- adelaideaugustaFidèle du forum
« J’ai des difficultés pour calculer des choses simples comme un pourcentage.Quand je dois calculer une surface pour acheter du papier peint, je suis larguée. » Ces mots ne viennent pas d’une collégienne découragée par les mathématiques. Ce sont ceux de Mélanie (prénom modifié), 45 ans, bac +5, salariée dans une PME. Au cours de sa scolarité, cette Parisienne n’a jamais réussi à rattraper le « train en marche » des mathématiques après avoir sauté le CM2.
Dans son métier au quotidien, elle a pourtant besoin de ces compétences. « Je demande aux collègues de m’aider . Sinon, je ruse en utilisant un tableur, ça simplifie les choses. » Désormais, Mélanie prend les cahiers de vacances de ses enfants ou s’exerce en ligne.
Comme elle, 63 % des adultes français ne sont pas à l’aise en calcul, selon une étude de l’OCDE publiée le 8 octobre. La France se classe ainsi 18 ème sur les 23 pays évalués. Une « catastrophe », alerte Michel Vigier, président de l’Association de prévention contre l’innumérisme (le pendant arithmétique de l’illettrisme). Ces adultes ne maîtrisent pas les pourcentages, la proportionnalité ni les fractions, « même s’ils savent souvent ce que veut dire 50 % ou un quart, par exemple. » Certains d’entre eux n’ont même pas acquis les quatre opérations de base.
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève set passif.
Dans son métier au quotidien, elle a pourtant besoin de ces compétences. « Je demande aux collègues de m’aider . Sinon, je ruse en utilisant un tableur, ça simplifie les choses. » Désormais, Mélanie prend les cahiers de vacances de ses enfants ou s’exerce en ligne.
Comme elle, 63 % des adultes français ne sont pas à l’aise en calcul, selon une étude de l’OCDE publiée le 8 octobre. La France se classe ainsi 18 ème sur les 23 pays évalués. Une « catastrophe », alerte Michel Vigier, président de l’Association de prévention contre l’innumérisme (le pendant arithmétique de l’illettrisme). Ces adultes ne maîtrisent pas les pourcentages, la proportionnalité ni les fractions, « même s’ils savent souvent ce que veut dire 50 % ou un quart, par exemple. » Certains d’entre eux n’ont même pas acquis les quatre opérations de base.
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève set passif.
_________________
"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- Le grincheuxSage
Je ne vois pas trop le rapport entre avoir sauté une classe de CM2 et ne pas savoir calculer une surface (surtout lorsqu'on prétend avoir un BAC+5 estampillé promo 1991, donc pas encore donné à l'ancienneté à n'importe qui).adelaideaugusta a écrit:« J’ai des difficultés pour calculer des choses simples comme un pourcentage.Quand je dois calculer une surface pour acheter du papier peint, je suis larguée. » Ces mots ne viennent pas d’une collégienne découragée par les mathématiques. Ce sont ceux de Mélanie (prénom modifié), 45 ans, bac +5, salariée dans une PME. Au cours de sa scolarité, cette Parisienne n’a jamais réussi à rattraper le « train en marche » des mathématiques après avoir sauté le CM2.
Très bien. Virons les tables de multiplication qui sont responsables de tous les problèmes de calcul.
Dans son métier au quotidien, elle a pourtant besoin de ces compétences. « Je demande aux collègues de m’aider . Sinon, je ruse en utilisant un tableur, ça simplifie les choses. » Désormais, Mélanie prend les cahiers de vacances de ses enfants ou s’exerce en ligne.
Comme elle, 63 % des adultes français ne sont pas à l’aise en calcul, selon une étude de l’OCDE publiée le 8 octobre. La France se classe ainsi 18 ème sur les 23 pays évalués. Une « catastrophe », alerte Michel Vigier, président de l’Association de prévention contre l’innumérisme (le pendant arithmétique de l’illettrisme). Ces adultes ne maîtrisent pas les pourcentages, la proportionnalité ni les fractions, « même s’ils savent souvent ce que veut dire 50 % ou un quart, par exemple. » Certains d’entre eux n’ont même pas acquis les quatre opérations de base.
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
Soyons sérieux cinq minutes. J'ai ouvert récemment un manuel de maths de 3e parce que j'ai du faire un cours de rattrapage à une collégienne. Le cours parlait de PGCD, mais jamais la notion n'était expliquée ne serait-ce qu'en français. Il n'y avait que deux algorithmes dont la démonstration n'est pas à la portée d'un collègien (une histoire de différences et une histoire de reste de divisions euclidiennes qui font appel à la théorie des nombres).
Je suis à peu près convaincu qu'aucun membre de la classe en question n'a compris ce qu'était un PGCD alors qu'avec une simple décomposition en facteurs premiers, l'explication est triviale. Le résultat ? Simple. Comme les méthodes étaient apprises par cœur sans comprendre les notions sous-jacentes, ce savoir sera perdu dans quelques mois.
Les mathématiques s'expliquent et lorsque quelqu'un a compris ce qu'il faut faire et pourquoi, elles sont simples. Toutes les autres méthodes de peuvent que conduire à des échecs.
_________________
Le carnet du Grincheux, Chroniques de misanthropie ordinaire
http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr/
Ma vie, mon œuvre
http://www.systella.fr/
- RoninMonarque
tfaçon on sait que les profs de maths sont des sadiques, rien de nouveau sous le soleil ( de Satan ).
_________________
- JPhMMDemi-dieu
:shock:De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CeladonDemi-dieu
Réinventons la roue, comme à chaque fois, donc.
- Le grincheuxSage
:Gné:Celadon a écrit:Réinventons la roue, comme à chaque fois, donc.
Si c'est pour les tables de multiplication, je ne suis pas d'accord... Elles sont nécessaires, mais comme on peut comprendre ta phrase de deux façons différentes, je en sais pas si je l'ai prise dans le bon sens...
_________________
Le carnet du Grincheux, Chroniques de misanthropie ordinaire
http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr/
Ma vie, mon œuvre
http://www.systella.fr/
- adelaideaugustaFidèle du forum
Je suis contente de vous voir réagir aussi nombreux. J'ai trouvé cet article ...bizarre.Le grincheux a écrit:Je ne vois pas trop le rapport entre avoir sauté une classe de CM2 et ne pas savoir calculer une surface (surtout lorsqu'on prétend avoir un BAC+5 estampillé promo 1991, donc pas encore donné à l'ancienneté à n'importe qui).adelaideaugusta a écrit:« J’ai des difficultés pour calculer des choses simples comme un pourcentage.Quand je dois calculer une surface pour acheter du papier peint, je suis larguée. » Ces mots ne viennent pas d’une collégienne découragée par les mathématiques. Ce sont ceux de Mélanie (prénom modifié), 45 ans, bac +5, salariée dans une PME. Au cours de sa scolarité, cette Parisienne n’a jamais réussi à rattraper le « train en marche » des mathématiques après avoir sauté le CM2.
Très bien. Virons les tables de multiplication qui sont responsables de tous les problèmes de calcul.
Dans son métier au quotidien, elle a pourtant besoin de ces compétences. « Je demande aux collègues de m’aider . Sinon, je ruse en utilisant un tableur, ça simplifie les choses. » Désormais, Mélanie prend les cahiers de vacances de ses enfants ou s’exerce en ligne.
Comme elle, 63 % des adultes français ne sont pas à l’aise en calcul, selon une étude de l’OCDE publiée le 8 octobre. La France se classe ainsi 18 ème sur les 23 pays évalués. Une « catastrophe », alerte Michel Vigier, président de l’Association de prévention contre l’innumérisme (le pendant arithmétique de l’illettrisme). Ces adultes ne maîtrisent pas les pourcentages, la proportionnalité ni les fractions, « même s’ils savent souvent ce que veut dire 50 % ou un quart, par exemple. » Certains d’entre eux n’ont même pas acquis les quatre opérations de base.
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
Soyons sérieux cinq minutes. J'ai ouvert récemment un manuel de maths de 3e parce que j'ai du faire un cours de rattrapage à une collégienne. Le cours parlait de PGCD, mais jamais la notion n'était expliquée ne serait-ce qu'en français. Il n'y avait que deux algorithmes dont la démonstration n'est pas à la portée d'un collègien (une histoire de différences et une histoire de reste de divisions euclidiennes qui font appel à la théorie des nombres).
Je suis à peu près convaincu qu'aucun membre de la classe en question n'a compris ce qu'était un PGCD alors qu'avec une simple décomposition en facteurs premiers, l'explication est triviale. Le résultat ? Simple. Comme les méthodes étaient apprises par cœur sans comprendre les notions sous-jacentes, ce savoir sera perdu dans quelques mois.
Les mathématiques s'expliquent et lorsque quelqu'un a compris ce qu'il faut faire et pourquoi, elles sont simples. Toutes les autres méthodes de peuvent que conduire à des échecs.
Je fais de l'aide aux devoirs, et j'ai en ce moment une petite Algérienne en CE2 qui comprend très bien le sens de la multiplication. Je commence par la faire compter de 2 en 2 pour la table de 2, puis ainsi de suite : elle a trouvé toute seule la table de 6 qui ne leur avait pas encore été enseignée.
J'ai remarqué qu'après l'heure c'est plus l'heure : les enfants qui n'ont pas acquis les tables avant le collège ont beaucoup de mal à les mémoriser ensuite. Pourquoi ne fait-on plus de calcul mental ? Les tables d'addition et de soustraction sont bien utiles aussi.
Je trouve navrant qu'on n'enseigne plus les quatre opérations dès le CP. C'est ce que fait le GRIP dans son cahier pour le CP : c'est à la portée des enfants, et de plus ils aiment cela.
_________________
"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- Le grincheuxSage
Mais comment voudriez-vous que j'entretienne mon ulcère ?adelaideaugusta a écrit:Je suis contente de vous voir réagir. J'ai trouvé cet article nul.Le grincheux a écrit:Je ne vois pas trop le rapport entre avoir sauté une classe de CM2 et ne pas savoir calculer une surface (surtout lorsqu'on prétend avoir un BAC+5 estampillé promo 1991, donc pas encore donné à l'ancienneté à n'importe qui).adelaideaugusta a écrit:« J’ai des difficultés pour calculer des choses simples comme un pourcentage.Quand je dois calculer une surface pour acheter du papier peint, je suis larguée. » Ces mots ne viennent pas d’une collégienne découragée par les mathématiques. Ce sont ceux de Mélanie (prénom modifié), 45 ans, bac +5, salariée dans une PME. Au cours de sa scolarité, cette Parisienne n’a jamais réussi à rattraper le « train en marche » des mathématiques après avoir sauté le CM2.
Très bien. Virons les tables de multiplication qui sont responsables de tous les problèmes de calcul.
Dans son métier au quotidien, elle a pourtant besoin de ces compétences. « Je demande aux collègues de m’aider . Sinon, je ruse en utilisant un tableur, ça simplifie les choses. » Désormais, Mélanie prend les cahiers de vacances de ses enfants ou s’exerce en ligne.
Comme elle, 63 % des adultes français ne sont pas à l’aise en calcul, selon une étude de l’OCDE publiée le 8 octobre. La France se classe ainsi 18 ème sur les 23 pays évalués. Une « catastrophe », alerte Michel Vigier, président de l’Association de prévention contre l’innumérisme (le pendant arithmétique de l’illettrisme). Ces adultes ne maîtrisent pas les pourcentages, la proportionnalité ni les fractions, « même s’ils savent souvent ce que veut dire 50 % ou un quart, par exemple. » Certains d’entre eux n’ont même pas acquis les quatre opérations de base.
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
Soyons sérieux cinq minutes. J'ai ouvert récemment un manuel de maths de 3e parce que j'ai du faire un cours de rattrapage à une collégienne. Le cours parlait de PGCD, mais jamais la notion n'était expliquée ne serait-ce qu'en français. Il n'y avait que deux algorithmes dont la démonstration n'est pas à la portée d'un collègien (une histoire de différences et une histoire de reste de divisions euclidiennes qui font appel à la théorie des nombres).
Je suis à peu près convaincu qu'aucun membre de la classe en question n'a compris ce qu'était un PGCD alors qu'avec une simple décomposition en facteurs premiers, l'explication est triviale. Le résultat ? Simple. Comme les méthodes étaient apprises par cœur sans comprendre les notions sous-jacentes, ce savoir sera perdu dans quelques mois.
Les mathématiques s'expliquent et lorsque quelqu'un a compris ce qu'il faut faire et pourquoi, elles sont simples. Toutes les autres méthodes de peuvent que conduire à des échecs.
Ma constatation est une décorrélation complète des notions théoriques de la pratique (avec en prime le couplet du "ça ne sert à rien d'apprendre les tables de multiplication" ou autres concetés). En maths, ça ne peut pas passer parce qu'on ne retient bien et qu'on n'assimile bien que ce qu'on a vraiment compris.
Je fais de l'aide aux devoirs, et j'ai en ce moment une petite Algérienne en CE2 qui comprend très bien le sens de la multiplication. Je commence par la faire compter de 2 en 2 pour la table de 2, puis ainsi de suite : elle a trouvé toute seule la table de 6 qui ne leur avait pas encore été enseignée.
J'ai remarqué qu'après l'heure c'est plus l'heure : les enfants qui n'ont pas acquis les tables avant le collège ont beaucoup de mal à les mémoriser ensuite. Pourquoi ne fait-on plus de calcul mental ? Les tables d'addition et de soustraction sont bien utiles aussi.
_________________
Le carnet du Grincheux, Chroniques de misanthropie ordinaire
http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr/
Ma vie, mon œuvre
http://www.systella.fr/
- InvitéP2Niveau 5
Qu'est-ce que cela a à voir avec la philosophie, tout cela ?
- User17706Bon génie
Effectivement, ce monsieur n'est pas sérieux; qu'on puisse reprocher une mauvaise abstraction à bien des méthodes d'enseignement du calcul, c'est une certitude; qu'il ne faille pas connaître ses tables par cœur, c'est une absurdité.Le grincheux a écrit:Très bien. Virons les tables de multiplication qui sont responsables de tous les problèmes de calcul.adelaideaugusta a écrit:
Pour Michel Vigier, l’enseignement du calcul est trop abstrait. « On peut initier à la proportionnalité dès la grande section avec l’exemple du gâteau où il faut tant de farine pour 4 personnes, donc tant de farine pour 8 personnes. » De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
- adelaideaugustaFidèle du forum
Rien ??Philippe Jovi a écrit:Qu'est-ce que cela a à voir avec la philosophie, tout cela ?
Mais avec le pédagogisme, oui.
_________________
"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- User17706Bon génie
@adelaideaugusta : je crois que le collègue faisait allusion à la section du forum dans laquelle le post se trouve. À un modérateur de le déplacer s'il le juge utile.
- adelaideaugustaFidèle du forum
Ah oui, désolée, j'ai posté sur un fil inapproprié pour accéder à "nouveau". On apprend tous les jours...PauvreYorick a écrit:@adelaideaugusta : je crois que le collègue faisait allusion à la section du forum dans laquelle le post se trouve. À un modérateur de le déplacer s'il le juge utile.
_________________
"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- IgniatiusGuide spirituel
JPhMM a écrit::shock:De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
Mais comment peut-on être prof de maths et dire des bêtises pareilles ?
Quand j'étais gamin, on entendait ce genre de phrases dans la bouche des cancres : cela leur permettait de justifier le fait qu'ils n'apprenaient rien.
_________________
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- CeladonDemi-dieu
Comme je ne prends pas le risque de te faire grincher, prends-la comme tu veux !Le grincheux a écrit::Gné:Celadon a écrit:Réinventons la roue, comme à chaque fois, donc.
Si c'est pour les tables de multiplication, je ne suis pas d'accord... Elles sont nécessaires, mais comme on peut comprendre ta phrase de deux façons différentes, je en sais pas si je l'ai prise dans le bon sens...
- adelaideaugustaFidèle du forum
Il n'est pas le seul.Igniatius a écrit:Mais comment peut-on être prof de maths et dire des bêtises pareilles ?JPhMM a écrit::shock:De même, selon ce professeur de mathématiques, il faut en finir avec l’apprentissage des tables de multiplication par cœur, où l’élève est passif.
Quand j'étais gamin, on entendait ce genre de phrases dans la bouche des cancres : cela leur permettait de justifier le fait qu'ils n'apprenaient rien.
http://www.sauv.net/antibi.php
Extrait :
Le système Antibi ou l’école des charlatans.:malmaisbien:
On vient encore d’inventer le fil à couper le beurre. Le nouveau génie s’appelle André Antibi, mathématicien de formation et actuellement directeur de l’Institut de Recherche sur l’Enseignement des mathématiques (IREM) à Toulouse. M. Antibi a de bonnes intentions, comme tout le monde. Il veut que nos élèves soient meilleurs. Jusque là, rien de très original. Mais comment ? Il a son système, un système très simple, qui s’appuie sur un constat des sciences de l’éducation, appelé la " constante macabre " : dans une classe on dénombre inévitablement un tiers de bons élèves, un tiers de moyens, un tiers de mauvais. Mouvement Contre La Constante Macabre, telle est l’appellation du système dont le sigle (MCLCM) semble gravé dans le marbre romain. [1]
_________________
"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum