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- NestyaEsprit sacré
Et pour continuer la série...
http://www.lavoixdunord.fr/region/saint-michel-en-thierache-aisne-un-ecolier-de-10-ans-ia0b0n1032164Un garçon âgé de 10 ans inscrit en CM2 au sein du groupe scolaire Maurice-Brugnon de Saint-Michel-en-Thiérache (dans l’Aisne), a été passé à tabac par un camarade d’école mardi.
Les faits se sont produits pendant le temps de la cantine, alors que les enfants étaient sous la surveillance de trois employés communaux.
On ignore pour le moment les circonstances dans lesquelles ces faits se sont produits.
D’après la grand-mère de l’enfant agressé, ce dernier souffrirait d’une double fracture du col du fémur. Ses blessures ont nécessité son transfert à l’hôpital de Reims. Il y a été opéré ce jeudi matin et ses jours ne sont pas en danger.
Une source proche du dossier confirme qu’un garçon connu pour avoir déjà eu un comportement violent envers d’autres enfants serait impliqué. À l’heure actuelle, il fait toujours partie des effectif du groupe scolaire. Marie-Christine Ratez, directrice de cabinet à la direction des services départementaux de l’Éducation nationale ne se prononce pas sur une éventuelle expulsion.
Céline Grandin, adjointe aux écoles à Saint-Michel-en-Thiérache, ne souhaite pas communiquer avant d’avoir reçu les trois agents communaux qui travaillaient ce jour-là.
Le groupe scolaire Maurice-Brugnon compte 242 élèves en primaire et 124 en maternelle.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- ClarinetteGrand Maître
Ça sera trop cool, le périscolaire, avec une pause méridienne portée à 3 h pleines !
- Docteur OXGrand sage
Clarinette a écrit:Ça sera trop cool, le périscolaire, avec une pause méridienne portée à 3 h pleines !
... et oui avec des """"animateurs"""" super-pro et super-motivés, ça va chauffer.
- ClarinetteGrand Maître
Docteur OX a écrit:Clarinette a écrit:Ça sera trop cool, le périscolaire, avec une pause méridienne portée à 3 h pleines !
... et oui avec des """"animateurs"""" super-pro et super-motivés, ça va chauffer.
- phiExpert
Clarinette a écrit:Ça sera trop cool, le périscolaire, avec une pause méridienne portée à 3 h pleines !
- JohnMédiateur
Pour Docteur Ox et Calrinette : je ne pense pas qu'on puisse profiter de ce topic pour critiquer les employés communaux qui surveillaient à ce moment-là.
La polémique me semble malvenue à ce sujet, sur ce topic.
La polémique me semble malvenue à ce sujet, sur ce topic.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- badinNiveau 7
Le mépris, la plaie de notre métier, il revient souvent et à propos de n'importe quel sujet, c'est effarant.
- phiExpert
John a écrit:Pour Docteur Ox et Calrinette : je ne pense pas qu'on puisse profiter de ce topic pour critiquer les employés communaux qui surveillaient à ce moment-là.
La polémique me semble malvenue à ce sujet, sur ce topic.
J'explique quand même au cas où:
La plupart des accidents plus ou moins graves qui arrivent à l'école ont lieu sur le temps de midi, ce dont les parents ne sont pas souvent conscients. Souvent on se retrouve même à devoir se justifier de ce qui s'est passé pendant ce temps périscolaire alors que par définition, on y était pas. Alors quand on lit des trucs comme ça, on est encore plus inquiets de ce qui se prépare pour l'an prochain, à savoir un temps périscolaire plus long avec encore plus d'inscrits (les parents qui pouvaient récupérer les gosses 2 heures ne pourront pas tous les garder 3 heures) et pas plus de moyens...
- ClarinetteGrand Maître
:shock: :lol: Pour la réponse, cf plus bas, Phi a tout dit.John a écrit:Pour Docteur Ox et Calrinette : je ne pense pas qu'on puisse profiter de ce topic pour critiquer les employés communaux qui surveillaient à ce moment-là.
La polémique me semble malvenue à ce sujet, sur ce topic.
Voilà.phi a écrit:John a écrit:Pour Docteur Ox et Calrinette : je ne pense pas qu'on puisse profiter de ce topic pour critiquer les employés communaux qui surveillaient à ce moment-là.
La polémique me semble malvenue à ce sujet, sur ce topic.
J'explique quand même au cas où:
La plupart des accidents plus ou moins graves qui arrivent à l'école ont lieu sur le temps de midi, ce dont les parents ne sont pas souvent conscients. Souvent on se retrouve même à devoir se justifier de ce qui s'est passé pendant ce temps périscolaire alors que par définition, on y était pas. Alors quand on lit des trucs comme ça, on est encore plus inquiets de ce qui se prépare pour l'an prochain, à savoir un temps périscolaire plus long avec encore plus d'inscrits (les parents qui pouvaient récupérer les gosses 2 heures ne pourront pas tous les garder 3 heures) et pas plus de moyens...
- JohnMédiateur
Phi : c'est pourquoi ce n'est pas la remarque sur la durée du temps périscolaire qui a attiré mon attention, mais bien celle concernant les animateurs, dont la mention n'a à mon avis rien à faire ici, puisqu'il s'agit de questions de violence grave survenues en plein milieu du repas.
Je ne pense pas que si un enseignant avait été à la place des employés communaux présents ce midi-là, il aurait forcément pu empêcher ce drame, et je ne pense pas que ce topic soit la bonne occasion pour faire le tableau comparatif de la valeur réelle ou supposée des profs et des animateurs.
Je ne pense pas que si un enseignant avait été à la place des employés communaux présents ce midi-là, il aurait forcément pu empêcher ce drame, et je ne pense pas que ce topic soit la bonne occasion pour faire le tableau comparatif de la valeur réelle ou supposée des profs et des animateurs.
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- grandesvacancesNeoprof expérimenté
phi a écrit:
La plupart des accidents plus ou moins graves qui arrivent à l'école ont lieu sur le temps de midi, ce dont les parents ne sont pas souvent conscients.
Rien d'étonnant : on risque davantage de se blesser en jouant au foot qu'en restant le derrière sur une chaise. :lol!:
- ClarinetteGrand Maître
Non, ce n'est pas ce que voulait dire Phi. Je te rappelle que les PE, entre autres innombrables missions, surveillent les récréations. Or la proportion d'accidents augmente sensiblement lors des temps périscolaires, ne serait-ce que parce que les élèves ne respectent plus nécessairement les mêmes règles qu'en récré, où ils savent que les instits veillent au grain. Je ne parle même pas de l'inexpérience totale de certains jeunes, balancés dans "l'animation" sans aucune formation préalable, ou presque...grandesvacances a écrit:phi a écrit:
La plupart des accidents plus ou moins graves qui arrivent à l'école ont lieu sur le temps de midi, ce dont les parents ne sont pas souvent conscients.
Rien d'étonnant : on risque davantage de se blesser en jouant au foot qu'en restant le derrière sur une chaise. :lol!:
- philannDoyen
phi a écrit:
La plupart des accidents plus ou moins graves qui arrivent à l'école ont lieu sur le temps de midi, ce dont les parents ne sont pas souvent conscients.
C'est aussi vrai dans le secondaire. J'ai été pionne, et je détestais la pause de midi: stress maximal, contrôle de la situation approximatif... élèves en furie...la plaie.
Quelque soit la qualité des agents qui surveillent, qu'ils soient profs, animateurs, employés municipaux ou Pape (il y en a un qui cherche du boulot...) le fait est que allonger ce type de "temps libre" ou "mal défini" va je pense nécessairement augmenter les accidents.
- NestyaEsprit sacré
http://www.lavoixdunord.fr/region/saint-michel-en-thierache-aisne-l-ecolier-de-10-ans-ia0b0n1032164D’après la grand-mère de l’enfant agressé, ce dernier souffrirait d’une double fracture du col du fémur. Ses blessures ont nécessité son transfert à l’hôpital Américain de Reims. Ses jours ne sont pas en danger mais les médecins n’ont pu l’opérer dès hier, son état nécessitant des examens complémentaires et des soins préalables. La maman est restée auprès de son fils tandis que les deux frères de la victime ont été recueillis chez une voisine. Selon la grand-mère, l’enfant est traumatisé et souffre beaucoup. Les médecins auraient laissé entendre que l’hospitalisation pourrait se prolonger jusqu’à la fin du mois.
Cet après-midi, une réunion entre enseignants, représentants de la mairie et parents d’élèves doit avoir lieu pour tenter d’éclaircir les circonstances de cet événement consternant. Une source proche du dossier confirme qu’un garçon connu pour avoir déjà eu un comportement violent envers d’autres enfants serait impliqué. À l’heure actuelle, il fait toujours partie des effectifs du groupe scolaire. Marie-Christine Ratez, directrice de cabinet à la direction des services départementaux de l’Éducation nationale ne se prononce pas sur une éventuelle expulsion.
Céline Grandin, adjointe aux écoles à Saint-Michel-en-Thiérache, ne souhaite pas communiquer avant d’avoir reçu les trois agents communaux qui travaillaient ce jour-là.
ça signifie qu'il pourrait rester dans l'école? Et que lorsque la victime reviendra, elle devra affronter son agresseur tous les jours?
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- phiExpert
Hé oui, on ne retire pas si facilement un élève de l'école primaire...
- AncolieExpert spécialisé
Mon gamin a ramassé pas mal durant ses pauses déjeuner, et je peux affirmer qu'un des facteurs (LE facteur même) est le manque de formation des encadrants embauchés par les mairies (il a fréquenté plusieurs écoles).
Donc sans affirmer que dans ce cas là etc..., le personnel est souvent recruté sans demande particulière et pas très bien payé (oui des économies!)
Donc sans affirmer que dans ce cas là etc..., le personnel est souvent recruté sans demande particulière et pas très bien payé (oui des économies!)
- Invité20Habitué du forum
Le mien, qu'est-ce qu'il s'est pris, entre deux et douze ans. Epouvantable !
Un jour, ça a fini à l'hôpital avec douze points de suture à l'arrière du crâne.
le responsable a écoppé de trois jours d'exclusion pour pouvoir jouer à la Play Station tranquille chez lui et sa mère est venue m'insulter sur mon lieu de travail et devant fiston qui en a pris également pour son grade.
Un jour, ça a fini à l'hôpital avec douze points de suture à l'arrière du crâne.
le responsable a écoppé de trois jours d'exclusion pour pouvoir jouer à la Play Station tranquille chez lui et sa mère est venue m'insulter sur mon lieu de travail et devant fiston qui en a pris également pour son grade.
- roxanneOracle
Mon neveu 4 ans est dans la cour même de l'école sous la surveillance des enseignants (qui ceci dit sont dos à la cour) est victime comme d'autres de deux caïds du même âge .Ils se font pousser, menacer, à tel point qu'une nuit il s'est réveillé en pleurs en demandant à ses parents s'ils avaient bien fermé à clefs car le père de Machin allait venir tous les tuer...Je me demande si je vais le mettre à l'école le mien.
- LoreleiiNeoprof expérimenté
Mes enfants aussi ont dégusté lors de la pause méridienne. Les personnes embauchées par la mairie ne savaient pas gérer les enfants et laissaient faire. Tout cela me rendait malade...
- ClarinetteGrand Maître
A la décharge du personnel municipal, on leur interdit souvent de punir, paske la cantine, c'est un moment cooooool , alors les gamins en profitent.
Chez nous, ils se tiennent à peu près tranquilles, parce que s'ils sont insolents ou brutaux, ils atterrissent illico dans mon bureau...
Chez nous, ils se tiennent à peu près tranquilles, parce que s'ils sont insolents ou brutaux, ils atterrissent illico dans mon bureau...
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Je pense que, quelle que soit la catégorie de personnel, on trouve des gens compétents et des brêles : ma fille s'est ouvert le front sur un radiateur à la cantine ( gestion municipale), mon fils a eu un traumatisme crânien en se viandant dans la cour ( surveillance des instits). Jamais il ne me serait venu à l'esprit de chercher des poux à qui que ce soit, certains accidents ne sont la faute à personne.
- roxanneOracle
Un accident peut arriver c'est certain .Mais un tabassage en règle qui conduit un gamin à l'hôpital , c'est bien quand même qu'à un moment ces gamins n'étaient surveillés correctement.
- OlympiasProphète
Voici la suite des informations dans le quotidien local :
UNE chose est sûre : des coups ont été portés sur un enfant âgé de 10 ans, ce mardi, et ce, dans l'enceinte du groupe scolaire saint-michellois Maurice-Brugnon. L'incident s'est produit dans la cour de l'école primaire, pendant la pause méridienne, lors d'un match de football entre un écolier de CM2, la victime, et un autre, qui a le même âge que lui. La victime a d'abord été hospitalisée à Hirson, puis à Reims. Il était hier toujours en phase d'observation.
Les coups portés l'ont-ils été volontairement ? L'enfant agresseur en est-il réellement un ? Ces questions demeurent, à l'heure qu'il est, toujours en suspens. Une réunion a bien eu lieu, hier soir, au sein de l'établissement mais à huis clos et entre parents d'élèves, enseignants et élus. Depuis l'agression, les premiers s'interrogent sur ce qui s'est réellement passé, les seconds également.
À l'entrée de l'établissement, le directeur, M. Guibier, a affiché depuis quelques jours le texte suivant : « Suite à une augmentation très importante de violence physique verbale (envers les parents et les enseignants), j'ai décidé de faire systématiquement un signalement pour enfant « en danger » avec comme motif « violent avec ses camarades, non-respect des enseignants et négligence parentale » à l'Inspection académique, ce qui entraînera obligatoirement une enquête des services sociaux. »
Le chef d'établissement ajoute sur son « mot » qu'une réunion de « l'équipe éducative » aura lieu pour chacun de ces enfants, en présence du directeur, de l'inspectrice, et des enseignants pour les informer que l'enfant « n'ira plus en récréation jusqu'à la fin de l'année scolaire ».
Le climat est donc lourd à Saint-Michel, depuis quelques jours. Et les interrogations pèsent toujours. À l'heure qu'il est, l'enfant suspecté de violences volontaires, fait toujours partie des effectifs du groupe scolaire, qui compte 242 élèves en primaire et 124 enfants, en maternelle.
Hier après-midi, les gendarmes ont auditionné de nombreux témoins de la scène. Des auditions qui se poursuivent aujourd'hui encore.
D.O.
UNE chose est sûre : des coups ont été portés sur un enfant âgé de 10 ans, ce mardi, et ce, dans l'enceinte du groupe scolaire saint-michellois Maurice-Brugnon. L'incident s'est produit dans la cour de l'école primaire, pendant la pause méridienne, lors d'un match de football entre un écolier de CM2, la victime, et un autre, qui a le même âge que lui. La victime a d'abord été hospitalisée à Hirson, puis à Reims. Il était hier toujours en phase d'observation.
Les coups portés l'ont-ils été volontairement ? L'enfant agresseur en est-il réellement un ? Ces questions demeurent, à l'heure qu'il est, toujours en suspens. Une réunion a bien eu lieu, hier soir, au sein de l'établissement mais à huis clos et entre parents d'élèves, enseignants et élus. Depuis l'agression, les premiers s'interrogent sur ce qui s'est réellement passé, les seconds également.
À l'entrée de l'établissement, le directeur, M. Guibier, a affiché depuis quelques jours le texte suivant : « Suite à une augmentation très importante de violence physique verbale (envers les parents et les enseignants), j'ai décidé de faire systématiquement un signalement pour enfant « en danger » avec comme motif « violent avec ses camarades, non-respect des enseignants et négligence parentale » à l'Inspection académique, ce qui entraînera obligatoirement une enquête des services sociaux. »
Le chef d'établissement ajoute sur son « mot » qu'une réunion de « l'équipe éducative » aura lieu pour chacun de ces enfants, en présence du directeur, de l'inspectrice, et des enseignants pour les informer que l'enfant « n'ira plus en récréation jusqu'à la fin de l'année scolaire ».
Le climat est donc lourd à Saint-Michel, depuis quelques jours. Et les interrogations pèsent toujours. À l'heure qu'il est, l'enfant suspecté de violences volontaires, fait toujours partie des effectifs du groupe scolaire, qui compte 242 élèves en primaire et 124 enfants, en maternelle.
Hier après-midi, les gendarmes ont auditionné de nombreux témoins de la scène. Des auditions qui se poursuivent aujourd'hui encore.
D.O.
- OlympiasProphète
Suite des informations sur cette affaire avec un article du quotidien régional.
http://www.lunion.presse.fr/article/region/agression-a-lecole-primaire-les-enfants-entendus
Voici les deux dernières phrases de l'article :
L'enfant en question a déjà été exclu de la cantine. Il serait l'enfant de parents déjà condamnés pour trafic de stupéfiants.
La dernière phrases me semble de trop, surtout écrite au conditionnel....et encore plus s'il s'avère ensuite qu'il s'agissait de on dit...
http://www.lunion.presse.fr/article/region/agression-a-lecole-primaire-les-enfants-entendus
Voici les deux dernières phrases de l'article :
L'enfant en question a déjà été exclu de la cantine. Il serait l'enfant de parents déjà condamnés pour trafic de stupéfiants.
La dernière phrases me semble de trop, surtout écrite au conditionnel....et encore plus s'il s'avère ensuite qu'il s'agissait de on dit...
- Marie LaetitiaBon génie
De toute façon, quand on a entendu de mignons (sic) petits 6e dirent qu'en primaire ils pouvaient se f*** sur la gueule pour une gomme tombée par terre, comment s'étonner? :|
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
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- Saint-Denis : un enseignant violemment agressé devant le collège
- Le Monde : reportage de Florence Aubenas sur les mères ados en Thiérache (Aisne).
- Un professeur agressé dans un couloir de l’université Jean-Monnet à Saint-Etienne
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- Perpignan, collège Saint-Exupéry : une collégienne agresse son enseignante en lui donnant des gifles et des coups de poing.
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