- Raoul VolfoniGrand sage
Idem... j'ai le dos en compote. Vivement le week-end...
- KrokoEsprit éclairé
bouuuuuuh j'ai plus de voix ! j'ai chuchoté plus que fait cours et aux conseils de classe, j'ai cru que j'allais mourir tellement j'ai toussé ! j'en peux plus !
soupe et au pieu !
soupe et au pieu !
- LoubdalouExpert
Olala ! c'est dur côté santé !
J'ai eu la grippe, des rhumes, des bronchite, une extinction de voix. Je n'ai pas pris de congé maladie (j'aurais dû...)
Maintenant je suis en arrêt maladie car j'étais simplement au bout du rouleau nerveusement... Et ça va MIEUX !
J'ai pu prendre plein d'avance, dormir, profiter de la vie, oulala, comme ça fait du bien ! Et à mes élèves aussi ça fera du bien d'ailleurs...
Concernant l'extinction de voix, je fais cours en chuchotant aussi. Le point positif c'est que du coup les élèves étaient TRES sages, un truc de dingue ! Le point négatif c'est que l'on s'esquinte la santé comme ça...
Un truc trop drôle, quand j'avais de la fièvre (tellement que tous ceux que je croisais me disaient "oulala, mais vas te coucher !") et un rhume et de la toux, mon tuteur a assisté à un de mes cours, mal préparé (il m'avait pas montré une seule fois depuis la rentrée, on était fin septembre) et je me suis fait remonter les bretelles parce que c'était mal fait. Mais à la fin il me dit "Ah tu es enrhumé, oui ça ne doit pas aider..." NON, SANS BLAGUE ??? :Gné:
Maintenant c'est décidé, à la prochaine extinction de voix, gastro ou grippe, c'est direction le médecin. On est pas là pour se tuer à la tâche non plus !!
J'ai eu la grippe, des rhumes, des bronchite, une extinction de voix. Je n'ai pas pris de congé maladie (j'aurais dû...)
Maintenant je suis en arrêt maladie car j'étais simplement au bout du rouleau nerveusement... Et ça va MIEUX !
J'ai pu prendre plein d'avance, dormir, profiter de la vie, oulala, comme ça fait du bien ! Et à mes élèves aussi ça fera du bien d'ailleurs...
Concernant l'extinction de voix, je fais cours en chuchotant aussi. Le point positif c'est que du coup les élèves étaient TRES sages, un truc de dingue ! Le point négatif c'est que l'on s'esquinte la santé comme ça...
Un truc trop drôle, quand j'avais de la fièvre (tellement que tous ceux que je croisais me disaient "oulala, mais vas te coucher !") et un rhume et de la toux, mon tuteur a assisté à un de mes cours, mal préparé (il m'avait pas montré une seule fois depuis la rentrée, on était fin septembre) et je me suis fait remonter les bretelles parce que c'était mal fait. Mais à la fin il me dit "Ah tu es enrhumé, oui ça ne doit pas aider..." NON, SANS BLAGUE ??? :Gné:
Maintenant c'est décidé, à la prochaine extinction de voix, gastro ou grippe, c'est direction le médecin. On est pas là pour se tuer à la tâche non plus !!
- patrichkaNiveau 3
Moi je crois que je ne suis pas loin de craquer mais je tiens. J'avoue que je demande parfois à quoi ça sert de retravailler certaines séances vu que c'est tellement mal parti. J'ai du mal à reprendre un nouveau départ avec les élèves.
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en sourdine...
- patrichkaNiveau 3
et je suis aussi à bout de nerfs..Il m'arrive de crier de plus en plus de façon à rétablir l'ordre mais finalement je me rends compte que cela ne m'aide pas toujours. Je me sens vraiment dépassée et débordée.
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en sourdine...
- LoubdalouExpert
patrichka a écrit:et je suis aussi à bout de nerfs..Il m'arrive de crier de plus en plus de façon à rétablir l'ordre mais finalement je me rends compte que cela ne m'aide pas toujours. Je me sens vraiment dépassée et débordée.
Alors va voir ton médecin. Tu lui explique ta situation, il te donnera des comprimés que tu n'es pas obligée de prendre et surtout il te dire "restez chez vous 1 semaine". Pendant ce temps tu pourras dormir, prendre de l'avance et te sentir beaucoup mieux.
Concernant le fait de crier, c'est anti-productif. Tiens mon cher tuteur me conseille de hausser le ton, à chaque fois que je l'ai fait j'ai vu des sourires moqueurs dans la salle... Du coup, maintenant je parle le moins possible. Je les regarde méchamment quand l'un parle, je le regarde avec insistance, longtemps, histoire de le mettre bien mal à l'aise et de montrer que le boss c'est TOI.
j'ai eu une discussion avec mes 3°, à la fin de l'heure, l'un contestait sa punition, je lui avais demandé de rester pour en discuter, vu qu'il ne faut pas rester seul avec l'élève, j'ai convié les délégués. Et bien de fil en aiguille on en est venu à parler du déroulement du cours en général. Ils m'ont demandé très gentiment, sans agressivité ni reproche, de ne pas m'énerver. J'évite d'habitude, mais là j'étais au bout du rouleau. Ils m'ont dit comment faisaient d'autres prof, le coup du regard méchant, et d'exclure de temps en temps.
J'ai appliqué cela dès les cours suivants, avec les pires et les 2 dernières heures de l'après-midi, c'est pour dire ! C'était NICKEL. Des cours presque parfaits et plus de respect de leur part.
Essaie, mais quand tu entends des choses déplacées de leur part, note-les aussitôt dans un carnet, en jettant des regards méchants à celui qui a dit ça. Tu ne donnes pas plus d'explication. Ils balisent, sentent que rien n'est gratuit, et après tu fais le rapport d'incident, sans le leur dire. J'ai eu beaucoup moins d'incivilités depuis que je fais ça.
Si tu veux, parle-moi en MP pour échanger des conseils, mes élèves sont très durs et franchement, ça va de mieux en mieux !
Courage!!
- PernetteNiveau 5
Xanax pour moi
Franchement, si je pouvais me le permettre, je partirais.
Ce n'est pas que j'aime pas ça, mais que je me sens la prof la plus nulle de l'univers, en dépit de tout le boulot que je fournis.
Le vrai boulot, c'est en cours, et quand j'enchaîne la semaine, je n'ai pas le temps d'y réfléchir. Et le mettre en pratique alors là...
Franchement, si je pouvais me le permettre, je partirais.
Ce n'est pas que j'aime pas ça, mais que je me sens la prof la plus nulle de l'univers, en dépit de tout le boulot que je fournis.
Le vrai boulot, c'est en cours, et quand j'enchaîne la semaine, je n'ai pas le temps d'y réfléchir. Et le mettre en pratique alors là...
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""je respecte les camardes"
- lalilalaEmpereur
pernette, patrichka
je ne sais même pas quoi vous dire pour vous encourager...j'étais dans le même état l'année dernière à la même époque....
je ne sais même pas quoi vous dire pour vous encourager...j'étais dans le même état l'année dernière à la même époque....
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Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- patrichkaNiveau 3
Pernette comme je te comprends...J'ai la même impression. Moi je fais des exercices de respiration et ça m'aide à évacuer même si le sentiment de nullité revient une fois que je fais cours.
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en sourdine...
- GrypheMédiateur
Mais enfin, vous n'êtes pas nuls. Allez, on positive. Un, deux, trois :
"C'est la première année que je fais ce métier. C'est super dur, mais j'y arrive. J'ai construit des dizaines de cours et corrigé des dizaines de contrôles depuis septembre. Je mets des notes - enfin - avec de beaux stylos rouges, et même que quand les élèves sont pénibles j'écris des mots dans les carnets. Bref, je suis investi d'une autorité que je n'avais pas il y a un an."
Alors oui, c'est dur, mais ce n'est pas de votre faute. Ce sont les débuts qui sont difficiles, après on a plus de satisfactions.
"C'est la première année que je fais ce métier. C'est super dur, mais j'y arrive. J'ai construit des dizaines de cours et corrigé des dizaines de contrôles depuis septembre. Je mets des notes - enfin - avec de beaux stylos rouges, et même que quand les élèves sont pénibles j'écris des mots dans les carnets. Bref, je suis investi d'une autorité que je n'avais pas il y a un an."
Alors oui, c'est dur, mais ce n'est pas de votre faute. Ce sont les débuts qui sont difficiles, après on a plus de satisfactions.
- ErgoDevin
Gryphe, merci pour ce message! :flower:
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- GrypheMédiateur
Mais de rien. C'est sincère tu sais. Je suis très admirative de tout ce que vous réussissez à faire.Ergo a écrit:Gryphe, merci pour ce message! :flower:
Là où je suis, il y a plusieurs personnes qui commencent, et même si elles sont bien entourées, c'est quand même à elles de
- construire tous les cours d'un coup,
- s'adapter à leur nouveau "rôle social",
- s'adapter au contexte local de l'établissement,
- et au fonctionnement d'un établissement en général, avec les périodes de bulletins/conseils, les rencontres parents-profs, etc,
- comprendre le fonctionnement des mutations pour l'année prochaine,
- gérer le stress de "validé/pas validé",
- gérer le stress causé par les "visites" qui, même les plus bienveillantes possibles, peuvent avoir un côté un peu angoissant,
- trouver un mode de fonctionnement avec le tuteur, prendre le meilleur et s'accommoder des aspects moins faciles (différences de personnalité, horaires pas compatibles...),
- enfin, surtout, se poser et s'affirmer face aux élèves, qui s'ils sont attachants, sont aussi très difficiles à
Ben oui, ça fait beaucoup de choses à découvrir en quelques mois.
Alors franchement, il y a la fatigue, les virus de l'hiver, le stress, oui, mais il y a aussi tout cela que vous avez appris en si peu de temps. Ça vaut le coup d'être salué !
- PernetteNiveau 5
C'est vraiment gentil !
Mais maintenant je suis sous xanax (ça détend super bien !), avec plus de trente jours d'arrêt...
Que faire ? Tenir coûte que coûte avec le bazar dans mes classes (le niveau de bazar, et pas que la perception que j'en ai, augmente avec ma fatigue et inversement), ou continuer à me faire arrêter, si besoin est, quitte à se faire recaler ou avoir un prolongement de stage (à partir de 64 jours d'arrêt).
Ce serait peut-être mieux, plutôt que d'être titularisée sans avoir eu une année complète ! (je suis très en retard sur le programme alors...)
Lorsqu'on se fait arrêter, ce n'est pas facile de reprendre en main les élèves et de les remettre au travail ! Je ne fais plus passer de boulot, car ils ne le rendent pas aux PP (pour moitié).
Les parents me reprochent mes arrêts pourtant motivés (je ne demande jamais rien aux docteurs), les élèves aussi, ne parlons pas de la direction (tout le monde est fatigué Madame). J'ai dit aux élèves que c'était une maladie chronique (et que ce n'était pas poli du tout ce type de remarques), et donc que cela risquait fortement de se reproduire, mais que s'ils étaient sérieux dans leur travail il n'y aurait pas de problème pour l'an prochain. Un voeu pieux, car je n'en sais rien !
Le mieux c'est un PP qui affirmé aux élèves que je rattraperai mes absences... Je veux bien le faire un peu (en bénévolat), mais avec 18h et mes vendredi en formation, sans compter les emplois du temps des élèves, ça va être difficile... Et puis il y a ma santé aussi ! Bref, bref, c'est une toile inextricable.
En outre, avec un prolongement, j'aurai le temps de me pacser et donc de bénéficier de points pour les mouvements de l'an prochain...
Je veux juste continuer à apprécier ce que je fais, garder un moral et une santé acceptables malgré le bazar, ne pas démissionner en fait.
Mais maintenant je suis sous xanax (ça détend super bien !), avec plus de trente jours d'arrêt...
Que faire ? Tenir coûte que coûte avec le bazar dans mes classes (le niveau de bazar, et pas que la perception que j'en ai, augmente avec ma fatigue et inversement), ou continuer à me faire arrêter, si besoin est, quitte à se faire recaler ou avoir un prolongement de stage (à partir de 64 jours d'arrêt).
Ce serait peut-être mieux, plutôt que d'être titularisée sans avoir eu une année complète ! (je suis très en retard sur le programme alors...)
Lorsqu'on se fait arrêter, ce n'est pas facile de reprendre en main les élèves et de les remettre au travail ! Je ne fais plus passer de boulot, car ils ne le rendent pas aux PP (pour moitié).
Les parents me reprochent mes arrêts pourtant motivés (je ne demande jamais rien aux docteurs), les élèves aussi, ne parlons pas de la direction (tout le monde est fatigué Madame). J'ai dit aux élèves que c'était une maladie chronique (et que ce n'était pas poli du tout ce type de remarques), et donc que cela risquait fortement de se reproduire, mais que s'ils étaient sérieux dans leur travail il n'y aurait pas de problème pour l'an prochain. Un voeu pieux, car je n'en sais rien !
Le mieux c'est un PP qui affirmé aux élèves que je rattraperai mes absences... Je veux bien le faire un peu (en bénévolat), mais avec 18h et mes vendredi en formation, sans compter les emplois du temps des élèves, ça va être difficile... Et puis il y a ma santé aussi ! Bref, bref, c'est une toile inextricable.
En outre, avec un prolongement, j'aurai le temps de me pacser et donc de bénéficier de points pour les mouvements de l'an prochain...
Je veux juste continuer à apprécier ce que je fais, garder un moral et une santé acceptables malgré le bazar, ne pas démissionner en fait.
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""je respecte les camardes"
- Raoul VolfoniGrand sage
Coûte que coûte, non. Il faut avant tout préserver sa santé.
De mon côté, l'inquiétude revient. Je n'ai rien de prêt pour la reprise, j'ai donc cinq cours à préparer cette semaine... sachant que l'inspection risque de porter sur une de mes séquences de français (BEP ou 1re bac pro) et que donc j'ai plutôt intérêt à fignoler... sauf qu'en 1re bac pro, je ne sais pas quoi faire. J'ai des idées très, très vagues, pas de textes pour le moment, et pas de possibilité de voir ma tutrice avant d'attaquer...
Du coup : mauvais sommeil, cauchemars, sans compter ce mal au dos qui ne me lâche pas (un disque lombaire pincé). Après plus d'une semaine de vacances, j'ai le sentiment de ne pas avoir récupéré. Je me console en pensant que je n'ai que trois grosses semaines, et qu'ensuite mes BEP partent en stage (et hop ! on passe à 7h30 de cours par semaine).
Je sens que je vais encore me retrouver en pleine panique à peine rentrée...
En plus, il y a certains élèves que je n'ai pas du tout, mais du tout envie de revoir...
De mon côté, l'inquiétude revient. Je n'ai rien de prêt pour la reprise, j'ai donc cinq cours à préparer cette semaine... sachant que l'inspection risque de porter sur une de mes séquences de français (BEP ou 1re bac pro) et que donc j'ai plutôt intérêt à fignoler... sauf qu'en 1re bac pro, je ne sais pas quoi faire. J'ai des idées très, très vagues, pas de textes pour le moment, et pas de possibilité de voir ma tutrice avant d'attaquer...
Du coup : mauvais sommeil, cauchemars, sans compter ce mal au dos qui ne me lâche pas (un disque lombaire pincé). Après plus d'une semaine de vacances, j'ai le sentiment de ne pas avoir récupéré. Je me console en pensant que je n'ai que trois grosses semaines, et qu'ensuite mes BEP partent en stage (et hop ! on passe à 7h30 de cours par semaine).
Je sens que je vais encore me retrouver en pleine panique à peine rentrée...
En plus, il y a certains élèves que je n'ai pas du tout, mais du tout envie de revoir...
- PernetteNiveau 5
Moi aussi, il y a des élèves que je ne veux pas revoir, pour me consoler, je me dis que c'est partagé... Et qu'il est probable qu'ils me regrettent un jour (ou qu'ils regrettent leur attitude dans 20 ans, rêvons toujours !)
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""je respecte les camardes"
- KrokoEsprit éclairé
Pernette a écrit:C'est vraiment gentil !
Mais maintenant je suis sous xanax (ça détend super bien !), avec plus de trente jours d'arrêt...
Que faire ? Tenir coûte que coûte avec le bazar dans mes classes (le niveau de bazar, et pas que la perception que j'en ai, augmente avec ma fatigue et inversement), ou continuer à me faire arrêter, si besoin est, quitte à se faire recaler ou avoir un prolongement de stage (à partir de 64 jours d'arrêt). es tu sûre de ça ? mon syndicat, ainsi que Karine il me semble, m'ont dit que c'était la prolong dès 36 jours d'arrêt. Moi j'en suis à 32 alors ....
Ce serait peut-être mieux, plutôt que d'être titularisée sans avoir eu une année complète ! (je suis très en retard sur le programme alors...)
Lorsqu'on se fait arrêter, ce n'est pas facile de reprendre en main les élèves et de les remettre au travail ! Je ne fais plus passer de boulot, car ils ne le rendent pas aux PP (pour moitié).
Les parents me reprochent mes arrêts pourtant motivés (je ne demande jamais rien aux docteurs), les élèves aussi, ne parlons pas de la direction (tout le monde est fatigué Madame). J'ai dit aux élèves que c'était une maladie chronique (et que ce n'était pas poli du tout ce type de remarques), et donc que cela risquait fortement de se reproduire, mais que s'ils étaient sérieux dans leur travail il n'y aurait pas de problème pour l'an prochain. Un voeu pieux, car je n'en sais rien !
Le mieux c'est un PP qui affirmé aux élèves que je rattraperai mes absences... Je veux bien le faire un peu (en bénévolat), mais avec 18h et mes vendredi en formation, sans compter les emplois du temps des élèves, ça va être difficile... Et puis il y a ma santé aussi ! Bref, bref, c'est une toile inextricable.
En outre, avec un prolongement, j'aurai le temps de me pacser et donc de bénéficier de points pour les mouvements de l'an prochain...
Je veux juste continuer à apprécier ce que je fais, garder un moral et une santé acceptables malgré le bazar, ne pas démissionner en fait.
- KrokoEsprit éclairé
Kruella a écrit:Coûte que coûte, non. Il faut avant tout préserver sa santé.
De mon côté, l'inquiétude revient. Je n'ai rien de prêt pour la reprise, j'ai donc cinq cours à préparer cette semaine... sachant que l'inspection risque de porter sur une de mes séquences de français (BEP ou 1re bac pro) et que donc j'ai plutôt intérêt à fignoler... sauf qu'en 1re bac pro, je ne sais pas quoi faire. J'ai des idées très, très vagues, pas de textes pour le moment, et pas de possibilité de voir ma tutrice avant d'attaquer...
Du coup : mauvais sommeil, cauchemars, sans compter ce mal au dos qui ne me lâche pas (un disque lombaire pincé). Après plus d'une semaine de vacances, j'ai le sentiment de ne pas avoir récupéré. Je me console en pensant que je n'ai que trois grosses semaines, et qu'ensuite mes BEP partent en stage (et hop ! on passe à 7h30 de cours par semaine).
Je sens que je vais encore me retrouver en pleine panique à peine rentrée...
En plus, il y a certains élèves que je n'ai pas du tout, mais du tout envie de revoir...
moi c'est pareil, dos bloqué, mal à la gorge ENCORE, tension très basse .... et j'ai pas avancé du tout dans mes corrections ou preps de cours ... pfff
- lalilalaEmpereur
Tout pareil, je n'ai pas l'impression de me reposer...
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Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- KrokoEsprit éclairé
je reviens de chez le docteur, j'avais courbatures, frissons et toux dégueulasse. Bilan, re antibio + bilan sanguin complet à faire (tension trop basse) + radio des poumons et radio des sinus, car j'en suis à ma 5e trachéito sinusite bronchite truc tout pourri depuis la rentrée ... et je vais probablement devoir être opérée des sinus
- guizHabitué du forum
Ohhh Kroko! J'espère que tout va s'améliorer
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“You know when you've found it, that's something I learned, coz' you feel it when they take it away” ...
- KrokoEsprit éclairé
merci Guizmo, ça me déprime, mais en même temps si toutes ces analyses me permettent de trouver ce qui ne va pas et me soigner, ça sera aussi un soulagement.
- lalilalaEmpereur
Tu seras débarrassée des sinusites au moins...
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Mon blog
- lapetitemuExpert
Au moins, tu as vu un médecin qui prend les choses en main... de mon côté, je commence à en avoir marre de chercher en vain un médecin correct sur Lyon, qui te consacre plus de 5 minutes. D'après une copine, ma situation légitimait aussi de me faire prescrire une radio des sinus et des poumons, mais la médecin m'a juste prescrit des antibios. Bon, du coup, ça va mieux (parce que j'ai vraiment souffert au début de la semaine dernière, un mal de tête, nez, dents atroce tous les jours à la même heure, et qui ne passait pas malgré les doses de Doliprane et Ibuprofène), mais c'est aussi parce que je suis en pause (formation + vacances). Je me demande si ça tiendra une fois que je retournerai au collège...
- KrokoEsprit éclairé
Ben disons qu'elle a vu sur son dossier la quantité de fois que je suis venue la voir en si peu de temps, et qu'elle s'est dit que bon, c'était peut être pas normal.
- lapetitemuExpert
Certes ! Du coup, elle aurait peut-être dû réagir avant, finalement !
De toute façon, les médecins (généralistes, je veux dire) subissent quasiment les mêmes problèmes que nous (problèmes de mutation, violences dans les quartiers sensibles...), faut pas s'étonner qu'ils soient débordés.
Mais je persiste à dire que c'est incroyable qu'on n'ait pas des médecins "spécialisés", au courant de notre métier et de ses lourds impacts sur notre moral et notre santé, à qui on pourrait se confier et qui nous proposerait des solutions adaptées (et pas seulement signer des arrêts de travail parce que ce n'est pas forcément efficace ni suffisant...).
De toute façon, les médecins (généralistes, je veux dire) subissent quasiment les mêmes problèmes que nous (problèmes de mutation, violences dans les quartiers sensibles...), faut pas s'étonner qu'ils soient débordés.
Mais je persiste à dire que c'est incroyable qu'on n'ait pas des médecins "spécialisés", au courant de notre métier et de ses lourds impacts sur notre moral et notre santé, à qui on pourrait se confier et qui nous proposerait des solutions adaptées (et pas seulement signer des arrêts de travail parce que ce n'est pas forcément efficace ni suffisant...).
- Montpellier : face au flou de leur formation cette année, les stagiaires craquent !
- Des stagiaires qui ne prennent pas leur poste à la rentrée...
- [Stagiaires] A ceux qui ont leur affectation intra : alors ?
- Les profs stagiaires manifestent pour réclamer une amélioration de leur sort
- Quel est le taux de stagiaires prolongés ou non titularisés à l'issue de leur stage ?
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