- Invité19Esprit sacré
je vais donner ça comme sujet pour s'entrainer en 1e à analyser un sujet de compo.
J'ai des idées pour les grandes parties, mais je doute sur le découpage chrono. J'aurais donc voulu savoir comment vous auriez traité le sujet...
(j'ai un peu honte de demander ça mais c'est vraiment important pour mon cours demain). Et il m'intéresse de voir à quels grands moments charnière vous pensez
J'ai des idées pour les grandes parties, mais je doute sur le découpage chrono. J'aurais donc voulu savoir comment vous auriez traité le sujet...
(j'ai un peu honte de demander ça mais c'est vraiment important pour mon cours demain). Et il m'intéresse de voir à quels grands moments charnière vous pensez
- Marie LaetitiaBon génie
Mon essai va avoir de quoi faire rire, vu que ça fait des années que je n'ai pas bossé là-dessus. Les principales étapes (c'est pour la France ou le monde?):
- 1850 jusqu'à l'introduction de la standardisation des méthodes de prod (années 30 pour la France???) (avec le probl du développement de la mécanisation, les contestations, conditions de vie misérables, conditions spé du travail des femmes et des enfants, les premières lois de limitation du travail des enfants)
- De la standardisation jusqu'aux années 1980 (véritable culture ouvrière, amélioration conditions de vie, avec congés payés etc)
- 1980 à nos jours, démantèlements d'usines, fermeture des dernières mines, transferts d'usines en Asie et en Afrique, devenir de pop. qui ont du mal à sortir du chômage.
Mais je dis peut-être des bêtises. Sur la culture ouvrière, il y a pas mal de choses dans les bouquins de SES (enfin le progr de la fin des années 90, classes de T)
- 1850 jusqu'à l'introduction de la standardisation des méthodes de prod (années 30 pour la France???) (avec le probl du développement de la mécanisation, les contestations, conditions de vie misérables, conditions spé du travail des femmes et des enfants, les premières lois de limitation du travail des enfants)
- De la standardisation jusqu'aux années 1980 (véritable culture ouvrière, amélioration conditions de vie, avec congés payés etc)
- 1980 à nos jours, démantèlements d'usines, fermeture des dernières mines, transferts d'usines en Asie et en Afrique, devenir de pop. qui ont du mal à sortir du chômage.
Mais je dis peut-être des bêtises. Sur la culture ouvrière, il y a pas mal de choses dans les bouquins de SES (enfin le progr de la fin des années 90, classes de T)
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Invité19Esprit sacré
merci ML, j'hésite beaucoup entre ton plan et celui que je viens de poster sur "ma rentrée de stagiaire". je pense que le tien est meilleur pour les 2 premières grandes parties, en ce qui concerne le choix de la rupture chrono.
je n'ai hélas pas de temps devant moi pour me plonger dans les bouquins de ses !
si tu veux bien me donner ton avis sur ce que j'ai posté...
merci beaucoup en tout cas.
sinon, c'était pour la France
je n'ai hélas pas de temps devant moi pour me plonger dans les bouquins de ses !
si tu veux bien me donner ton avis sur ce que j'ai posté...
merci beaucoup en tout cas.
sinon, c'était pour la France
- boris vassilievGrand sage
Oiseau, ton plan me semble convenir tout à fait.
Ce sur quoi je m'interroge, c'est sur l'exercice en soi : si ce n'est pas le plan que tu as suivi en cours, les élèves vont avoir beaucoup de mal à trouver un tel plan.
Comment comptes-tu t'y prendre pour cet exercice ?
Ce sur quoi je m'interroge, c'est sur l'exercice en soi : si ce n'est pas le plan que tu as suivi en cours, les élèves vont avoir beaucoup de mal à trouver un tel plan.
Comment comptes-tu t'y prendre pour cet exercice ?
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Invité19Esprit sacré
en fait je leur ai demandé de lire les pages du livre sur le sujet, à la maison.
Demain, je leur propose le sujet en question, et je leur montre comment on analyse un sujet. Puis, ils me donnent les grandes idées qu'ils ont retenues de leur lecture. Enfin, on essaye d'organiser ça en 3 grandes parties, et éventuellement je leur donne mon plan détaillé, qui inclura bien sûr ce qu'ils avaient lu, mais aussi des compléments (tout n'est pas dans le livre).
qu'en pensez vous ? du coup ça leur servira à la fois d'entrainement à la compo (de façon soft), et de trace écrite, car je n'ai pas encore traité cette sous partie avec eux.
du coup je ne sais pas si je garde mon plan avec 1945 comme rupture approximative, ou si je reprends celui de ML. J'hésite vraiment !
Demain, je leur propose le sujet en question, et je leur montre comment on analyse un sujet. Puis, ils me donnent les grandes idées qu'ils ont retenues de leur lecture. Enfin, on essaye d'organiser ça en 3 grandes parties, et éventuellement je leur donne mon plan détaillé, qui inclura bien sûr ce qu'ils avaient lu, mais aussi des compléments (tout n'est pas dans le livre).
qu'en pensez vous ? du coup ça leur servira à la fois d'entrainement à la compo (de façon soft), et de trace écrite, car je n'ai pas encore traité cette sous partie avec eux.
du coup je ne sais pas si je garde mon plan avec 1945 comme rupture approximative, ou si je reprends celui de ML. J'hésite vraiment !
- boris vassilievGrand sage
ça devrait aller dans la mesure où pour le plan tu vas davantage "montrer" comment on peut organiser qu'attendre le plan des élèves, du moins pas de manière individuelle : c'est toi qui va faire le plan à partir de leurs idées.
Et à partir de là, je suppose que tu vas leur donner les consignes plus générales pour faire une intro et conclu et présenter leur développement.
Mais en contrôle, ne t'amuse pas (pour l'instant du moins) à leur donner un sujet qui ne reprend pas le plan du cours car presque personne ne va y arriver.
Et à partir de là, je suppose que tu vas leur donner les consignes plus générales pour faire une intro et conclu et présenter leur développement.
Mais en contrôle, ne t'amuse pas (pour l'instant du moins) à leur donner un sujet qui ne reprend pas le plan du cours car presque personne ne va y arriver.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- BélinacFidèle du forum
Spontanément je pense , comme découpage chronologique à :
- 1850 /1914 : les ouvriers passent de la misère à la précarité, travaillent majoritairement dans des petits ateliers à la campagne ou dans de petites villes...
- 1919/1975 : les ouvriers d ' usine qui travaillent dans les villes moyennes ou grandes deviennent majoritaires. Augmentation du niveau de vie, amélioration de la protection sociale et diminution du temps de travail (journée de 8 heures , congés payés , ect...) ...A nuancer cependant pour les années 30 ( chômage ... )
- Depuis 1975 : reflux des effectifs et différenciation accentuée entre les ouvriers qualifiés et les autres...
- 1850 /1914 : les ouvriers passent de la misère à la précarité, travaillent majoritairement dans des petits ateliers à la campagne ou dans de petites villes...
- 1919/1975 : les ouvriers d ' usine qui travaillent dans les villes moyennes ou grandes deviennent majoritaires. Augmentation du niveau de vie, amélioration de la protection sociale et diminution du temps de travail (journée de 8 heures , congés payés , ect...) ...A nuancer cependant pour les années 30 ( chômage ... )
- Depuis 1975 : reflux des effectifs et différenciation accentuée entre les ouvriers qualifiés et les autres...
- Invité19Esprit sacré
je vois qu'on est tous d'accord pour la deuxième rupture chrono, à peu près...
comme je le mettais sur l'autre post, j'avais pensé à :
) De 1850 à 1945 : la progressive affirmation du monde ouvrier via un sentiment de classe
- passage de l'atelier à l'usine, en parallèle de l'industrialisation (RI). L'exode rural nourrit le secteur secondaire, ouvriers paysans qui existent encore au XIXe.
- un sentiment de classe qui s'affirme davantage avec les luttes sociales de l'entre deux guerres (Front pop), au moment où le taylo-fordisme s'impose et où les ouvriers façonnent une identité non plus liée à un savoir faire mais à une condition sociale. Attachement au socialisme, puis communisme, syndicalisation forte, luttes diverses pour le temps de travail, les conditions de vie.
II) 1945 -> 1970s : l'apogée du monde ouvrier lors des Trente glorieuses
- forte industrialisation liée à la reconstruction puis à l'entrée dans l'ère de la société de consommation => apogée numérique
- la main d'oeuvre ouvrière poursuit le processus de diversification amorcée dans l'entre deux guerres, avec OS qui se recrutent en partie chez les immigrés auxquels on fait appel / OQ qui profitent davantage de la société de consommation. Moment de plein emploi.
- époque de grande force du PC, liée à ce vote ouvrier
III) 1970s -> nos jours : un monde ouvrier en crise ?
- désindustrialisation liée à la crise notamment, délocalisation, automatisation : baisse du nombre d'ouvriers car chômage / en parallèle, tertiarisation et féminisation
- évolution du métier : automatisation croissante (toyotisme) qui fait disparaître progressivement la catégorie des OS au profit des ouvriers de fabrication, qualification plus élevée, polyvalence plus importante, mais comme pendant les 30s, demeurent des postes peu qualifiés, souvent réservés aux femmes en milieu rural ou aux immigrés
donc je ne sais pas trop...
comme je le mettais sur l'autre post, j'avais pensé à :
) De 1850 à 1945 : la progressive affirmation du monde ouvrier via un sentiment de classe
- passage de l'atelier à l'usine, en parallèle de l'industrialisation (RI). L'exode rural nourrit le secteur secondaire, ouvriers paysans qui existent encore au XIXe.
- un sentiment de classe qui s'affirme davantage avec les luttes sociales de l'entre deux guerres (Front pop), au moment où le taylo-fordisme s'impose et où les ouvriers façonnent une identité non plus liée à un savoir faire mais à une condition sociale. Attachement au socialisme, puis communisme, syndicalisation forte, luttes diverses pour le temps de travail, les conditions de vie.
II) 1945 -> 1970s : l'apogée du monde ouvrier lors des Trente glorieuses
- forte industrialisation liée à la reconstruction puis à l'entrée dans l'ère de la société de consommation => apogée numérique
- la main d'oeuvre ouvrière poursuit le processus de diversification amorcée dans l'entre deux guerres, avec OS qui se recrutent en partie chez les immigrés auxquels on fait appel / OQ qui profitent davantage de la société de consommation. Moment de plein emploi.
- époque de grande force du PC, liée à ce vote ouvrier
III) 1970s -> nos jours : un monde ouvrier en crise ?
- désindustrialisation liée à la crise notamment, délocalisation, automatisation : baisse du nombre d'ouvriers car chômage / en parallèle, tertiarisation et féminisation
- évolution du métier : automatisation croissante (toyotisme) qui fait disparaître progressivement la catégorie des OS au profit des ouvriers de fabrication, qualification plus élevée, polyvalence plus importante, mais comme pendant les 30s, demeurent des postes peu qualifiés, souvent réservés aux femmes en milieu rural ou aux immigrés
donc je ne sais pas trop...
- Invité19Esprit sacré
boris vassiliev a écrit:ça devrait aller dans la mesure où pour le plan tu vas davantage "montrer" comment on peut organiser qu'attendre le plan des élèves, du moins pas de manière individuelle : c'est toi qui va faire le plan à partir de leurs idées.
Et à partir de là, je suppose que tu vas leur donner les consignes plus générales pour faire une intro et conclu et présenter leur développement.
Mais en contrôle, ne t'amuse pas (pour l'instant du moins) à leur donner un sujet qui ne reprend pas le plan du cours car presque personne ne va y arriver.
je pense que je vais faire ça lors d'un exercice ultérieur ! je veux que ce soit progressif comme apprentissage, donc là ce serait analyse de sujet, organisation des idées.
et en effet, en contrôle, je ne vais pas encore donner d'exos de ce genre (peut être un exercice d'analyse de sujet sur une sous partie déjà traitée)
- Invité19Esprit sacré
Avec les idées de ML et de Bélinac, mais en gardant mon plan, ça donne ça :
I) De 1850 à 1945 : la progressive affirmation du monde ouvrier via un sentiment de classe
- passage de l'atelier à l'usine, en parallèle de l'industrialisation (RI). L'exode rural nourrit le secteur secondaire, ouvriers paysans qui existent encore au XIXe.
- conscience ouvrière avec grandes grèves de la fin du XIXe (Fourmies, création de la CGT en 1895) et conditions de travail des femmes et des enfants + la grosse différence de salaire.
parenthèse qu'a constitué la 1° GM dans le travail des femmes.
- un sentiment de classe qui s'affirme davantage encore avec les luttes sociales de l'entre deux guerres (Front pop), au moment où le taylo-fordisme s'impose et où les ouvriers façonnent une identité non plus liée à un savoir faire mais à une condition sociale. Attachement au socialisme, puis communisme, syndicalisation forte, luttes diverses (journée de 8h)
II) 1945 -> 1970s : l'apogée du monde ouvrier lors des Trente glorieuses
- forte industrialisation liée à la reconstruction puis à l'entrée dans l'ère de la société de consommation => apogée numérique
- la main d'oeuvre ouvrière poursuit le processus de diversification amorcée dans l'entre deux guerres, avec OS qui se recrutent en partie chez les immigrés auxquels on fait appel / OQ qui profitent davantage de la société de consommation. Moment de plein emploi.
- époque de grande force du PC, liée à ce vote ouvrier
III) 1970s -> nos jours : un monde ouvrier en crise ?
- désindustrialisation liée à la crise notamment, délocalisation, automatisation : baisse du nombre d'ouvriers car chômage / en parallèle, tertiarisation et féminisation
=> les pop ouvrières réduites au chômage, régions sinistrées (Nord Pas de Calais)
- évolution du métier : automatisation croissante (toyotisme) qui fait disparaître progressivement la catégorie des OS au profit des ouvriers de fabrication, qualification plus élevée, polyvalence plus importante, mais comme pendant les 30s, demeurent des postes peu qualifiés, souvent réservés aux femmes en milieu rural ou aux immigrés
- perte d'une culture ouvrière commune à cause de la diversification des métiers. La culture ouvrière devient un mythe. On s'y raccroche mais elle n'a plus de réalité. + évol politique avec recul du communisme (et vote extrême-droite en // )
I) De 1850 à 1945 : la progressive affirmation du monde ouvrier via un sentiment de classe
- passage de l'atelier à l'usine, en parallèle de l'industrialisation (RI). L'exode rural nourrit le secteur secondaire, ouvriers paysans qui existent encore au XIXe.
- conscience ouvrière avec grandes grèves de la fin du XIXe (Fourmies, création de la CGT en 1895) et conditions de travail des femmes et des enfants + la grosse différence de salaire.
parenthèse qu'a constitué la 1° GM dans le travail des femmes.
- un sentiment de classe qui s'affirme davantage encore avec les luttes sociales de l'entre deux guerres (Front pop), au moment où le taylo-fordisme s'impose et où les ouvriers façonnent une identité non plus liée à un savoir faire mais à une condition sociale. Attachement au socialisme, puis communisme, syndicalisation forte, luttes diverses (journée de 8h)
II) 1945 -> 1970s : l'apogée du monde ouvrier lors des Trente glorieuses
- forte industrialisation liée à la reconstruction puis à l'entrée dans l'ère de la société de consommation => apogée numérique
- la main d'oeuvre ouvrière poursuit le processus de diversification amorcée dans l'entre deux guerres, avec OS qui se recrutent en partie chez les immigrés auxquels on fait appel / OQ qui profitent davantage de la société de consommation. Moment de plein emploi.
- époque de grande force du PC, liée à ce vote ouvrier
III) 1970s -> nos jours : un monde ouvrier en crise ?
- désindustrialisation liée à la crise notamment, délocalisation, automatisation : baisse du nombre d'ouvriers car chômage / en parallèle, tertiarisation et féminisation
=> les pop ouvrières réduites au chômage, régions sinistrées (Nord Pas de Calais)
- évolution du métier : automatisation croissante (toyotisme) qui fait disparaître progressivement la catégorie des OS au profit des ouvriers de fabrication, qualification plus élevée, polyvalence plus importante, mais comme pendant les 30s, demeurent des postes peu qualifiés, souvent réservés aux femmes en milieu rural ou aux immigrés
- perte d'une culture ouvrière commune à cause de la diversification des métiers. La culture ouvrière devient un mythe. On s'y raccroche mais elle n'a plus de réalité. + évol politique avec recul du communisme (et vote extrême-droite en // )
- Marie LaetitiaBon génie
ça me semble parfait comme ça!
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Invité19Esprit sacré
super !!!
merci beaucoup à tous, comme ça je me sens plus sûre de moi pour demain. Evidemment je n'ai pas autant détaillé les passages de mon cours sur paysans et classes moyennes / tertiaire, mais au moins ils auront un début d'entrainement à la compo, et ils seront au point sur les ouvriers
merci beaucoup à tous, comme ça je me sens plus sûre de moi pour demain. Evidemment je n'ai pas autant détaillé les passages de mon cours sur paysans et classes moyennes / tertiaire, mais au moins ils auront un début d'entrainement à la compo, et ils seront au point sur les ouvriers
- *Fifi*Modérateur
Euh, je remonte ce que tu viens de dire : peux tu expliciter ? Je pensais en devoir donner un sujet sur les évolutions de la croissance économique - ce qui certes suivrait le plan de mon cours, mais il faudrait qu'ils y rajoutent les économies-monde, traités ensuite dans une autre partie). Trop dur ?boris vassiliev a écrit:
Mais en contrôle, ne t'amuse pas (pour l'instant du moins) à leur donner un sujet qui ne reprend pas le plan du cours car presque personne ne va y arriver.
- boris vassilievGrand sage
Donc ce serait un sujet intitulé "Croissance et mondialisation depuis 1850" ou un truc comme ça ?
Ce n'est pas trop vaste ? On peut tabler sur un devoir d'environ 4 pages en 2h, je pense.
Si le devoir que tu attends n'est pas beaucoup plus long que ça et s'ils peuvent suivre le plan du cours, ça doit faire. Mais s'il faut qu'ils "inventent" le plan eux-mêmes, ça risque d'être dur. (Au bac même, depuis bien longtemps, les sujets de compo étaient des sujets de cours (une compo = un chapitre ou une partie de chapitre), pour que les élèves puissent reprendre le plan de leur cours.
Ce n'est pas trop vaste ? On peut tabler sur un devoir d'environ 4 pages en 2h, je pense.
Si le devoir que tu attends n'est pas beaucoup plus long que ça et s'ils peuvent suivre le plan du cours, ça doit faire. Mais s'il faut qu'ils "inventent" le plan eux-mêmes, ça risque d'être dur. (Au bac même, depuis bien longtemps, les sujets de compo étaient des sujets de cours (une compo = un chapitre ou une partie de chapitre), pour que les élèves puissent reprendre le plan de leur cours.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- *Fifi*Modérateur
Je pensais à un sujet comme ca oui. Mais ce sera en une heure pour le premier. Je demanderai une intro (/5), un plan détaillé (/5), une conclu (/2) et à l'intérieur du plan des dates et des définitions (/7).
Mon cours est organisé comme cela : (j'ai détaillé plus, mais c'ets pour donner une idée)
I. la croissance éco et ses différentes phases depuis 1850
A/ La 2eme R.I : 1850-1945
B/ Les 30 Glorieuses et les 20 piteuses
II. Les économies-monde successives :
A/ la GB : première économie monde
B/ Les EU : la nouvelle superpuissance
C/ L'instauration d'un monde multipolaire par la mondialisation
Qu'en penses-tu ? C'est un sujet faisable, non ?
Mon cours est organisé comme cela : (j'ai détaillé plus, mais c'ets pour donner une idée)
I. la croissance éco et ses différentes phases depuis 1850
A/ La 2eme R.I : 1850-1945
B/ Les 30 Glorieuses et les 20 piteuses
II. Les économies-monde successives :
A/ la GB : première économie monde
B/ Les EU : la nouvelle superpuissance
C/ L'instauration d'un monde multipolaire par la mondialisation
Qu'en penses-tu ? C'est un sujet faisable, non ?
- KilmenyEmpereur
Je l'ai traité en Khâgne. Mais je ne me souviens de rien.
_________________
Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- boris vassilievGrand sage
C'est le même plan que le mien.
Avec mon cours, ce n'est pas faisable car trop long, mais comme d'une part tu as fais ça beaucoup plus rapidement, et que d'autre part tu ne demandes que le plan détaillé en plus de l'intro et conclu, il ne doit pas y avoir de problème.
Avec mon cours, ce n'est pas faisable car trop long, mais comme d'une part tu as fais ça beaucoup plus rapidement, et que d'autre part tu ne demandes que le plan détaillé en plus de l'intro et conclu, il ne doit pas y avoir de problème.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- *Fifi*Modérateur
Beaucoup trop rapidement
Merci Boris
Merci Boris
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Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
https://www.neoprofs.org/t36320-bdd-hg-reglement
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- Plan E-Education : les entreprises dirigées par les chefs de projet de ce plan remportent chacune une subvention de 625 000 minimum.
- Déborah Elalouf, chef de projet du plan E-Education, a dû se féliciter elle-même des subventions attribuées par ce plan à Tralalère... sa propre société.
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