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- johelNiveau 9
Projet de décret et d'arrêté qui va être "validé" a priori d'ici à fin décembre 2011...
et appliqué dès la rentrée...
voir le détail sur le site du figaro et du café pédagogique pour les détails (je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
et appliqué dès la rentrée...
voir le détail sur le site du figaro et du café pédagogique pour les détails (je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
- Jim ThompsonExpert
on nage dans le bonheur
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- cristalExpert spécialisé
johel a écrit:(je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
Pourquoi?
- Thalia de GMédiateur
Yes, enfin
- Spoiler:
- Réponse ironique, bien sûr
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Thalia de GMédiateur
Trop nouveau sur néo.cristal a écrit:johel a écrit:(je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
Pourquoi?
Mais tu peux l'envoyer à John ou à un modo qui se feront un plaisir de le mettre pour toi.
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- cristalExpert spécialisé
Je m'en doutais mais je n'étais pas sûre.Thalia de G a écrit:Trop nouveau sur néo.cristal a écrit:johel a écrit:(je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
Pourquoi?
Merci.
- pkHabitué du forum
johel a écrit:Projet de décret et d'arrêté qui va être "validé" a priori d'ici à fin décembre 2011...
et appliqué dès la rentrée...
voir le détail sur le site du figaro et du café pédagogique pour les détails (je n'ai pas encore droit d'insérer des liens).
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/15/01016-20111115ARTFIG00580-les-enseignants-bientot-evalues-par-leurs-proviseurs.php
- pkHabitué du forum
Johel, il faut donner son ASV quand on arrive. Bon, en réalité, on passe par la case présentation et on ne touche pas 20000 Euros.
- InvitéInvité
- pkHabitué du forum
Le Figaro a écrit:«la surprotection qui entoure la fonction publique empêche la valorisation des bons enseignants pour protéger les moyens et les mauvais»
Kiki parle?
- cristalExpert spécialisé
Merci pour le lien, PK.
Mais pourquoi je ne peux pas m'empêcher de lire les commentaires? :marteau:
Mais pourquoi je ne peux pas m'empêcher de lire les commentaires? :marteau:
- Jim ThompsonExpert
la voix de son maître!
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- Thalia de GMédiateur
Qu'est-ce, pk ?pk a écrit:Johel, il faut donner son ASV quand on arrive. Bon, en réalité, on passe par la case présentation et on ne touche pas 20000 Euros.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
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- pkHabitué du forum
Age Sexe Ville, c'est du langage de d'jeuns.
- jehanneNiveau 8
pk a écrit:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/15/01016-20111115ARTFIG00580-les-enseignants-bientot-evalues-par-leurs-proviseurs.php
Les commentaires sont effrayants!
- Docteur OXGrand sage
jehanne a écrit:pk a écrit:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/15/01016-20111115ARTFIG00580-les-enseignants-bientot-evalues-par-leurs-proviseurs.php
Les commentaires sont effrayants!
Pas tous...
Exemple:
" Vu le nombre de chefs d'établissement alcooliques (et en service s'il vous plaît), ça promet !"
- AuroreEsprit éclairé
Quelques détails ici, par notre DRH préférée !
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/11/15112011_EvaluationEnseignants.aspx
Eh bien ça promet (vive "l'auto-évaluation") !
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/11/15112011_EvaluationEnseignants.aspx
Eh bien ça promet (vive "l'auto-évaluation") !
- johelNiveau 9
Des précisions effectivement dans le café pédagogique du jour :
Apparemment une application dès septembre 2012 ce qui entraînerai un gel des promotions jusqu'à 2015 !!! Là, je n'ai pas tout compris....
Mais si c'est vrai, ça veut dire que si on ne change pas d'échelon cette année et ben on sera bloqué jusqu'à 2015 sans changer...
Apparemment une application dès septembre 2012 ce qui entraînerai un gel des promotions jusqu'à 2015 !!! Là, je n'ai pas tout compris....
Mais si c'est vrai, ça veut dire que si on ne change pas d'échelon cette année et ben on sera bloqué jusqu'à 2015 sans changer...
- ysabelDevin
johel a écrit:Des précisions effectivement dans le café pédagogique du jour :
Apparemment une application dès septembre 2012 ce qui entraînerai un gel des promotions jusqu'à 2015 !!! Là, je n'ai pas tout compris.... sans doute si tu passais autrement qu'à l'ancienneté
Mais si c'est vrai, ça veut dire que si on ne change pas d'échelon cette année et ben on sera bloqué jusqu'à 2015 sans changer...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- micaschisteMonarque
et nous on évalue l'avancement de nos cde ???
ce serait un juste retour des choses...nous sommes bien placés pour ça, non ?
ce serait un juste retour des choses...nous sommes bien placés pour ça, non ?
- Spinoza1670Esprit éclairé
http://www.lemonde.fr/education/article/2011/11/16/controverse-autour-de-l-evaluation-des-enseignants_1604467_1473685.html
- Spoiler:
- Controverse autour de l'évaluation des enseignants
| 16.11.11 | 13h39 • Mis à jour le 16.11.11 | 18h04
Le vieil édifice sur lequel reposait l'évaluation des enseignants depuis la Libération est en train de s'effondrer. Deux documents de travail déjà très aboutis, révélés par le Café pédagogique mardi 15 novembre, prévoient, en collège et lycée, la mise en place d'une évaluation par le chef d'établissement - à la place de l'inspecteur - qui déterminera l'augmentation de salaire du professeur. Une véritable révolution.
Voilà près de deux ans que la directrice générale des ressources humaines du ministère de l'éducation nationale, Josette Théophile, y travaille. L'ancienne DRH de la RATP a été recrutée par le ministre de l'éducation, Luc Chatel, à l'automne 2009, pour "dynamiser", "personnaliser" et "déconcentrer" la gestion des ressources humaines, dit-elle. En somme, pour dépoussiérer une vieille machine qui fonctionne mal aux yeux de l'équipe Chatel.
Dès la rentrée 2012, devrait disparaître la fameuse "double notation" des enseignants : la note "administrative", attribuée par le chef d'établissement sur des critères comme la ponctualité, l'assiduité et la prise d'initiatives, et la note "pédagogique", la plus importante pour la carrière, donnée par l'inspecteur pédagogique régional après sa visite en classe.
Ce système mécontentait tout le monde. "Il n'est pas fiable, il est obsolète et injuste, car il ne repose que sur une inspection en classe qui a lieu à intervalles très irréguliers - au mieux tous les trois ans, parfois huit", soutient Marcel Pochard, conseiller d'Etat. Celui qui a présidé la commission sur l'évaluation du métier d'enseignant en 2008 se félicite de voir les choses "enfin" évoluer : "Tout système nouveau a de toute manière beaucoup de vertus face à un système qui ne va pas."
Dans le nouveau dispositif, c'est le chef d'établissement qui endosse le rôle d'évaluateur. Il mènera, tous les trois ans, un "entretien professionnel" avec chaque enseignant, indique le projet d'arrêté. Lors de cette rencontre, il évaluera quatre critères : la capacité à faire progresser chaque élève ; les "compétences dans sa discipline" ; la "pratique professionnelle dans l'action collective de l'établissement" (relations avec les parents d'élèves, investissement dans le projet d'établissement, etc.) ; et la "qualité du cadre de travail", afin qu'il soit "propice aux apprentissages et au partage des valeurs de la République". Il établira ensuite un "compte rendu" préconisant quelle augmentation de salaire il faut accorder à l'enseignant. Un modèle importé du secteur privé.
L'idée d'introduire des logiques managériales du privé dans l'administration n'est pas nouvelle. Dès 2006, une prime à la performance a été créée pour des hauts responsables au sein des ministères, puis, en 2008, pour l'ensemble des personnels de gestion de la fonction publique. En juillet 2010, un décret prévoyait de réformer "l'appréciation de la valeur professionnelle" des fonctionnaires d'ici à janvier 2012.
Sauf que, "jusqu'à présent, on avait écarté les enseignants de cette évolution, car on considérait que c'était un métier particulier", relève le sociologue Luc Rouban, directeur de recherches au CNRS et professeur à Sciences Po. La réforme de l'évaluation des enseignants est une étape majeure : "Elle révèle qu'aujourd'hui, les enseignants sont considérés comme des fonctionnaires comme les autres", poursuit le chercheur.
D'où l'indignation du SNES-FSU, le principal syndicat des professeurs du second degré. "C'est une déclaration de guerre !, dénonce Daniel Robin, son co-secrétaire général. Il n'est pas question que le chef d'établissement soit l'évaluateur. Il n'a pas les compétences pour évaluer le travail pédagogique des enseignants, il ne sait rien de ce qui se passe à l'intérieur de la classe. C'est comme si on évaluait les journalistes sur leur capacité à utiliser la machine à café le matin !" Certains syndicats, à l'inverse, estiment que le chef d'établissement sait mieux qu'un inspecteur ce qui se passe quotidiennement dans une classe. Tous, en revanche, craignent des relations de travail tendues. "Abus de pouvoir, favoritisme... On va retrouver les vieux problèmes du XIXe siècle, quand la gratification était donnée par le chef de service", soutient Luc Rouban.
Reste à savoir ce que vont devenir les inspecteurs, les grands absents de cette réforme. Dans les projets de texte, ils apparaissent peu, si ce n'est pour valider les résultats d'une "auto-évaluation" des enseignants qui seront discutés lors de l'entretien professionnel. Leurs missions sont justement en pleine mutation. Un texte publié fin août met en avant leur rôle de "pilotage de l'action éducative dans l'académie", au détriment de l'évaluation des enseignants. A terme, "ils sont amenés à disparaître", rapporte un haut fonctionnaire de l'éducation nationale.
Cette réforme a encore un long chemin à parcourir avant d'arriver dans les collèges et les lycées. Elle sera discutée avec les organisations syndicales, puis soumise au Conseil supérieur de l'éducation avant d'arriver au Conseil d'Etat.
Lors de sa convention éducation du 8 novembre, l'UMP a proposé de "mettre en place une évaluation des enseignants par le chef d'établissement", avec, dans les grands établissements, la nomination d'un enseignant "responsable disciplinaire" qui participerait à l'évaluation. Le PS met, lui, en avant un "regard croisé". Pour Bruno Julliard, secrétaire national à l'éducation, "l'évaluation des enseignants doit comprendre une évaluation extérieure, disciplinaire, celle de l'inspecteur, et une évaluation locale, éventuellement celle du chef d'établissement, pour mesurer l'implication des enseignants dans le projet de l'établissement". Le débat s'est déjà invité dans la campagne présidentielle.
Aurélie Collas
De 1 580 à 3 000 euros entre le début et la fin de carrière
En début de carrière, le salaire mensuel d'un enseignant s'élève à 1 580 euros net. Au bout de dix ans de carrière, il atteint entre 1 800 et 1 900 euros, entre 2 300 euros et 2 500 euros au bout de vingt ans, entre 2 500 euros et 3 000 euros au bout de trente ans. En fonction de leur notation, les professeurs changent d'échelons selon trois rythmes d'avancement : l'ancienneté, le "choix" et le "grand choix". Le projet de réforme de l'évaluation des enseignants modifie la grille d'avancement, remplacée par un "rythme unique". Le chef d'établissement pourra toutefois préconiser deux types de "réductions d'ancienneté", dans la limite d'un quota national, ce qui permettra d'atteindre des salaires plus élevés plus rapidement. Selon les syndicats d'enseignants, ce nouveau système se traduira par un gel des promotions et une diminution de la masse salariale.
Une étude de l'OCDE avait montré, en septembre, que le salaire moyen des enseignants français était inférieur à la moyenne des pays de l'OCDE. La France est aussi l'un des rares pays où le salaire moyen réel des professeurs n'a pas augmenté depuis 1995 (hors la manne des heures supplémentaires qu'ils se partagent).
Article paru dans l'édition du 17.11.11
Vos réactions (10)
• Champollion 18h18
Ce qui est remarquable, c'est qu'on importe les méthodes du privé sans le retour : à savoir une augmentation substantielle des salaires, le paiement des heures supplémentaires comme il se doit, les avantages des comités d'entreprise, les 13-14è mois dans les grosses boîtes, une médecine du travail. Répondre
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• ALAIN BONGIRAUD 16h51
Trois difficultés. D'abord, tous les chefs d'établissement n'ont pas été enseignants : il leur sera alors difficile de (bien) juger du travail des enseignants. Ensuite, le "copinage" comme les inimitiés (pour rester dans l'euphémisme) sont inévitables, indéniables. Enfin, comme dans toutes les professions, il est des personnes qui savent très bien se faire mousser, briller tout en étant... creux. Dès lors, quelle justice, quelle rigueur, quelle égalité dans cette évaluation ? Répondre
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o Jean-Pierre Gerbal 17h27
Copinage ? Et actuellement les inspecteurs n'ont pas de "favoris" ? Qui peut le croire ? Et qui ne voit comment se passe une inspection lors du repas de famille (l'équipe pédagogique) autour du maître à la cantine, tous aux petits soins comme si Dieu était descendu. Allons, si cette réforme est risquée (faute de formation rigoureuse à l'entretien professionnel), elle ne peut faire pire (ni plus coûteux) que le statu quo. Et il y aura toujours la possibilité de faire appel devant une CAPA.
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• Souvarine 16h14
"Il établira ensuite un "compte rendu" préconisant quelle augmentation de salaire il faut accorder à l'enseignant. Un modèle importé du secteur privé." Les profs ont intérêt à apporter la bouteille d'eau minérale et les chefs d'établissement devront envisager d'imperméabiliser leurs chaussures... Bonjour l'ambiance dans quelques années... Répondre
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o Jean-Pierre Gerbal 17h22
En quoi "a priori", un chef d'établissement serait-il plus arbitraire que la situation actuelle : il nous voit au quotidien alors que les inspecteurs ne nous voient qu'une heure tous les... Quant à sa décision, elle sera sous forme d'une réduction sur l'ancienneté pour progresser et non d'une prime. De plus ce n'est pas importé du privé mais de ce qui s'applique à tous les fonctionnaires. Enfin, c'est la suite logique d'un décret Jospin : le 2002-682, pris un mois avant son départ.
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• Ravachol 16h08
Contestable mais pas pire que la venue annoncée à l'avance et pour une heure seulement d'un inspecteur (pas toujours très au fait !) ! Combien de profs bien notés lors d'une inspection alors que ce sont ou c'étaient -je vieillis) des fumistes notoires ? Combien de profs mal notés pour avoir entretenu de mauvaises relations avec l'IPR ou l'IG (et vice-versa) ? Le système actuel n'est pas juste et est totalement infantilisant. Un prof de prépa [right]
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- Karine B.Guide spirituel
Le récent projet sur l’évaluation, destructeur pour nos métiers, néfaste pour nos carrières, doit être
combattu avec force ; le SNES-FSU en fera un des axes majeurs de la mobilisation de la profession
pour exiger le retrait du projet. Une pétition sera mise en circulation en direction de tous les collègues,
du matériel leur sera envoyé ainsi qu’aux établissements afin de construire la mobilisation contre ces
textes. Le SNES-FSU appelle à prendre des heures d’information syndicale, diversifier les initiatives à
l’exemple de ce qui avait été fait lors des projets Robien (limitation aux activités obligatoires, refus des
examens blancs…).
La détermination du SNES-FSU à construire une action de grève dans l’Education en décembre en est
d’autant renforcée. A cet effet, le SNES-FSU a immédiatement, après connaissance des projets, pris
contact avec les organisations du second degré pour leur proposer un plan d’actions communes incluant
pétition et grève. Cette grève actée par le SNES s’inscrit dans le plan général d’action.
Enfin, la CAN propose une manifestation nationale avant les vacances de février pour mettre au premier
plan les questions éducatives, réformes comme budget, notre plate-forme
combattu avec force ; le SNES-FSU en fera un des axes majeurs de la mobilisation de la profession
pour exiger le retrait du projet. Une pétition sera mise en circulation en direction de tous les collègues,
du matériel leur sera envoyé ainsi qu’aux établissements afin de construire la mobilisation contre ces
textes. Le SNES-FSU appelle à prendre des heures d’information syndicale, diversifier les initiatives à
l’exemple de ce qui avait été fait lors des projets Robien (limitation aux activités obligatoires, refus des
examens blancs…).
La détermination du SNES-FSU à construire une action de grève dans l’Education en décembre en est
d’autant renforcée. A cet effet, le SNES-FSU a immédiatement, après connaissance des projets, pris
contact avec les organisations du second degré pour leur proposer un plan d’actions communes incluant
pétition et grève. Cette grève actée par le SNES s’inscrit dans le plan général d’action.
Enfin, la CAN propose une manifestation nationale avant les vacances de février pour mettre au premier
plan les questions éducatives, réformes comme budget, notre plate-forme
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- HeisenbergHabitué du forum
Waldeck75 a écrit:Et qu'en est-il pour les PE?
Ce projet sur l'évaluation s'appliquerait à tous les corps de professeurs, du 1er comme du 2nd degré
- User5899Demi-dieu
Ouf, je ne dormais plusThalia de G a écrit:Yes, enfin
- Spoiler:
Réponse ironique, bien sûr
Merci pour l'info, ceci dit
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- Nouvelle évaluation par le chef d'établissement selon trois critères d'évaluation
- mardi 4 septembre 2012...
- 20 septembre 2012 : longue interview de Vincent Peillon par France Culture
- "Profs passionnés, élèves en difficulté" : "le trimestre de la dernière chance" sur M6 les 02 et 11 septembre 2012.
- Education : nouvelle grève fin septembre
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