21 mars 2012, 19h00 - Bloche, Mazetier et Pau-Langevin vous présentent le programme de François Hollande pour l’éducation

Patrick Bloche,
député de Paris, Pôle « Culture, audiovisuel, médias »
Sandrine Mazetier,
députée de Paris, Pôle « Finances Publiques »
George Pau-Langevin,
députée de Paris, Pôle « Questions sociétales »

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Remettre L’ÉDUCATION et la JEUNESSE
au cœur de l’action publique !
Investir dans l’éducation pour préparer l’avenir

60 000 postes supplémentaires créés dans l’éducation, pas seulement de professeurs, mais de surveillants, d’infirmières, d’assistantes sociales…
Accueil en maternelle des enfants de moins de trois ans.
Priorité aux écoles maternelles et élémentaires, car c’est là que l’échec scolaire se forme, ainsi qu’aux zones en difficulté. Avec un accompagnement personnalisé pour les élèves les plus en difficulté.
Rétablissement d’une vraie formation initiale et continue des enseignants (notamment l’année de stage). Pré-recrutement d’une partie des enseignants dès la licence.

Transformer l’école

Des rythmes scolaires revus dans l’intérêt de nos enfants : allongement de l’année scolaire pour alléger la journée en classe, sans diminuer bien-sûr le temps passé dans l’école.
Des méthodes pédagogiques transformées au collège et au lycée : programmes remodelés, travail en équipe, recours aux exercices et à l’implication des élèves…
Un enseignement professionnel et technologique renforcé et valorisé, dont les bacheliers auront un accès privilégié à certaines formations du supérieur (STS et IUT).
Un service public de l’orientation unifié du secondaire jusqu’au supérieur.

Faire réussir les étudiants et encourager les chercheurs

Priorité à la réforme des premiers cycles universitaires : encadrement renforcé, pédagogies adaptées et passerelles organisées entre toutes les formations du supérieur.
Des étudiants soutenus par une allocation d’études et de formation (sous conditions de ressources et dans le cadre d’un contrat de réussite) et par le financement de 40000 nouveaux logements étudiants. La circulaire Guéant sur les étudiants étrangers abrogée.
La loi LRU réformée après des Assises nationales, pour garantir une autonomie réelle des établissements, une gouvernance plus collégiale et démocratique et des moyens financiers à la hauteur des transferts de charges.
Une recherche scientifique recentrée sur les organismes nationaux et les UMR (rôles de l’ANR et de l’AERES redéfinis), au financement simplifié et rééquilibré ; un contrat doctoral amélioré et étendu.