- Nat32Niveau 3
Bonjour
Tout est dans le titre ,qui pourrait m'aider?
Tout est dans le titre ,qui pourrait m'aider?
- lottaFidèle du forum
Exercices sur les modalisateurs
Exercice 1 : Description neutre et description subjective
Précisez si ces phrases appartiennent à des descriptions neutres ou subjectives. Justifiez vos réponses.
1. Il aperçut une rivière qui coulait entre les arbres.
2. Quand j'entrai dans la pièce, je trouvai sa décoration trop chargée.
3. Bien sûr, la mer offre de beaux points de vue, mais les paysages de montagne sont incomparables.
4. Le mobilier se composait d'une table en chêne, entourée de six chaises à haut dossier, d'un buffet contenant la vaisselle, et d'un guéridon garni de bibelots.
5. Mon chat a un pelage roux et blanc, des yeux verts et de longues moustaches.
6. L'homme avait un regard fuyant qui me déplut aussitôt.
7. Le jardin avait d'assez belles proportions, mais il paraissait, hélas, laissé à l'abandon.
Exercice 2 : a. Relevez ce qui prouve que cette description est faite selon le point du vue du narrateur.
b. Relevez des groupes, formés d'un adverbe et d'un adjectif, qui expriment l'opinion du narrateur: classez-les selon qu'ils expriment une opinion favorable ou défavorable.
c. Quel mot résume ce que le narrateur pense de la femme qu'il décrit ?
Ses yeux étaient obliques, mais admirablement fendus; ses lèvres un peu fortes, niais bien dessinées et laissant voir des dents plus blanches que des amandes dans leur peau. Ses cheveux, peut-être un peu gros, étaient noirs à reflets bleus comme l'aile d'un corbeau, longs et luisants. [...j C'était une beauté étrange et sauvage, une beauté qui étonnait d'abord, mais qu'on ne pouvait oublier. Ses yeux surtout avaient une expression à la fois voluptueuse et farouche que je n'ai trouvée depuis à aucun regard humain. Prosper Mérimée, Carmen, 1845.
Exercice 3 : Des mots pour valoriser et dévaloriser Classez ces mots en deux catégories : termes mélioratifs et termes péjoratifs.
harmonieux • calme • tourmenté • aridité • lumière • banal • désordre • verdoyant • blême • franchise apaisant • inquiétant • bleuâtre • limpide • accueillant • terne • vide • vif • sombre • grandiose • soyeux
Exercice 4 : Voici des mots neutres. Employez chacun eux dans deux phrases, l'une avec une interprétation favorable, l'autre défavorable. Dans chaque cas, vous leur ajouterez des expansions du nom variées (épithète, CDN, proposition relative) qui leur donneront une valeur méliorative ou péjorative.
Ex : paysage : un paysage magnifique / un paysage qui effraie
chambre • averse • ciel • cheveux
Exercice 5 : Trouvez des mots de la même famille que les mots suivants, mais formés avec un suffixe péjoratif: -asse, -ard, -âtre, -aud, -aille.
lourd • papier • fer • jaune • fade • beau • cri • doux • fête • manger
___________________________________________________________________________________________________
Exercice 6 : a. Relevez les mots qui donnent du personnage une impression défavorable.
b. transformez les mots péjoratifs en mots mélioratifs pour créer un portrait positif.
Cet homme long et sec, dont le visage plombé trahissait une pensée profonde et glaciale, séchait la pitié dans le cœur des curieux, par une attitude pleine d'ironie et par un regard noir qui annonçait sa prétention de traiter d'égal à égal avec eux. Sa figure était d'un blanc sale, et son crâne ridé, dégarni de cheveux, avait une vague ressemblance avec un quartier de granit. Quelques mèches plates et grises, placées de chaque côté de sa tête, descendaient sur le collet de son habit crasseux et boutonné jusqu'au cou.
Honore de Balzac. Ferragus, 1833.
Exercice 7: a. Relevez tous les termes qui expriment les sentiments du narrateur à l'égard du personnage qu'il décrit. Quels sont ces sentiments ?
b. Relevez les adjectifs descriptifs dévalorisants.
Il y avait au séminaire un maudit lazariste qui m'entreprit, et qui me fit prendre en horreur le latin qu'il voulait m'enseigner. Il avait des cheveux plats, gras et noirs, un visage de pain d'épice, une voix de buffle, un regard de chat-huant, des crins de sanglier au lieu de barbe ; son sourire était sardonique ; ses membres jouaient cousine les poulies d'un mannequin : j'ai oublié son odieux nom ; mais sa figure effrayante et doucereuse m'est bien restée, et j'ai peine à nie la rappeler sans frémir.
Jean-Jacques Rousseau, Confessions, 1771.
Exercice 1 : Description neutre et description subjective
Précisez si ces phrases appartiennent à des descriptions neutres ou subjectives. Justifiez vos réponses.
1. Il aperçut une rivière qui coulait entre les arbres.
2. Quand j'entrai dans la pièce, je trouvai sa décoration trop chargée.
3. Bien sûr, la mer offre de beaux points de vue, mais les paysages de montagne sont incomparables.
4. Le mobilier se composait d'une table en chêne, entourée de six chaises à haut dossier, d'un buffet contenant la vaisselle, et d'un guéridon garni de bibelots.
5. Mon chat a un pelage roux et blanc, des yeux verts et de longues moustaches.
6. L'homme avait un regard fuyant qui me déplut aussitôt.
7. Le jardin avait d'assez belles proportions, mais il paraissait, hélas, laissé à l'abandon.
Exercice 2 : a. Relevez ce qui prouve que cette description est faite selon le point du vue du narrateur.
b. Relevez des groupes, formés d'un adverbe et d'un adjectif, qui expriment l'opinion du narrateur: classez-les selon qu'ils expriment une opinion favorable ou défavorable.
c. Quel mot résume ce que le narrateur pense de la femme qu'il décrit ?
Ses yeux étaient obliques, mais admirablement fendus; ses lèvres un peu fortes, niais bien dessinées et laissant voir des dents plus blanches que des amandes dans leur peau. Ses cheveux, peut-être un peu gros, étaient noirs à reflets bleus comme l'aile d'un corbeau, longs et luisants. [...j C'était une beauté étrange et sauvage, une beauté qui étonnait d'abord, mais qu'on ne pouvait oublier. Ses yeux surtout avaient une expression à la fois voluptueuse et farouche que je n'ai trouvée depuis à aucun regard humain. Prosper Mérimée, Carmen, 1845.
Exercice 3 : Des mots pour valoriser et dévaloriser Classez ces mots en deux catégories : termes mélioratifs et termes péjoratifs.
harmonieux • calme • tourmenté • aridité • lumière • banal • désordre • verdoyant • blême • franchise apaisant • inquiétant • bleuâtre • limpide • accueillant • terne • vide • vif • sombre • grandiose • soyeux
Exercice 4 : Voici des mots neutres. Employez chacun eux dans deux phrases, l'une avec une interprétation favorable, l'autre défavorable. Dans chaque cas, vous leur ajouterez des expansions du nom variées (épithète, CDN, proposition relative) qui leur donneront une valeur méliorative ou péjorative.
Ex : paysage : un paysage magnifique / un paysage qui effraie
chambre • averse • ciel • cheveux
Exercice 5 : Trouvez des mots de la même famille que les mots suivants, mais formés avec un suffixe péjoratif: -asse, -ard, -âtre, -aud, -aille.
lourd • papier • fer • jaune • fade • beau • cri • doux • fête • manger
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Exercice 6 : a. Relevez les mots qui donnent du personnage une impression défavorable.
b. transformez les mots péjoratifs en mots mélioratifs pour créer un portrait positif.
Cet homme long et sec, dont le visage plombé trahissait une pensée profonde et glaciale, séchait la pitié dans le cœur des curieux, par une attitude pleine d'ironie et par un regard noir qui annonçait sa prétention de traiter d'égal à égal avec eux. Sa figure était d'un blanc sale, et son crâne ridé, dégarni de cheveux, avait une vague ressemblance avec un quartier de granit. Quelques mèches plates et grises, placées de chaque côté de sa tête, descendaient sur le collet de son habit crasseux et boutonné jusqu'au cou.
Honore de Balzac. Ferragus, 1833.
Exercice 7: a. Relevez tous les termes qui expriment les sentiments du narrateur à l'égard du personnage qu'il décrit. Quels sont ces sentiments ?
b. Relevez les adjectifs descriptifs dévalorisants.
Il y avait au séminaire un maudit lazariste qui m'entreprit, et qui me fit prendre en horreur le latin qu'il voulait m'enseigner. Il avait des cheveux plats, gras et noirs, un visage de pain d'épice, une voix de buffle, un regard de chat-huant, des crins de sanglier au lieu de barbe ; son sourire était sardonique ; ses membres jouaient cousine les poulies d'un mannequin : j'ai oublié son odieux nom ; mais sa figure effrayante et doucereuse m'est bien restée, et j'ai peine à nie la rappeler sans frémir.
Jean-Jacques Rousseau, Confessions, 1771.
- Nat32Niveau 3
Génial! merci beaucoup!
Par ailleurs ,comment introduis-tu cette notion? Je dois avouer que je galère un peu sur cette leçon...
Par ailleurs ,comment introduis-tu cette notion? Je dois avouer que je galère un peu sur cette leçon...
- AdrenFidèle du forum
Bonsoir
Melody : merci pour ton travail, je pense qu'il va me servir aussi
Nat : je fais cette leçon dans la littérature fantastique. J'ai commencé avec les élèves la lecture de Dracula, et le narrateur de la première partie doute de tout ce qu'il voit et ressent, c'est très facile d'enchaîner ensuite sur les modalisateurs. La plupart des textes fantastiques doivent pouvoir se prêter à cette étude.
Melody : merci pour ton travail, je pense qu'il va me servir aussi
Nat : je fais cette leçon dans la littérature fantastique. J'ai commencé avec les élèves la lecture de Dracula, et le narrateur de la première partie doute de tout ce qu'il voit et ressent, c'est très facile d'enchaîner ensuite sur les modalisateurs. La plupart des textes fantastiques doivent pouvoir se prêter à cette étude.
- Nat32Niveau 3
Je le fais aussi dans la littérature fantastique. Je trouvais ma leçon trop complète mais un peu trop dure pour eux, je l'ai remanié ,simplifié et je suis plus satisfaite du coup
- lottaFidèle du forum
Nat32 : De rien, d'ailleurs, les exercices ne sont pas de moi. Je les ai trouvés, mais je ne me souviens plus où...
Pour introduire cette notion, j'ai vu que dans Fleurs d'encre, on comparait un texte fantastique avec modalisateurs et un sans, et on demandait aux élèves d'expliquer ce que les modalisateurs changeaient.
Je pense que c'est une bonne approche des choses !
Pour introduire cette notion, j'ai vu que dans Fleurs d'encre, on comparait un texte fantastique avec modalisateurs et un sans, et on demandait aux élèves d'expliquer ce que les modalisateurs changeaient.
Je pense que c'est une bonne approche des choses !
- Nat32Niveau 3
Merci ,j'irai voir lundi au CDI
- barbwaJe viens de m'inscrire !
Merci Lotta pour ton conseil dans Fleur d'encre, c'est parfait pour ma leçon sur les modalisateurs et le travail en îlot que je prévois.
Merci
Merci
- MésangeNiveau 5
Merci beaucoup!
- RabelaisVénérable
Merci pour ces exos!
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- User5899Demi-dieu
Juste en passant, en seconde, j'ai un tiers de la classe qui n'identifie ni les modalisateurs, ni un imparfait.Nat32 a écrit:Bonjour
Tout est dans le titre ,qui pourrait m'aider?
C'est urgent, les modalisateurs ?
- User5899Demi-dieu
barbwa a écrit:Merci Lotta pour ton conseil dans Fleur d'encre, c'est parfait pour ma leçon sur les modalisateurs et le travail en îlot que je prévois.
Merci
- RabelaisVénérable
Ils le font exprès ou bien?Cripure a écrit:Juste en passant, en seconde, j'ai un tiers de la classe qui n'identifie ni les modalisateurs, ni un imparfait.Nat32 a écrit:Bonjour
Tout est dans le titre ,qui pourrait m'aider?
C'est urgent, les modalisateurs ?
Imparfait : 6e, 5e et 4 e , au cas où.
Modalisateurs : un peu mon neveu que c'est urgent , ils ne comprennent rien au texte littéraire , ils ne savent pas exprimer leur avis, ils ne réussissent pas à repérer des points de vue, je ne vous les envoie pas avant qu'ils ne soient prêts.
( Bon, à moins que je ne réussisse à partir avant eux )
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- User5899Demi-dieu
C'est marrant, j'ai découvert cette notion dans un manuel, j'enseignais déjà depuis 5 ou 6 ans...Rabelais a écrit:Modalisateurs : un peu mon neveu que c'est urgent.
- RabelaisVénérable
Moi aussi...Cripure a écrit:C'est marrant, j'ai découvert cette notion dans un manuel, j'enseignais déjà depuis 5 ou 6 ans...Rabelais a écrit:Modalisateurs : un peu mon neveu que c'est urgent.
Mais nous n'avions pas besoin de ce terme , ni de l'apprendre .
Très simplement, nous étions sensibles à cette subjectivité dans le texte, nous n'avions pas besoin qu'on nous la montre .
Le doute, le jugement, L'opinion personnelle etc n'avaient pas besoin d'être regroupés, eux non plus, sous un terme générique .
Ce terme est devenu important quand tout à coup, les élèves n'ont plus remarqué cette subjectivité.
Il est assez grave et urgent qu'ils fassent la différence entre objectivité et subjectivité, qu'ils découvrent la trace d'un être sensible dans le texte . Il est urgent qu'ils aiment le texte littéraire et celui qui les écrit .
Moins important que savoir lire tout court, moins important que savoir conjuguer certes,moins important qu'écrire une seule petite phrase sans faute.
Ce qui fait l'objet de toute notre attention, presque tout le temps, pour hélas trop peu de résultats , malgré l'acharnement , les multiples tentatives, les nuits et les jours à se tracasser , à revenir aux méthodes qui ont fait leurs preuves, à en tenter de nouvelles quand les anciennes n'ont pas fonctionné , à se demander pourquoi ils sont aussi nuls, pourquoi nous sommes aussi nuls puisqu'il est légitime de le penser au regard des résultats inacceptables , pourquoi personne ne se rend compte de ce gâchis et le lendemain, nous y sommes encore et nous recommençons .
Mais de temps en temps, oui, de temps en temps, je crois qu'on a besoin de les voir s'émouvoir devant un texte.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- IphigénieProphète
Tle problème me semble être que depuis trente ans on court après l'idée que la technique peut compenser la compréhension et la sensibilité défectueuses : au point que les cours de français n'incitent plus à lire et sentir mais sont supports d'exercices, de grammaire( merci les séquences) bref de tous les trucs qui tuent l'amour de lire ( sans parler de l'excitation des tices, œuf Corse)....résultat nos élèves disposent d'un panel de mots plus ou moins savants mais ne savent plus lire tout simplement: ils ânonnent laborieusement. Alors pour l'émotion, on peut attendre.
- doctor whoDoyen
Rabelais a écrit:Moi aussi...Cripure a écrit:C'est marrant, j'ai découvert cette notion dans un manuel, j'enseignais déjà depuis 5 ou 6 ans...Rabelais a écrit:Modalisateurs : un peu mon neveu que c'est urgent.
Mais nous n'avions pas besoin de ce terme , ni de l'apprendre .
Très simplement, nous étions sensibles à cette subjectivité dans le texte, nous n'avions pas besoin qu'on nous la montre .
Le doute, le jugement, L'opinion personnelle etc n'avaient pas besoin d'être regroupés, eux non plus, sous un terme générique .
Ce terme est devenu important quand tout à coup, les élèves n'ont plus remarqué cette subjectivité.
Il est assez grave et urgent qu'ils fassent la différence entre objectivité et subjectivité, qu'ils découvrent la trace d'un être sensible dans le texte . Il est urgent qu'ils aiment le texte littéraire et celui qui les écrit .
Moins important que savoir lire tout court, moins important que savoir conjuguer certes,moins important qu'écrire une seule petite phrase sans faute.
Ce qui fait l'objet de toute notre attention, presque tout le temps, pour hélas trop peu de résultats , malgré l'acharnement , les multiples tentatives, les nuits et les jours à se tracasser , à revenir aux méthodes qui ont fait leurs preuves, à en tenter de nouvelles quand les anciennes n'ont pas fonctionné , à se demander pourquoi ils sont aussi nuls, pourquoi nous sommes aussi nuls puisqu'il est légitime de le penser au regard des résultats inacceptables , pourquoi personne ne se rend compte de ce gâchis et le lendemain, nous y sommes encore et nous recommençons .
Mais de temps en temps, oui, de temps en temps, je crois qu'on a besoin de les voir s'émouvoir devant un texte.
Très très juste. Et faire une leçon explicite sur les modalisateurs ne remplace pas des heures et des heures de lecture, d'écriture, de discussion en classe avec le professeur ou l'instituteur, ainsi que plusieurs années à bouffer des connaissances diverses et variées.
Ça me fait penser aux manuels de rééducation à la lecture comme Lector et lectrix qui deviennent quasi-obligatoire au primaire, parce qu'on ne rend pas les élèves capables de lire très tôt.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- Ma'amÉrudit
C'est quoi un modalisateur ?
Je me sens bête parfois en lisant ce forum, pourtant j'étais super forte en grammaire autrefois. Que s'est-il passé ?
Pour l'imparfait, on commence en CE1, au plus tard en CE2.
Je me sens bête parfois en lisant ce forum, pourtant j'étais super forte en grammaire autrefois. Que s'est-il passé ?
Pour l'imparfait, on commence en CE1, au plus tard en CE2.
- RabelaisVénérable
Ça dépend des écoles ( le petit dernier vient de finir le present et de commencer le futur= CE2) mais je suis certaine que tous l'ont fait à la fin du cm2, qu'il est refait en sixieme et j'en ai remis une couche avec les cinquième en début d'année.maîtresse a écrit:C'est quoi un modalisateur ?
Je me sens bête parfois en lisant ce forum, pourtant j'étais super forte en grammaire autrefois. Que s'est-il passé ?
Pour l'imparfait, on commence en CE1, au plus tard en CE2.
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