Faire des classes en fonction des options des élèves

Conseil démagogique pédagogique ce soir : entre une louche d'histoire des arts et une bolée de socle commun, dans laquelle j'ai eu le droit de la part du principal adjoint vantant les mérites des compétences (et alors que j'avais presque été discret jusque là) à un (je cite de tête, mais l'esprit est là) "on peut être comme monsieur Celeborn, ou alors on peut vouloir aider les élèves en difficulté…"



(Bon, bah j'ai eu des excuses 20 secondes après, je peux vous le dire )

Bref, au milieu de tout ça, idée de "classes à projet" qui a l'air de bien botter la direction, avec une classe "section euro", une classe DP3…

Je ne cherche pour le coup pas à discuter du bien fondé de la chose, mais juste de son caractère légal. Il m'avait semblé que les options ne devaient pas servir de moyen de créer des classes de niveau, i.e. il fallait les répartir dans plusieurs classes.

Est-ce juste une interprétation excessive du collège unique, ou y a-t-il un texte sur le sujet ? (et si oui, en avez-vous les références ?)

Merci d'avance !

Cele', qui ne comprenait plus son principal adjoint à la fin de la réunion tellement c'était le bordel dans ses phrases et ses concepts…

Je ne sais pas s'il y a un texte, mais chez nous il y a des classes de niveau, il y a une classe par niveau qui regroupe les latinistes et les euros, une autre avec des euros, et enfin les 2 autres qui comment dire...

Je ne pense pas qu'il y ait (aie ?) un texte à ce sujet, pour moi cela relève de la liberté du chef d'établissement (souvent, plus pour facilité la construction des edt)

Je n'en ai pas trouvé non plus. Bon, bah on va pouvoir REdiscuter de tout ça (c'est bien, ces réunions où l'on est censé traiter un point précis et où l'on conclut qu'il faudra se revoir pour en reparler).

Celeborn a écrit:Je n'en ai pas trouvé non plus. Bon, bah on va pouvoir REdiscuter de tout ça (c'est bien, ces réunions où l'on est censé traiter un point précis et où l'on conclut qu'il faudra se revoir pour en reparler).

C'est bien dit