- Marie LaetitiaBon génie
J'invite les collègues des autres disciplines à faire de même s'ils le souhaitent. Mais ici on cause HG
Ayant eu une formation disciplinaire désastreuse à l'époque (les journée travail en groupe/machine à café/mise en commun, vous voyez? :lol: ) je me demande ce qui pourrait servir... ça peut aussi être le lieu pour mutualiser les sites et les livres utiles pour l'enseignement de l'HG et de l'EC/JS...
Je commence en citant Janis qui a eu bien de la chance :lol:
et Condorcet (qui a eu un petit bout de chance)
Ayant eu une formation disciplinaire désastreuse à l'époque (les journée travail en groupe/machine à café/mise en commun, vous voyez? :lol: ) je me demande ce qui pourrait servir... ça peut aussi être le lieu pour mutualiser les sites et les livres utiles pour l'enseignement de l'HG et de l'EC/JS...
Je commence en citant Janis qui a eu bien de la chance :lol:
janis a écrit:J'ai eu la chance d'avoir à la fois une promo IUFM extra (on est restés bons amis) et une bonne formation en disciplinaire. Je suis en histoire-géo.
Nos formatrices étaient jeunes (35 ans environ), encore en poste, et elles nous proposaient du concret, pas de blabla inutile. Le matin, on avait une mise au point sur le thème (enseigner la Shoah, se servir de Google Earth en géo, comment faire de l'éducation civique, comment aborder l'espace proche en 6ème, préparer les élèves au paragraphe argumenté...). L'après-midi, on se mettait par groupe de 3. On était dans trois salles différentes et il y avait une formatrice pour 3 groupes. On préparait des cours sur les classes que nous avions et les formatrices nous guidaient. Le fait d'être à plusieurs permettait d'avoir un regard critique intéressant. A la fin de la journée, on mutualisait et tout le monde repartait avec plusieurs chapitres quasiment clé en main sous le bras. C'était un gain de temps énorme ! On a aussi fait des séances sur "apprendre à préparer à contrôle", et on a fait le fameux exercice où on corrigeait tous la même copie (c'était celles de nos propres élèves, qu'on avait photocopiées) et on comparait les notes qu'on mettait. On a visité pas mal de musées à Paris, fait des sorties aux archives. J'insiste sur la bonne ambiance. Les formatrices déjeunaient avec nous, on avait organisé une fête de Noël avec des cadeaux, un pique-nique... Et elles étaient toujours présentes à rire et jouer avec nous. C'est con mais le fait d'être soudés nous a beaucoup aidé. On a même réitéré les pique-nique les années suivantes, en présence des formatrices, c'est pour dire !
et Condorcet (qui a eu un petit bout de chance)
condorcet a écrit:+ 1. Le seul souvenir agréable et fécond intellectuellement a été l'initiation à l'enseignement de la cartographie par l'un des formateurs disciplinaires qui s'est révélé un excellent pédagogue.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Fleur16Habitué du forum
Je répondrais plus tard mais effectivement, la formation de Janis fait rêver !
Nous ici c'est plus : CM le matin, CM l'après-midi avec en plus un formateur très monotone et qui se répète (6h sur le croquis en géographie, sisi !).
Nous ici c'est plus : CM le matin, CM l'après-midi avec en plus un formateur très monotone et qui se répète (6h sur le croquis en géographie, sisi !).
- CondorcetOracle
Commençons par le plus simple : en début d'année, une journée de travail dédiée aux thèmes"enseigner la géographie quand on est historien" et "enseigner l'histoire quand on est géographe" (avec le matin le CM et l'après-midi un réel travail en groupe). Elle pourrait être dédoublée en prenant en compte le collège d'abord et le lycée ensuite.
Puis-je dire que la réussite d'une formation dépend non seulement de la qualité des formateurs mais aussi de la qualité des stagiaires (il peut y avoir des esprits bornés aussi... - Janis évoquait la bonne ambiance et entente entre les stagiaires de sa promotion -) ?
Puis-je dire que la réussite d'une formation dépend non seulement de la qualité des formateurs mais aussi de la qualité des stagiaires (il peut y avoir des esprits bornés aussi... - Janis évoquait la bonne ambiance et entente entre les stagiaires de sa promotion -) ?
- jammeNeoprof expérimenté
Dans l'académie de Versailles, certaines formations sont parfois intéressantes mais les dernières étant d'un ennui!!! J'ai lutté pour ne pas m'endormir! Les formateurs sont assez sympas mais leurs CM beaucoup trop théoriques! Je me demande comment un petit jeune qui sort de l'université arrive à s'en sortir (je suis une "vieille" stagiaire avec 10 ans d'expérience!). Je parle même pas des formations transversales où on blablate pendant toute la journée pour s'entendre dire à la fin : "Chacun sa méthode!". C'est déséperant!
- Raoul VolfoniGrand sage
Ah, les bons souvenirs de mes deux années de stage... Bon, trêve d'ironie.
A côté de formations intéressantes (Enseigner la Shoah, en partenariat avec le Mémorial de la Shoah, ou Enseigner la géographie avec Gérard Hugonie), j'ai subi des choses épouvantables (une mention spéciale à Eduquer à la défense avec deux valeureux militaires qui nous ont expliqué que notre rôle était d'inciter nos élèves à s'engager !)... ou des choses plus pittoresques (Etude de paysage, à Saint-Emilion, avec alcoolémie en rapport avec le lieu !)
J'aurais aimé sortir de formation avec des choses utiles, du genre :
-Enseigner l'éducation civique : ben ouais, je n'ai jamais eu la moindre formation (du moins me semble-t-il) et la validation ne se faisait que sur l'histoire et la géo.
-Utiliser les oeuvres d'art : on avait des oeuvres à présenter obligatoirement dans le programme de collège (la Liberté guidant le peuple, les Demoiselles d'Avignon etc)... mais les séances sur l'image à l'IUFM consistaient à disséquer des affiches de propagande nazie ou stalinienne, ce que nous avions tous fait en fac !
-Apprendre à créer des contrôles progressifs, apprendre à entraîner les élèves au paragraphe argumenté : L'inspectrice m'a reproché de ne pas faire des évaluations assez "progressives". On ne m'a jamais appris à le faire.
-J'aurais beaucoup aimé que les formations collège et lycée ne soient pas dissociées : nous étions la plupart en groupe, selon notre affectation, de sorte que ceux qui se retrouvaient dans l'autre niveau l'année d'après n'avaient pas grand-chose ! D'ailleurs, je pense que j'aurais aimé avoir une affectation à cheval : une classe de collège, une de lycée (mais là, je risque d'être seule )
Voilà, pour le moment, ce qui me vient !
A côté de formations intéressantes (Enseigner la Shoah, en partenariat avec le Mémorial de la Shoah, ou Enseigner la géographie avec Gérard Hugonie), j'ai subi des choses épouvantables (une mention spéciale à Eduquer à la défense avec deux valeureux militaires qui nous ont expliqué que notre rôle était d'inciter nos élèves à s'engager !)... ou des choses plus pittoresques (Etude de paysage, à Saint-Emilion, avec alcoolémie en rapport avec le lieu !)
J'aurais aimé sortir de formation avec des choses utiles, du genre :
-Enseigner l'éducation civique : ben ouais, je n'ai jamais eu la moindre formation (du moins me semble-t-il) et la validation ne se faisait que sur l'histoire et la géo.
-Utiliser les oeuvres d'art : on avait des oeuvres à présenter obligatoirement dans le programme de collège (la Liberté guidant le peuple, les Demoiselles d'Avignon etc)... mais les séances sur l'image à l'IUFM consistaient à disséquer des affiches de propagande nazie ou stalinienne, ce que nous avions tous fait en fac !
-Apprendre à créer des contrôles progressifs, apprendre à entraîner les élèves au paragraphe argumenté : L'inspectrice m'a reproché de ne pas faire des évaluations assez "progressives". On ne m'a jamais appris à le faire.
-J'aurais beaucoup aimé que les formations collège et lycée ne soient pas dissociées : nous étions la plupart en groupe, selon notre affectation, de sorte que ceux qui se retrouvaient dans l'autre niveau l'année d'après n'avaient pas grand-chose ! D'ailleurs, je pense que j'aurais aimé avoir une affectation à cheval : une classe de collège, une de lycée (mais là, je risque d'être seule )
Voilà, pour le moment, ce qui me vient !
- PandorafaFidèle du forum
Apprendre à faire faire des croquis aux élèves, apprendre à les corriger aussi... Car c'est finalement mes collègues de lycée quand j'étais néotit qui m'ont appris à le faire, parce qu'ils étaient sympa, et de bonne volonté.
Apprendre à transmettre la méthode du paragraphe argumenté, ou de la dissertation aussi, en proposant des exercices progressifs de mise en application.
Apprendre à utiliser des logiciels de cartographie aussi, ça nous serait bien utile !
Apprendre à transmettre la méthode du paragraphe argumenté, ou de la dissertation aussi, en proposant des exercices progressifs de mise en application.
Apprendre à utiliser des logiciels de cartographie aussi, ça nous serait bien utile !
- Marie LaetitiaBon génie
pandorafanny a écrit:
Apprendre à utiliser des logiciels de cartographie aussi, ça nous serait bien utile !
ah ça oui! D'ailleurs ça me sidère que l'on n'ait pas eu formation sur ça là où j'étais - et où certains clament leur maîtrise de l'informatique...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Raoul VolfoniGrand sage
Marie Laetitia a écrit:pandorafanny a écrit:
Apprendre à utiliser des logiciels de cartographie aussi, ça nous serait bien utile !
ah ça oui! D'ailleurs ça me sidère que l'on n'ait pas eu formation sur ça là où j'étais - et où certains clament leur maîtrise de l'informatique...
Par la barbe de Vidal de La Blache, ça existe les logiciels de cartographie ? Je n'en ai même pas entendu parler, en formation. Je devais vraiment être chez les arriérés :lol:
- Marie LaetitiaBon génie
Disons que tu as des outils pour ça, oui... (mais me demande pas, moi mes cartes je les fais avec XFig ! :lol: (et c'est pour la thèse). Mais rien n'empêche de faire des schémas avec !
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- MalagaModérateur
Ce qui me semble le plus utile, ce sont des formations sur des points précis des programmes ("enseigner la Shoah" ou "enseigner la Révolution" par exemple) ou sur la méthodologie ("le paragraphe argumenté", "faire un croquis").
Je n'aimais pas les formations où les stagiaires se mettent par groupe et bossent sur un chapitre. Je trouvais cela inutile car il s'agissait de faire un cours ensemble or je ne bosse efficacement que seule!
Et enfin, des formations solides sur l'éducation civique seraient bien utiles car c'est réellement un domaine presque inconnu pour beaucoup de stagiaires.
Je n'aimais pas les formations où les stagiaires se mettent par groupe et bossent sur un chapitre. Je trouvais cela inutile car il s'agissait de faire un cours ensemble or je ne bosse efficacement que seule!
Et enfin, des formations solides sur l'éducation civique seraient bien utiles car c'est réellement un domaine presque inconnu pour beaucoup de stagiaires.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- DinosauraHabitué du forum
Tout d'abord, renforcer la culture disciplinaire (en plus de ses lectures personnelles, et de sa propre actualisation de ses connaissances), jamais inutile dans une matière dense, évolutive et où l'on a 2 disciplines à enseigner (voire 3 avec l'éducation civique), et où notre capacité à raconter des histoires, des anecdotes nous octroie aussi une certaine autorité. Et là-dessus, je trouve que j'ai de sérieuses lacunes... Nous devrions en quelque sorte passionner, subjuguer notre auditoire, édifier même ! Et, comme Condorcet, je pense qu'il faut mettre l'accent sur la discipline dont on n'est pas issu. Plus quelques points de formation en droit, sciences éco.
Ensuite, pourquoi cette obsession du tout-inductif et des mises en activité, du travail en commun ? Perso je n'ai jamais rien réussi à faire de productif en groupe, et depuis l'IUFM, je suis encore plus convaincue qu'on nous demande de faire beaucoup d'activités chronophages ou inutiles, alors qu'on doit déjà toujours courir après les programmes. Et ça m'a complètement dissuadée de faire travailler les élèves en groupes, peut-être à tort, mais quel profit en tire-t-on vraiment si un seul fait le boulot pour les autres, et puis c'est laisser s'installer un bavardage ambiant qu'il est ensuite difficile de récupérer...
On ne devrait pas non plus opposer apprendre et comprendre, et ne raisonner qu'en termes d'"objectifs" (d'"objectifs cognitifs"). Parfois, la leçon devrait être purement culturelle (ceci réhabiliterait du reste la chronologie en histoire), sans chercher des activités compliquées pour déboucher sur quelque chose de simple, quand c'est simplement exposé, et ça c'est notre job d'exposer clairement quelque chose de complexe au départ. Et je crois à la possibilité d'intéresser les élèves par l'anecdotique, le pittoresque comme je l'ai écrit plus haut. Donc notre matière devrait quand même reposer pas mal sur une parole magistrale (bien amendée certes, et notamment en collège, je ne cherche pas à caricaturer non plus).
Les TICe oui, mais avec parcimonie et qui doivent répondre à un besoin disciplinaire, pas du clinquant pour seulement capter l'attention des élèves et les habituer à un flux de paroles et d'images mal comprises : donc oui à une formation aux SIG, ainsi qu'à des logiciels d'analyse de tableaux pour l'HDA notamment (je pense à Powerpoint, pour lequel je me suis en quelque sorte auto-formée, alors qu'on était évalué en fin d'année d'IUFM sur le C2I2E, mais il y en a sans doute d'autres...).
Evidemment, on passe à la trappe toute formation transversale. Pourquoi pas remplacer cela par une seule initiation au théâtre, plus quelques points d'information sur l'univers institutionnel dans lequel le professeur évolue et "l'arsenal" disciplinaire dont il dispose. Le reste, on l'apprend au contact des collègues, d'un vrai tuteur (ou sur ce forum ), véritable lieux de mutualisation des pratiques. Et que l'on cesse avec la culpabilisation et l'infantilisation bien sûr, et l'idée qu'il n'y aurait qu'une seule façon de faire valable (pédago donc).
Ensuite, pourquoi cette obsession du tout-inductif et des mises en activité, du travail en commun ? Perso je n'ai jamais rien réussi à faire de productif en groupe, et depuis l'IUFM, je suis encore plus convaincue qu'on nous demande de faire beaucoup d'activités chronophages ou inutiles, alors qu'on doit déjà toujours courir après les programmes. Et ça m'a complètement dissuadée de faire travailler les élèves en groupes, peut-être à tort, mais quel profit en tire-t-on vraiment si un seul fait le boulot pour les autres, et puis c'est laisser s'installer un bavardage ambiant qu'il est ensuite difficile de récupérer...
On ne devrait pas non plus opposer apprendre et comprendre, et ne raisonner qu'en termes d'"objectifs" (d'"objectifs cognitifs"). Parfois, la leçon devrait être purement culturelle (ceci réhabiliterait du reste la chronologie en histoire), sans chercher des activités compliquées pour déboucher sur quelque chose de simple, quand c'est simplement exposé, et ça c'est notre job d'exposer clairement quelque chose de complexe au départ. Et je crois à la possibilité d'intéresser les élèves par l'anecdotique, le pittoresque comme je l'ai écrit plus haut. Donc notre matière devrait quand même reposer pas mal sur une parole magistrale (bien amendée certes, et notamment en collège, je ne cherche pas à caricaturer non plus).
Les TICe oui, mais avec parcimonie et qui doivent répondre à un besoin disciplinaire, pas du clinquant pour seulement capter l'attention des élèves et les habituer à un flux de paroles et d'images mal comprises : donc oui à une formation aux SIG, ainsi qu'à des logiciels d'analyse de tableaux pour l'HDA notamment (je pense à Powerpoint, pour lequel je me suis en quelque sorte auto-formée, alors qu'on était évalué en fin d'année d'IUFM sur le C2I2E, mais il y en a sans doute d'autres...).
Evidemment, on passe à la trappe toute formation transversale. Pourquoi pas remplacer cela par une seule initiation au théâtre, plus quelques points d'information sur l'univers institutionnel dans lequel le professeur évolue et "l'arsenal" disciplinaire dont il dispose. Le reste, on l'apprend au contact des collègues, d'un vrai tuteur (ou sur ce forum ), véritable lieux de mutualisation des pratiques. Et que l'on cesse avec la culpabilisation et l'infantilisation bien sûr, et l'idée qu'il n'y aurait qu'une seule façon de faire valable (pédago donc).
- Quels sacrifices avez-vous fait durant l'année de stage?
- Stagiaires : vous toucherez une indemnité de 1000€ (sauf si vous faites votre stage dans la ville de votre Espe)
- A quelles revues (disciplinaires) êtes-vous abonnés?
- Passer le CAFEP durant son année de stage
- Présenter l'agrégation interne durant l'année de stage
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