- JPhMMDemi-dieu
Le Victor est boudeur.plotch a écrit:plotch a écrit:Est ce une impression ou bien à chaque fois que l'on démontre à Victor qu'il a tort sur un point il fait l'autruche et passe à autre chose ?
Je me cite moi même
- victor44Habitué du forum
JPhMM a écrit:Le Victor est boudeur.plotch a écrit:plotch a écrit:Est ce une impression ou bien à chaque fois que l'on démontre à Victor qu'il a tort sur un point il fait l'autruche et passe à autre chose ?
Je me cite moi même
A lire
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/251109/l-aventure-des-maths-modernes
La réforme qui met les mathématiques dites ‘’modernes’’ au programme des enseignements scolaires à partir de 1969 n’est nullement une improvisation post-soixante-huitarde, comme beaucoup le croient. Au tout début de cette aventure, il y a, dès avant 1940, un groupe de jeunes mathématiciens qui entendent restructurer l’enseignement des mathématiques à l’université pour y intégrer les apports des recherches. Connu sous le nom collectif de " Bourbaki ", ce groupe met en œuvre un formalisme unificateur qui trouve un grand écho international. Et cela aboutit à une révision radicale des programmes de l’enseignement supérieur dès 1952, puis des classes préparatoires en 1961.
Finalement, on en arrive à penser que cela ne doit plus seulement concerner la recherche et l’université, mais aussi les enseignements scolaires. L’écart s’est en effet creusé entre les mathématiques enseignées à l’université et celles de lycée : les jeunes professeurs n’enseignent pas dans les lycées et collèges les mathématiques qu’ils ont apprises dans le supérieur. Si bien que l’Association des professeurs de l’enseignement public se prononce très tôt, dès 1956, pour une réforme. En 1964, elle crée même une commission pour y réfléchir concrètement ; et elle publie ses propositions en 1968 après avoir consulté ses 8000 adhérents. Parallèlement, une grande commission à l’initiative du ministre de l’Education nationale Christian Fouchet est formée en janvier 1967. Présidée par le grand mathématicien André Lichnerowicz, cette commission comprend 7 universitaires, 7 membres de l’Association des professeurs de mathématiques et deux inspecteurs généraux.
La commission avait souhaité que les nouveaux programmes soient expérimentés en classe avant d’être généralisés. Mais sans doute en raison d’une volonté de créer l’irréversible, de nouveaux programmes sont mis en application en sixième et seconde dès la rentrée de 1969.
J'arrive pas à remettre la main sur un bouquin de 6è mais on y étudiait les injections, les bijections, les surjections. Mais vous semblez être comme Monsieur Jourdain, vous faisiez du Bourbaki sans le savoir
En résumlé mettre un programme super ambitieux, ça a déjà été tenté à une époque où le collège n'était pas iunique et ça a été un fiasco
Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi
- mathmaxExpert spécialisé
Cette réforme a certes été un échec en ce qui concerne l'initiation de la masse aux mathématiques, mais pourquoi dire qu'elle n' a pas permis l'accès des plus doués aux classes prépas, même s'ils étaient d'origine modeste ? Personnellement, cela m'a permis de jouir des maths comme d'un jeu passionnant, et il me semble qu'aucun "code" bourgeois n'y était nécessaire, uniquement un certain type d'esprit.
_________________
« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- AnaxagoreGuide spirituel
Victor sortez-vous de la forêt?
Prenez-vous vos interlocuteurs pour des demeurés?
Voilà 40 ans que Michel Delord s'exprime sur le sujet, sans parler de Rudolf Bkouche.
Faut-il encore recommencer la discussion?
Allez-vous encore nous vendre des innovations pédagogiques qui ont 200 ans en les pervertissant et en massacrant les contenus?
Les mathématiques modernes au primaire et au collège ont été vécues comme un appauvrissement par beaucoup de professeurs, en parler en disant que c'était "super ambitieux" me paraît pour le moins problématique. Des programmes riches, progressifs et exigeants qui permettaient d'instruire correctement et d'avoir de l'ambition pour tout le monde c'était avant justement. C'est-à-dire avant que les progressistes ne s'en mêlent.
Prenez-vous vos interlocuteurs pour des demeurés?
Voilà 40 ans que Michel Delord s'exprime sur le sujet, sans parler de Rudolf Bkouche.
Faut-il encore recommencer la discussion?
Allez-vous encore nous vendre des innovations pédagogiques qui ont 200 ans en les pervertissant et en massacrant les contenus?
Les mathématiques modernes au primaire et au collège ont été vécues comme un appauvrissement par beaucoup de professeurs, en parler en disant que c'était "super ambitieux" me paraît pour le moins problématique. Des programmes riches, progressifs et exigeants qui permettaient d'instruire correctement et d'avoir de l'ambition pour tout le monde c'était avant justement. C'est-à-dire avant que les progressistes ne s'en mêlent.
- JPhMMDemi-dieu
Ainsi, parce que Bourbaki a uniformisé le formalisme axiomatique hilbertien dans les Éléments, formalisme qui a inspiré dans la méthode la commission Lichnerowicz, vous en déduisez qu'en sixième vous faisiez du Bourbaki. Mais dites-moi, puisque Bourbaki s'est appuyé sur Hilbert, pourquoi ne pas dire que vous étudiiez Hilbert ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Le Victor est boudeur.plotch a écrit:plotch a écrit:Est ce une impression ou bien à chaque fois que l'on démontre à Victor qu'il a tort sur un point il fait l'autruche et passe à autre chose ?
Je me cite moi même
A lire
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/251109/l-aventure-des-maths-modernes
La réforme qui met les mathématiques dites ‘’modernes’’ au programme des enseignements scolaires à partir de 1969 n’est nullement une improvisation post-soixante-huitarde, comme beaucoup le croient. Au tout début de cette aventure, il y a, dès avant 1940, un groupe de jeunes mathématiciens qui entendent restructurer l’enseignement des mathématiques à l’université pour y intégrer les apports des recherches. Connu sous le nom collectif de " Bourbaki ", ce groupe met en œuvre un formalisme unificateur qui trouve un grand écho international. Et cela aboutit à une révision radicale des programmes de l’enseignement supérieur dès 1952, puis des classes préparatoires en 1961.
Finalement, on en arrive à penser que cela ne doit plus seulement concerner la recherche et l’université, mais aussi les enseignements scolaires. L’écart s’est en effet creusé entre les mathématiques enseignées à l’université et celles de lycée : les jeunes professeurs n’enseignent pas dans les lycées et collèges les mathématiques qu’ils ont apprises dans le supérieur. Si bien que l’Association des professeurs de l’enseignement public se prononce très tôt, dès 1956, pour une réforme. En 1964, elle crée même une commission pour y réfléchir concrètement ; et elle publie ses propositions en 1968 après avoir consulté ses 8000 adhérents. Parallèlement, une grande commission à l’initiative du ministre de l’Education nationale Christian Fouchet est formée en janvier 1967. Présidée par le grand mathématicien André Lichnerowicz, cette commission comprend 7 universitaires, 7 membres de l’Association des professeurs de mathématiques et deux inspecteurs généraux.
La commission avait souhaité que les nouveaux programmes soient expérimentés en classe avant d’être généralisés. Mais sans doute en raison d’une volonté de créer l’irréversible, de nouveaux programmes sont mis en application en sixième et seconde dès la rentrée de 1969.
J'arrive pas à remettre la main sur un bouquin de 6è mais on y étudiait les injections, les bijections, les surjections. Mais vous semblez être comme Monsieur Jourdain, vous faisiez du Bourbaki sans le savoir
En résumlé mettre un programme super ambitieux, ça a déjà été tenté à une époque où le collège n'était pas iunique et ça a été un fiasco
Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi
Vous savez quoi, "étudier Bourbaki" est une expression qui a un sens précis. Quand vous écrivez que vous avez étudié Bourbaki en sixième, tout mathématicien en recrache son café pour exploser d'un grand rire sonore. Vous pouvez googler à tout-va, pour essayer de trouver une filiation entre votre définition pas du tout bourbakiste du vecteur qui devait démontrer que vous avez effectivement étudié Bourbaki en 4ème (preuve que vous ne savez pas ce que vous dites...) et le groupe Bourbaki, cela ne changera pas grand chose au fait que quelqu'un qui prétend avoir étudié Bourbaki en sixième passe pour le dernier des rigolos tant son affirmation est grotesque.
Chacun est libre ensuite de mesurer, à la lecture de vos divagations rocambolesques et pittoyables, la portée du "donc" dans votre "Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi".
D'ailleurs, je vais vous dire, en plus d'être un menteur, vous êtes un sinistre pingouin.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Le grincheuxSage
Merci pour cette franche tranche de rigolade.victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Le Victor est boudeur.plotch a écrit:plotch a écrit:Est ce une impression ou bien à chaque fois que l'on démontre à Victor qu'il a tort sur un point il fait l'autruche et passe à autre chose ?
Je me cite moi même
A lire
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/251109/l-aventure-des-maths-modernes
La réforme qui met les mathématiques dites ‘’modernes’’ au programme des enseignements scolaires à partir de 1969 n’est nullement une improvisation post-soixante-huitarde, comme beaucoup le croient. Au tout début de cette aventure, il y a, dès avant 1940, un groupe de jeunes mathématiciens qui entendent restructurer l’enseignement des mathématiques à l’université pour y intégrer les apports des recherches. Connu sous le nom collectif de " Bourbaki ", ce groupe met en œuvre un formalisme unificateur qui trouve un grand écho international. Et cela aboutit à une révision radicale des programmes de l’enseignement supérieur dès 1952, puis des classes préparatoires en 1961.
Finalement, on en arrive à penser que cela ne doit plus seulement concerner la recherche et l’université, mais aussi les enseignements scolaires. L’écart s’est en effet creusé entre les mathématiques enseignées à l’université et celles de lycée : les jeunes professeurs n’enseignent pas dans les lycées et collèges les mathématiques qu’ils ont apprises dans le supérieur. Si bien que l’Association des professeurs de l’enseignement public se prononce très tôt, dès 1956, pour une réforme. En 1964, elle crée même une commission pour y réfléchir concrètement ; et elle publie ses propositions en 1968 après avoir consulté ses 8000 adhérents. Parallèlement, une grande commission à l’initiative du ministre de l’Education nationale Christian Fouchet est formée en janvier 1967. Présidée par le grand mathématicien André Lichnerowicz, cette commission comprend 7 universitaires, 7 membres de l’Association des professeurs de mathématiques et deux inspecteurs généraux.
La commission avait souhaité que les nouveaux programmes soient expérimentés en classe avant d’être généralisés. Mais sans doute en raison d’une volonté de créer l’irréversible, de nouveaux programmes sont mis en application en sixième et seconde dès la rentrée de 1969.
J'arrive pas à remettre la main sur un bouquin de 6è mais on y étudiait les injections, les bijections, les surjections. Mais vous semblez être comme Monsieur Jourdain, vous faisiez du Bourbaki sans le savoir
En résumlé mettre un programme super ambitieux, ça a déjà été tenté à une époque où le collège n'était pas iunique et ça a été un fiasco
Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi
Ce qui est n'importe quoi, c'est que vous confondiez allègrement les patates dessinées au primaire (et au collège) avec ce qui s'appelle les "mathématiques modernes" (le sens mathématique exact du terme, pas le sens du quidam moyen). Les mathématiques modernes, c'est inenvisageable avant au moins le niveau du bac C d'il y a vingt ans. Prenez histoire de rigoler le volume "mathématiques modernes" de la série Schaum (si cette dernière existe toujours) et filez-là à un collégien...
Et ne me faites surtout pas accroire qu'en classe de sixième, même il y a trente ou quarante ans, un collégien moyen était capable de comprendre exactement ce qu'étaient bijection, surjection et injection. Ah si, c'est vrai, avec des patates !
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JPhMM a écrit:Ainsi, parce que Bourbaki a uniformisé le formalisme axiomatique hilbertien dans les Éléments, formalisme qui a inspiré dans la méthode la commission Lichnerowicz, vous en déduisez qu'en sixième vous faisiez du Bourbaki. Mais dites-moi, puisque Bourbaki s'est appuyé sur Hilbert, pourquoi ne pas dire que vous étudiiez Hilbert ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Le Victor est boudeur.plotch a écrit:plotch a écrit:Est ce une impression ou bien à chaque fois que l'on démontre à Victor qu'il a tort sur un point il fait l'autruche et passe à autre chose ?
Je me cite moi même
A lire
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La réforme qui met les mathématiques dites ‘’modernes’’ au programme des enseignements scolaires à partir de 1969 n’est nullement une improvisation post-soixante-huitarde, comme beaucoup le croient. Au tout début de cette aventure, il y a, dès avant 1940, un groupe de jeunes mathématiciens qui entendent restructurer l’enseignement des mathématiques à l’université pour y intégrer les apports des recherches. Connu sous le nom collectif de " Bourbaki ", ce groupe met en œuvre un formalisme unificateur qui trouve un grand écho international. Et cela aboutit à une révision radicale des programmes de l’enseignement supérieur dès 1952, puis des classes préparatoires en 1961.
Finalement, on en arrive à penser que cela ne doit plus seulement concerner la recherche et l’université, mais aussi les enseignements scolaires. L’écart s’est en effet creusé entre les mathématiques enseignées à l’université et celles de lycée : les jeunes professeurs n’enseignent pas dans les lycées et collèges les mathématiques qu’ils ont apprises dans le supérieur. Si bien que l’Association des professeurs de l’enseignement public se prononce très tôt, dès 1956, pour une réforme. En 1964, elle crée même une commission pour y réfléchir concrètement ; et elle publie ses propositions en 1968 après avoir consulté ses 8000 adhérents. Parallèlement, une grande commission à l’initiative du ministre de l’Education nationale Christian Fouchet est formée en janvier 1967. Présidée par le grand mathématicien André Lichnerowicz, cette commission comprend 7 universitaires, 7 membres de l’Association des professeurs de mathématiques et deux inspecteurs généraux.
La commission avait souhaité que les nouveaux programmes soient expérimentés en classe avant d’être généralisés. Mais sans doute en raison d’une volonté de créer l’irréversible, de nouveaux programmes sont mis en application en sixième et seconde dès la rentrée de 1969.
J'arrive pas à remettre la main sur un bouquin de 6è mais on y étudiait les injections, les bijections, les surjections. Mais vous semblez être comme Monsieur Jourdain, vous faisiez du Bourbaki sans le savoir
En résumlé mettre un programme super ambitieux, ça a déjà été tenté à une époque où le collège n'était pas iunique et ça a été un fiasco
Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi
Vous savez quoi, "étudier Bourbaki" est une expression qui a un sens précis. Quand vous écrivez que vous avez étudié Bourbaki en sixième, tout mathématicien en recrache son café pour exploser d'un grand rire sonore. Vous pouvez googler à tout-va, pour essayer de trouver une filiation entre votre définition pas du tout bourbakiste du vecteur qui devait démontrer que vous avez effectivement étudié Bourbaki en 4ème (preuve que vous ne savez pas ce que vous dites...) et le groupe Bourbaki, cela ne changera pas grand chose au fait que quelqu'un qui prétend avoir étudié Bourbaki en sixième passe pour le dernier des rigolos tant son affirmation est grotesque.
Chacun est libre ensuite de mesurer, à la lecture de vos divagations rocambolesques et pittoyables, la portée du "donc" dans votre "Donc vos propositions pour aider les couches socialement défavorisées a tenter les prpépas c'est juste n'importe quoi".
D'ailleurs, je vais vous dire, en plus d'être un menteur, vous êtes un sinistre pingouin.
C'est triste, ton avis sur les pingouins...
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- JPhMMDemi-dieu
Mon avis sur les "sinistres pingouins".
Tous les pingouins ne sont pas sinistres.
Victor, j'oubliais, quand on a l'incroyable inconscience d'écrire une ânerie aussi ahurissante que "j'ai étudié Bourbaki en sixième", on a au moins la décence de signifier qu'on a écrit n'importe quoi. Mais vous, vous n'écrivez jamais n'importe quoi, c'est bien connu.
Allons, vous avez raison, vous avez étudié Bourbaki en sixième.
Tous les pingouins ne sont pas sinistres.
Victor, j'oubliais, quand on a l'incroyable inconscience d'écrire une ânerie aussi ahurissante que "j'ai étudié Bourbaki en sixième", on a au moins la décence de signifier qu'on a écrit n'importe quoi. Mais vous, vous n'écrivez jamais n'importe quoi, c'est bien connu.
Allons, vous avez raison, vous avez étudié Bourbaki en sixième.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- victor44Habitué du forum
mathmax a écrit:Cette réforme a certes été un échec en ce qui concerne l'initiation de la masse aux mathématiques, mais pourquoi dire qu'elle n' a pas permis l'accès des plus doués aux classes prépas, même s'ils étaient d'origine modeste ? Personnellement, cela m'a permis de jouir des maths comme d'un jeu passionnant, et il me semble qu'aucun "code" bourgeois n'y était nécessaire, uniquement un certain type d'esprit.
Moi aussi j'ai adoré apprendre les maths ainsi. Mais je citerai Lurçat:
« Ainsi le formalisme est-il tolérable pour la jeunesse issue de la
bourgeoisie, même s’il est ennuyeux et en rebute une partie. Mais par
contre, il constitue un obstacle presque insurmontable pour le jeune
issu de la classe ouvrière, ou plus généralement d’un milieu populaire ».
F. Lurçat, Mathématiques « rétro » ou mathématiques modernes, 1976
On ne peut l'accepter qu'en le prenant comme un jeu (ce que j'ai fait) ou comme une obligation. Et de fait sans cours particulier celà était quasi insurmontable.
Pour enfoncer le clou JPHMM, ça m'a tellemenent pas posé problème que mon prof de math m'avait filé les premiers éléments et j'avais adoré. Mais au bout du compte, en prépa certains tacherons sont passés en spé et j'ai étudié en fac avec des gens bien plus brillants. Donc je maintiens que le système ne sélectionne pas les meilleurs.
Pourquoi s'abrutir deux ans pour changer de logique en grande école, ne serait-il pas pertinent de laisser plus de temps pour laisser émerger ceux qui sont vraiment meilleurs à la fac et les intégrer dans un système type prépa ou grande école après un an de fac
- victor44Habitué du forum
JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
- JPhMMDemi-dieu
Na nanana Na !victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Mais oui, mais oui. C'est bien. Essayez de vous calmer un peu, de grâce.victor44 a écrit:Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
_________________
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- Le grincheuxSage
Avez-vous remarqué que ce que vous venez juste d'écrire n'a aucun sens ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
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- mathmaxExpert spécialisé
victor44 a écrit:
Et de fait sans cours particulier celà était quasi insurmontable.
???? Aucun de mes camarades de classe prépa n'a jamais pris une heure de cours particulier.
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- JPhMMDemi-dieu
Aucun sens.Le grincheux a écrit:Avez-vous remarqué que ce que vous venez juste d'écrire n'a aucun sens ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
A Victor : Bon écoutez-moi, mon p'tit père. Depuis hier vous nous affirmez que vous avez étudié Bourbaki en 6ème.
Pour info, Bourbaki, c'est ça (du moins un très court extrait. Il y a des milliers et des milliers de pages.).
Pages 19 et 20 du livre I. Je vous fais grace des pages précédentes, elles étaient trop faciles, sans doute les avez-vous étudiées en CM1.
Vous ajoutez :
victor44 a écrit:Pour enfoncer le clou JPHMM, ça m'a tellemenent pas posé problème que mon prof de math m'avait filé les premiers éléments et j'avais adoré.
Donc vous avez étudié Bourbaki en Sixième, et comme ça ne vous a pas posé problème, votre prof de math vous a filé les premiers tomes des Éléments, que vous avez lus et adorés, en Sixième. Les deux pages scannées ci-dessus furent parmi les premières que vous aviez lues, et vous les aviez adorées. En sixième. Tout va bien.
Mais je vous le répète, oui, mon cher ami, je vous crois. Bien sûr.
_________________
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- dandelionVénérable
Mais si j'ai bien compris, Victor, vous n'avez pas continué en spé alors que certains tâcherons l'ont fait (et alors que vous aviez étudié Bourbaki en sixième), mais est-ce parce que vous n'y avez pas été admis? Ce point mérite clarification car de mauvais esprits pourraient en conclure que vos critiques du système de sélection des prépas est en partie motivé par le fait qu'il ne vous a pas sélectionné vous.
- Le grincheuxSage
Votre clavier a fouché. Je ne vois pas en quoi je mérite vos foudresJPhMM a écrit:Aucun sens ?Le grincheux a écrit:Avez-vous remarqué que ce que vous venez juste d'écrire n'a aucun sens ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
Bon écoutez-moi, mon p'tit père. Depuis hier vous nous affirmez que vous avez étudié Bourbaki en 6ème.
Merci, je connais...
Pour info, Bourbaki, c'est ça (du moins un très court extrait. Il y a des milliers et des milliers de pages.).
Pages 19 et 20 du livre I. Je vous fais grace des pages précédentes, elles étaient trop faciles, sans doute les avez-vous étudiées en CM1.
Vous ajoutez :victor44 a écrit:Pour enfoncer le clou JPHMM, ça m'a tellemenent pas posé problème que mon prof de math m'avait filé les premiers éléments et j'avais adoré.
Donc vous avez étudiez Bourbaki en Sixième, et comme ça vous a pas posé problème, votre prof de math vous a filé les premiers tomes des Éléments, que vous avez lus et adorés, en Sixième. Les deux pages scannées ci-dessus furent parmi les premières que vous aviez lues, et vous les aviez adorées. En sixième. Tout va bien.
Mais je vous le répète, oui, mon cher ami, je vous crois. Bien sûr.
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- JPhMMDemi-dieu
Impossible, ils connaissait Bourbaki en sixième. Il a du faire entrer en math sup à 12 ans.dandelion a écrit:le fait qu'il ne vous a pas sélectionné vous.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Oui, erreur de manipulation, milles excuses.Le grincheux a écrit:Votre clavier a fouché.JPhMM a écrit:Aucun sens ?Le grincheux a écrit:Avez-vous remarqué que ce que vous venez juste d'écrire n'a aucun sens ?victor44 a écrit:JPhMM a écrit:Non seulement Bourbaki est un personnage, mais c'est aussi une personne.
Si tel n'était pas le cas, ses œuvres ne seraient pas protégées.
Décidément, vous êtes impayable.
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
Je corrige, pardon.
_________________
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Le grincheuxSage
Vous serez pardonné, mon fils.JPhMM a écrit:Oui, je corrige, pardon.Le grincheux a écrit:Votre clavier a fouché.JPhMM a écrit:Aucun sens ?Le grincheux a écrit:Avez-vous remarqué que ce que vous venez juste d'écrire n'a aucun sens ?victor44 a écrit:
Si quelqu'un écrit n'importe quoi, c'est bien vous!!!
Bourbaki n'est ni un personnage ni une personne, à moins que vous ne parliez du général mais c'est alors encore plus pitoyable.
Bourbaki est à l'origine directe des programmes élitistes de la fin des années 70, que tous les gens de mon age se sont enfilés.
- Spoiler:
Enfin, pour cette fois-ci :diable:
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- JPhMMDemi-dieu
Je ne maitrise pas toujours tout à fait la citation multiple.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- frdmNiveau 10
Je pense que la preuve est faite que le petit victor est soit un simple mythomane, soit un surdoué incompris car il ne sait ni écrire ni raisonner logiquement. Cher victor, reconnaissez-vous que vous avez menti ?
- victor44Habitué du forum
J ai déjà écrit que j étais admis en deuxième année mais que j ai ai préfère la fac pour cause d ambiance et de fâcherie durable avec la physique (je n ai jamais passé le cap en physique)dandelion a écrit:Mais si j'ai bien compris, Victor, vous n'avez pas continué en spé alors que certains tâcherons l'ont fait (et alors que vous aviez étudié Bourbaki en sixième), mais est-ce parce que vous n'y avez pas été admis? Ce point mérite clarification car de mauvais esprits pourraient en conclure que vos critiques du système de sélection des prépas est en partie motivé par le fait qu'il ne vous a pas sélectionné vous.
Les autres noient le poisson mais l influence de bourbaki en college a l époque était notoire (pas pour les élèves de 6e j en conviens) mais a l inspection générale et du coup la logique d universalité était enseignée des la sixième.
On est passés de 10.000 a 70.000 élèves de prépa et on préfère les tacherons (ceux qui tachent bcp) aux élèves capables de bcp d abstraction
En fac la logique est différente, on ne cherche pas un classement mais une connaissance solide. Ça m a clairement mieux convenu (et du coup j ai travaillé davantage)
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Mais qui c'est, ce Bourbaki qui met tout le monde en transe ???
Pour fonder une société secrète, il n'a pas hésité à infiltrer jusqu'à nos classes de sixième !!!
Continuez, les gars, c'est palpitant !
Pour fonder une société secrète, il n'a pas hésité à infiltrer jusqu'à nos classes de sixième !!!
Continuez, les gars, c'est palpitant !
- JPhMMDemi-dieu
Nous noyons le poisson ?victor44 a écrit:Les autres noient le poisson mais l influence de bourbaki en college a l époque était notoire (pas pour les élèves de 6e j en conviens) mais a l inspection générale et du coup la logique d universalité était enseignée des la sixième.
Pardon, je ne peux pas argumenter contre qui a appris et lu (et apprécié) Bourbaki en Sixième.victor44 a écrit:On m’a enseigné bourbaki en 6è
Donc oui, nous noyons le poisson. Et vous, vous avez appris Bourbaki en Sixième.
Une question me taraude : avez-vous vu eu la médaille Fields en Seconde ou seulement en Première ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- plotchHabitué du forum
Le meilleur moyen pour perdre toute crédibilité face à ses élèves c'est de ne pas reconnaître ses erreurs ...
- CasparProphète
Cette histoire de Bourbaki est en effet bien mystérieuse pour les non-initiés comme moi.
- Après Peter Gumbel, Antonella Verdiani critique l'école française... sans y avoir été élève ni enseignante.
- Libération, Peter Gumbel et Selma Ravn ont été très vexés par Vincent Peillon
- Ecoliers, collégiens, lycéens : bonheur ou galère ? avec Philippe Meirieu, Peter Gumbel et Caroline Brizard
- France Culture : Nathalie Mons critique "l'école conservatrice" française qui est une fabrique à élite.
- Peter Gumbel : "38 élèves ont obtenu 20 sur 20 au bac, soit 0,0058%. En Angleterre c’est 8% ! La moyenne fixée à 10/20 implique que la moitié de l'éventail des notes sont des notes d’échec."
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