- JohnMédiateur
http://blogs.lexpress.fr/the-autist/2012/09/25/des-policiers-excluent-un-enfant-autiste-de-son-college-sa-maman-entame-une-greve-de-la-faim/
Extrait :
Extrait :
Timothée, qui a pourtant les compétences académiques pour suivre une scolarisation au collège, avec l’aide d’une Auxiliaire de Vie Scolaire, a été orienté par la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) en Institut Médico-Éducatif (IME), sous la pression de l’Éducation Nationale (EN).
Or, il n’y a pas de place de libre dans cet IME pour lui. Sa maman le met au collège : mais comme il a une orientation notifiée en IME, il en est exclu.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- MarcassinHabitué du forum
Il manque la version de l'établissement.
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- lilith888Grand sage
Comme le dit très justement un commentaire, l'éducation nationale accepte de laisser ses profs se faire insulter, menacer de mort, frapper, mais un enfant autiste, c'est plus facile de s'en débarrasser apparemment...
S'attaquer aux plus faibles, quelle belle leçon de courage !
:injuste:
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- NasopiBon génie
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- philannDoyen
L obligation de scolarisation ne concerne manifestement pas les enfants ayant un handicap ou malades et ne contraint pas l institution.
On ne peux pas porter plainte contre l EN dans de tels cas ???
On ne peux pas porter plainte contre l EN dans de tels cas ???
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- RoninMonarque
philann a écrit:L obligation de scolarisation ne concerne manifestement pas les enfants ayant un handicap ou malades et ne contraint pas l institution.
On ne peux pas porter plainte contre l EN dans de tels cas ???
Je ne justifie rien ( je ne connais pas cette histoire ) mais juste un truc, il y a scolarisation en IME. Il y a quand même des centaines d'instits spécialisés qui bossent à temps plein dans les IME et qui font classe 24 heures par semaine, ce serait sympa de pas les oublier.
- labarolineNiveau 10
Ronin a écrit:philann a écrit:L obligation de scolarisation ne concerne manifestement pas les enfants ayant un handicap ou malades et ne contraint pas l institution.
On ne peux pas porter plainte contre l EN dans de tels cas ???
Je ne justifie rien ( je ne connais pas cette histoire ) mais juste un truc, il y a scolarisation en IME. Il y a quand même des centaines d'instits spécialisés qui bossent à temps plein dans les IME et qui font classe 24 heures par semaine, ce serait sympa de pas les oublier.
L'orientation vers un IME peut-il se faire en dépit du nombre de places dispo dans lesdits IME ? Si c'est le cas, orienter en IME n'est gage de rien d'autre... Si d'autre part une AVS lui est attribuée, c'est bien qu'il est officiellement en intégration, sinon il ne l'aurait plus eue dès lors de son affectation en IME... Ce qui sous-entend qu'il peut choisir, ou du moins rester en intégration en collège avec son AVS en attendant une place en IME, sans AVS.
C'est comme ça que je le comprends.
- neomathÉrudit
Sur le blog de la dame on peut lire ceci :
Alors je serais vous, avant de m'emballer, j'attendrais d'avoir d'autres sons de cloche.Synthèse du témoignage de Maryna, maman de Timothée.
Contexte
Maryna est la maman lyonnaise de Timothée, 13 ans, autiste.
Les parents de timothée sont divorcés. La maman en a la garde.
Le papa travaille au Conseil Général, et insiste fortement pour que son fils soit orienté en IME (milieu spécialisé). Il s’entend très bien avec les inspecteurs de l’Education Nationale.
- RoninMonarque
Je ne m'exprimais pas sur cette situation. Je souhaite juste dire qu'il y a des enseignants en IME, qui y bossent à temps plein. Que j'y ai appris à lire et à compter à des gamins comme des tas de PE. Rien que dans mon petit département il doit y avoir une vingtaine de PE en IME. Donc assimiler une orientation en IME à une déscolarisation c'est une erreur et je trouve ça même un peu insultant pour ceux qui y bossent, comme si le collège était le seul lieu de scolarité. Il y a aussi des gamins scolarisés en hôpital psy ou en CHU, ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas dans le collège qu'il n'y a pas scolarisation.
Maintenant, je ne connais pas la situation de cette famille, mais j'ai chaque année plusieurs familles qui veulent à tout prix que leur enfant aille à l'école ou au collège alors que leur enfant est handicapé, parfois lourdement, et que ce n'est pas une solution viable, ni pour le gamin, ni pour l'école, ni pour les autres élèves. Mais les parents peuvent refuser une orientation comme ils peuvent refuser un redoublement et ils le font de plus en plus. Ne vous étonnez donc pas d'avoir de plus en plus de situation ubuesque dans le secondaire, comme on les connaît dans le primaire depuis déjà de nombreuses années.
Autant l'intégration peut-être une chance et une belle opportunité pour un élève handicapé ( et ses camarades et professeurs ), autant dans certains cas, non seulement ça ne fonctionne pas, mais la situation va en empirant. J'ai une situation de ce genre en ce moment avec une grande de 3ème, du coup le collège en est réduit à essayer de l'occuper et à organiser des stages le temps que les parents changent d'avis. Pendant ce temps les profs s'arrachent les cheveux, la gamine n'apprend rien et les parents espèrent maintenant qu'elle ira au lycée.
Maintenant, je ne connais pas la situation de cette famille, mais j'ai chaque année plusieurs familles qui veulent à tout prix que leur enfant aille à l'école ou au collège alors que leur enfant est handicapé, parfois lourdement, et que ce n'est pas une solution viable, ni pour le gamin, ni pour l'école, ni pour les autres élèves. Mais les parents peuvent refuser une orientation comme ils peuvent refuser un redoublement et ils le font de plus en plus. Ne vous étonnez donc pas d'avoir de plus en plus de situation ubuesque dans le secondaire, comme on les connaît dans le primaire depuis déjà de nombreuses années.
Autant l'intégration peut-être une chance et une belle opportunité pour un élève handicapé ( et ses camarades et professeurs ), autant dans certains cas, non seulement ça ne fonctionne pas, mais la situation va en empirant. J'ai une situation de ce genre en ce moment avec une grande de 3ème, du coup le collège en est réduit à essayer de l'occuper et à organiser des stages le temps que les parents changent d'avis. Pendant ce temps les profs s'arrachent les cheveux, la gamine n'apprend rien et les parents espèrent maintenant qu'elle ira au lycée.
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- CircéExpert
Nous ne parlons désormais plus d'intégration mais d'inclusion...et je le vis chaque jour. J'ai dans ma classe de 3° un jeune autiste qui assiste à tous les cours de toutes les matières, sans AVs et qui n'a pas le niveau CE1...je ne plaisante pas...parce que ses parents ne veulent pas entendre parler d'IME... alors que nous ne lui apportons aucune aide.
La pédagogie différenciée a ses limites. J'ai 33 élèves dans cette classe, dans une zone difficile...et je déplore mon manque de disponiblité et de formation pour cet élève.
Je suis d'accord avec Ronin, refuser les IME est limite insultant...
La pédagogie différenciée a ses limites. J'ai 33 élèves dans cette classe, dans une zone difficile...et je déplore mon manque de disponiblité et de formation pour cet élève.
Je suis d'accord avec Ronin, refuser les IME est limite insultant...
- philannDoyen
Ronin: Je ne nie pas la scolarisation en IME. Mais relis le début du post!
Il n'est pas pris au collège et n'a pas de place en IME, donc il est scolarisé nul part!!!
Quant à vos propos:
Il n'y a que vous pour avoir exprimé une idée pareille!!
Or, il n’y a pas de place de libre dans cet IME pour lui. Sa maman le met au collège : mais comme il a une orientation notifiée en IME, il en est exclu.
Il n'est pas pris au collège et n'a pas de place en IME, donc il est scolarisé nul part!!!
Quant à vos propos:
Donc assimiler une orientation en IME à une déscolarisation c'est une erreur et je trouve ça même un peu insultant pour ceux qui y bossent, comme si le collège était le seul lieu de scolarité. Il y a aussi des gamins scolarisés en hôpital psy ou en CHU, ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas dans le collège qu'il n'y a pas scolarisation.
Il n'y a que vous pour avoir exprimé une idée pareille!!
- CircéExpert
philann a écrit:Ronin: Je ne nie pas la scolarisation en IME. Mais relis le début du post!
Or, il n’y a pas de place de libre dans cet IME pour lui. Sa maman le met au collège : mais comme il a une orientation notifiée en IME, il en est exclu.
Il n'est pas pris au collège et n'a pas de place en IME, donc il est scolarisé nul part!!!
Encore une aberration de notre merveilleux système éducatif....navrant !
- RoninMonarque
Pour la déscolarisation j'ai dû lire ça sur le blog de la maman mais il est possible que je sois allé trop vite, autant pour moi.
Cependant, la question de la scolarisation reste hyper chaude, des exemples comme celui de Circé sont de plus en plus nombreux, j'en ai moi-même chaque année. Or les parents peuvent refuser une orientation, veulent à tout prix la scolarité "normale" et j'en entends de plus en plus me dire que si ça ne marche pas c'est parce que les profs ne sont pas sympas, ne veulent pas faire d'efforts et s'adapter à leur enfant. Quand l'écart entre le niveau de l'enfant et le niveau de la classe est de 3,4,5 voire 6 années scolaires, je ne vois pas comment les profs pourraient faire. Mais bon, je dis ça je dis rien.
Cependant, la question de la scolarisation reste hyper chaude, des exemples comme celui de Circé sont de plus en plus nombreux, j'en ai moi-même chaque année. Or les parents peuvent refuser une orientation, veulent à tout prix la scolarité "normale" et j'en entends de plus en plus me dire que si ça ne marche pas c'est parce que les profs ne sont pas sympas, ne veulent pas faire d'efforts et s'adapter à leur enfant. Quand l'écart entre le niveau de l'enfant et le niveau de la classe est de 3,4,5 voire 6 années scolaires, je ne vois pas comment les profs pourraient faire. Mais bon, je dis ça je dis rien.
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- NasopiBon génie
Je ne m'exprimais pas sur cette situation. Je souhaite juste dire qu'il y a des enseignants en IME, qui y bossent à temps plein. Que j'y ai appris à lire et à compter à des gamins comme des tas de PE. Rien que dans mon petit département il doit y avoir une vingtaine de PE en IME. Donc assimiler une orientation en IME à une déscolarisation c'est une erreur et je trouve ça même un peu insultant pour ceux qui y bossent, comme si le collège était le seul lieu de scolarité. Il y a aussi des gamins scolarisés en hôpital psy ou en CHU, ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas dans le collège qu'il n'y a pas scolarisation.
Maintenant, je ne connais pas la situation de cette famille, mais j'ai chaque année plusieurs familles qui veulent à tout prix que leur enfant aille à l'école ou au collège alors que leur enfant est handicapé, parfois lourdement, et que ce n'est pas une solution viable, ni pour le gamin, ni pour l'école, ni pour les autres élèves. Mais les parents peuvent refuser une orientation comme ils peuvent refuser un redoublement et ils le font de plus en plus. Ne vous étonnez donc pas d'avoir de plus en plus de situation ubuesque dans le secondaire, comme on les connaît dans le primaire depuis déjà de nombreuses années.
Autant l'intégration peut-être une chance et une belle opportunité pour un élève handicapé ( et ses camarades et professeurs ), autant dans certains cas, non seulement ça ne fonctionne pas, mais la situation va en empirant. J'ai une situation de ce genre en ce moment avec une grande de 3ème, du coup le collège en est réduit à essayer de l'occuper et à organiser des stages le temps que les parents changent d'avis. Pendant ce temps les profs s'arrachent les cheveux, la gamine n'apprend rien et les parents espèrent maintenant qu'elle ira au lycée.
J'aimerais quand même préciser que, s'il y a des instituteurs à temps plein dans certains IME (pas tous, il y a des IME où il n'y a aucun enseignant), les enfants, eux, ne le voient pas à temps plein... Etre scolarisé une ou deux heures par semaine, je n'appelle pas ça être scolarisé.
Pour que ma fille puisse apprendre à lire et à écrire, j'ai dû faire appel moi-même à une institutrice qui est venue pendant un an la faire travailler à la maison, à côté de l'IME ; et ce, sur la demande des professionnels de l'IME, qui soulignaient qu'elle était prête à apprendre à lire et à écrire, mais qu'elle n'avait pas assez de temps d'école à l'IME pour pouvoir progresser.
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- philannDoyen
Le problème est complexe, multiple et je ne le maitrise absolument pas.
Ceci dit: Du côté de l'institution, je trouve horrible de mettre un enfant en situation de n'être nulle part!! En plus du handicap c'est vraiment horrible.
Ap. des parents d'enfants malades ou handicapés ne font pas toujours les bons choix pour leurs enfants...mais c'est la cas aussi des parents dont les enfants n'ont pas de problèmes particuliers. Combien de parents qui refusent telle ou telle orientation parce que cela ne convient pas à ce qu'ils imaginaient pour leurs enfants...?
Mais le but n'est pas de dire qui est coupable de l'institution ou des parents, juste de dire que l'enfant n'avait vraiment pas besoin de ça!
Ceci dit: Du côté de l'institution, je trouve horrible de mettre un enfant en situation de n'être nulle part!! En plus du handicap c'est vraiment horrible.
Ap. des parents d'enfants malades ou handicapés ne font pas toujours les bons choix pour leurs enfants...mais c'est la cas aussi des parents dont les enfants n'ont pas de problèmes particuliers. Combien de parents qui refusent telle ou telle orientation parce que cela ne convient pas à ce qu'ils imaginaient pour leurs enfants...?
Mais le but n'est pas de dire qui est coupable de l'institution ou des parents, juste de dire que l'enfant n'avait vraiment pas besoin de ça!
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- RoninMonarque
Nasopi : il y a certainement des différences de fonctionnement entre IME mais moi quand j'estimais qu'un gamin pouvait continuer à progresser ne classe, j'exigeais qu'il soit en classe à temps plein, ce qui était le cas de quatre de mes élèves. Maintenant il y a aussi eu des suppressions de postes en IME, ça se voit moins qu'en école ou en collège...
Je suis d'accord sur le fait qu'il est anormal qu'un gamin soit "nul part", anormal et illégal si je ne m'abuse. Je précise quand même que la loi de 2005 a été voté sans les financements nécessaires ce qui pose un paquet de problèmes.
philann : Pour ce qui est des parents refusant les orientations je suis d'accord avec toi. Simplement dans certains cas c'est tellement n'importe quoi qu'il faudrait pouvoir dire stop. Quand un gamin à 14 ans ne sait toujours pas lire l'Institution devrait pouvoir dire aux parents que sa place n'est pas en troisième ordinaire. Sinon ce n'est même plus de la différenciation qu'il faut se préparer à faire, mais un boulot de PE spécialisés avec des effectifs triple...
Je suis d'accord sur le fait qu'il est anormal qu'un gamin soit "nul part", anormal et illégal si je ne m'abuse. Je précise quand même que la loi de 2005 a été voté sans les financements nécessaires ce qui pose un paquet de problèmes.
philann : Pour ce qui est des parents refusant les orientations je suis d'accord avec toi. Simplement dans certains cas c'est tellement n'importe quoi qu'il faudrait pouvoir dire stop. Quand un gamin à 14 ans ne sait toujours pas lire l'Institution devrait pouvoir dire aux parents que sa place n'est pas en troisième ordinaire. Sinon ce n'est même plus de la différenciation qu'il faut se préparer à faire, mais un boulot de PE spécialisés avec des effectifs triple...
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- NasopiBon génie
Ronin a écrit:Nasopi : il y a certainement des différences de fonctionnement entre IME mais moi quand j'estimais qu'un gamin pouvait continuer à progresser ne classe, j'exigeais qu'il soit en classe à temps plein, ce qui était le cas de quatre de mes élèves.
C'est pas mal comme moyen de fonctionnement ! Dans l'IME des enfants, il y a des groupes de niveau, mais tous les enfants ont le même temps de scolarité (à savoir : deux demi-journées par semaine ).
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- RoninMonarque
Argh là c'est clairement anormal. Moi sur les 17 qui fréquentaient la classe, de mémoire, 4 à temps plein, 9 à mi-temps et 4 qui oscillaient entre 1 et 4h par semaine.
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- coco3898Niveau 1
bonjour
si je peux me permettre une "intrusion" dans ce post, lisez la suite de l'histoire toujours sur ce site
http://blogs.lexpress.fr/the-autist/
mais descendez aussi la page et lisez l'article sur Florient 23 ans. Des témoignages comme celui-ci il y en a à la pelle et c'est la réalité aujourd'hui en France. Alors oui c'est très compliqué l'inclusion surtout sans moyens, en particulier humains, mais d'autres pays scolarisent les "autistes" à plus de 90% (alors que la France ne scolarise que 2% à plein temps). Il faudrait aussi se demander pourquoi ces parents refusent l'institution, parce que comme tous les parents ils veulent le mieux pour leurs enfants, ou tout au moins le moins pire...
si je peux me permettre une "intrusion" dans ce post, lisez la suite de l'histoire toujours sur ce site
http://blogs.lexpress.fr/the-autist/
mais descendez aussi la page et lisez l'article sur Florient 23 ans. Des témoignages comme celui-ci il y en a à la pelle et c'est la réalité aujourd'hui en France. Alors oui c'est très compliqué l'inclusion surtout sans moyens, en particulier humains, mais d'autres pays scolarisent les "autistes" à plus de 90% (alors que la France ne scolarise que 2% à plein temps). Il faudrait aussi se demander pourquoi ces parents refusent l'institution, parce que comme tous les parents ils veulent le mieux pour leurs enfants, ou tout au moins le moins pire...
- 6ème - extraits de théâtre sur le conflit entre un enfant et un de ses parents
- Collège George Sand (Beauvais, Oise) : un conflit entre adolescents dégénère à la sortie de l'établissement.
- échange collège Lyon-Nîmes ou Lyon-Arles ou Lyon-Autre pour latinistes.
- en conflit indirect avec une mère d'élève.
- Scolarisation en IME ou ITEP d'un enfant autiste sans déficience intellectuelle
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