- gauvain31Empereur
Voici une analyse intéressante de la discussion entre Peillon et le duo Polony/Cayron sur le site du Nouvel Obs :
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/789639-onpc-quand-vincent-peillon-donne-une-lecon-de-journalisme-a-aymeric-caron.html
En voici un extrait :
ONPC. Ils sont rares ces moments où les invités politiques brillent sur le fauteuil d'"On n’est pas couché". La raison à une langue de bois professionnalisée et au caractère hybride de l’émission qui oscille sans distinction entre actualité et caricature, sans que l’on ne sache très bien en déterminer les contours. Mais aussi et surtout aux chroniqueurs, Natacha Polony et Aymeric Caron, dont le rôle est de mettre en difficulté l'invité. Et l’émission de samedi accoucha en ce sens d’un petit événement.
On attendait une Natacha Polony remontée
Car en invitant le ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, d’aucuns imaginaient une Natacha Polony le couteau en les dents, prête en tous points pour accabler ce ministre dans un domaine qu’elle a effleuré, l’enseignement, avant de la quitter très vite à grandes enjambées, comme effrayée et surtout dégoûtée d’un système qui broyait le savoir. D’ailleurs, Laurent Ruquier devait s’en délecter, puisqu’avec une gourmandise non feinte, il lui laissa très tôt la parole en disant qu’elle avait préparé tant de questions qu’il n’était pas bien sur qu’elle pût toutes les poser.
Pour autant, ce n’est pas elle qui fut la plus flingueuse, loin s’en faut. Confiné dans un rôle de plus en plus obscur depuis quelques semaines, Aymeric Caron, dont on avait pu apprécier lors de ses première apparitions un esprit incisif, se révèle au fil du temps une déclinaison du vautour sans âme qui veille au grain en cherchant obstinément la moindre vétille, la plus petite déclaration contradictoire, le détail le moins amène pour l’exhiber avec une férocité exacerbée à son invité et tenter de le déstabiliser. Bien loin d’une dimension journalistique.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/789639-onpc-quand-vincent-peillon-donne-une-lecon-de-journalisme-a-aymeric-caron.html
En voici un extrait :
ONPC. Ils sont rares ces moments où les invités politiques brillent sur le fauteuil d'"On n’est pas couché". La raison à une langue de bois professionnalisée et au caractère hybride de l’émission qui oscille sans distinction entre actualité et caricature, sans que l’on ne sache très bien en déterminer les contours. Mais aussi et surtout aux chroniqueurs, Natacha Polony et Aymeric Caron, dont le rôle est de mettre en difficulté l'invité. Et l’émission de samedi accoucha en ce sens d’un petit événement.
On attendait une Natacha Polony remontée
Car en invitant le ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, d’aucuns imaginaient une Natacha Polony le couteau en les dents, prête en tous points pour accabler ce ministre dans un domaine qu’elle a effleuré, l’enseignement, avant de la quitter très vite à grandes enjambées, comme effrayée et surtout dégoûtée d’un système qui broyait le savoir. D’ailleurs, Laurent Ruquier devait s’en délecter, puisqu’avec une gourmandise non feinte, il lui laissa très tôt la parole en disant qu’elle avait préparé tant de questions qu’il n’était pas bien sur qu’elle pût toutes les poser.
Pour autant, ce n’est pas elle qui fut la plus flingueuse, loin s’en faut. Confiné dans un rôle de plus en plus obscur depuis quelques semaines, Aymeric Caron, dont on avait pu apprécier lors de ses première apparitions un esprit incisif, se révèle au fil du temps une déclinaison du vautour sans âme qui veille au grain en cherchant obstinément la moindre vétille, la plus petite déclaration contradictoire, le détail le moins amène pour l’exhiber avec une férocité exacerbée à son invité et tenter de le déstabiliser. Bien loin d’une dimension journalistique.
- L. Debril (L'Express): "Le plus gros handicap de Peillon, c'est lui-même"; ME Pech (Figaro) : "V. Peillon, élève appliqué mais brouillon" ; MC Missir (L'express) : "V. Peillon est souvent comparé à un cerf volant"
- Vincent Peillon : "La refondation de l'école se déploie. [...] Tout cela est lancé, et donne d'ores et déjà des résultats".
- "le démon du collège", quand Le Monde donne la parole aux élèves, pour blâmer l'"élève parfait"
- Brighelli : quand Peillon veut passer les profs à la moulinette
- V. Peillon sur I-Télé : "quand on diminue la journée de classe, on ne peut pas être plus fatigué".
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