- ThalieGrand sage
Article du Figaro et chronique intéressante (le pédagogisme étant dénoncé comme une des plus sûres raisons de choisir le privé) sur ce thème ce matin sur France Culture.
Afflux d'élèves dans les écoles catholiques
Cette année encore, l'enseignement catholique -qui représente 95% de l'enseignement privé- est confronté à une hausse de ses effectifs d'élèves. Ils sont 12.053 élèves de plus que l'an dernier à franchir les portes d'établissements catholiques qui accueillent plus de 2 millions d'enfants. «C'est un chiffre record, nous n'avions pas connu de progression aussi forte depuis 1991», affirme Éric de Labarre, le secrétaire général de l'enseignement catholique. Il est impossible aujourd'hui de dire si c'est plus ou moins que l'évolution démographique puisque les chiffres de l'enseignement public pour la rentrée 2011 ne sont pas connus. «Mais cette hausse confirme une tendance lourde observée depuis dix ans», insiste l'enseignement catholique. Selon les enquêtes disponibles sur le sujet, ce succès n'a plus grand-chose à voir avec l'instruction religieuse, un des derniers critères entrant en ligne de compte dans le choix des parents. C'est la qualité de l'encadrement qui est plébiscitée, suivie de la capacité de l'école catholique à s'adapter aux spécificités des enfants et à les faire s'épanouir. L'enseignement de la rigueur, de l'autorité mais aussi de la tolérance est apprécié, selon les sondages.
Pas de favoritisme
La progression de l'enseignement catholique est «quasi générale» en France, sauf dans les académies de Lille, de Dijon et de Clermont-Ferrand, qui perdent des élèves. La liberté de choix des familles n'est pas respectée, affirme Éric de Labarre, pointant le fait que «de 30.000 à 40.000 demandes d'inscription n'ont pu être satisfaites», cette année encore. Les demandes ont été particulièrement fortes en Ile-de-France et dans le Sud-Est, comme d'habitude, mais aussi en Bretagne et dans les Pays de la Loire. «Il devient difficile d'expliquer aux parents qu'on ne peut accepter leur enfant alors que les retraits d'emplois se poursuivent», dit-il. Le collège Sainte-Geneviève, à Asnières, a refusé 800 demandes, Jeanne-d'Arc, à Colombes, en a refusé 600. Alors qu'il a gagné 24.342 élèves depuis cinq ans, le privé a perdu 5.594 emplois dans la même période. «Contrairement à ce que j'entends parfois, l'enseignement privé n'est pas favorisé par rapport au public. Nous sommes logés à la même enseigne.»
Des classes de 38 élèves
Contractuels de droit public, les professeurs de l'enseignement catholique sous contrat passent le même concours que ceux du public et sont rémunérés par l'État. Ils n'échappent pas aux réductions des emplois de fonctionnaires en proportion de ses effectifs, soit un peu moins de 20% des élèves français. Les syndicats de l'enseignement public, eux, affirment que les suppressions de postes, en réalité toujours moindres que dans le public, approcheraient plutôt les 17%. Mais la situation de l'enseignement catholique est particulière: tous ses enseignants sont devant des élèves, ce qui n'est pas le cas du public, où l'on compte des enseignants en «surnombre» dans certaines disciplines, des remplaçants ou encore des professeurs spécialisés dans l'aide aux écoliers en difficulté. Le ministère tient donc compte de cette spécificité du privé lorsqu'il lui retire des postes. L'année dernière, les suppressions d'emplois avaient été «amorties» grâce aux emplois de stagiaires supprimés par le gouvernement. Mais, cette année, «nous avons subi les retraits d'emplois de plein fouet» et les effectifs s'en ressentent dans les classes, dit Éric de Labarre, affichant des classes de seconde «à 38» dans certains lycées. Une réforme «structurelle » est nécessaire si «on veut continuer ainsi », conclut-il.
Afflux d'élèves dans les écoles catholiques
Cette année encore, l'enseignement catholique -qui représente 95% de l'enseignement privé- est confronté à une hausse de ses effectifs d'élèves. Ils sont 12.053 élèves de plus que l'an dernier à franchir les portes d'établissements catholiques qui accueillent plus de 2 millions d'enfants. «C'est un chiffre record, nous n'avions pas connu de progression aussi forte depuis 1991», affirme Éric de Labarre, le secrétaire général de l'enseignement catholique. Il est impossible aujourd'hui de dire si c'est plus ou moins que l'évolution démographique puisque les chiffres de l'enseignement public pour la rentrée 2011 ne sont pas connus. «Mais cette hausse confirme une tendance lourde observée depuis dix ans», insiste l'enseignement catholique. Selon les enquêtes disponibles sur le sujet, ce succès n'a plus grand-chose à voir avec l'instruction religieuse, un des derniers critères entrant en ligne de compte dans le choix des parents. C'est la qualité de l'encadrement qui est plébiscitée, suivie de la capacité de l'école catholique à s'adapter aux spécificités des enfants et à les faire s'épanouir. L'enseignement de la rigueur, de l'autorité mais aussi de la tolérance est apprécié, selon les sondages.
Pas de favoritisme
La progression de l'enseignement catholique est «quasi générale» en France, sauf dans les académies de Lille, de Dijon et de Clermont-Ferrand, qui perdent des élèves. La liberté de choix des familles n'est pas respectée, affirme Éric de Labarre, pointant le fait que «de 30.000 à 40.000 demandes d'inscription n'ont pu être satisfaites», cette année encore. Les demandes ont été particulièrement fortes en Ile-de-France et dans le Sud-Est, comme d'habitude, mais aussi en Bretagne et dans les Pays de la Loire. «Il devient difficile d'expliquer aux parents qu'on ne peut accepter leur enfant alors que les retraits d'emplois se poursuivent», dit-il. Le collège Sainte-Geneviève, à Asnières, a refusé 800 demandes, Jeanne-d'Arc, à Colombes, en a refusé 600. Alors qu'il a gagné 24.342 élèves depuis cinq ans, le privé a perdu 5.594 emplois dans la même période. «Contrairement à ce que j'entends parfois, l'enseignement privé n'est pas favorisé par rapport au public. Nous sommes logés à la même enseigne.»
Des classes de 38 élèves
Contractuels de droit public, les professeurs de l'enseignement catholique sous contrat passent le même concours que ceux du public et sont rémunérés par l'État. Ils n'échappent pas aux réductions des emplois de fonctionnaires en proportion de ses effectifs, soit un peu moins de 20% des élèves français. Les syndicats de l'enseignement public, eux, affirment que les suppressions de postes, en réalité toujours moindres que dans le public, approcheraient plutôt les 17%. Mais la situation de l'enseignement catholique est particulière: tous ses enseignants sont devant des élèves, ce qui n'est pas le cas du public, où l'on compte des enseignants en «surnombre» dans certaines disciplines, des remplaçants ou encore des professeurs spécialisés dans l'aide aux écoliers en difficulté. Le ministère tient donc compte de cette spécificité du privé lorsqu'il lui retire des postes. L'année dernière, les suppressions d'emplois avaient été «amorties» grâce aux emplois de stagiaires supprimés par le gouvernement. Mais, cette année, «nous avons subi les retraits d'emplois de plein fouet» et les effectifs s'en ressentent dans les classes, dit Éric de Labarre, affichant des classes de seconde «à 38» dans certains lycées. Une réforme «structurelle » est nécessaire si «on veut continuer ainsi », conclut-il.
- lene75Prophète
Ma CDE nous a rassurés : nos élèves ne peuvent plus partir vers le privé car les lycées privés alentour "explosent"... Alors ça c'est une sacrée bonne nouvelle :colere:
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- micaschisteMonarque
Qui a vu le journal de 20h sr France 2 sur un sujet proche ?
A la fin, le reportage disait que l'enseignement catholique a su mettre en place des méthodes innovantes et qu'ils étaient des précurseurs (un truc dans le genre). Ils ont évoqué l'enseignement par visio-conférence
Le reportage n'est pas encore disponible en replay.
A la fin, le reportage disait que l'enseignement catholique a su mettre en place des méthodes innovantes et qu'ils étaient des précurseurs (un truc dans le genre). Ils ont évoqué l'enseignement par visio-conférence
Le reportage n'est pas encore disponible en replay.
- AmaliahEmpereur
Moi je vois plutôt l'école privée comme une école aux méthodes traditionnelles et exigeantes, loin de tout pédagogisme à la noix et de toute innovation.
Mes enfants sont dans le privé pour diverses raisons et je suis tout à fait d'accord avec ce qui suit (je copie-colle):
C'est la qualité de l'encadrement qui est plébiscitée, suivie de la capacité de l'école catholique à s'adapter aux spécificités des enfants et à les faire s'épanouir. L'enseignement de la rigueur, de l'autorité mais aussi de la tolérance est apprécié.
Mes enfants sont dans le privé pour diverses raisons et je suis tout à fait d'accord avec ce qui suit (je copie-colle):
C'est la qualité de l'encadrement qui est plébiscitée, suivie de la capacité de l'école catholique à s'adapter aux spécificités des enfants et à les faire s'épanouir. L'enseignement de la rigueur, de l'autorité mais aussi de la tolérance est apprécié.
- Jim ThompsonExpert
et leurs effectifs montent, ils recrutent à notre détriment en fait
car les élèves chez eux font chuter les effectifs chez nous et baisser nos dhg
la loi d ela concurrence
l'état leur file du fric, nous on nous supprime des postes
il ne devrait y avoir qu'une école, la laique!
car les élèves chez eux font chuter les effectifs chez nous et baisser nos dhg
la loi d ela concurrence
l'état leur file du fric, nous on nous supprime des postes
il ne devrait y avoir qu'une école, la laique!
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- lene75Prophète
Il faut quand même avouer que le public n'est pas responsable de tout ce qui fait fuir vers le privé : autour de chez moi en tout cas, beaucoup de gens mettent leurs enfants dans le privé juste pour qu'ils ne soient pas avec les mômes pas élevés que le public est obligé de se trimballer et qui pourrissent les classes. Quand des élèves posent trop de pbs de discipline dans le privé, ils nous reviennent
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Jim ThompsonExpert
je n'ai pas dit que le public faisait fuir vers le privé
je déplore cette fuite
c'est la casse de l'école publique qui favorise l'école privée
je déplore cette fuite
c'est la casse de l'école publique qui favorise l'école privée
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- MrBrightsideEmpereur
BLAGUE DE MAUVAIS GOUT, KTHXBAI
Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
- Jim ThompsonExpert
c'est intéressant de dire que c'est de la faute des collègues...
vu tes autres postes tu bosses en prépa, loin de la réalité des collègues
et vu l'âge affiché ça fait pas trop longtemps que tu taffes
donc je trouve que tes critiques elles sont injustes et infondées
et dire que c'est une bonne chose de se barrer dans le privé, c'est que tu penses pas aux collègues menacés de carte scolaire
moi je suis pour la suppression de l'école privée , je suis pour sabrer la goupillon
vu tes autres postes tu bosses en prépa, loin de la réalité des collègues
et vu l'âge affiché ça fait pas trop longtemps que tu taffes
donc je trouve que tes critiques elles sont injustes et infondées
et dire que c'est une bonne chose de se barrer dans le privé, c'est que tu penses pas aux collègues menacés de carte scolaire
moi je suis pour la suppression de l'école privée , je suis pour sabrer la goupillon
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- frankensteinVénérable
J'ai mordu ! Mais bon, je ne trouve pas cela très drôle. :Gné:MrBrightside a écrit:Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- MrBrightsideEmpereur
frankenstein a écrit:J'ai mordu ! Mais bon, je ne trouve pas cela très drôle. :Gné:MrBrightside a écrit:Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
Bon ben si l'humour noir ne fait rire que moi heing, je retire la "blagouze"
- Jim ThompsonExpert
moi non plus je trouve pas ça drôlefrankenstein a écrit:J'ai mordu ! Mais bon, je ne trouve pas cela très drôle. :Gné:MrBrightside a écrit:Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
peut être qu'il bosse dans le privé macfly
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- frankensteinVénérable
Pas grave MrBrightside...Sinon, j'ai mon idée quant à la fuite vers le privé, du moins dans ma région...Je sais que je me fais incendier à chaque fois que je l'évoque.
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- MrBrightsideEmpereur
Jim Thompson a écrit:moi non plus je trouve pas ça drôlefrankenstein a écrit:J'ai mordu ! Mais bon, je ne trouve pas cela très drôle. :Gné:MrBrightside a écrit:Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
peut être qu'il bosse dans le privé macfly
Et peut-être "qu'il" mange des enfants.
Si t'avais si bien lu mes autres posts, tu saurai
1) que je bosse dans une prépa certes, mais incluse dans un lycée général et technologique public (oui, je bosse en prépa quand-même, excusez moi)
2) que le jour où j'utiliserai "payday" comme une insulte, les poules auront des dents
et tu en aurai déduis que certes, j'ai un humour a chier, mais qu'au fond je ne suis pas si méchant.
- Pierre_au_carréGuide spirituel
lene75 a écrit: Quand des élèves posent trop de pbs de discipline dans le privé, ils nous reviennent
Les parents disent : "Si tu continues, on va te mettre dans le public !" :lol:
- micaschisteMonarque
le reportage de ce soir sur France 2 au 20h sur le même sujet
http://jt.france2.fr/20h/
de 4 min à 5min 25
http://jt.france2.fr/20h/
de 4 min à 5min 25
- frankensteinVénérable
:lol!:Pierre_au_carré a écrit:lene75 a écrit: Quand des élèves posent trop de pbs de discipline dans le privé, ils nous reviennent
Les parents disent : "Si tu continues, on va te mettre dans le public !" :lol:
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- totoroMonarque
MrBrightside a écrit:BLAGUE DE MAUVAIS GOUT, KTHXBAI
Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
Mais comment faire quand il y a des profs payday dans le privé???
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- MrBrightsideEmpereur
totoro a écrit:MrBrightside a écrit:BLAGUE DE MAUVAIS GOUT, KTHXBAI
Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
Mais comment faire quand il y a des profs payday dans le privé???
On les dénonce et ils se font virer?
- Jim ThompsonExpert
mais en moment je démarre au 1/4 de tour sur tout ce qui va contre l'école publique, pas le tempsMrBrightside a écrit:Jim Thompson a écrit:moi non plus je trouve pas ça drôlefrankenstein a écrit:J'ai mordu ! Mais bon, je ne trouve pas cela très drôle. :Gné:MrBrightside a écrit:Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
peut être qu'il bosse dans le privé macfly
Et peut-être "qu'il" mange des enfants.
Si t'avais si bien lu mes autres posts, tu saurai
1) que je bosse dans une prépa certes, mais incluse dans un lycée général et technologique public (oui, je bosse en prépa quand-même, excusez moi)
2) que le jour où j'utiliserai "payday" comme une insulte, les poules auront des dents
et tu en aurai déduis que certes, j'ai un humour a chier, mais qu'au fond je ne suis pas si méchant.
situation ultra sous pression
- totoroMonarque
MrBrightside a écrit:totoro a écrit:MrBrightside a écrit:BLAGUE DE MAUVAIS GOUT, KTHXBAI
Mouais, ce sont surtout tout ces profs payday qui font fuir les enfants qui vont, à juste titre, se réfugier dans le privé.
Quelqu'un va-t-il mordre?
Mais comment faire quand il y a des profs payday dans le privé???
On les dénonce et ils se font virer?
Même pas!
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- JPhMMDemi-dieu
Gné ???Une réforme «structurelle » est nécessaire si «on veut continuer ainsi », conclut-il.
Id est ???
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
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