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- Kitty KittenNiveau 8
emiliedec2 a écrit:Un peu pareil : j'avais écrit sur un autre post que je passais l'entretien. Verdict : renouvellement. En quoi, pourquoi, personne n'a su me le dire. Ma séance d'inspection s'est très mal déroulée mais je n'avais que ce rapport de négatif, bien au contraire, les rapports de la tutrice et du principal étaient très élogieux. Je n'ai accès à aucun compte rendu, aucune explication si ce n'est le rapport d'inspection proche du grotesque. On m'a vaguement parlé d'une "forte sensibilité" que j'avais..... Nous avons eu quelques échanges un peu vifs avec l'inspectrice, et je suis absolument choquée du résultat : rien ne laissait présager un renouvellement.
Quel bordel.
Bon courage à tous!
Tu n'as plus de recours de contestation?
- emiliedec2Niveau 1
Bah c'est un peu tard, non? Et puis, je les emmerde un peu, ils veulent me foutre dans un caca provisoire, j'accepte. Juste, ils me retrouveront à la formations. Alors, quid? Tout cela est d'une opacité byzantine....
Alors, on se la ferme?
Je suis paumée
Alors, on se la ferme?
Je suis paumée
- Kitty KittenNiveau 8
Si tu n'as que des bons rapports pourquoi la fermerais-tu? L'inspectrice se DOIT de te fournir des arguments probants et justifiés. C'est son rôle. Et comme il est dit par certains dans ce fil, il ne faut pas toujours fermer sa gueule. Tu as le droit de savoir ce qui ne va pas. La titularisation, c'est pas à la tête du client. Exige des expliocations, tu es dans ton droit. Même un rapport d'inspection est contestable, dans le sens où l'on peur demander une contre-inspection. Si tu penses être dans ton droit, fonce. Qu'as-tu à perdre?
- emiliedec2Niveau 1
Un peu plus de bordel. J'avais demandé (en voyant qu'elle me démolissait à coup de "c'est indécent" "harcèlement envers les élèves (!!!!)), elle me l'avait refusé, maintenant, on me dit que c'est trop tard.
Les "arguments", ils sont dans son rapport d'inspection, très exagéré (harcèlement, ton a priori sec avec les élèves etc). Elle m'avait fait remarquer que j'étais dans la séduction et que je chuchotais à l'oreille de mes élèves ( alors que je travaillais en individuel sur un exercice et je passais dans les rangs), bref, à la limite du malsain!
Je pensais que l'entretien allait me sauver, il n'en est rien. Ils se sont appesantis sur une fausse émotivité que j'aurais, et basta.
Rageant.
J'ai des contacts avec les syndicats, mais je vous assure que c'est le bazar.
Je suis outrée!
Merci à toi, en tout cas.
Les "arguments", ils sont dans son rapport d'inspection, très exagéré (harcèlement, ton a priori sec avec les élèves etc). Elle m'avait fait remarquer que j'étais dans la séduction et que je chuchotais à l'oreille de mes élèves ( alors que je travaillais en individuel sur un exercice et je passais dans les rangs), bref, à la limite du malsain!
Je pensais que l'entretien allait me sauver, il n'en est rien. Ils se sont appesantis sur une fausse émotivité que j'aurais, et basta.
Rageant.
J'ai des contacts avec les syndicats, mais je vous assure que c'est le bazar.
Je suis outrée!
Merci à toi, en tout cas.
- Kitty KittenNiveau 8
Ne peux-tu faire valoir que "harcèlement - ton sec avec les élèves" ne va pas vraiment avec "séduction et chuchotement à l'oreille des élèves"? A moins qu'elle soit complètement c****, elle doit bien se rendre compte que c'est complètement contradictoire!
- emiliedec2Niveau 1
Ouais et je tiens à préciser que c'est complètement grossi et sorti de son contexte!!
Beaucoup de contradictions : on me dit que je suis trop jeune et que je m'identifierais aux élèves ( ? ) puis on veut me foutre au lycée. Je ne comprends que dalle, j'ai même eu un "Mlle D. ne sait même pas reconnaître ses latinistes dans cette classe" alors que justement, dans ladite classe, je n'en avais même pas. C'est un espèce de tissu de conneries et ça devient insupportable, "trop sensible", puis "trop sèche" puis ci, puis ça....
Beaucoup de contradictions : on me dit que je suis trop jeune et que je m'identifierais aux élèves ( ? ) puis on veut me foutre au lycée. Je ne comprends que dalle, j'ai même eu un "Mlle D. ne sait même pas reconnaître ses latinistes dans cette classe" alors que justement, dans ladite classe, je n'en avais même pas. C'est un espèce de tissu de conneries et ça devient insupportable, "trop sensible", puis "trop sèche" puis ci, puis ça....
- Kitty KittenNiveau 8
Je ne sais plus quoi te dire pour te remonter le moral. J'avoue.
- emiliedec2Niveau 1
Rien, tu as déjà fait beaucoup! Là, je bataille, et j'avise!
Merci à toi!
Merci à toi!
- Kitty KittenNiveau 8
Bonne chance.
- RagnetrudeExpert spécialisé
Courage Émilie, la titularisation est vraiment liée à la chance : humeur/lubies de l'ipr, classe inspectée, chapitre de l'inspection, humeur des élèves, conseils du tuteur...
Prendre une telle décision sur la base de l'avis d'UNE personne venue voir UNE heure de cours, c'est proprement injuste. :shock:
Pour le rapport, n'en tient pas trop compte. Mon tuteur n°2 m'a expliqué que lorsqu'un IPR veut un redoublement il fait exprès de "charger la mule" dans le rapport pour s'assurer que son avis sera suivi. Celui que j'ai lu sur moi l'année dernière était dingue : j'étais incapable, inculte, nulle sur le fond et sur la forme (et ce malgré des conditions de stage "tout à fait favorables" (sic))... bref un truc qui m'avait démolie...
Le même inspecteur qui nous dit lors de ma deuxième rentrée que l'on ne peut "bien évidemment pas se faire un avis définitif sur une seule heure de cours"...
Prendre une telle décision sur la base de l'avis d'UNE personne venue voir UNE heure de cours, c'est proprement injuste. :shock:
Pour le rapport, n'en tient pas trop compte. Mon tuteur n°2 m'a expliqué que lorsqu'un IPR veut un redoublement il fait exprès de "charger la mule" dans le rapport pour s'assurer que son avis sera suivi. Celui que j'ai lu sur moi l'année dernière était dingue : j'étais incapable, inculte, nulle sur le fond et sur la forme (et ce malgré des conditions de stage "tout à fait favorables" (sic))... bref un truc qui m'avait démolie...
Le même inspecteur qui nous dit lors de ma deuxième rentrée que l'on ne peut "bien évidemment pas se faire un avis définitif sur une seule heure de cours"...
- LefterisEsprit sacré
Je lis ce fil en diagonale . Sur ce coup, tu tiens une "erreur de fait" ayant entraîné une "erreur d'appréciation" , laquelle a influé sur une mesure faisant grief . C'est un ex-syndicaliste qui te le dit => ton syndicat, => éventuellement un référé .emiliedec2 a écrit:Ouais et je tiens à préciser que c'est complètement grossi et sorti de son contexte!!
Beaucoup de contradictions : on me dit que je suis trop jeune et que je m'identifierais aux élèves ( ? ) puis on veut me foutre au lycée. Je ne comprends que dalle, j'ai même eu un "Mlle D. ne sait même pas reconnaître ses latinistes dans cette classe" alors que justement, dans ladite classe, je n'en avais même pas. C'est un espèce de tissu de conneries et ça devient insupportable, "trop sensible", puis "trop sèche" puis ci, puis ça....
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- emiliedec2Niveau 1
Merci, nous faisons partie de cette même petite famille des LC, de surcroît!
J'ai contacté un syndicat, j'attends un peu, ils doivent crouler sous les demandes actuellement....
J'ai contacté un syndicat, j'attends un peu, ils doivent crouler sous les demandes actuellement....
- LefterisEsprit sacré
Oui, petite famille fortement représentée sur le forum. Ce que je lis sur les stagiaires me fait dresser les cheveux sur la tête . J'étais fonctionnaire dans une autre administration (et syndicaliste) , ou les chefaillons refoulés s'en donnaient à coeur joie , et je croyais que les abus de ce genre étaient épargnés à l'E.N. Eh non Et plus c'est dur pour les stagiaires, moins on les épargne .
Il existe des règles dans la F.P. , et le fait de prendre une mesure non motivée, ou insuffisamment, ou intuitu personae, ou sur base d'éléments inexacts entraîne la possibilité d'un recours administratif en excès de pouvoir , sans préjudice d'éventuelles poursuite au pénal si ds agissements pénalement incriminés s'y mêlent (harcèlement et autres..) .
J'ai tourné la page en changeant de métier, mais de temps en temps, j'ai une remontée d'acide
Un fil "contentieux administratif" mériterait d'être ouvert ...
Il existe des règles dans la F.P. , et le fait de prendre une mesure non motivée, ou insuffisamment, ou intuitu personae, ou sur base d'éléments inexacts entraîne la possibilité d'un recours administratif en excès de pouvoir , sans préjudice d'éventuelles poursuite au pénal si ds agissements pénalement incriminés s'y mêlent (harcèlement et autres..) .
J'ai tourné la page en changeant de métier, mais de temps en temps, j'ai une remontée d'acide
Un fil "contentieux administratif" mériterait d'être ouvert ...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- emiliedec2Niveau 1
Je médite un peu sur le jargon et je comptais envoyer l'ensemble de mon dossier au syndicat, j'attendrai un peu....
Merci à vous!
Merci à vous!
- LefterisEsprit sacré
tape des mots clefs commeemiliedec2 a écrit:Je médite un peu sur le jargon et je comptais envoyer l'ensemble de mon dossier au syndicat, j'attendrai un peu....
Merci à vous!
"contentieux fonction publique"
"contentieux administratif"
"recours en excès de pouvoir"
(non limitatif) et tu ne deviendras pas une spécialiste, mais ça va t'ouvrir des horizons insoupçonnés. Je n'arrive pas à comprendre comment des choses comme ça arrivent : il suffirait d'un tuteur prenant parti pour le stagiaire, pour faire basculer les divers avis. Mais apparemment, des formateurs, eux-mêmes enseignants, et des tuteurs jouent les fines bouches, se donnent de l'importance en mettant dans l'embarras (le mot est faible) des débutants déjà en situation difficile.
Admettons que par-ci par-là il y ait des erreurs de casting... Mais en cette quantité, je ne peux le croire , ni l'analyser autrement que par un dysfonctionnement majeur du système , qu'on cache en en faisant porter le ppoids sur les victimes. Un peu "Les animaux malades de la peste"
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- Fleur16Habitué du forum
Juste, concernant la "séduction" l'IPR m'en a parlé lors de l'entretien, il ne s'agit évidemment pas d'une "séduction" au sens courant, seulement d'essayer de "séduire" les élève pour les intéresser (pas physiquement mais par du ludique par exemple, trop vouloir leur consentement, être trop dans l'affectif).
- PatissotDoyen
Il ne s'agit pas de séduction, mais de manipulation.
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- jilucorgNeoprof expérimenté
Tu mets le doigt sur la base même du fonctionnement de l'Administration de l'ÉN, c'est ce que j'ai constaté de manière habituelle tout au long de mon (hélas) longue carrière : par incompétence, application bornée des textes, bêtise ou mépris de l'autre, on met les gens dans des situations impossibles – par nature ou dans leur cas particulier – ; si problème, on leur en fait porter l'entière responsabilité, et ils sont démolis administrativement, en même temps qu'on les enfonce psychologiquement.Lefteris a écrit: un dysfonctionnement majeur du système , qu'on cache en en faisant porter le poids sur les victimes.
Je ne veux être désagréable avec personne – j'ai toujours été moi-même syndiqué, dans plusieurs organisations successives –, mais j'ai rarement vu les syndicats réellement s'investir pour redresser de telles injustices. Les cas individuels sont très peu l'objet d'une mobilisation, c'est chacun sa m***, et la culpabilisation active de celui/celle qui ne s'en sort plus n'est pas toujours le fait que de l'Administration...
- WonderWomanBon génie
Vrai et faux pour les syndicats.jilucorg a écrit:Tu mets le doigt sur la base même du fonctionnement de l'Administration de l'ÉN, c'est ce que j'ai constaté de manière habituelle tout au long de mon (hélas) longue carrière : par incompétence, application bornée des textes, bêtise ou mépris de l'autre, on met les gens dans des situations impossibles – par nature ou dans leur cas particulier – ; si problème, on leur en fait porter l'entière responsabilité, et ils sont démolis administrativement, en même temps qu'on les enfonce psychologiquement.Lefteris a écrit: un dysfonctionnement majeur du système , qu'on cache en en faisant porter le poids sur les victimes.
Je ne veux être désagréable avec personne – j'ai toujours été moi-même syndiqué, dans plusieurs organisations successives –, mais j'ai rarement vu les syndicats réellement s'investir pour redresser de telles injustices. Les cas individuels sont très peu l'objet d'une mobilisation, c'est chacun sa m***, et la culpabilisation active de celui/celle qui ne s'en sort plus n'est pas toujours le fait que de l'Administration...
-dans la ville de mon stage, j'ai été très soutenue par mon syndicat.
-dans la ville de mon affectation actuelle, j'ai été lâchée par mon syndicat. "on ne peut plus rien pour vous."
-j'ai changé de syndicat. Ils rament. "votre situation, c'est du jamais vu, on ne sait pas comment faire."
Tout à fait vraiment concernant la culpabilisation ... l'administration, mais aussi certains collègues, sont très très forts ...
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
Vide dressing sur néo : https://www.neoprofs.org/t128716-vd-fille-wonderwoman-du-3-mois-au-4-ans-sergent-major-jacadi-zara-dpam-kiabi-verbaudet#4954294
- LefterisEsprit sacré
jilucorg a écrit:Tu mets le doigt sur la base même du fonctionnement de l'Administration de l'ÉN, c'est ce que j'ai constaté de manière habituelle tout au long de mon (hélas) longue carrière : par incompétence, application bornée des textes, bêtise ou mépris de l'autre, on met les gens dans des situations impossibles – par nature ou dans leur cas particulier – ; si problème, on leur en fait porter l'entière responsabilité, et ils sont démolis administrativement, en même temps qu'on les enfonce psychologiquement.Lefteris a écrit: un dysfonctionnement majeur du système , qu'on cache en en faisant porter le poids sur les victimes.
Je ne veux être désagréable avec personne – j'ai toujours été moi-même syndiqué, dans plusieurs organisations successives –, mais j'ai rarement vu les syndicats réellement s'investir pour redresser de telles injustices. Les cas individuels sont très peu l'objet d'une mobilisation, c'est chacun sa m***, et la culpabilisation active de celui/celle qui ne s'en sort plus n'est pas toujours le fait que de l'Administration...
Ce qui me conforte dans une idée : il faut être calé en droit administratif, obtenir des victoires par tribunaux et des jurisprudences, faire ce que les syndicats refusent parfois de faire, pour diverses raisons. Préférence donnée à la négociation "donnant donnant" en dessous de table, goût pour les idées générales et désintérêt des personnels, ou tout simplement absence de culture juridique.
Le combat juridique marche bien, l'administration doit souvent céder car souvent en tort, ayant pris des décisions hâtives, arbitraires, non motivées, sans respect des textes, des procédures, etc. je l'ai testé dans une autre administration, mais cela requiert énergie et investissement, et on ne se fait pas que des amis, côté syndical (la négociation est parfois individuelle , un avancement, des jours de détachement non comptabilisés dans les quotas, mutation, emploi contractuel pour un proche , etc.) et côté administration où des individus prennent ça comme une affaire personnelle, un affront.
Je l'ai d'ailleurs payé très cher à, l'issue de mon mandat, dès que je n'ai plus été protégé : l'administration m'attendait au fusil à lunette, et adieu mon poste, ma carrière ( immédiatement muté d'office, rétrogradé dans la notation, exclu du tableau d'avancement..) d'où mon départ précipité dans le monde merveilleux de l'EN.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- jilucorgNeoprof expérimenté
Content d'apprendre que l'ÉN puisse être considérée comme "moins pire" qu'une autre administration pour la façon de traiter les agents, ça permet de relativiser !Lefteris a écrit: d'où mon départ précipité dans le monde merveilleux de l'EN.
Pour entreprendre tout seul un recours, il faut quand même être sacrément motivé...
- LefterisEsprit sacré
Motivé certes, ou assisté, précisément par un syndicat, sans compter les éventuels frais .jilucorg a écrit:Content d'apprendre que l'ÉN puisse être considérée comme "moins pire" qu'une autre administration pour la façon de traiter les agents, ça permet de relativiser !Lefteris a écrit: d'où mon départ précipité dans le monde merveilleux de l'EN.
Pour entreprendre tout seul un recours, il faut quand même être sacrément motivé...
Mais des connaissances élémentaires permettent de faire le minimum , de commencer soi-même par des recours hiérarchiques, qui ciblent les entorses au droit ou les erreurs, et peuvent dissuader l’administration de persévérer , ou encore par le médiateur pour des faits moins graves ou moins urgents , le but étant justement d'éviter l'escalade juridique, voire les conflits (j'en ai encore un sur le feu... , une vieille erreur de reclassement qui se répercute à chaque fois que je change d'échelon ou de corps).
Mais j'ai malheureusement l'impression que l'EN commence à adopter ce qui est déjà la coutume dans d'autres administrations, à savoir la culture du rapport de force et du bras de fer systématique face aux agents. Nous payons le prix de la "philosophie" chère à qui on sait de la "réaffirmation du principe hiérarchique", qui passe d'autant mieux que la division et la soumission sont la norme dans une société dont l'E.N. est une émanation.
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- La vérité sur les sondages en ce moment sur la 5 (émission C dans l'air) !
- Peut-on prétendre à la vérité absolue dans les sciences ? (aide pour un paragraphe)
- Jean-François Chemain, "Enseigner l'histoire en banlieue : dans l'amour et la vérité" - 25.11.2013, Saint-Etienne.
- le malaise des profs stagiaires reconnu dans un rapport du ministère
- Rapport d'incident, dans quel but ?
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