- ClarinetteGrand Maître
Lu deux fois, mais la dernière remonte à une quinzaine d'années, alors pourquoi pas : j'idolâtre Steinbeck !Clarianz a écrit:Pourquoi pas Les raisins de la colère?
J'au déjà lu tous les autres... mais je relirai avec plaisir!
- ClarinetteGrand Maître
Nita, tu vends bien "Orgueil et Préjugés", mais l'ayant relu (et adoré ) il y a quelques années, ça ne me déplairait pas de lire une oeuvre moins revigorante... comme Faulkner, par exemple !
- AurevillyHabitué du forum
Oui, Clarinette, je propose Le Guépard du cher Lampedusa. Quelles délices à toutes les pages!
- MrBrightsideEmpereur
Clarinette a écrit:Nita, tu vends bien "Orgueil et Préjugés", mais l'ayant relu (et adoré ) il y a quelques années, ça ne me déplairait pas de lire une oeuvre moins revigorante... comme Faulkner, par exemple !
Deux mondes s'opposent :lol:
Un jour, faudra quand même me dire ce que Jane Austen a de si spécial hein... quelques tournures marrantes certes, mais ça reste du Gossip Girl avant Gossip Girl... :|
NON! Nita! Pose ce bidon d'essence et ce briquet!!
- AnagrammeFidèle du forum
Aurevilly a écrit:Merci, Clarinette, pour ce deuxième thème. Si je peux me permettre de jouer aussi, je propose un jeu (facile) dans le jeu, en guise de présentation. C'est le roman dont sont extraites ces quelques lignes:
"Tancredi, essayant d'unir la galanterie à la gourmandise, cherchait à imaginer la saveur des baisers d'Angelica, sa voisine, dans le goût de chaque bouchée aromatisée, mais il se rendit compte que cette expérience était dégoûtante et la suspendit, se réservant de ressusciter ces rêveries au moment du gâteau."
Le Guépard ! Le Guépard ! Le Guépard !
Oops, je n'avais pas vu les réponses de Clarinette !
- ClarinetteGrand Maître
Austen, c'est frais, enthousiasmant, tu en ressors avec le sourire. Sympa, non ? Et étonnamment moderne, aussi, à certains égards.
Mais je comprends parfaitement que d'aucuns trouvent ça insipide. Les goûts et les couleurs, hein, on sait ce qu'il en est !
Mais je comprends parfaitement que d'aucuns trouvent ça insipide. Les goûts et les couleurs, hein, on sait ce qu'il en est !
- MrBrightsideEmpereur
Allez, pour me faire pardonner:
Jane Austen's Fight Club
Jane Austen's Fight Club
- ClarinetteGrand Maître
:lol!:
- PseudoDemi-dieu
MrBrightside a écrit:Allez, pour me faire pardonner:
Jane Austen's Fight Club
Mouhahahaha !
Très drôle Mais pour Jane Austen's, tu peux pas comprendre, t'es un garçon
C'est comme moi, je suis une fille, Fight club m'a révulsé, Kill Bill débecté, sans parler du truc des 7 pêchers capitaux (je sais plus le titre du film) qui m'a durablement outrée.
C'est comme ça, c'est hormonal.
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- MrBrightsideEmpereur
Pseudo a écrit:MrBrightside a écrit:Allez, pour me faire pardonner:
Jane Austen's Fight Club
Mouhahahaha !
Très drôle Mais pour Jane Austen's, tu peux pas comprendre, t'es un garçon
C'est comme moi, je suis une fille, Fight club m'a révulsé, Kill Bill débecté, sans parler du truc des 7 pêchers capitaux (je sais plus le titre du film) qui m'a durablement outrée.
C'est comme ça, c'est hormonal.
Je crois que tu parles de Seven Et je n'ai vu aucun de ces films D:
Non mais je ne sais pas, Austen je n'y arrive pas, et pourtant je n'ai lu qu'Orgueil et Préjugés. A titre d'exemple, je n'ai lu qu'un roman de Charlotte Brontë (Villette), pas franchement masculin par essence et j'ai beaucoup aimé car il y avait une vraie ironie mordante dedans, pas comme le blagounettes d'Austen.
- AnagrammeFidèle du forum
Propositions:
- Gatsby le Magnifique, F.Scott Fitzgerald:
Dans le Long Island des années vingt, la fête est bruyante et la boisson abondante. Surtout chez Jay Gatsby. Aventurier au passé obscur, artiste remarquable par sa capacité à se créer un personnage de toute pièce, Gatsby, figure solaire par son rayonnement, lunaire par le mystère qu'il génère, est réputé pour les soirées qu'il donne dans sa somptueuse propriété. L'opulence, de même que la superficialité des conversations et des relations humaines, semblent ne pas y avoir de limites. C'est pourquoi l'illusion ne peut être qu'éphémère.
Parmi les invités de cet hôte étrange se trouve Nick Carraway, observateur lucide qui seul parvient à déceler une certaine grandeur chez Gatsby, incarnation de multiples promesses avortées. Ce roman visuel qui se décline dans des tons d'or, de cuivre et d'azur, s'impose également comme la chronique d'une certaine époque vouée, telle la fête qui porte en elle son lendemain, à n'être magnifique que le temps d'un air de jazz. (Amazon)
EXCELLENT ! 250 pages. Je ne sais pas si la traduction est bonne...
- Le nommé Jeudi, G.K.Chesterton.
Ce roman étonnant, quasi métaphysique, fut initialement publié en 1908 sous le titre Un cauchemar. À la suite d'une discussion sur la nature de la poésie qui vire à la dispute entre Lucien Gregory, poète de l'anarchie, et Gabriel Syme, catholique militant, poète de la loi et l'ordre, Gregory entraîne Syme dans une bien étrange soirée. Ils se retrouvent dans un cercle secret d'anarchistes dont le conseil est formé de sept hommes, dont chacun se cache sous un nom d'un jour de la semaine. À la suite de multiples péripéties, Syme prendra le poste vacant du nommé Jeudi. Mais qui se cache derrières les autres jours de la semaine ? Il se pourrait bien que l'anarchie et l'ordre marchent en fait main dans la main... Et qui est le mystérieux Dimanche, qui préside le conseil ? S'agirait-il du seul anarchiste authentique, ou d'un envoyé de Dieu chargé d'enseigner aux hommes les chemins de la paix et de l'amour ?
Un ouvrage inclassable où, derrière le suspense d'une bien étrange enquête, Chesterton, " païen à douze ans, agnostique à seize ", met en scène le cheminement intérieur " vers les réalités solides de la foi " qui le conduira à se convertir ouvertement au catholicisme en 1922. Préface de Pierre Klossowsky. (Amazon)
- Je ne peux pas m’empêcher de vous proposer Le tunnel, Ernesto Sabato, 1948.
Juan Pablo Castel est artiste peintre et meurtrier. C'est son histoire qu'il va dépeindre depuis sa cellule. Un autoportrait tout en taches sombres, bardé par endroit de couleurs violentes, d'éclairs de lucidité, que ni sa conscience ni les faits ne peuvent contenir. Un autoportrait au fusain, noir et gris, avec du rouge. Ce rouge qui prendra bientôt plusieurs significations, au fil de son témoignage et de sa volonté de se comprendre : le rouge de la passion et le rouge du sang. Car, dès le départ, Juan Pablo Castel nous dévoile tout. Il est l'assassin de la femme qu'il continue à aimer, malgré la mort, plus que sa vie.
Derrière un pseudo roman policier à l'intrigue dévoilée se cache un ouvrage à l'ambition téméraire : nous donner à voir toute la pensée de l'auteur, son humanisme, sa vision du monde moderne, son existentialisme. À la fois réflexion sur la solitude de l'artiste et sur l'incapacité de son personnage à communiquer, cet livre est aussi une touchante mise en écriture de la passion amoureuse, lucide et cruelle.
Premier roman de l'écrivain argentin Ernesto Sábato, Le Tunnel fut salué à sa parution, en 1948, comme un ouvrage majeur par Albert Camus et Graham Greene.
Thriller métaphysique, !
- Gatsby le Magnifique, F.Scott Fitzgerald:
Dans le Long Island des années vingt, la fête est bruyante et la boisson abondante. Surtout chez Jay Gatsby. Aventurier au passé obscur, artiste remarquable par sa capacité à se créer un personnage de toute pièce, Gatsby, figure solaire par son rayonnement, lunaire par le mystère qu'il génère, est réputé pour les soirées qu'il donne dans sa somptueuse propriété. L'opulence, de même que la superficialité des conversations et des relations humaines, semblent ne pas y avoir de limites. C'est pourquoi l'illusion ne peut être qu'éphémère.
Parmi les invités de cet hôte étrange se trouve Nick Carraway, observateur lucide qui seul parvient à déceler une certaine grandeur chez Gatsby, incarnation de multiples promesses avortées. Ce roman visuel qui se décline dans des tons d'or, de cuivre et d'azur, s'impose également comme la chronique d'une certaine époque vouée, telle la fête qui porte en elle son lendemain, à n'être magnifique que le temps d'un air de jazz. (Amazon)
EXCELLENT ! 250 pages. Je ne sais pas si la traduction est bonne...
- Le nommé Jeudi, G.K.Chesterton.
Ce roman étonnant, quasi métaphysique, fut initialement publié en 1908 sous le titre Un cauchemar. À la suite d'une discussion sur la nature de la poésie qui vire à la dispute entre Lucien Gregory, poète de l'anarchie, et Gabriel Syme, catholique militant, poète de la loi et l'ordre, Gregory entraîne Syme dans une bien étrange soirée. Ils se retrouvent dans un cercle secret d'anarchistes dont le conseil est formé de sept hommes, dont chacun se cache sous un nom d'un jour de la semaine. À la suite de multiples péripéties, Syme prendra le poste vacant du nommé Jeudi. Mais qui se cache derrières les autres jours de la semaine ? Il se pourrait bien que l'anarchie et l'ordre marchent en fait main dans la main... Et qui est le mystérieux Dimanche, qui préside le conseil ? S'agirait-il du seul anarchiste authentique, ou d'un envoyé de Dieu chargé d'enseigner aux hommes les chemins de la paix et de l'amour ?
Un ouvrage inclassable où, derrière le suspense d'une bien étrange enquête, Chesterton, " païen à douze ans, agnostique à seize ", met en scène le cheminement intérieur " vers les réalités solides de la foi " qui le conduira à se convertir ouvertement au catholicisme en 1922. Préface de Pierre Klossowsky. (Amazon)
- Je ne peux pas m’empêcher de vous proposer Le tunnel, Ernesto Sabato, 1948.
Juan Pablo Castel est artiste peintre et meurtrier. C'est son histoire qu'il va dépeindre depuis sa cellule. Un autoportrait tout en taches sombres, bardé par endroit de couleurs violentes, d'éclairs de lucidité, que ni sa conscience ni les faits ne peuvent contenir. Un autoportrait au fusain, noir et gris, avec du rouge. Ce rouge qui prendra bientôt plusieurs significations, au fil de son témoignage et de sa volonté de se comprendre : le rouge de la passion et le rouge du sang. Car, dès le départ, Juan Pablo Castel nous dévoile tout. Il est l'assassin de la femme qu'il continue à aimer, malgré la mort, plus que sa vie.
Derrière un pseudo roman policier à l'intrigue dévoilée se cache un ouvrage à l'ambition téméraire : nous donner à voir toute la pensée de l'auteur, son humanisme, sa vision du monde moderne, son existentialisme. À la fois réflexion sur la solitude de l'artiste et sur l'incapacité de son personnage à communiquer, cet livre est aussi une touchante mise en écriture de la passion amoureuse, lucide et cruelle.
Premier roman de l'écrivain argentin Ernesto Sábato, Le Tunnel fut salué à sa parution, en 1948, comme un ouvrage majeur par Albert Camus et Graham Greene.
Thriller métaphysique, !
- NitaEmpereur
MrBrightside a écrit:Clarinette a écrit:Nita, tu vends bien "Orgueil et Préjugés", mais l'ayant relu (et adoré ) il y a quelques années, ça ne me déplairait pas de lire une oeuvre moins revigorante... comme Faulkner, par exemple !
Deux mondes s'opposent :lol:
Un jour, faudra quand même me dire ce que Jane Austen a de si spécial hein... quelques tournures marrantes certes, mais ça reste du Gossip Girl avant Gossip Girl... :|
NON! Nita! Pose ce bidon d'essence et ce briquet!!
TROP TARD !!!!! :marteau: :mitrailler: (Chouettes bouquins, les Millenium, mais pas des classiques )
Cela dit, Mr B., je crois que si tu ne vois pas pourquoi Orgueil et Préjugésou Raisons et Sentiments sont des chefs-d'oeuvre absolus, ce peut être une question d'âge, ou plus simplement, de goût. Parfois, je crois que la
Puisque Clarinette souhaite des oeuvres à haute teneur lacrymale, je vous fais part de mon enthousiasme jamais démenti pour Effi Briest, de Theodor Fontane, classé par Amazone en littérature anglaise ici, semble-t-il. Anna Karénine, Mme Bovary, Une Vie en un livre. Préparez vos mouchoirs, et regardez gâcher la vie d'Effi !
_________________
A clean house is a sign of a broken computer.
- ClarinetteGrand Maître
Connais pas Effi Briest : vais m'y pencher.... vers 2014, quand j'aurai fini ma PAL actuelle....
- MrBrightsideEmpereur
Je verrais quand je me replongerai dans Austen... Il va bien falloir que je trouve ses œuvres complètes un jour, car qu'on aime ou pas, en tant qu'Angliciste c'est un peu le passage obligé.
Et Faulkner c'est pas lacrymal, ça pousse au suicide, c'est différent
Allez, je ne sais absolument pas comment est la traduction français, mais je propose:
Henry James, Daisy Miller, c'est un classique, c'est court, c'est bien écrit.
Et Faulkner c'est pas lacrymal, ça pousse au suicide, c'est différent
Allez, je ne sais absolument pas comment est la traduction français, mais je propose:
Henry James, Daisy Miller, c'est un classique, c'est court, c'est bien écrit.
- MufabGrand Maître
Un bouquin que j'avais bossé en fac et que je relirais bien (mais je ne sais si vous le considérez comme un Classique) : Le Siècle des Lumières, d'Alejo Carpentier
- AnagrammeFidèle du forum
MrBrightside a écrit:Je verrais quand je me replongerai dans Austen... Il va bien falloir que je trouve ses œuvres complètes un jour, car qu'on aime ou pas, en tant qu'Angliciste c'est un peu le passage obligé.
Et Faulkner c'est pas lacrymal, ça pousse au suicide, c'est différent
Allez, je ne sais absolument pas comment est la traduction français, mais je propose:
Henry James, Daisy Miller, c'est un classique, c'est court, c'est bien écrit.
- AnagrammeFidèle du forum
Mufab a écrit:Un bouquin que j'avais bossé en fac et que je relirais bien (mais je ne sais si vous le considérez comme un Classique) : Le Siècle des Lumières, d'Alejo Carpentier
Bien sûr qu'il s'agit d'un classique ! Mais il est vrai aussi que sa lecture est difficile: contexte hors narration assez complexe et style un peu baroque. (Ce n'est que mon avis, évidemment)
- V.MarchaisEmpereur
Pas de Virginia Woolf ?
Les Vagues est un de mes livres de chevet, que je relis toujours avec la même fascination.
Vous en trouverez une présentation ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vagues
Il me semble que c'est une oeuvre majeure, une de ces oeuvres qui invente la modernité, polyphonie superbe et exploration de l'identité vacillante.
Les Vagues est un de mes livres de chevet, que je relis toujours avec la même fascination.
Vous en trouverez une présentation ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vagues
Il me semble que c'est une oeuvre majeure, une de ces oeuvres qui invente la modernité, polyphonie superbe et exploration de l'identité vacillante.
- derouteÉrudit
Aaaah je ne propose rien, le choix va être assez difficile comme ça!
- PseudoDemi-dieu
Ah, là là ! Zweig et Woolf n'étaient pas dans ma PAL actuelle, mais je vote des deux mains ! Je les aime d'amour !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- AnagrammeFidèle du forum
V.Marchais a écrit:Pas de Virginia Woolf ?
Les Vagues est un de mes livres de chevet, que je relis toujours avec la même fascination.
Vous en trouverez une présentation ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vagues
Il me semble que c'est une oeuvre majeure, une de ces oeuvres qui invente la modernité, polyphonie superbe et exploration de l'identité vacillante.
Magnifique mais pas particulièrement facile à lire après un dure journée de travail. En ce qui me concerne, j'ai essayé de diriger mes propositions vers des lectures "classiques" dont les instances de lectures pourraient être plus facilement dissociées, au libre choix du lecteur. Je m'explique: dans Les Vagues il n'y a pas de manière de lire "juste" une histoire. Nous sommes contraints à l'approfondissement...je ne sais pas si je suis très claire, là.
En tout cas, loin de mes intentions essayer de dire du mal de cette intéressante proposition. Si Les Vagues est choisi je le relirai avec un très grand plaisir !
- V.MarchaisEmpereur
Pourquoi ? On peut très bien lire au premier degré et se laisser porter par le parcours des personnages et le caractère émouvant de leurs questions, leurs angoisses, qui nous concernent toujours peu ou prou.
- MrBrightsideEmpereur
V.Marchais a écrit:Pas de Virginia Woolf ?
Les Vagues est un de mes livres de chevet, que je relis toujours avec la même fascination.
Vous en trouverez une présentation ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vagues
Il me semble que c'est une oeuvre majeure, une de ces oeuvres qui invente la modernité, polyphonie superbe et exploration de l'identité vacillante.
Il faudrait que je me plonge dedans un jour... Par contre, autant j'ai aimé le seul roman que j'ai lu de Woolf (vous savez, celui qui commence par "Mrs. Dalloway said she would buy the flowers herself", autant je trouve que la présence de Woolf écrase tout un tas d'autres auteurs modernistes qui valent la peine d'être lus. Pourquoi ne pas profiter de ce topic pour les découvrir? (Ford Madox Ford-Le Bon Soldat (avant Woolf), ou Jean Rhys, Le Voyage dans les Ténèbres (après Woolf.))
NB: Je reste cependant sur mon unique proposition: Daisy Miller
- V.MarchaisEmpereur
Ben, là, on a dit classiques, non ? C'est un parti pris. On peut en prendre un autre une autre fois.
- AnagrammeFidèle du forum
V.Marchais a écrit:Pourquoi ? On peut très bien lire au premier degré et se laisser porter par le parcours des personnages et le caractère émouvant de leurs questions, leurs angoisses, qui nous concernent toujours peu ou prou.
J'ai lu ce roman il y a quelques années, tu le connais sûrement mieux que moi. Il s’agissait juste d'une intuition...Je veux bien le relire, donc !
- MrBrightsideEmpereur
V.Marchais a écrit:Ben, là, on a dit classiques, non ? C'est un parti pris. On peut en prendre un autre une autre fois.
Effectivement
Pour moi, en tant qu'angliciste, ces romans sont des classiques (et considérés comme tels dans leur pays d'origine), mais c'est vrai qu'ils n'ont pas forcément beaucoup voyagé.
Par contre, pas sur de vouloir lire une traduction de Woolf. D'une, je sais qu'elle sera nécessairement très imparfaite, de deux ça me rappellera de nombreux cours de versions passés à s'arracher les cheveux sur des extraits de The Waves ou To the Lighthouse :lol:
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