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JohnMédiateur
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Surtout, que « Peillon ne lâche pas sur les rythmes scolaires, sinon, c’est fichu, la loi d’orientation se résumera à l’embauche de 60 000 fonctionnaires », prévient Philippe Tournier. Les conditions de la rentrée ? « Paradoxales. Il ne faut pas oublier les efforts accomplis avec les créations de postes mais nous devons faire face à une grande complexité du statut des personnels et à une crise des viviers avec de nombreux postes non pourvus. On recrute donc des contractuels titulaires d’une licence, et les concours continuent de se situer à bac + 5 », constate le représentant des proviseurs.
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Luigi_BGrand Maître
Tiens comme c'est étonnant, cette rhétorique de l'obsolescence et des "nouvelles missions".S’il refuse de s’aventurer sur le terrain du niveau de recrutement, il fait toutefois remarquer « qu’aucune profession ne vit aujourd’hui à l’heure d’un statut qui remonte à 1950 », ce qui est le cas des enseignants. « Si on estime que les missions ont changé, et elles ont changé dans la pratique, alors il faut changer le statut. Si on ne change pas le statut, alors il faut renoncer à changer les missions. Il faut aussi poser la question des carrières ».
Et pourquoi Philippe Tournier ne va-t-il pas jusqu'au bout de son raisonnement : par "changer le statut" de 1950 (expression neutre), il entend faire travailler les professeurs davantage qu'en 1950. Que ne le dit-il pas !
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
adrifabNiveau 10
Et pourquoi on ne nous fout pas tout simplement la paix ???? Il faut aussi poser la question des carrières ? Qu'entend-il par là ce brave homme ? Est-ce qu'on s'occupe de la sienne, nous ?
OlympiasProphète
John a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Surtout, que « Peillon ne lâche pas sur les rythmes scolaires, sinon, c’est fichu, la loi d’orientation se résumera à l’embauche de 60 000 fonctionnaires », prévient Philippe Tournier. Les conditions de la rentrée ? « Paradoxales. Il ne faut pas oublier les efforts accomplis avec les créations de postes mais nous devons faire face à une grande complexité du statut des personnels et à une crise des viviers avec de nombreux postes non pourvus. On recrute donc des contractuels titulaires d’une licence, et les concours continuent de se situer à bac + 5 », constate le représentant des proviseurs.
Il a raison...recrutons dès la sortie du lycée, pour faire de l'animation et de la garderie ! Puisque n'importe quoi peut faire n'importe quoi.
A-t-il seulement réfléchi à la cause de tous ces postes non pourvus ??? Un métier qui n'attire plus, pour les raisons que tout le monde comprend, sauf lui
auléricNeoprof expérimenté
au moins comme çà , on sait sur qui compter pour défendre nos intérêts .
au programme donc dans ses voeux : réforme du statut et recrutement local généralisé
au programme donc dans ses voeux : réforme du statut et recrutement local généralisé
au moins c'est clair avant les prochaines éléctions professionnellesPour tourner le dos à « la gestion bureaucratique des enseignants, et sans révolutionner le système, on peut imaginer des postes à profil, avec une commission académique qui vérifierait l’adhésion des candidats au projet d’établissement »
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