'ai appris à écrire certaines lettres en cursive à un élève.
J'ai montré à d'autres qu'il existait aussi des stylos plume.
J'ai expliqué à un troisième que s'il n'avait pas de feuilles, il n'était pas obligé d'écrire sur la table.
Il n'y a qu'une ou deux prises électriques dans nos salles de classe.
En 2045... il y aura peut-être trois prises et si je ne suis toujours pas en retraite (à 75 ans c'est plausible), je répèterai la même chose : je leur apprendrai des mots, à les lire, les écrire, penser avec et j'aurai raison.
Et un clone de Davidenkoff me décrira mon métier... avec des mots.
Et c'est une fan de star trek qui vous le dis !
J'ai montré à d'autres qu'il existait aussi des stylos plume.
J'ai expliqué à un troisième que s'il n'avait pas de feuilles, il n'était pas obligé d'écrire sur la table.
Il n'y a qu'une ou deux prises électriques dans nos salles de classe.
En 2045... il y aura peut-être trois prises et si je ne suis toujours pas en retraite (à 75 ans c'est plausible), je répèterai la même chose : je leur apprendrai des mots, à les lire, les écrire, penser avec et j'aurai raison.
Et un clone de Davidenkoff me décrira mon métier... avec des mots.
Et c'est une fan de star trek qui vous le dis !
- cliohistHabitué du forum
Pour un prof, quelle est la cible principale ?E. Davidenkoff nous annonce la fin de l'école pour 2045 (mais pas celle du business sur la bête
Le doigt ou le ciel ?
L'article d'E. Davidenkoff ?
Ou bien la source dont il se sert ?
http://www.rslnmag.fr/post/2012/08/23/Visualiser-le-futur-des-technologies-educatives.aspx
Regards sur le Numérique, c'est un "produit" du Service communication de Microsoft France
http://www.rslnmag.fr/page/Abonnement.aspx
parmi les thèmes passés à la moulinette par la multinationale US,
grâce à notre argent capté du fait d'un quasi-monopole sur les systèmes d'exploitation :
- Au BETT 2013, le numérique réinvente l'éducation
- Quelle école pour demain ? Microsoft jeudi 5 avril 2012
- Conférence "Senior, et alors ?" dans les locaux de Microsoft France
- Mercedes Bunz : les algorithmes ne remplaceront jamais les journalistes ...
.
- the educatorFidèle du forum
Plutôt que de tourner en dérision la forme, s'interroger sur les implications de ce genre de prédictions (qui n'en sont qu'à moitié, puisqu'en faisant le travail à rebours, on se rend compte qu'une partie non négligeable des boulots actuels n'existaient pas il y à 25 ans (par exemple tous les métiers du net, plus généralement de l'informatique, et juste pour rester dans une branche ou c'est incontestable)). S'avancer en pourcentage ou en date est un truc de communication basique, mais l'idée reste la même.« 65 % des métiers de demain n'existent pas. »
Le deuxième chose, c'est sur la neutralité de la publication d'origine. Faut quand même se rappeler que ces groupes là se posent des questions de stratégies à l'échelle du demi siècle, et qu'ils sont quasi les seuls à pouvoir financer une prospective sérieuse et (quasi) tout azimuth. Bien sur qu'ils ne publieront pas un rapport ou une étude qui irait à l'encontre des intérêts de leur groupe, mais vu les implications technologiques, humaines, et financières, la prospective (rendue publique ou pas) et l'audit sont des secteurs qui sont pris très au sérieux.
- PseudoDemi-dieu
Et combien de prédictions s'avèrent fausses ? Pas loin de 100% je crois.Paratge a écrit:« 65 % des métiers de demain n'existent pas. »
Extraordinaire !
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- User17706Bon génie
Ce qui montre bien tout le mérite qu'il y a, de leur part, à se planter.the educator a écrit:Faut quand même se rappeler que ces groupes là se posent des questions de stratégies à l'échelle du demi siècle, et qu'ils sont quasi les seuls à pouvoir financer une prospective sérieuse et (quasi) tout azimuth. Bien sur qu'ils ne publieront pas un rapport ou une étude qui irait à l'encontre des intérêts de leur groupe, mais vu les implications technologiques, humaines, et financières, la prospective (rendue publique ou pas) et l'audit sont des secteurs qui sont pris très au sérieux.
- the educatorFidèle du forum
Même si ta situation d'arrivée n'est pas conforme à ton modèle, le simple fait d'avoir hisser les voiles un peu avant les autres te donnes une bonne longueur d'avance. Ou l'air d'un con. Mais c'est pour ça que t'essaies d'y reflechir a deux fois.
- doctor whoDoyen
Plus précisément :
"65% des écoliers d'aujourd'hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n'ont même pas encore été inventés"
Cela ne veut pas dire que 65% des métiers n'ont pas été inventés. SI une grosse proportion d'élèves sont amenés à pratiquer le même métier, on sera en deçà de 65%
La vraie question, c'est de savoir si l'école forme à un métier, et si c'est le cas, si elle forme à UN métier.
Selon moi : oui et non pour la première question, non à la seconde.
"65% des écoliers d'aujourd'hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n'ont même pas encore été inventés"
Cela ne veut pas dire que 65% des métiers n'ont pas été inventés. SI une grosse proportion d'élèves sont amenés à pratiquer le même métier, on sera en deçà de 65%
La vraie question, c'est de savoir si l'école forme à un métier, et si c'est le cas, si elle forme à UN métier.
Selon moi : oui et non pour la première question, non à la seconde.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- MoonchildSage
Dans le monde imaginé par Microsoft, le véritable luxe sera sans doute de se voir offrir une éducation sans outils numériques.
- User17706Bon génie
Approbation sans réserve.doctor who a écrit:La vraie question, c'est de savoir si l'école forme à un métier, et si c'est le cas, si elle forme à UN métier.
Selon moi : oui et non pour la première question, non à la seconde.
Les cadres et top engineers de la Silicon Valley paient extrêmement cher pour avoir la garantie que les écoles où ils inscrivent leurs mômes ne se plient pas à la mode du numérique et sont computer-free (sans ordinateurs). Donc, c'est déjà ça, le luxe.Moonchild a écrit:Dans le monde imaginé par Microsoft, le véritable luxe sera sans doute de se voir offrir une éducation sans outils numériques.
http://www.speechi.net/fr/index.php/2012/02/22/dans-la-silicon-valley-les-geeks-paient-tres-cher-pour-envoyer-leurs-enfants-dans-des-ecoles-sans-aucun-ordinateur-2/
(Ce n'est peut-être pas la meilleure source mais c'est ce que mon moteur de recherche m'a donné.)
- ParatgeNeoprof expérimenté
Et pourquoi pas 42,587 % des métiers de demain au lieu de 65 ?
Il suffit de voir comment on peut se tromper sur l'évolution démographique alors que c'est un sujet où les tendances lourdes facilitent la prévision.
Quand je rappelle aux élèves que l'avenir n'existe pas (merci Cripure !), il y en a toujours qui découvrent kekchose.
Il suffit de voir comment on peut se tromper sur l'évolution démographique alors que c'est un sujet où les tendances lourdes facilitent la prévision.
Quand je rappelle aux élèves que l'avenir n'existe pas (merci Cripure !), il y en a toujours qui découvrent kekchose.
- the educatorFidèle du forum
http://www.nytimes.com/2011/10/23/technology/at-waldorf-school-in-silicon-valley-technology-can-wait.html?_r=2&pagewanted=all&
L'article d'origine sur les waldorf schools (edit je viens de voir qu'il etait linké en bas de l'article en français). On peut le nuancer de tas de manières, l'article du times le fait d'ailleurs. Si ça te dit qu'on en discute, on ouvre une filière (un thread, quoi).
L'article d'origine sur les waldorf schools (edit je viens de voir qu'il etait linké en bas de l'article en français). On peut le nuancer de tas de manières, l'article du times le fait d'ailleurs. Si ça te dit qu'on en discute, on ouvre une filière (un thread, quoi).
Qu'apporte ta question?Et pourquoi pas 42,587 % des métiers de demain au lieu de 65 ?
- cliohistHabitué du forum
- Oui, la prospective est importante, à condition de conserver à l'esprit ses limites.Faut quand même se rappeler que ces groupes là se posent des questions de stratégies à l'échelle du demi siècle, et qu'ils sont quasi les seuls à pouvoir financer une prospective sérieuse et (quasi) tout azimuth. Bien sur qu'ils ne publieront pas un rapport ou une étude qui irait à l'encontre des intérêts de leur groupe, mais vu les implications technologiques, humaines, et financières, la prospective (rendue publique ou pas) et l'audit sont des secteurs qui sont pris très au sérieux.
Les médias adorent le garage ou l'arrière salle des inventeurs. Prévoir après coup, c'est quand même plus confortable, et cela évite de s'intéresser au cimetière des bonnes idées : le V2000 en vidéo, le vidéodisque pour en citer 2 exemples. Quel futur prévoyait le service de com' d'altavista en 1998, longtemps avant l'essor patient de Google ?
Pour l'éducation, nous savons tous qu'elle ne se réduit pas à une évolution technologique et à une course aux gadgets protégés par un brevet.
- Une anecdote sur cette multinationale. L'an passé, lors d'un Tour de France du numérique (sans dopage ?), elle a surtout vanté sa tablette (à prix non encore baissé) et Windows 8. Les démonstrateurs avaient appris leur leçon technique, mais avaient juste oublié de penser qu'ils s'adressaient à des profs. Dans au moins une étape, les sujets abordés n'avaient aucun lien avec les programmes en vigueur à l'époque. Sans doute une détail superflu pour la réussite d'une prospective globalisée.
- the educatorFidèle du forum
mais la prospective ne se limite pas à ça.Pour l'éducation, nous savons tous qu'elle ne se réduit pas à une évolution technologique et à une course aux gadgets protégés par un brevet.
C'est ce qui forge la différence entre la prospective et la divinationQuel futur prévoyait le service de com' d'altavista en 1998, longtemps avant l'essor patient de Google ?
- User17706Bon génie
«La prédiction est un art difficile, surtout concernant l'avenir.» (C'est de qui, ça, déjà?)
- C'est pas fauxEsprit éclairé
J'allais tenter Woody Allen, mais c'est Pierre Dac.PauvreYorick a écrit:«La prédiction est un art difficile, surtout concernant l'avenir.» (C'est de qui, ça, déjà?)
- User17706Bon génie
Pas sûr qu'on parvienne à trancher rapidement...C'est pas faux a écrit:J'allais tenter Woody Allen, mais c'est Pierre Dac.PauvreYorick a écrit:«La prédiction est un art difficile, surtout concernant l'avenir.» (C'est de qui, ça, déjà?)
http://www.larry.denenberg.com/predictions.html
- Emmanuel Davidenkoff et Andreas Schleicher plaident pour "la flexisécurité appliquée au monde de l'enseignement".
- Emmanuel Davidenkoff quitte L'Etudiant pour Le Monde Campus ; Marie-Caroline Missir le remplace.
- Emmanuel Davidenkoff fait l'éloge de l'innovation pédagogique dans l'Express.
- Journée de formation des cadres dans l'académie de Créteil : conférences d'Emmanuel Davidenkoff, Ange Ansour,...
- Emmanuel Davidenkoff, Le tsunami numérique
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum