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- Thomas de KervaletNiveau 2
donc vous ne surlignez jamais, vous ne citez jamais, vous ne résumez jamais, vous ne réécrivez jamais, vous ne synthétisez jamais, vous n'oubliez jamais, vous n'éludez jamais, ni allusion, ni intertexte, ni recoupage, ni copier/coller, ni lecture en diagonale, ni omission... en tant que prof de lettres classiques vous n'êtes pas sans savoir que d'oeuvres antiques il ne reste parfois que quelques fragments, et pourtant l'oeuvre n'en est pas moins belle, évocatrice ou pertinente... en quoi Kambouchner est-il ici trahi ?
- Presse-puréeGrand sage
Tout d'abord, je vous suggère d'abuser de modalisateurs. Je veille, sans toujours y arriver, j'en conviens, à ne pas être agressif avec mes interlocuteurs. Il serait de bon ton que vous fassiez de même. La première partie de votre développement est une agression gratuite et stérile, qui risque de fermer toute possibilité de discussion.
Votre question est donc: "En quoi Kambouchner est-il trahi?"
Je ne parle ni de trahison, ni de félonie, ni de forfaiture, ni de fourberie, ni de perfidie, ni de traitrise, ni de légèreté, ni d'inconscience, ni de désinvolture, ni de j'm'en-foutisme. Je trouve juste dommage que vous ne sembliez retenir que ce que vous avez cité de tout le développement de Kambouchner, écrit, comme il le dit dans son livre, "à la manière d'Aristote". En fait, en tronquant ainsi la citation, vous suggérez que le reste n'est pas intéressant, ce que vous avez le droit de pense, mais que je trouve, à titre personnel, dommage. Tout simplement.
Ensuite, en tant qu'étudiant en lettres classiques, je me suis beaucoup amusé à faire œuvre de philologue et à recouper différentes références pour émettre des hypothèses sur le contenu des fragments perdus d'une œuvre. Mais je sais aussi qu'il est précieux d'avoir le texte complet et que, dans ce cas, on s'efforce de tenir compte de l'ensemble de celui-ci pour dégager son sens général. Rien de plus.
Votre question est donc: "En quoi Kambouchner est-il trahi?"
Je ne parle ni de trahison, ni de félonie, ni de forfaiture, ni de fourberie, ni de perfidie, ni de traitrise, ni de légèreté, ni d'inconscience, ni de désinvolture, ni de j'm'en-foutisme. Je trouve juste dommage que vous ne sembliez retenir que ce que vous avez cité de tout le développement de Kambouchner, écrit, comme il le dit dans son livre, "à la manière d'Aristote". En fait, en tronquant ainsi la citation, vous suggérez que le reste n'est pas intéressant, ce que vous avez le droit de pense, mais que je trouve, à titre personnel, dommage. Tout simplement.
Ensuite, en tant qu'étudiant en lettres classiques, je me suis beaucoup amusé à faire œuvre de philologue et à recouper différentes références pour émettre des hypothèses sur le contenu des fragments perdus d'une œuvre. Mais je sais aussi qu'il est précieux d'avoir le texte complet et que, dans ce cas, on s'efforce de tenir compte de l'ensemble de celui-ci pour dégager son sens général. Rien de plus.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- InvitéInvité
Allez, dans d'autres termes, plutôt (qui rendront la discussion plus agréable, j'espère): Thomas, que penses-tu du reste de la citation de Kambouchner?
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