"Il faut remettre à plat le contenu des missions des enseignants".

Et je crois que la plupart des hommes politiques ont agi et continuent d'agir de bonne foi.

Ce ne sont pas les bons sentiments qui manquent.

Cripure a écrit:
Un scrutin suffit, si on ne se résigne pas à l'avance à voter pour les deux qui souhaitent pourrir la situation.

Le scrutin ?!

Quel est le candidat (ou le parti politique) qui propose un projet réaliste, cohérent et salvateur, en ce qui concerne le devenir de l'école publique ?

Quelle soit l'issue, nous sommes chocolat !

Chocolat a écrit:

Cripure a écrit:
Un scrutin suffit, si on ne se résigne pas à l'avance à voter pour les deux qui souhaitent pourrir la situation.

Le scrutin ?!

Quel est le candidat (ou le parti politique) qui propose un projet réaliste, cohérent et salvateur, en ce qui concerne le devenir de l'école publique ?

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Je suis plutôt libertaire. Je n'attends rien des élections prévues dans le cadre convenu, étriqué, et surtout balisé, de la démocratie bourgeoise, dont une bien belle réussite est qu'elle parvient à faire ignorer, y ccompris dans le milieu des principaux intéressés, ce que dit notre collègue N. Arthaud...infiniment plus clair que ce que promet (et en l'occurence, ce que ne promet même pas, le capitaine de pédalo).
La casse de l'Ecole sera achevée avec la bénédiction des "professionnels"...