- MufabGrand Maître
que je pourrais mettre en réseau avec la litté ?
/mais pas des haikus - que j'aborderai en lecture-prod - quelque chose de plus long. /
Si quelqu'un a ça en tête, merci d'avance !
/mais pas des haikus - que j'aborderai en lecture-prod - quelque chose de plus long. /
Si quelqu'un a ça en tête, merci d'avance !
- tegamiJe viens de m'inscrire !
Peut-être "Le Daïmio" de José-Maria de Hérédia (in Les Trophées)
mais c'est peut-être trop complexe comme sonnet ???
"Sous le noir fouet de guerre à quadruple pompon,
L'étalon belliqueux en hennissant se cabre
Et fait bruire, avec des cliquetis de sabre,
La cuirasse de bronze aux lames du jupon.
Le Chef vêtu d'airain, de laque et de crépon,
Ôtant le masque à poils de son visage glabre,
Regarde le volcan sur un ciel de cinabre
Dresser la neige où rit l'aurore du Nippon.
Mais il a vu, vers l'Est éclaboussé d'or, l'astre,
Glorieux d'éclairer ce matin de désastre,
Poindre, orbe éblouissant, au-dessus de la mer ;
Et, pour couvrir ses yeux dont pas un cil ne bouge,
Il ouvre d'un seul coup son éventail de fer
Où dans le satin blanc se lève un Soleil rouge."
mais c'est peut-être trop complexe comme sonnet ???
"Sous le noir fouet de guerre à quadruple pompon,
L'étalon belliqueux en hennissant se cabre
Et fait bruire, avec des cliquetis de sabre,
La cuirasse de bronze aux lames du jupon.
Le Chef vêtu d'airain, de laque et de crépon,
Ôtant le masque à poils de son visage glabre,
Regarde le volcan sur un ciel de cinabre
Dresser la neige où rit l'aurore du Nippon.
Mais il a vu, vers l'Est éclaboussé d'or, l'astre,
Glorieux d'éclairer ce matin de désastre,
Poindre, orbe éblouissant, au-dessus de la mer ;
Et, pour couvrir ses yeux dont pas un cil ne bouge,
Il ouvre d'un seul coup son éventail de fer
Où dans le satin blanc se lève un Soleil rouge."
- AemiliaExpert
tegami a écrit:Peut-être "Le Daïmio" de José-Maria de Hérédia (in Les Trophées)
mais c'est peut-être trop complexe comme sonnet ???
"Sous le noir fouet de guerre à quadruple pompon,
L'étalon belliqueux en hennissant se cabre
Et fait bruire, avec des cliquetis de sabre,
La cuirasse de bronze aux lames du jupon.
Le Chef vêtu d'airain, de laque et de crépon,
Ôtant le masque à poils de son visage glabre,
Regarde le volcan sur un ciel de cinabre
Dresser la neige où rit l'aurore du Nippon.
Mais il a vu, vers l'Est éclaboussé d'or, l'astre,
Glorieux d'éclairer ce matin de désastre,
Poindre, orbe éblouissant, au-dessus de la mer ;
Et, pour couvrir ses yeux dont pas un cil ne bouge,
Il ouvre d'un seul coup son éventail de fer
Où dans le satin blanc se lève un Soleil rouge."
J'aime bien ce poème (et Heredia que j'ai découvert cette année, en cherchant pour mes 5e des sonnets en rapport avec le voyage...). Par contre, j'avoue que le mot "pompon" au 1er vers me gène un peu (même si j'imagine bien qu'il n'y a absolument rien de comique dans ce poème, ce que ce mot me met en tête ne correspond pas vraiment à l'ambiance voulue !) lol
- MufabGrand Maître
Merci Tegami !
Mais effectivement, c'est (h)ardu pour des ce2.
Mais effectivement, c'est (h)ardu pour des ce2.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum