- InvitéInvité
Bonjour,
je n'ai pas d'idée pour faire une séance d'inspection originale sur les Fourberies.
pouvez-vous me proposer des pistes svp?
Nous avons juste vu l'acte I (scène 1 et 2) et la suite.
Merci d'avance!
je n'ai pas d'idée pour faire une séance d'inspection originale sur les Fourberies.
pouvez-vous me proposer des pistes svp?
Nous avons juste vu l'acte I (scène 1 et 2) et la suite.
Merci d'avance!
- MalicouNiveau 8
Je ne suis pas sûre qu'il faille faire une séance "originale" juste pour l'inspection.
Pourquoi ne pas faire la lecture d'un extrait du texte tout simplement ?
Pourquoi ne pas faire la lecture d'un extrait du texte tout simplement ?
- Reine des neigesNiveau 8
Moi aussi je pense que tu dois faire comme d'habitude. Il ne faut pas vouloir "épater" l'inspecteur ou l'inspectrice, mais lui montrer que tu appliques le programme et que tu gères bien ta classe!
N'oublie pas par exemple en début de séance de faire un bilan de ce que les élèves ont retenu de l'intrigue, et de partir de leur compréhension pour avancer.
Bon courage pour linspection,.
N'oublie pas par exemple en début de séance de faire un bilan de ce que les élèves ont retenu de l'intrigue, et de partir de leur compréhension pour avancer.
Bon courage pour linspection,.
- InvitéInvité
merci pour vos réponses. Je ne veux pas l'épater, je veux juste une idée de séance car le texte est particulier. (théâtre)
- NérineNiveau 1
Quelle scène vas-tu étudier?
Tu peux travailler le comique, la mise en scène, le personnage de Scapin... Tout dépend du texte choisi.
Tu peux travailler le comique, la mise en scène, le personnage de Scapin... Tout dépend du texte choisi.
- henrietteMédiateur
Ce qui est dans le vent chez nous (et donc chez toi si j'en crois ta localisation) :
- L'entrée par le lexique pour démarrer la séance (genre les fiches réseaux, ça, c'est top : cf le site académique)
- Lecture expressive du texte par le prof
- Et surtout, pas de questionnaire tout fait sur le texte distribué aux élèves et réponses à rédiger à l'écrit (ça, c'est le MAL ABSOLU) : partir au contraire d'une question orale volontairement assez large pour ne pas "plaquer ta lecture" sur eux, mais au contraire amener les élèves à s'exprimer et à réagir sur le texte. Ne les fais pas écrire à ce moment-là : les élèves ne peuvent pas réfléchir et écrire en même temps (hum, ceci explique donc cela...)
- Aiguille discrètement les remarques des élèves pour les amener à approfondir leur lecture, leur réflexion sur le texte, et note au tableau en organisant de façon raisonnée les éléments intéressants menant à la synthèse.
- Surtout, il est extrêmement recommandé de finir par un travail d'écriture réinvestissant ce que tu as vu dans cette séance (ça, c'est le BIEN ABSOLU) : ce peut être la rédaction de la trace écrite, mais aussi un paragraphe d'imitation d'un passage du texte, une écriture avec contrainte, en veillant à faire réutiliser le vocabulaire vu, les points dégagés --> cette écriture peut tout à fait tenir lieu de trace écrite de ta séance. En 5e, ne pas hésiter à imposer les amorces, des structures de phrases, le "plan" de l'exercice d'écriture, des mots de vocabulaire.
Les IPR insistent tous sur l'absolue nécessiter de maîtriser parfaitement ton texte, de façon à rebondir sur toute remarque pertinente des élèves, même si elle part dans une direction différente de celle que tu avais prévue : dans ce cas, si c'est pertinent, c'est à toi de suivre les élèves, pas à eux de s'adapter à toi.
Et un conseil, soigne ta progression grammaticale (la meilleure selon les IPR étant celle disponible sur le site académique : ça, c'est le NIRVANA).
Bon courage !
- L'entrée par le lexique pour démarrer la séance (genre les fiches réseaux, ça, c'est top : cf le site académique)
- Lecture expressive du texte par le prof
- Et surtout, pas de questionnaire tout fait sur le texte distribué aux élèves et réponses à rédiger à l'écrit (ça, c'est le MAL ABSOLU) : partir au contraire d'une question orale volontairement assez large pour ne pas "plaquer ta lecture" sur eux, mais au contraire amener les élèves à s'exprimer et à réagir sur le texte. Ne les fais pas écrire à ce moment-là : les élèves ne peuvent pas réfléchir et écrire en même temps (hum, ceci explique donc cela...)
- Aiguille discrètement les remarques des élèves pour les amener à approfondir leur lecture, leur réflexion sur le texte, et note au tableau en organisant de façon raisonnée les éléments intéressants menant à la synthèse.
- Surtout, il est extrêmement recommandé de finir par un travail d'écriture réinvestissant ce que tu as vu dans cette séance (ça, c'est le BIEN ABSOLU) : ce peut être la rédaction de la trace écrite, mais aussi un paragraphe d'imitation d'un passage du texte, une écriture avec contrainte, en veillant à faire réutiliser le vocabulaire vu, les points dégagés --> cette écriture peut tout à fait tenir lieu de trace écrite de ta séance. En 5e, ne pas hésiter à imposer les amorces, des structures de phrases, le "plan" de l'exercice d'écriture, des mots de vocabulaire.
Les IPR insistent tous sur l'absolue nécessiter de maîtriser parfaitement ton texte, de façon à rebondir sur toute remarque pertinente des élèves, même si elle part dans une direction différente de celle que tu avais prévue : dans ce cas, si c'est pertinent, c'est à toi de suivre les élèves, pas à eux de s'adapter à toi.
Et un conseil, soigne ta progression grammaticale (la meilleure selon les IPR étant celle disponible sur le site académique : ça, c'est le NIRVANA).
Bon courage !
- cannelle21Grand Maître
POur ce qui est du théâtre, je colle ici ce que j'avais écrit dans un autre fil consacré aux Fourberies.
Normalement, l'idéal serait d'entrer dans le texte par le jeu. Je m'explique: je serais toi, je ferais la veille une séance de jeu à partir du début de la scène 1. Plusieurs exercices ludiques permettant de travailler très concrètement sur le texte et d'en expérimenter les enjeux. Ensuite en séance d'inspection, je travaillerais sur la scène d'exposition en elle-même pour expliciter les procédés, définir ce qu'est une scène d'exposition et je finirais en visionnant une mise en scène : celle de Pierre Fox est très bien.
Si l'idée te plaît, je peux te taper une séance de travail avec des exercices de théâtre sur cette scène en particulier... c'est un travail que j'ai fait cette année et qui fonctionne bien.
Alors pour moi il peut être très intéressant d'entrer dans le texte par le corps car souvent les textes classiques demeurent dans un rapport d’étrangeté avec les élèves : Molière ne leur parle pas, ne les fait pas rire… pour moi ce ne sont pas les textes qui sont intemporels mais le fait de jouer. Jouer c’est donner une chance aux modes sensibles appropriation des connaissances, c’est vivre les enjeux du texte… les élèves deviennent Octave : son père revient au port, il vient chercher de l’aide auprès de son serviteur mais l’autre ne répond pas… et le conflit monte car au théâtre on fonctionne souvent selon les figures du duo et du duel.
A ta place je ne travaillerais que sur la première scène qui est importante car on apprend plein de choses avant même que le personnage éponyme n’arrive.
Pour la mise en scène tu peux montrer 1/10ème d’une œuvre en indiquant les références. Par contre je ne me lancerai pas dans l’étude de la mise en scène de but en blanc car il y a un risque de brouiller la réception en multipliant les informations : musique, costume, lumière…
Comme je l’ai déjà dit, je ferais une séance en amont d’exercices, puis analyse du texte et enfin analyse de la mise en scène : pourquoi pas un schéma, un travail sur les costumes mais de façon un peu concrète avec découpage à faire, schéma…
Pour ce qui est des exercices, voici ce que je ferais en une heure, en classe entière, dans une grande salle sans collègue à côté pour pouvoir travailler librement.
I- Echauffement et mise en route pour apprendre à travailler ensemble
- Les élèves sont placés en cercle en position neutre
- Se frictionner le corps afin de s’échauffer
- Faire passer un clap sur votre droite… le mouvement doit être communiqué comme une vague
- Le théâtre c’est du texte, aujourd’hui votre texte va être un « ah ». Il y a plein de façons de faire un ah. Un par un, toujours en cercle, chaque élève avance d’un pas, attend une seconde, et dit « ah » avec une intention. Chacun doit inventer une nouvelle façon de faire un « ah ». Le professeur doit pousser jusqu’au bout les propositions des élèves.
II- Explicitation du texte
- Lecture de la scène 1 : la distribuer aux élèves ou la projeter au tableau
- Qui sont Octave et Silvestre ? Qu’arrive-t-il à Octave ? Son père revient, il est désespéré parce qu’il est amoureux… par contre il le dit avec des mots compliqués…
- Pour s’approprier le texte, proposez aux élèves d’écrire un sous-texte à « fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux, cruelles extrémités où je me vois réduis ». Leur faire dire avec de l’énergie, puis leur faire prononcer la phrase de Molière (qui est écrite au tableau).
III- Travail sur « Ah fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux »
- Les élèves ont appris ce petit texte et se sont approprié le sentiment d’énervement.
- Les élèves sont en cercle. On demande à un élève d’avancer d’un pas et de faire un geste pouvant traduire le sentiment d’énervement. On demande ensuite à un deuxième élève deux gestes d’énervement, puis à un troisième élève trois gestes d’énervement.
- Le travail suivant se fait avec un coryphée. Un élève devient le chef de chœur. Il avance d’un pas, fait trois gestes d’énervement, compte trois secondes et sort le texte. Il recule, puis le chœur des autres élèves reproduit cette mini séquence. L’exercice peut être répété deux ou trois fois avec un coryphée différent à chaque fois.
IV- Petit travail de mise en scène
- Qui est Silvestre ? Le serviteur ? Que fait-il ? Au théâtre on ne peut pas juste attendre. Il range ? Il nettoie les vitres…
- Faire asseoir les élèves. Envoyez un élève sur scène pour qu’il joue cette action en imitant véritablement. Ne pas hésiter à les pousser, à augmenter l’action…
- Octave va entrer. Pour créer un sentiment d’urgence, le professeur bloque la porte pendant qu’Octave pousse. Quand le professeur sent Octave prêt, il ouvre, Octave se précipite… 3 geste, trois secondes d’attente et le texte.
V- Travail sur l’idée de conflit
- Les élèves se placent par deux. Le professeur apprend comment donner une claque de théâtre avec un mouvement de la nuque. Octave se place face à Silvestre : claque + 3 secondes d’attente + « Ah, parle si tu veux ! »
- Puis échange des rôles
VI- Bilan
- Mise en scène avec enchaînement
- Petit moment de bilan assis par terre
Ce travail permet de dégager l’urgence de la situation, de voir que la pièce commence sur un « ah », que comprendre que le conflit naît des non-réponses de Silvestre.
Normalement, l'idéal serait d'entrer dans le texte par le jeu. Je m'explique: je serais toi, je ferais la veille une séance de jeu à partir du début de la scène 1. Plusieurs exercices ludiques permettant de travailler très concrètement sur le texte et d'en expérimenter les enjeux. Ensuite en séance d'inspection, je travaillerais sur la scène d'exposition en elle-même pour expliciter les procédés, définir ce qu'est une scène d'exposition et je finirais en visionnant une mise en scène : celle de Pierre Fox est très bien.
Si l'idée te plaît, je peux te taper une séance de travail avec des exercices de théâtre sur cette scène en particulier... c'est un travail que j'ai fait cette année et qui fonctionne bien.
Alors pour moi il peut être très intéressant d'entrer dans le texte par le corps car souvent les textes classiques demeurent dans un rapport d’étrangeté avec les élèves : Molière ne leur parle pas, ne les fait pas rire… pour moi ce ne sont pas les textes qui sont intemporels mais le fait de jouer. Jouer c’est donner une chance aux modes sensibles appropriation des connaissances, c’est vivre les enjeux du texte… les élèves deviennent Octave : son père revient au port, il vient chercher de l’aide auprès de son serviteur mais l’autre ne répond pas… et le conflit monte car au théâtre on fonctionne souvent selon les figures du duo et du duel.
A ta place je ne travaillerais que sur la première scène qui est importante car on apprend plein de choses avant même que le personnage éponyme n’arrive.
Pour la mise en scène tu peux montrer 1/10ème d’une œuvre en indiquant les références. Par contre je ne me lancerai pas dans l’étude de la mise en scène de but en blanc car il y a un risque de brouiller la réception en multipliant les informations : musique, costume, lumière…
Comme je l’ai déjà dit, je ferais une séance en amont d’exercices, puis analyse du texte et enfin analyse de la mise en scène : pourquoi pas un schéma, un travail sur les costumes mais de façon un peu concrète avec découpage à faire, schéma…
Pour ce qui est des exercices, voici ce que je ferais en une heure, en classe entière, dans une grande salle sans collègue à côté pour pouvoir travailler librement.
I- Echauffement et mise en route pour apprendre à travailler ensemble
- Les élèves sont placés en cercle en position neutre
- Se frictionner le corps afin de s’échauffer
- Faire passer un clap sur votre droite… le mouvement doit être communiqué comme une vague
- Le théâtre c’est du texte, aujourd’hui votre texte va être un « ah ». Il y a plein de façons de faire un ah. Un par un, toujours en cercle, chaque élève avance d’un pas, attend une seconde, et dit « ah » avec une intention. Chacun doit inventer une nouvelle façon de faire un « ah ». Le professeur doit pousser jusqu’au bout les propositions des élèves.
II- Explicitation du texte
- Lecture de la scène 1 : la distribuer aux élèves ou la projeter au tableau
- Qui sont Octave et Silvestre ? Qu’arrive-t-il à Octave ? Son père revient, il est désespéré parce qu’il est amoureux… par contre il le dit avec des mots compliqués…
- Pour s’approprier le texte, proposez aux élèves d’écrire un sous-texte à « fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux, cruelles extrémités où je me vois réduis ». Leur faire dire avec de l’énergie, puis leur faire prononcer la phrase de Molière (qui est écrite au tableau).
III- Travail sur « Ah fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux »
- Les élèves ont appris ce petit texte et se sont approprié le sentiment d’énervement.
- Les élèves sont en cercle. On demande à un élève d’avancer d’un pas et de faire un geste pouvant traduire le sentiment d’énervement. On demande ensuite à un deuxième élève deux gestes d’énervement, puis à un troisième élève trois gestes d’énervement.
- Le travail suivant se fait avec un coryphée. Un élève devient le chef de chœur. Il avance d’un pas, fait trois gestes d’énervement, compte trois secondes et sort le texte. Il recule, puis le chœur des autres élèves reproduit cette mini séquence. L’exercice peut être répété deux ou trois fois avec un coryphée différent à chaque fois.
IV- Petit travail de mise en scène
- Qui est Silvestre ? Le serviteur ? Que fait-il ? Au théâtre on ne peut pas juste attendre. Il range ? Il nettoie les vitres…
- Faire asseoir les élèves. Envoyez un élève sur scène pour qu’il joue cette action en imitant véritablement. Ne pas hésiter à les pousser, à augmenter l’action…
- Octave va entrer. Pour créer un sentiment d’urgence, le professeur bloque la porte pendant qu’Octave pousse. Quand le professeur sent Octave prêt, il ouvre, Octave se précipite… 3 geste, trois secondes d’attente et le texte.
V- Travail sur l’idée de conflit
- Les élèves se placent par deux. Le professeur apprend comment donner une claque de théâtre avec un mouvement de la nuque. Octave se place face à Silvestre : claque + 3 secondes d’attente + « Ah, parle si tu veux ! »
- Puis échange des rôles
VI- Bilan
- Mise en scène avec enchaînement
- Petit moment de bilan assis par terre
Ce travail permet de dégager l’urgence de la situation, de voir que la pièce commence sur un « ah », que comprendre que le conflit naît des non-réponses de Silvestre.
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- SergeMédiateur
Très bonne idée. Je fais le point 1 en atelier théâtre. J'hésiterais à le faire un jour d'inspection par contre. Rien que le chamboulement des tables, les risques de fous rires ou d'élèves non habitués au théâtre qui pourraient faire n'importe quoi à cette occasion juste pour faire les intéressants, et avec une difficulté pour "rebondir" s'ils sont bloqués, la gestion du temps pour cette activité en grand groupe, etc.
Mais je leur suggérerais de réfléchir à différentes intonations possibles, et j'interrogerais les volontaires sans contraindre tout le monde. Moins de mauvaises surprises, de chamboulement des place, et surtout meilleure gestion du temps lors de l'inspection.
Ce que tu entends par "sous-texte", c'est bien de leur faire écrire cette idée avec leur propres mots ?
J'entre presque toujours par le lexique, mais je ne vois pas ce que sont les fiches réseaux. Je n'ai pas trouvé. Aurais-tu un lien ?
Mais je leur suggérerais de réfléchir à différentes intonations possibles, et j'interrogerais les volontaires sans contraindre tout le monde. Moins de mauvaises surprises, de chamboulement des place, et surtout meilleure gestion du temps lors de l'inspection.
proposez aux élèves d’écrire un sous-texte à « fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux, cruelles extrémités où je me vois réduis »
Ce que tu entends par "sous-texte", c'est bien de leur faire écrire cette idée avec leur propres mots ?
henriette a écrit:
(genre les fiches réseaux, ça, c'est top : cf le site académique)
J'entre presque toujours par le lexique, mais je ne vois pas ce que sont les fiches réseaux. Je n'ai pas trouvé. Aurais-tu un lien ?
- cannelle21Grand Maître
Serge a écrit:Très bonne idée. Je fais le point 1 en atelier théâtre. J'hésiterais à le faire un jour d'inspection par contre. Rien que le chamboulement des tables, les risques de fous rires ou d'élèves non habitués au théâtre qui pourraient faire n'importe quoi à cette occasion juste pour faire les intéressants, et avec une difficulté pour "rebondir" s'ils sont bloqués, la gestion du temps pour cette activité en grand groupe, etc.
Mais je leur suggérerais de réfléchir à différentes intonations possibles, et j'interrogerais les volontaires sans contraindre tout le monde. Moins de mauvaises surprises, de chamboulement des place, et surtout meilleure gestion du temps lors de l'inspection.
proposez aux élèves d’écrire un sous-texte à « fâcheuses nouvelles pour un cœur amoureux, cruelles extrémités où je me vois réduis »
Ce que tu entends par "sous-texte", c'est bien de leur faire écrire cette idée avec leur propres mots ?henriette a écrit:
(genre les fiches réseaux, ça, c'est top : cf le site académique)
J'entre presque toujours par le lexique, mais je ne vois pas ce que sont les fiches réseaux. Je n'ai pas trouvé. Aurais-tu un lien ?
Le sous-texte est effectivement une traduction du texte. Elle leur permet de sentir l'intention. Ensuite, le texte de Molière sort bien mieux.
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Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- SergeMédiateur
Oui, c'est une très chouette idée.
- tannatHabitué du forum
@Serge : Je crois qu'Henriette fait référence à ceci :
http://lettres.ac-aix-marseille.fr/college/langue/lexique/seyne09.html
Descendre au point "2 . Des séances, des séquences, des fiches en exemple"
ou bien encore à ceci :
http://lettres.ac-aix-marseille.fr/college/langue/lexiseances.html
http://lettres.ac-aix-marseille.fr/college/langue/lexique/seyne09.html
Descendre au point "2 . Des séances, des séquences, des fiches en exemple"
ou bien encore à ceci :
http://lettres.ac-aix-marseille.fr/college/langue/lexiseances.html
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« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett
« C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenargues
- SergeMédiateur
Merci, je regarderai ça à tête reposée quand je le pourrai.
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