Haute-Normandie : un enfant torturé par ses "camarades"

http://www.leparisien.fr/haute-normandie/seine-maritime-un-enfant-de-9-ans-martyrise-par-ses-camarades-a-l-ecole-15-11-2013-3318317.php

Un garçon de 9 ans s’est vu prescrire sept jours sans école suite à un passage à tabac par des élèves mercredi en Seine-Maritime. Selon sa mère, il aurait été retenu et martyrisé par un groupe d’enfants de 7 à 10 ans à la sortie de l'école, dans un petit village près de Dieppe. Les quatre élèves auraient attrapé leur camarade et lui auraient planté un stylo dans la main avant de le tourner à plusieurs reprises dans la plaie.

A son arrivée chez lui, l’enfant a été conduit chez un médecin.

A vomir.

Quelle horreur !  

Provence a écrit:A vomir.

Même réaction. Et quelle sanction contre les bourreaux?

Provence a écrit:A vomir.

Pareil !

 

Marie Laetitia a écrit:

Provence a écrit:A vomir.

Même réaction. Et quelle sanction contre les bourreaux?

même question. Oh, sans doute, ils sont trop jeunes pour être sanctionnés...

Elle est où, la grande campagne contre le harcèlement promise pour novembre par Peillon et Debarbieux ?

Ils sont prometteurs, 7 à 10 ans !

Pauvre petit. Comment se remettre après ça ?

C'est à la limite du supportable de lire ça en étant mère d'un garçon de 9 ans qui a du mal à s'intégrer.

  
Ben moi, je me dis que mes enfants, il y a des tas de choses qu'ils ne savent pas faire, mais au moins ils ne martyriseront jamais leurs copains, ils ne traiteront jamais une femme noire de guenon, et ils ne deviendront jamais dictateurs.

John a écrit:Elle est où, la grande campagne contre le harcèlement promise pour novembre par Peillon et Debarbieux ?

Plus de sous - fallait faire de la pub en faveur des nouveaux rythmes scolaires !


...  

Je suis dans cette région et d'après les informations données à la radio locale, la mère d'élève avait plusieurs fois prévenu la directrice d'école des brimades que subissait son fils. En effet, il s'était déjà fait "taper" par ces élèves.
La directrice lui aurait répondu qu'elle avait rencontré les enfants en question, qu'elle était persuadée après cette entrevue que rien n'arriverait, que la mère ne devait pas s'inquiéter inutilement car ce genre de menaces était courante chez les enfants.
Après cela, la chef de circonscription (? - je ne sais pas si c'est le terme exact, je connais mal le 1er degré) a réagi en disant que c'était malheureux mais, dans la mesure où ça s'est passé en dehors de l'école, ce n'était pas de leur ressort.
Il semble me souvenir que sur les 4 jeunes, seuls 2 ont été "inculpés" par la police et qu'ils risquent, au pire, une mesure disciplinaire, mais je ne suis plus très sûre de moi, là...