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- DinosauraHabitué du forum
Merci des conseils Retraitée.
- Jim ThompsonExpert
En même temps si t'es sur Créteil, tu es en accord avec ce que dit le SNES Créteil qui appelle à la grève non?
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- DinosauraHabitué du forum
Oui, mais moi pas comprendre pourquoi pas d'appel NATIONAL.
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- DuplayExpert
L'unité intersyndicale réalisée à Créteil doit se réaliser au niveau national. De même que l'unité entre les différentes catégories, depuis les PE jusqu'aux enseignants de CPGE !Dinosaura a écrit:Oui, mais moi pas comprendre pourquoi pas d'appel NATIONAL.
A FO, on est partants !
https://www.neoprofs.org/t69097-reunion-ministerielle-du-02-12-communique-fo-snfolc
Le SNFOLC se félicite de l’appel intersyndical SNFOLC, SNETAA-¬‐FO, SNES-¬‐FSU, SNUEP-¬‐FSU, SUD, CGT Educ’action à la grève le 5 décembre pour l’abandon des projets Peillon. Ce qui est possible à Créteil doit être possible partout et à tous les niveaux : telle est la proposition du SNFOLC. Le 5 décembre les professeurs des écoles et les personnels territoriaux seront en grève pour la suspension immédiate de la réforme des rythmes scolaires à l’appel commun de FO, CGT et Sud, le SNUIPP-¬‐FSU appelant aussi à la grève contre l’extension de la réforme à la rentrée 2014. Dans les établissements secondaires des assemblées du personnel ont décidé de se mettre en grève le 5. Les revendications se rejoignent : c’est le statut national qui est attaqué par la territorialisation de l’école mise en place par le ministre Peillon. La FNEC FP-¬‐FO a déposé un préavis couvrant toutes les catégories. L’heure est à amplifier le mouvement pour obtenir le retrait du projet Peillon !
- NielNiveau 5
A FO, on est partants !
Le SNFOLC se félicite de l’appel intersyndical SNFOLC, SNETAA-¬‐FO, SNES-¬‐FSU, SNUEP-¬‐FSU, SUD, CGT Educ’action à la grève le 5 décembre pour l’abandon des projets Peillon. Ce qui est possible à Créteil doit être possible partout et à tous les niveaux : telle est la proposition du SNFOLC. Le 5 décembre les professeurs des écoles et les personnels territoriaux seront en grève pour la suspension immédiate de la réforme des rythmes scolaires à l’appel commun de FO, CGT et Sud, le SNUIPP-¬‐FSU appelant aussi à la grève contre l’extension de la réforme à la rentrée 2014. Dans les établissements secondaires des assemblées du personnel ont décidé de se mettre en grève le 5. Les revendications se rejoignent : c’est le statut national qui est attaqué par la territorialisation de l’école mise en place par le ministre Peillon. La FNEC FP-¬‐FO a déposé un préavis couvrant toutes les catégories. L’heure est à amplifier le mouvement pour obtenir le retrait du projet Peillon !
https://www.neoprofs.org/t69097-reunion-ministerielle-du-02-12-communique-fo-snfolc[/quote]
- neoSage
Les adhérents ou les sections d'établissements peuvent faire part de leurs réactions aux secrétaires généraux du national : http://www.snes.edu/Nous-joindre-Qui-fait-quoi.htmlCollier de Barbe a écrit:J'ai lu le message du SNES national 2 fois et c'est très décevant. En gros: c'est chouette on a obtenu la pondération pour les collègues de ZEP on a fait enlever l'annualisation donc tout va bien ou presque.
Donc grève jeudi, on sera une 15 aine dans mon établissement.
N'hésitez pas non plus à faire remonter vos positions aux sections départementales et académiques !
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- neoSage
Plutôt que de rendre ta carte, deviens militante, dans ta section départementale, ou académique, participe aux congrès, aux votes (il y aura un congrès national du Snes cette année, comme tous les deux ans, précédé d'un vote d'orientation, choix entre différents "courants" pour les représentants dans les instances nationales du syndicat, ce qui n'est pas le cas dans la plupart des autres syndicats) !Dinosaura a écrit:Oui, mais moi pas comprendre pourquoi pas d'appel NATIONAL.
Le syndicat n'est que ce qu'en font ses adhérents. Pâs sûr que partir ailleurs ou ne pas se syndiquer soit la facon la plus efficace de se faire entendre et de peser pour un syndicat plus conforme à ses attentes...
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- retraitéeDoyen
Bof, j'ai été secrétaire de S1, et les votes des minoritaires sont dilués au fur et à mesure qu'on remonte du S1 au S4, comme au PC autrefois !
- RonubNiveau 9
Mais c'est pas grave, au contraire. Il faut déclencher le mouvement, il y a toujours des précurseurs avant que cela fasse boule de neige. Si l'on attend la grève générale tutti quanti elle ne vient jamais et il ne se passe rien. Félicitation au collègues qui ont mis les mains dans le cambouis, à nous de prendre la suite...John a écrit:Pour qu'on se rendre bien compte de la situation, je résume :
En l'état actuel des choses, une section syndicale académique toute seule s'apprête à faire grève contre la réforme nationale des statuts.
- RonubNiveau 9
100 % d'accordNiel a écrit:oui ; certes mais le monde syndical n'est pas si désorganisé que cela ..Dinosaura a écrit:Mon propos n'est pas de dire que "rien ne sert à rien" mais plutôt que je ne comprends absolument pas cette désorganisation du front syndical et que je trouve même ça déprimant en fait...
Bien entendu mais c'est habituel on retrouve certains syndicats plutôt ???coopératifs ??
puis? les autres sont dans l'opposition et comme je l'ai signalé des alliances se nouent!
Pour autant , je trouve que la position officielle du principal syndicat enseignant est bien "mouligasse"...
(le 22 novembre dernier j'assistais en effet à un stage SNes sur la gestion des profs par "les équipes de direction" et en fin de journée les animateurs nous ont fait un tableau somme toute assez rassurant des négociations avec Peillon A Je les ai trouvés assez optimistes !!Perso cela m'a ramenée qq années en arrière du temps du " regretté Allègre" )
Enfin, elle semble toutefois bien évoluer ces derniers jours;
En effet personne ne devrait perdre de vue que ce sont LES PERSONNELS qui doivent exprimer leurs positions voire imposer leurs points de vue aux directions syndicales et NON PAS L 'INVERSE!!
D'ailleurs c'est ce qu'expriment de nombreux syndiqués de BASE en ce moment
Évidement il faut optimiser augmenter cette unité syndicale faire en sorte que les directions s'associent mais pas attendre qu'elles le fassent pour agir ..Enfin, ce n'est que mon modeste point de vue de syndiquée de base ..
- lapetitemuExpert
Au risque de passer pour une cruche (ce que je suis peut-être ), je voudrais bien que quelqu'un m'explique précisément ce que recouvre le terme "annualisation", pour que je comprenne bien quel danger cela peut représenter pour notre métier.
Si je veux pouvoir bouger mes collègues, il faut que je sois béton car ils sont du genre mous...
Si je veux pouvoir bouger mes collègues, il faut que je sois béton car ils sont du genre mous...
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Absolument d'accord!neo a écrit:Plutôt que de rendre ta carte, deviens militante, dans ta section départementale, ou académique, participe aux congrès, aux votes (il y aura un congrès national du Snes cette année, comme tous les deux ans, précédé d'un vote d'orientation, choix entre différents "courants" pour les représentants dans les instances nationales du syndicat, ce qui n'est pas le cas dans la plupart des autres syndicats) !Dinosaura a écrit:Oui, mais moi pas comprendre pourquoi pas d'appel NATIONAL.
Le syndicat n'est que ce qu'en font ses adhérents. Pâs sûr que partir ailleurs ou ne pas se syndiquer soit la facon la plus efficace de se faire entendre et de peser pour un syndicat plus conforme à ses attentes...
Hier encore, on a fait une petite AG au lycée avec tout plein de collègues qui allaient faire grève et j'ai entendu encore dire "les syndicats ne proposent rien..." de la part de collègues non syndiqués et qui n'ouvrent jamais (l'abondante) littérature syndicale.
_________________
CdB
@AbbeCordillere
- Roumégueur IerÉrudit
Un nouveau communiqué FO :
"Statut : Professeurs de collèges, lycées, prépas, même combat !
Ainsi M. Peillon veut bouleverser les obligations de service des professeurs certifiés, PEPS, agrégés, chaires supérieures comme des PLP.
S'agit-il d'améliorer les conditions de travail et les carrières, de diminuer la charge de travail ?
Si tel était le cas nous serions évidemment preneurs.
Mais il s'agit d'autre chose. En deux réunions de groupe de travail avec les syndicats, suivies d'annonces ministérielles avant Noël, l'affaire devrait être entendue et les décrets adoptés dès le début 2014.
Soixante ans de garanties statutaires, les décrets du 25 mai 1950, devraient être supprimés.
Pour quoi faire ? Il s'agirait, selon le ministre, de « reconnaître » les missions des enseignants.
Si c’est pour mettre en évidence ce qui se fait déjà, on ne voit pas l'intérêt de bouleverser le statut. Chacun sait que la définition de nos obligations de service en maxima hebdomadaires d'heures d'enseignement disciplinaire conduit les enseignants à mettre en oeuvre toute une série de tâches, qui remplissent largement leur temps de travail. Tout ceci est connu, mais le ministre par « reconnaissance » des missions veut bouleverser le cadre juridique, en finir avec cet archaïsme incroyable selon lui qu'est le décret de 50, sur lequel s'appuient les statuts particuliers des fonctionnaires d'Etat que sont les enseignants.
Les professeurs auraient trois types de missions : l'enseignement, celles liées à l'activité d'enseignement, et celles qui sont complémentaires. La deuxième catégorie empile ce qui se fait déjà avec une liste sans fin de missions avec des réunions de cycle, d'équipes, de niveau, illimitées en nombre. Elle inclut le suivi des périodes de formation en milieu professionnel.
Elle se décline localement, dans le cadre de partenariats (avec les entreprises, les associations, les collectivités...) et autres contrats d'objectifs, décidés par des majorités comportant des représentants des associations de parents, des élèves, de collectivités qui
auront ainsi un pouvoir de fait sur les obligations de service.
Pour mettre cela en place, il faut placer les services des enseignants sous le régime de la « réglementation générale de la fonction publique », nom de code des 1607 heures annuelles, sous forme d'une sorte de forfait-cadre. Toutes ces missions seraient désormais
obligatoires. Nos tâches pourraient ainsi obéir à la formule suivante : 18 heures (15 heures) d'enseignement (de référence) + x heures de réunion + y heures de suivi en entreprise + z heures de partenariat + t heures d'évaluation + u heures de préparation du contrat d'objectif (pendant les vacances scolaires?) + etc. Et nous pourrions aussi dire adieu à notre liberté pédagogique individuelle. Le projet prévoit aussi d'alourdir les obligations de service des professeurs de classes prépas et donc de diminuer leurs rémunérations. Cette réforme est donc aussi guidée par l'austérité.
Le ministre appelle cela l'acte II de la refondation de l'école. L'acte I est pourtant loin d'être terminé. La réforme des rythmes scolaires, suscite un rejet de plus en plus large, encore prouvé par la grève du 5 décembre. Ce qui est en cause, on le sait c'est l'explosion de la
journée scolaire qui mêle le scolaire et le péri-scolaire, et les inégalités entre communes.
C'est en un mot la territorialisation de l'école.
La refonte du statut en découle. Tout comme elle est liée avec le socle de compétences qui prend le pas sur la transmission des connaissances.
Nous nous battons pour l'abandon de ce projet néfaste pour les professeurs comme pour l'école de la République, en premier lieu pour l'unité d'action à tous les niveaux, y compris par la grève.
Jacques Paris
Secrétaire général du SNFOLC"
"Statut : Professeurs de collèges, lycées, prépas, même combat !
Ainsi M. Peillon veut bouleverser les obligations de service des professeurs certifiés, PEPS, agrégés, chaires supérieures comme des PLP.
S'agit-il d'améliorer les conditions de travail et les carrières, de diminuer la charge de travail ?
Si tel était le cas nous serions évidemment preneurs.
Mais il s'agit d'autre chose. En deux réunions de groupe de travail avec les syndicats, suivies d'annonces ministérielles avant Noël, l'affaire devrait être entendue et les décrets adoptés dès le début 2014.
Soixante ans de garanties statutaires, les décrets du 25 mai 1950, devraient être supprimés.
Pour quoi faire ? Il s'agirait, selon le ministre, de « reconnaître » les missions des enseignants.
Si c’est pour mettre en évidence ce qui se fait déjà, on ne voit pas l'intérêt de bouleverser le statut. Chacun sait que la définition de nos obligations de service en maxima hebdomadaires d'heures d'enseignement disciplinaire conduit les enseignants à mettre en oeuvre toute une série de tâches, qui remplissent largement leur temps de travail. Tout ceci est connu, mais le ministre par « reconnaissance » des missions veut bouleverser le cadre juridique, en finir avec cet archaïsme incroyable selon lui qu'est le décret de 50, sur lequel s'appuient les statuts particuliers des fonctionnaires d'Etat que sont les enseignants.
Les professeurs auraient trois types de missions : l'enseignement, celles liées à l'activité d'enseignement, et celles qui sont complémentaires. La deuxième catégorie empile ce qui se fait déjà avec une liste sans fin de missions avec des réunions de cycle, d'équipes, de niveau, illimitées en nombre. Elle inclut le suivi des périodes de formation en milieu professionnel.
Elle se décline localement, dans le cadre de partenariats (avec les entreprises, les associations, les collectivités...) et autres contrats d'objectifs, décidés par des majorités comportant des représentants des associations de parents, des élèves, de collectivités qui
auront ainsi un pouvoir de fait sur les obligations de service.
Pour mettre cela en place, il faut placer les services des enseignants sous le régime de la « réglementation générale de la fonction publique », nom de code des 1607 heures annuelles, sous forme d'une sorte de forfait-cadre. Toutes ces missions seraient désormais
obligatoires. Nos tâches pourraient ainsi obéir à la formule suivante : 18 heures (15 heures) d'enseignement (de référence) + x heures de réunion + y heures de suivi en entreprise + z heures de partenariat + t heures d'évaluation + u heures de préparation du contrat d'objectif (pendant les vacances scolaires?) + etc. Et nous pourrions aussi dire adieu à notre liberté pédagogique individuelle. Le projet prévoit aussi d'alourdir les obligations de service des professeurs de classes prépas et donc de diminuer leurs rémunérations. Cette réforme est donc aussi guidée par l'austérité.
Le ministre appelle cela l'acte II de la refondation de l'école. L'acte I est pourtant loin d'être terminé. La réforme des rythmes scolaires, suscite un rejet de plus en plus large, encore prouvé par la grève du 5 décembre. Ce qui est en cause, on le sait c'est l'explosion de la
journée scolaire qui mêle le scolaire et le péri-scolaire, et les inégalités entre communes.
C'est en un mot la territorialisation de l'école.
La refonte du statut en découle. Tout comme elle est liée avec le socle de compétences qui prend le pas sur la transmission des connaissances.
Nous nous battons pour l'abandon de ce projet néfaste pour les professeurs comme pour l'école de la République, en premier lieu pour l'unité d'action à tous les niveaux, y compris par la grève.
Jacques Paris
Secrétaire général du SNFOLC"
- neoSage
Sur le site du SNES de Lille, tract pour la grève du 9 décembre en cpge : http://www.lille.snes.edu/spip.php?article2658neo a écrit:La position du SNES de Lille, 2 décembre : http://www.lille.snes.edu/spip.php?article2655
Excellente analyse, de quoi mobiliser les collègues !
Extraits :
La philosophie du projet est inacceptable par le SNES-FSU qui doit peser de toutes ses forces pour sa transformation profonde et, si ce n’est pas possible, pour son retrait ; en effet ressurgissent définitions locales de missions par le CA, lettres de mission, développement des primes, prescriptions par les chefs d’établissement de temps de travail supplémentaire au nom de nouvelles missions hors enseignement désormais "reconnues" : l’ensemble de ces dispositions s’inscrit dans la parfaite continuité de la loi Fillon de 2005, comme si on voulait généraliser les modalités de management et de fonctionnement du dispositif ECLAIR
Si les propositions à l’issue du GT ne sont pas satisfaisantes, il faudra que le SNES prenne ses responsabilités en tant qu’organisation syndicale majoritaire dans le second degré et dire qu’il ne peut pas cautionner un tel texte et devra donc appeler à la grève l’ensemble des personnels dans la semaine du 9 au 13 décembre. Le nombre de signatures de la pétition CPGE ( http://www.petitions24.net/petition_unitaire_cpge ) montre que les personnels sont prêts à se mobiliser rapidement, agissons !
Simple et clair pour mobiliser aussi les collègues du secondaire !
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- DinosauraHabitué du forum
Merci de déformer mes propos. Je suis sans doute la seule "politisée" dans mon établissement, la seule à avoir adhéré à un syndicat et à avoir de véritables convictions et à me mouiller (et toutes mes interventions sur ce forum vont dans ce sens d'ailleurs). Mais je suis très déçue de l'absence de front unitaire et national, ainsi que par la énième stratégie de la grève unique. Est-ce si dur à organiser ?Collier de Barbe a écrit:Absolument d'accord!neo a écrit:Plutôt que de rendre ta carte, deviens militante, dans ta section départementale, ou académique, participe aux congrès, aux votes (il y aura un congrès national du Snes cette année, comme tous les deux ans, précédé d'un vote d'orientation, choix entre différents "courants" pour les représentants dans les instances nationales du syndicat, ce qui n'est pas le cas dans la plupart des autres syndicats) !Dinosaura a écrit:Oui, mais moi pas comprendre pourquoi pas d'appel NATIONAL.
Le syndicat n'est que ce qu'en font ses adhérents. Pâs sûr que partir ailleurs ou ne pas se syndiquer soit la facon la plus efficace de se faire entendre et de peser pour un syndicat plus conforme à ses attentes...
Hier encore, on a fait une petite AG au lycée avec tout plein de collègues qui allaient faire grève et j'ai entendu encore dire "les syndicats ne proposent rien..." de la part de collègues non syndiqués et qui n'ouvrent jamais (l'abondante) littérature syndicale.
A mon niveau, que puis-je dire et faire de plus ? Merci de me renseigner plutôt que de dire que mon but est de dire "les syndicats ne servent à rien" pffff
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- neoSage
Faire part de ta position à ta section départementale et à ta section académique, ainsi qu'au secrétariat général du national ( http://www.snes.edu/Nous-joindre-Qui-fait-quoi.html ).Dinosaura a écrit:
A mon niveau, que puis-je dire et faire de plus ?
Si tu parviens à faire remonter une position de l'établissement (suite à AG ou heure syndicale), c'est encore mieux !
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- adrifabNiveau 10
Je n`y comprends plus rien. Sur le tract du Snes, ils parlent de l`annualisation des services et de la disparition de l`ISOE. Je n`ai lu ça nulle part dans le projet Peillon. Info ou intox pour mobiliser ?neo a écrit:Sur le site du SNES de Lille, tract pour la grève du 9 décembre en cpge : http://www.lille.snes.edu/spip.php?article2658neo a écrit:La position du SNES de Lille, 2 décembre : http://www.lille.snes.edu/spip.php?article2655
Excellente analyse, de quoi mobiliser les collègues !
Extraits :
La philosophie du projet est inacceptable par le SNES-FSU qui doit peser de toutes ses forces pour sa transformation profonde et, si ce n’est pas possible, pour son retrait ; en effet ressurgissent définitions locales de missions par le CA, lettres de mission, développement des primes, prescriptions par les chefs d’établissement de temps de travail supplémentaire au nom de nouvelles missions hors enseignement désormais "reconnues" : l’ensemble de ces dispositions s’inscrit dans la parfaite continuité de la loi Fillon de 2005, comme si on voulait généraliser les modalités de management et de fonctionnement du dispositif ECLAIR
Si les propositions à l’issue du GT ne sont pas satisfaisantes, il faudra que le SNES prenne ses responsabilités en tant qu’organisation syndicale majoritaire dans le second degré et dire qu’il ne peut pas cautionner un tel texte et devra donc appeler à la grève l’ensemble des personnels dans la semaine du 9 au 13 décembre. Le nombre de signatures de la pétition CPGE ( http://www.petitions24.net/petition_unitaire_cpge ) montre que les personnels sont prêts à se mobiliser rapidement, agissons !
Simple et clair pour mobiliser aussi les collègues du secondaire !
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Réaction du SNES national... une pétition ?!
http://www.snes.edu/petitions/index.php?petition=32
http://www.snes.edu/petitions/index.php?petition=32
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CdB
@AbbeCordillere
- CelebornEsprit sacré
Je ne suis probablement pas très objectif, mais c'est de la complète intox.adrifab a écrit:Je n`y comprends plus rien. Sur le tract du Snes, ils parlent de l`annualisation des services et de la disparition de l`ISOE. Je n`ai lu ça nulle part dans le projet Peillon. Info ou intox pour mobiliser ?
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- stenchMonarque
Si avec ça le gouvernement ne cède pas !Collier de Barbe a écrit:Réaction du SNES national... une pétition ?!
http://www.snes.edu/petitions/index.php?petition=32
- CelebornEsprit sacré
En ultra exclusivité pour vous, la dernière version de la fiche qui lève les ambiguïtés qui n'existaient déjà pas :Celeborn a écrit:Je ne suis probablement pas très objectif, mais c'est de la complète intox.adrifab a écrit:Je n`y comprends plus rien. Sur le tract du Snes, ils parlent de l`annualisation des services et de la disparition de l`ISOE. Je n`ai lu ça nulle part dans le projet Peillon. Info ou intox pour mobiliser ?
La mission de professeur principal indemnisée par la part variable de l’indemnité de suivi et d’orientation des élèves (ISOE).
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- OlympiasProphète
Chez nous, comme d'habitude, personne ne réagit. Nos collègues Snes son totalement inaudibles (forcément ils ne disent rien et ne transmettent aucune info), donc on va quand même se réunir avec quelques-uns, histoire de faire le point sur ce qui se prépare.
Certains collègues sont totalement déconnectés. Du moment que le salaire est viré à la fin du mois, ils se foutent de tout le reste
Certains collègues sont totalement déconnectés. Du moment que le salaire est viré à la fin du mois, ils se foutent de tout le reste
- LefterisEsprit sacré
Dans mon établissement , c'est assez étrange : les collègues sont assez solidaires sur les questions locales , se mobilisent , mais ils ont l'air d'avoir du mal à comprendre que ce qu’ils voient est la conséquence d'un puzzle beaucoup plus vaste, qui se joue à l'échelle de la fonction publique.Olympias a écrit:Chez nous, comme d'habitude, personne ne réagit. Nos collègues Snes son totalement inaudibles (forcément ils ne disent rien et ne transmettent aucune info), donc on va quand même se réunir avec quelques-uns, histoire de faire le point sur ce qui se prépare.
Certains collègues sont totalement déconnectés. Du moment que le salaire est viré à la fin du mois, ils se foutent de tout le reste
Je ne suis pas délégué mandaté (je n'y tiens pas, j'ai déjà donné dans le syndicalisme) , mais je suis passé à l'étape au-dessus en ne me contentant plus d'afficher , et en transmettant par mail l'info syndicale. J'ai assez peu de retours, de questions. Des gens plus jeunes que moi, mais plus anciens dans le métier n'ont pas l'air de savoir ce qu'est un statut . Ca me fait franchement hésiter à en faire plus, car vu mon ancienneté, je serai beaucoup moins touché , et moins longtemps, que la plupart par ce qui se trame ... alors se démener quand des gens agissent en consommateurs .
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Presse-puréeGrand sage
Oui, j'ai des collègues peu informés moi aussi. Je fais des heures d'info pour expliquer ce qu'est le statut, comment il peut être modifié, l'organisation des instances décisionnelles, la composition générale de notre salaire (part indiciaire / part indemnitaire), mais les quelques collègues qui viennent semblent tout découvrir. Faudrait peut-être aussi expliquer aux collègues qui commencent via une formation ce que c'est exactement, juridiquement et statutairement parlant, que d'être prof.Lefteris a écrit:
Des gens plus jeunes que moi, mais plus anciens dans le métier n'ont pas l'air de savoir ce qu'est un statut .
Moi, je n'ai eu ces infos que lorsque j'ai commencé à creuser tt cela par moi-même (quand je me suis inscrit ici, en fait), et par mon syndicat.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- User17706Bon génie
Absolument. Je trouve incroyable que les IUFM-ÉSPÉ ne contiennent usuellement pas ce genre de chose, alors que ce serait le minimum, et que, pour une fois, ce serait utile.Presse-purée a écrit:Faudrait peut-être aussi expliquer aux collègues qui commencent via une formation ce que c'est exactement, juridiquement et statutairement parlant, que d'être prof.
Moi, je n'ai eu ces infos que lorsque j'ai commencé à creuser tt cela par moi-même (quand je me suis inscrit ici, en fait), et par mon syndicat.
- LefterisEsprit sacré
C'est pour ça que je me demande si je ne fais pas oeuvre plus utile en balançant ça et là des infos , qu'en criant dans le désert. Quoiqu'autour de moi, ceux qui viennent me voir pour des raisons purement pratiques se mettent à voter FO , ( comme tu dis , ils ne comprennent pas leur fiche de paie , comprennent pas leur arrêté de nomination à tel échelon, connaissent pas le système d'avancement ...) c'est déjà ça .Presse-purée a écrit:Oui, j'ai des collègues peu informés moi aussi. Je fais des heures d'info pour expliquer ce qu'est le statut, comment il peut être modifié, l'organisation des instances décisionnelles, la composition générale de notre salaire (part indiciaire / part indemnitaire), mais les quelques collègues qui viennent semblent tout découvrir. Faudrait peut-être aussi expliquer aux collègues qui commencent via une formation ce que c'est exactement, juridiquement et statutairement parlant, que d'être prof.Lefteris a écrit:
Des gens plus jeunes que moi, mais plus anciens dans le métier n'ont pas l'air de savoir ce qu'est un statut .
Moi, je n'ai eu ces infos que lorsque j'ai commencé à creuser tt cela par moi-même (quand je me suis inscrit ici, en fait), et par mon syndicat.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
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- Réforme des statuts : le SNES appelle à débattre collectivement du projet et des modalités d'action / le SNALC est "satisfait" / le SGEN regrette "des blocages"...
- La réaction du Snes-Lille au Projet de réforme des statuts
- Réécriture des statuts : le SNES Créteil consulte la profession.
- Projet de réforme des statuts : position de l'APBG
- Un tract du SNES Créteil sur le projet de réforme, pour les parents...
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